Je voudrais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a de cela quelques temps (en 2007).
Mon mari était avec un ami commun, à la maison, en train de bricoler (travail de force)
Ils étaient en short et suaient sang et eau …
Ce que je voyais surtout, c’est que leur sexe était libre sous leurs shorts et sous les mouvement de leurs corps, je pouvais aisément observer les allées et venues de leur membres. j’étais en transe ! Comme c’était beau de voir qu’un simple tissu me séparait de deux superbes queues.
Mon mari est plus que bien monté et j’avoue que la queue de notre ami était toute aussi sublime : elle me paraissait longue et bien épaisse.
Ce jour là, il faisait particulièrement chaud et j’avais mis un robe très légère et « déboutonnable » – là en l’occurrence, elle était sagement fermée- mais j’étais nue dessous.
Les voyant ainsi m’excitait au plus haut point.
J’avais envie de m’exhiber à eux….
Discrètement, je dégrafais les boutons du bas de ma robe ainsi qu’un bouton de mon décolleté, puis leur proposait innocemment un rafraîchissement.
Ils l’acceptèrent bien volontiers et je me rendis compte que notre ami ne perdait rien de la vue de mes jambes ou de mes seins pourtant encore sagement cachés.
J’ai accroché le regard de mon mari, et celui-ci me fit comprendre que je pouvais continuer à les exciter ………
J’ai donc joint le geste à la parole, mon décolleté n’est plus resté sage bien longtemps : les boutons de celui-ci étaient ouverts jusqu’au nombril, et ceux de mes jambes déboutonnés très haut.
Je ne sais pas ce qu’il me prenait, mais je me sentais libre de mes actes de mes pensées, de mes désirs……..
Comme mon mari adore me prendre en photo, il s’est mis à me photographier. Notre ami ne ratait rien du spectacle et observait mon manège : j’étais assise confortablement sur le canapé et sans aucune gène, sans aucune retenue, je me suis senti devenir aguicheuse, allumeuse et pour tout dire : salope .
Je me suis mise à écarter mes cuisses, ma robe ne faisant plus rempart depuis longtemps …
Ce que je n’avais jamais faite avant, ce jour là, je me suis « lâchée » ….
Je me suis mise à me caresser doucement, tout doucement ma vulve. Celle-ci était gonflée, je le sentait à travers la pression de mes doits sur mes lèvres gonflées de plaisir.
Je mis un doigt à l’entrée de ma chatte et je ne fut pas surprise de le ressortir plein de cyprine…je mouillais comme une folle !
Je me mis à faire grossir mon clitoris, qui était déjà bien turgescent et le je le rendis encore plus sensible, encore plus impatient ……
Je regardais l’effet que je produisait sur notre ami : j’ai cru que sa queue allait jaillir de son short ! qu’elle me semblait grosse, qu’elle me semblait belle : en un mot, je la désirais!!
Pendant que mon mari m’encourageait du regard, il se mit à parler à notre ami :
-pourquoi ne viendrais-tu pas t’asseoir à ses cotés , que je vous prenne en photo tous les deux ?
Je n’avais jamais espéré qu’un jour il puisse dire cela et ça me rendait folle !!
Notre ami s’installa donc à coté de moi
-plus près d’elle s’il te plait, je voudrais bien vous cadrer .. lui ordonna mon mari.
Le flash se mit à crépiter
-chérie, mets donc une jambe sur les siennes me dit-il
ce que je fis avec grand plaisir.
Notre ami ne détachais plus les yeux de mon corps, de mes seins aux pointes si dures, du va et viens de mes doigts dans ma chatte .
Mon souffle s’accélérait rapidement……..
-J’ai comme l’impression qu’elle te plait comme cela non ?
notre ami lui répondit oui d’une voix rauque…….
-eh bien retire ton short et montre-lui combien elle te plait , continua mon mari.
J’ai cru mourir de plaisir lorsque notre ami retira son short : comme je l’avais deviné, celui-ci ne portait pas de slip ! il eu le plus grand mal à sortir sa queue tant elle était grosse, longue et pour ne rien gâcher, Monsieur se rasait !
Tout son membre était lisse, ses testicules étaient grosses, exemptes de tout poil , quel plaisir de la vue ..
J’en avait des frissons dans le ventre…..
Mon regard n’arrivait pas lui non plus à se détacher de ce que je voyais : une queue, belle, raide et rasée !
J’entendais plus que ne voyais mon mari aller et venir afin d’immortaliser cet instant si magique .
Je me sentais flattée, excitée, déboussolée de l’effet que je produisais à « mes » hommes !
Car je voyais aussi du coin de l’œil que le short de mon mari (dépourvu lui aussi de slip) était gonflé à craquer ….. j’avais envie d’eux comme jamais je n’avais osé le vivre .
– Et si nous allions nous allonger proposa mon mari ?
Mes hommes et moi nous nous dirigeâmes vers la chambre, vers le lit qui nous tendait les bras ..
Jusqu’où mon mari était-il prêt à aller ?
Qu’allais-je vivre ?
Un peu intimidée, mais profondément excitée, je suivi mon mari.
L’air était chaud et lourd , lourd de plaisirs latents, d’envies inexplorées…….
Nous nous allongeâmes, un peu gauches, mais pleins de bonne volonté , tous les trois sur le lit.
