Je réalisais combien je m’étais senti femme en me faisant baiser par mon beau-père. D’ailleurs je lui avais avoué et il ne s’en était pas montré offusqué puisqu’il m’avait appelé « ma chérie ». Après son départ je m’étais allongée pour une petite sieste. Je fus surprise de sentir un liquide onctueux couler entre mes cuisses. Je réalisais que c’était le sperme de mon beau-père qui s’échappait de mon anus. Je le recueillis sur mes doigts et le goutais. Délicieux! C’était la première fois qu’un homme déposait sa semence dans mon ventre et cette sensation d’avoir été possédée m’excitait terriblement.
Les jours suivants, dés que ma mère avait le dos tourné, j’échangeais avec mon beau-père des regards pleins de sous-entendus sexuels. Il me caressait discrètement les fesses à travers mes jean’s en passant près de moi. Un soir alors que ma mère préparait le diner dans la cuisine, je lui ai attrapé son appareil génital à travers son pantalon en lui glissant à l’oreille que j’avais terriblement envie de sa queue. Le soir dans mon lit je pensais à sa bite épaisse glissant dans la chatte humide de ma mère. J’avais envie de la sucer juste après qu’il ait joui en elle. Le lendemain, je lui fis part de mon fantasme. Je pense qu’il m’a prit pour un fou…pour une folle. Oui, j’étais folle de sa bite. Le soir même, je les entendis faire l’amour malgré les portes fermées puis quelques secondes plus tard, la porte de ma chambre s’entrouvrit. Il était là, la bite encore en érection. Je me jetais à ses genoux et engloutit son membre dans ma bouche. Je me délectais du mélange de sperme et du jus de chatte de ma mère. C’était gluant à souhait. Un régal!. Mon beau-père me souffla:
-Allez arrête maintenant, j’ai dit à ta mère que j’allais aux toilettes.
Je lachais à regret ce morceau de chair souillé. Le samedi suivant, je guettais le moment le moment où ma mère sortirait de l’appartement pour aller travailler. J’entendis la porte de l’entrée claquer. Je me levais, nu et poussait la porte de la chambre maternelle. Mon beau-père était encore endormi. Je me glissais sous la couette et passait ma main sur son torse poilu, le réveillant. Il se retourna vers moi, surpris.
-Mais tu es fou! Elle pourrait avoir oublié quelque chose et revenir.
-Je préfererais que tu me dises que je suis folle.
Il me regarde avec un petit sourire interrogateur.
-Tu veux que je te parle au féminin?
-Oui, je me sens femme dans tes bras. D’ailleurs tu m’as appellé « ma chérie » l’autre jour. Je veux être ta minette.
Je me levais et me dirigeais vers la commode de ma mère. J’ouvris le tiroir qui contenait sa lingerie. J’y trouvais une jolie nuisette transparente noire. Je l’enfilais et rejoignis mon beau-père.
-Ca te va drôlement bien. Viens dans mes bras ma petite chérie.
Je me blotissais contre lui. Il me caressa à travers ma nuisette. J’ondulais et frissonnais de plaisir.
-Je suis amoureuse de toi.
Il me serra très fort dans ses bras et m’embrassa à pleine bouche.
-Tu veux être mon amoureuse?
-Oh oui.
-Et qu’est ce que tu fais de ta mère, alors?
-Tu peux continuer à lui faire l’amour. Je ne suis pas jalouse. Au contraire ça m’excite d’être en concurrence avec elle, d’être ta maîtresse cachée.
-Ca t’excite que je la trompe avec son fils?
-Avec sa fille!
-Tu veux vraiment être une fille?
-Oui, regarde la petite bite que j’ai, c’est la seule partie virile de mon corps, et encore.
-Tu as un adorable clitoris, ma chérie.
Il écarta la couette et fondit sur mon entrecuisse. Sa bouche aspira mon « clito » et mes petites boules. Je me cambrais.
-Ah oui, suce moi le clito. Mon chéri, tu veux bien me mettre un doigt dans la chattel?
Je sentis son majeur forcer ma rondelle toute huilée.
-Ah que c’est bon d’être une femme!
Il interrompit un instant la succion de mon clito.
-Mais dis-moi, on dirait bien que tu es aussi clitoridienne que vaginale!?
-Oh j’aimerais que tu me baises tout en me masturbant le clito.
Un deuxième, puis un troisième doigt vinrent rejoindre son majeur. Je ne me contrôlais plus. Je me cabrais et éjaculais dans la bouche de mon amant.
-Embrasse moi avec mon sperme.
Nos bouches se scelèrent dans le liquide visqueux de ma jouissance.
Ayant repris nos esprits je le regardais dans les yeux.
-J’ai envie que tu m’emmènes en week end dans un hôtel à la campagne pour faire l’amour nuit et jour. Je m’habillerais en fille, comme ça on nous prendra pas pour des pédés.
-On nous prendra pour un père et sa fille.
-Oui, un père i****tueux et sa fille amoureuse.
-Je vais t’acheter ta garde robe.
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