une rencontre innattendue dans un vol de nuit
Très jeune j’ai quittée mon Maroc natal pour émigrer avec toute ma famille dans la région parisienne, plus tard je me suis mariée avec un homme de mon pays dans la pure tradition musulmane
À trente deux ans j’avais un enfant, je ne me plains pas de ma condition, cette année là nous avons réussi à passer huit jours en Grèce, cela a été un peu notre voyage de noce, ma sœur a gardé mon gamin, nous avons donc tous les deux pris l’avion a Orly pour un vol de nuit
Nos places réservées, je me trouvais prés du hublot, mon mari au milieu, mais celui-ci a une peur bleue de l’avion, il m’a donc demandé de bien vouloir lui laisser la place prés du hublot cela le rassure
Ce qui fait que je suis retrouvée coincée entre mon mari et un homme blond très musclé, apparemment allemand, peu de temps après le décollage mon homme ronflait le visage tourné vers le hublot
Moi j’ai rabattus la tablette pour ouvrir un magasine que je regarde d’un œil distrait sous la faible lumière
Pour ce voyage j’ai revêtue une robe sage au dessous du genou, les cheveux noués sur ma nuque, bien qu’il y a la clim il fait chaud aussi je croise les jambes pour amener un peu de fraicheur entres elles, soudain mon pied heurte la jambe de mon voisin, je m’écarte un peu ….deux minutes plus tard rebelote …avancerait il sa jambe exprès ?
Je quitte donc la position croisée pour allonger le plus possible mes jambes sous le siège avant, j’ai compensé en relevant un peu ma robe…maintenant c’est la cuisse de mon voisin qui touche la mienne, les places sont exigües mais quand même… Je me serre au maximum contre mon mari, et çà recommence …. Aucun doute c’est volontaire, bizarrement la chaleur qu’il me communique me fait du bien, je ne cherche plus a m’esquiver au contraire je reprends une position décontractée, les jambes légèrement ouvertes
En plus de la chaleur de sa cuisse c’est maintenant sa main qui vient se poser sur moi, je dois être cramoisie, la tête tournée vers mon mari pour le surveiller, malgré le bruit sourd des réacteurs, j’entends sa respiration régulière, il dort paisiblement
Le manque de réaction de ma part est perçût comme un consentement, la main cherche la peau nue en se frayant difficilement un passage sous la robe ample, mon dieu si mon mari vois çà il me jette de l’avion heureusement l’obscurité qui règne me rassure
La main progresse vers ma fourche, la tablette cache les mouvements impatients
Les doigts ont atteints ma culotte, il gratte un long moment celle-ci à l’ endroit da ma vulve qui s’humidifie rapidement, mes fesses s’avancent au maximum sur le bord du siège pour m’offrir a la caresse, l’homme maintenant confiant de mon abandon cherche à s’immiscer sous le fin tissu, ma chatte absente de tous poils est maintenant dégagée totalement, deux doigts trouvent mon clitoris, il doit trouver qu’il manque de lubrification car il descend le long de ma fente pour aller y puiser le précieux liquide au fond de ma chatte
Je crois rêver quand il me prend le poignet pour déposer ma main sur une verge énorme qu’il a sortie de son pantalon, machinalement je la serre très fort entre mes doigts qui n’en font pas le tour, je tire sur la peau jusqu’à décalotter ce pieux, le monstre palpite dans ma main
La douceur de ses doigts passe et repasse sur le bouton sensible, je m’abandonne totalement protégée pas l’obscurité
Nous nous masturbons l’un et l’autre pendant très longtemps, la tête tournée vers mon mari mon corps se tend comme un arc je me mords les lèvres pour ne pas hurler de bonheur, je suis secouée de tremblements, mes jouissances n’ont jamais étés aussi fortes
Dans mon bonheur j’ai tellement serrée sa queue qu’il en décharge longuement dans un mouchoir préparé à l’ avance, j’en ai plein entre les doigts l’homme essuie délicatement ma main
Repue je me sens bien, décontractée, l’homme appuyé sur un coude tient son menton dans sa main, les doigts sur son nez …Il respire mon odeur de femme, discrètement je porte les miens a mon nez … l’odeur musquée du sperme envahi mes narines, c’est ainsi que je m’endors pour le reste du voyage …..J’ai fais un rêve érotique dans lequel mon voisin me possédait juste à coté de mon mari sans que celui-ci ne s’en aperçoive…
A l’atterrissage nous nous sommes retrouvés bloqués dans l’allée, ‘mon allemand’ juste derrière moi en profite pour mes caresser une dernière fois les fesses par-dessus ma robe, je me suis reculée sur la bosse de son pantalon en guise de remerciement et d’adieu, puis nous la foule nous a séparés
Direction l’hôtel, quelle ne fut pas ma surprise quand le lendemain matin nous l’avons croisé dans le même couloir que le notre, a cinq chambres de la notre…il s’est avancé nous saluer, sa main a serrée fortement la mienne, je suis devenue rouge comme une pivoine j’avais peur que mon mari ne s’en aperçoive, heureusement toute la semaine nous n’avions pas les mêmes excursions, je l’apercevais seulement de temps en temps au resto de l’hôtel le soir
La veille du départ nous avons consacré le matin à refaire les valises et l’après midi piscine de l’hôtel ; allongée sur un transat prés de mon mari, de temps en temps je pique une tête pour me rafraichir, c’est là que je l’ai revus, nageant prés de moi il me dit dans un mauvais français :
– Dans dix minutes je vais à ma chambre venez
Sans répondre je retourne m’allonger, effectivement il est de l’autre coté du bassin, superbe en maillot, taillé en athlète les muscles lui viennent jusqu’au haut du cou, un bassin étroit, son maillot dessine une belle virgule …j’essaie de me souvenir la grosseur que j’avais en main il y a peu de temps ,je suis sure qu’il me détaille lui aussi derrière ses lunettes de soleil
Une boule se forme dans mon ventre … que faire ?que décider ?