Mon mari menait la danse :
-Chérie, mets-toi entre nous s’il te plait
A peine allongés, mon mari se releva et puisa dans sa table de nuit, un flacon que je reconnus être de l’huile de massage .
Il savait ce que pouvait me procurer cette huile : une excitation maximum !
-Maintenant, tu vas nous passer de l’huile sur tout le corps ma chérie, et… n’oublies aucune partie , me dit-il.
Je m’agenouillais face à ces deux corps, aux queues si raides, si grosses, si désirables et je me mis à œuvrer. Je mis un peu d’huile dans le creux de ma main mais mon mari me dit :
-fais la couler directement sur nous et… commence par son corps.
J’avais le corps en feu, je voyais l’huile couler sur tout le corps de notre ami…
-Maintenant, étale-là bien, me dit-il.
Obéissante, je me mis à passer mes mains sur tout son corps.
C’est un corps que je ne connaissais pas, mais j’aimais ce contact, et, inconsciemment, mes mains se rapprochèrent de sa hampe . Mon dieu qu’elle était dure !
Je sentais sa verge palpiter entre mes doigts, qu’elle était belle, toute luisante.
-Décalotte-le et masse-lui bien le gland….
Je me mis à le faire mais mon mari vint prés de moi et de sa main, se mit à décalotter à fond le prépuce de notre ami, mettant à jour un superbe gland, rouge, gonflé de désir.
-C’est comme ça que tu dois le décalotter , me dis mon mari, vas-y , branle-lui le gland avec l’huile.
J’ai cru que mon sexe avait doublé de volume, tant mes lèvres étaient gonflées de plaisir.
Je branlais vigoureusement cette queue inconnue (qui l’était de moins en moins) et je sentis des doigts, eux aussi enduits d’huile de massage parcourir mon corps : c’était notre ami/amant qui me touchait….je sentais bien que mes seins ne lui étaient pas indifférents, je pouvais suivre son regard sur les pointes érigées de mes mamelons…..son regard baissa,ce que vit mon mari.
-Branle-lui la chatte, regarde là, elle n’attend que ça.
Oui, je n’attendais que ça : me faire caresser de partout par mes deux étalons…..
Mon mari en profitait pour nous photographier, allongé ……
Je repris de l’huile et en mis sur le corps de mon mari et l’étalait, pour ne plus me consacrer qu’à un massage de son anatomie au combien érigée vers moi.
Rendez-vous compte : je branlais deux queues. Chacune de mes mains étaient remplies de ces membres qui étaient animés d’une propre vie…
-Suce-nous ,dit mon mari d’une voix sourde.
Avais-je bien entendu ? me laissait-il aller embrasser , goûter, sucer ces deux queues ?
Non c’était bien cela….
Ohhhhhh que la queue de mon amant était large, son gland était aussi volumineux que celui de mon mari… je me fis un devoir de bien sucer mon amant, et je sentais qu’il appréciait mes baisers, je sentais aussi ces doigts fouiller mon intimité trempée.
Agenouillée, je sentis mon mari venir derrière moi et m’empaler sans autre préambule, il tapait au fond de ma matrice, il me besognait comme j’aimais : comme un objet d’amour .
Je léchais les couilles rasées de mon amant, elles étaient douces, grosses, vivantes.
Je jouissais sans m’en rendre compte, sous ses caresses, sous les coups de boutoir de mon mari……. .
D’un coup, mon mari se retira et dit à notre amant :
-Tu veux la prendre , tu as envie de la baiser ?
-Oui ,dit-il simplement
-Et toi mon amour, tu as envie qu’il te prenne ?
Je mourrais…….
-Oui , murmurais-je.
Mon amant se déplaça pour se mettre derrière moi.
J’étais restée à genoux, dans la position où m’avait laissé mon mari.
Je savais que notre amant placé derrière moi ne ratait rien de la vue qui s’offrait à lui :
Ma chatte était béante et mon trou était dilaté, le tout, luisant d’huile.
Ça y est, je sens son gland à l’entrée de ma motte, je sens cette queue qui se fraie un passage à travers mes chaires si sensibles de désir, de plaisir.
-Oh mais t’es bon, ne pus-je m’empêcher de lui dire…
La folie qui m’envahissait me faisait devenir grossière :
-Vas-y , mets-là, enfonce-toi bien, éclate-moi la chatte, oui, continue, plus vite mon chéri, je sens ta grosse bitte me déchirer , oh mais tu vas me faire jouir mon salop , continues, oui comme ça, encore ! ohhhhhhhhhhhhh je jouis !!…..….. ,hurlais-je.
Je sentis son corps s’arc bouter derrière ma croupe et entendis ……
-Moi aussi je viens……
Il jouissait à grands coups de reins …je re-jouissais tant c’était bon , fort et puissant.
Repus par cette débauche des corps et des sens, nous nous levâmes, primes une douche et par discrétion, mon amant prit congé.
Voilà, ce fut ma première expérience avec deux hommes.
Mon mari et moi en avons reparlé le soir , et nous convînmes qu’il serait super si nous avions la possibilité de réitérer cela encore une fois.
Mon mari à ma grande surprise ne fut pas jaloux de ce moment passé à trois :
Je n’aime que mon mari et ne resterai fidèle qu’à mon mari. Je sais , cela peut vous paraître bizarre, mais c’est ainsi : jamais sans mon mari, notre plaisir de couple avant tout et préserver notre vie privée.
Vivement une prochaine fois !
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