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Aaah les vestiaires du boulot….

Aaah les vestiaires du boulot….



Cette histoire se passe en Octobre 2014.

Je travaille dans le paramédical dans une maison de retraite. Travaillant depuis plusieurs années dans ce domaine j’ai eu de nombreuses fois le plaisir de voir de jolies choses se dérouler, et notamment en rapport à mes collègues. Les strings apparaissant par transparence ou qui dépassent, les seins visiblent dans les décolletés, les collègues à moitié nu(e)s en train de se changer,…. tout cela est quasiment devenu quotidien,
mais ce n’est pas de ces simples regards voyeurs dont je veux vous parler.

A cette époque j’étais très proche d’une de mes collègues, Jordane, une jeune femme que nous qualifierons de classique avec son 1m65, ses cheveux bruns lui arrivant au milieu du dos, ses rondeurs harmonieuses surtout au niveau des hanches et sa poitrine généreuse mais tombante. Nous nous racontions tout, absolument tout, même les choses les plus intimes que nous avions vécu l’un et l’autre. Je la savais très portée sur le sexe y compris le sexe anal et le sexe à plusieurs.
Nous parlions beaucoup ensemble pendant le travail, verbalement ou par message, elle me racontait ses dernières expériences avec son nouveau copain, comment il la prenait sans ménagement par derrière alors que sa mère était dans la pièce d’à coté ou comment elle se régalait a lui prodiguer de longues gorges profondes avant de recevoir tout son jus directement dans la gorge. Et moi je lui racontais mes aventures passées en club libertin (comme les orgies dans les jacuzzi entre autre,…) ou mes moments « détentes » dans les dunes de la plage naturiste avec des couples de touristes.

Malgré cette relation privilégiée, nous nous étions contenté d’échanger des baisers de temps à autre et quelques jeux de mains au détour des couloirs et des pièces diverses, le tout a l’abri du regard de nos collègues.

Mais ce jour d’Octobre a marqué un tournant dans notre relation.
C’était un samedi matin donc dans ce genre de structure il n’y à ni directeur, ni cadre ni quelconque agent d’accueil le weekend, autant dire que de nombreuses libertés étaient prises.
Ce matin là, Eric, un intérimaire vient faire un remplacement, c’était un jeune de 25ans, diplômé depuis 2/3 ans qui n’était jamais venu bosser ici mais qui semblait motiver pour attaquer cette journée. Une de mes collègues lui expliqua les subtilités de la structure et ils se mirent à s’occuper des patients.

Dans la matinée alors que tout le monde était affairé à son travail, Jordane monta à l’étage et lorsque l’ascenseur s’ouvrit, quelle ne fut pas son étonnement d’avoir face à face, cet intérimaire, qui n’était autre que son ex petit ami, son premier, celui avec qui elle avait passé 3ans de sa vie et dont elle n’avait pas de nouvelles depuis plus de 2ans. Assistant à la scène depuis le bureau situé à quelques mètres je tendis un peu plus l’oreille par curiosité. Ils s’étaient apparemment quitté en bons termes et étaient content de se voir. Ils discutèrent un moment de tout et de rien avant de retourner travailler chacun de leur côté.
Alors qu’ils s’éloignaient l’un de l’autre, je l’entendis dire à Jordane  » cela te dit que l’on fasse comme avant ? », et elle lui répondit seulement « OK, vers 13h30 c’est là que c’est le plus calme ». Je ne comprenais pas ce qui se jouait dans cette phrase mais je comptais bien discrètement le découvrir.

Le reste de la matinée passa sans encombre, puis vers 13h lors de ma pause je descendis comme tout les jours manger un bout et me reposer un peu. Cette heure de pause était vraiment un soulagement car travailler de 7h à 20h avec seulement une heure de pause était épuisant.
Voyant l’heure tourner et ma curiosité grandir, je me dis que j’allais demander directement à Jordane mais alors que j’étais en train de taper mon message je vis l’intérimaire passer devant la salle de pause pour aller aux vestiaires, quoi de plus normal c’était l’heure de sa pause. Puis 2 minutes après j’entendis à nouveau la porte du couloir et Jordane passa à son tour, sans me voir, mais au lieu d’aller dans les vestiaires des filles elle entra elle aussi dans les vestiaires des hommes. Je compris alors immédiatement ce qu’était ce rendez-vous.