C’est la tempête dans ma tête, soudain il se lève et part vers l’hôtel après m’avoir jeté un dernier regard, machinalement je m’entends dire a mon mari :
– Chéri j’ai mal de tête, sans doute la chaleur, je vais a la chambre prendre un comprimé et me reposer un moment, garde ma place je reviendrais
– Pas de problème chérie va te reposer je t’attends ici
Il m’attend devant sa porte de chambre, j’ai les jambes en coton…
– Vient …. Vient …..
Il att**** mon bras, comme une somnambule je le suis, la porte à peine refermée je m’appuis sur le mur les bras le long du corps les jambes en cotons, il passe une main derrière ma nuque et cherche mes lèvres, je ne dérobe pas mais garde les miennes closes
Son autre main fait glisser ma brettelle de maillot et dégage un sein qu’il recouvre de sa grande paume faisant rouler mon téton raidit tandis que sa cuisse poilue se fraie un chemin entre les miennes qui s’ouvrent
Il ne m’en faut pas plus pour céder, ma bouche s’ouvre nos langues tournoient, lentement il me fait faire les deux mètres qui nous séparent du lit, arrivés là il me dénude complètement sa bouche vient se poser sur mon pubis, il hume ma chatte a pleins poumons, sa langue cherche l’entrée de mon puits, une ultime fois j’essaie de résister
– NON !! NON !! Il ne faut pas….. je n’ai pas beaucoup de temps …
Finalement je me laisse tomber sur le lit, allongée, pieds écartés au sol, il ôte son maillot, je n’ose regarder sa ‘chose’ et je ferme les yeux …..
Le matelas s’affaisse sous son poids, je sens son souffle sur mon visage, mes jambes s’ouvrent toutes seules pour lui laisser le passage
La queue appuie sur mon pubis, d’une main il la guide …. Je ne suis même pas sure de mouiller assez tellement, j’ai la trouille, le gland mafflu écarte mes lèvres de haut en bas, et trouve enfin l’entrée de mon vagin, il pousse, l’air me manque …
– Ho non c’est trop gros !!! Ha OUIIIIIIIII !!!!!!
– Bon !! Très bon !!!!! Belle petite chatte !!!!!! Good !! Haaaaaaaaaaaaa
Il me semble que je vais déchirer tellement je suis écartée, le pieu de chair entre plus loin, toujours plus loin, il se retire presqu’en entier, pour revenir a la charge plus brutalement, cette fois ci je ses poils pubiens qui piquent ma peau rendue sensible par l’absence de poils, je suis emmanchée jusqu’aux couilles
Je le ceinture de mes jambes pour l’empêcher de se retirer le temps que ma gaine vaginale se fasse à l’intrusion énorme
Il murmure des mots que je ne comprends pas en me caressant le visage, le moindre mouvement qu’il fait crée dans mon vagin des ondes bienfaitrices, lentement il se met à limer, je suis rassurée, je MOUILLE !!! La colonne de chair coulisse a merveille dans ma moule, je lance mon bassin a sa rencontre, nos bassins claquent, je jouie, je JOUIE !!!!
Ses deux mains sur mes épaules m’empêchent de glisser en arrière à chaque formidable coup de reins, je mords si fort sa langue qu’un goût de sang envahit ma bouche, il ne bronche pas et se contente de me pilonner encore plus fort , soudain des giclées chaude percutent mon utérus , il jouit mais cela ne l’empêche pas de continuer a me labourer comme un damné
Sa queue expulse hors de mon trou son propre sperme mélangé à ma mouille qui coule entre mes fesses
Je subis vingt minutes de ce régime, ma chatte est exsangue, enfin il se boque pour me gratifier d’une deuxième ration de foutre, lentement sa queue ramollie glisse de mon vagin détrempé, telle une anguille je me glisse hors du lit pour enfiler mon maillot et courir a ma chambre
A peine suis-je sous la douche que mon mari arrive inquiet de ne pas me voir revenir à la piscine
– Tu es là chérie ? Je t’ai attendue ! Que se passe t-il ?
– Oui ! Je suis là tout va bien … tu me rejoins ?……
Je l’ai échappée belle ! Il ma baissée sous la douche fraiche un peu étonné de sentir ma moule aussi ACCUEILLANTE …….. Nos chemins se sont dispersés, je n’ai pas revus mon bel allemand.
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