Mes envies grimpèrent en flèche instantanément quand je compris que cet intérimaire était en fait le ga qui avait dépucelé tout ses trous et avec qui elle faisait l’amour de partout, y compris sur son ancien lieu de travail.

Sachant que personne ne descendait à cette heure là je décidais d’écouter discrètement à la porte du vestiaire des hommes, je les entendis parler, j’entendis des gémissements, puis la porte du grand wc handicapé grinça à deux reprises, je compris qu’ils y étaient entré mais ne l’avait pas fermé. J’attendis un peu et comme je commençais à entendre des petits bruits, j’ouvris doucement la porte du vestiaire. Par chance la porte ne fait pas de bruit. Je me suis avancé vers la seconde porte qui était entre-ouverte et là, je le vis, de profil avec la queue raide en train de savourer la délicate fellation que lui prodiguait Jordane. Je restais là discrètement à regarder ses doigts s’agiter sur cette belle verge donc le gland était dans sa bouche.
Elle se releva une fois cette belle queue bien raide et posa à son tour son pantalon et son string blanc laissant apparaitre sa jolie chatte lisse. Elle se retourna et se pencha en avant tout en présentant sa chatte contre cette queue qui ne demandait qu’à redécouvrir la chaleur de ce vagin déjà inondé de mouille.

Pour ma part, je n’en pouvais plus d’excitation, la situation était tout bonnement idyllique et j’étais vraiment trop à l’étroit dans mon pantalon, je sorti donc ma verge de son étreinte de tissus et la caressa doucement tout en le regardant entrer en elle sans ménagement et commencer à la baiser. Il accéléra un peu la cadence au bout de quelques minutes et elle fut obligée de coller sa tête au mur tellement le plaisir commencer à monter. Il la pistonna comme ça pendant quelques minutes puis lui demanda si elle avait toujours le même péché mignon, elle lui répondu que Oui et il ralentit donc la cadence pour enfin sortir cette grosse queue dégoulinante de mouille et la placer sur sa rondelle. il força un peu et entra sans difficultés dans son cul que je savais être habitué à ce genre de plaisirs.

Les gémissements de Jordane reprirent, elle profitait du moment, les yeux fermés et les mains sur ses fesses pour les écarter au maximum afin de facilité le passage à son partenaire.
Et tout à coup alors que l’excitation de la situation était réellement intense Jordane ouvrit les yeux.

Qu’elle ne fut pas sa surprise de me voir là, la queue en main en train de les regarder prendre du plaisir.
Mon sang ne fît qu’un tour, mais le sourire qu’elle afficha juste après me rassura. Elle tourna la tête vers son partenaire qui continuer de limer son joli cul. Celui ci avait les yeux fermés et profitait du moment. Elle me fît discrètement un signe « Chut » en posant son doigt sur ses lèvres et baissa les yeux pour regarder mon membre raide comme un piquet qui était à deux doigts d’exploser et se mordit les lèvres comme pour me signifié que ma verge lui donnait aussi envie.

Elle se cambra un peu plus et son partenaire ne pu résister à la sensation d’être au fond de ce cul qui encaisser déjà depuis quelques minutes ses assauts réguliers et profond. Il se raidit d’un coup et je vis ma chère collègue en faire de même, ils subissaient tout deux un violent orgasme qui les fît se plaquer au mur.
Je le vis avoir des spasmes lorsque son jus se déversa au fond des entrailles de Jordane et je ne pu me retenir d’avantage et j’explosais à mon tour dans ma main.

Nous étions tout trois hs mais Jordane jeta un coup d’œil dans ma direction avec un grand sourire que je lui rendis puis elle se retourna vers son partenaire, dos à moi, les fesses luisantes de sperme, le tout afin de le distraire le temps que je sorte discrètement des vestiaires.

Après avoir fait un rapide passage à la salle de pause pour me nettoyer discrètement je remontais rapidement prendre mon service car ma pause venait de se terminer. Je le vis remonté quelques minutes après, l’air détendu mais fatigué. Une de mes collègues ne manqua pas de le lui faire remarqué et il mit cela sur le compte de la fatigue de la semaine et de la charge importante de travail qu’ils avaient eu le matin.

Je regardais mon téléphone et je vis un message de Jordane : « Merci c’était tout bonnement génial ce moment exhib/voyeur, heureusement qu’il ne t’a pas vu ca aurait cassé tout le charme… Vers quelle heure je peux passer te voir pour qu’on … discute? »

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