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histoire 7: l’horreur

histoire 7: l’horreur



Puisque ma soeur voulait que je le publie autant le faire en édition intégrale.
Mardi 28 juin. L’année est finie. Gérard et moi décidons de passer la journée à la mer.
Il passe me prendre en voiture. J’ai choisi l’audace pour la journée : j’ai enfilé une robe « filet » brune destinée à la plage. Forcément, elle ne cache rien du bikini rouge que je porte dessous.
Nous démarrons. Gé est manifestement charmé de l’idée de tenue. Nous sommes à peine au bout de l’Avenue Charles Quint, à l’entrée de la E40, qu’il me demande si j’enlèverai le haut sur la plage.
Pour lui répondre, je choisis d’enlever mon soutien. Ses yeux brillent de voir mes tétons se glisser dans les mailles du filet. Il me demande si je me rends compte que la plage peut être loin du parking. Je ne réponds pas autrement que par un petit rire. Nous roulons encore. Une idée me vient. Je lui demande de s’arrêter à la prochaine station pour que je puisse faire pipi. On quitte l’autoroute et stoppons à la pompe. Je sens qu’il se demande si je vais y aller comme ça. Je l’embrasse, profondément. Je lui demande s’il a envie que je le fasse. Ses yeux parlent pour lui. Je lui demande d’aller garer la voiture plus loin quand le plein sera fait, pour que j’aie plus à marcher.
Je descends de voiture. Je me dirige vers les toilettes à l’extérieur de la station. Je croise quelques personnes. C’est délicieux de voir les yeux qui percent le filet.
Je reste un moment aux toilettes. Le temps qu’il fasse le plein et déplace la voiture.
Assise sur la cuvette, je passe les doigts sur ma fente ouverte et trempée. Je reviens vers la porte qui mène à l’extérieur, me penche dehors et je vois qu’il s’est garé le plus loin qu’il pouvait. Donc il aime.
Sans plus réfléchir, j’enlève le bas. Je regarde dans le miroir des lavabos. Insortable.
Je pars vers la voiture. Je n’avais pas imaginé qu’il y avait autant de gens dans les voitures garées. Je remonte le chemin vers la voiture, des paires d’yeux lorgnant sur mon anatomie ainsi dévoilée. Le contraste entre ma peau et ma touffe est saisissant à travers la robe.
J’arrive à la voiture. J’ouvre la portière pour entendre un « t’es folle !!!! ». J’aime beaucoup. Au moment où je m’apprête à m’asseoir, j’ôte ma robe et me glisse sur le siège, nue.
Je l’embrasse. Ma main qui passe sur son pantalon me fait savoir qu’il aime BEAUCOUP.
On démarre. Il me demande d’incliner le siège pour mieux me montrer, de mettre le pied gauche sur le tableau de bord. Chaque fois qu’il dépasse un camion, il ralentit pour que le chauffeur puisse voir. Après le dépassement, il reste un peu devant le camion. Par deux fois, il est sorti sur une aire d’autoroute. Comme je lui demandais pourquoi, il m’a répondu que si un camion faisait la même chose ce serait amusant.
Jusqu’à Jabbeke, ça allait, l’autoroute est à 3 bandes, mais plus tard entre Jabbeke et Nieuport, plus que deux bandes. Chaque fois qu’un camion dépasse, on reste collé derrière lui à portée de vue des autres. Il me fait écarter les grandes lèvres. Je suis obscène.
On arrive à Nieuport. Avant la plage, on a envie de faire l’amour. J’indique un endroit à Gérard.
Près de la base de Lombartsijde, de l’autre côté de la route, il y a deux ou trois hectares de paysage dunaire herbeux, au relief faible mais plein de petits coins calmes. Je lui dis de me laisser 5 minutes d’avance puis de venir me retrouver.
À quelques mètres d’un sentier, je trouve une petite surface sympa. Je mets le drap de bain par terre, enlève ma robe que je vais déposer sur le sentier pour que Gérard me retrouve. Je m’allonge sur le dos, jambes pliées, écartées et j’attends, les yeux fermés.
Gérard arrive. Manifestement l’idée d’être les fesses à l’air lui fait peur. Je lui fais prendre ma place, lui sors son engin et m’empale dessus, le chevauchant. Le terrain est à peine ondulé, je vois le tram passer le long de la route. Un peu calmés, nous repartons.
Arrivés au centre de Nieuport Bains, près de la plage, je remets mon slip. Nous allons sur la plage où je me retrouve seins nus. Gérard m’encourage à me baigner. Je suis la seule à montrer les petits. C’est troublant. Il invente une partie de boules. Je me sens très nue.
À midi, nous partons manger à Nieuport Ville. J’ai un foulard dans la voiture qui pendant de chaque côté du cou cache un peu mon inconvenance. Le personnel a l’air un peu choqué malgré tout.
Nous quittons la côte. À peine dans la voiture, je me retrouve nue, comme au matin. La circulation est dense. Il tire sur mon pied gauche pour m’ouvrir davantage.
Entre Gistel et Westkerke nous restons collés contre un camion Tchèque. Dépassé, nous restons devant. Il fait des appels de phare. Gérard me demande s’il peut sortir à l’aire de Westkerke. Il sort, le camion aussi.
Nous nous retrouvons stationnés l’un derrière l’autre.
Gérard me dis de mettre ma robe et d’y aller. Je ne bouge pas. Quand il me dit que Flo y serait déjà, je suis mortifiée.
J’y vais. Je suis là, debout près de ce gros camion jaune, offerte aux regards à travers ma robe. La portière s’ouvre, le type en descend. Ils sont deux !!!
Avant d’avoir pu dire quelque chose, il me prend par les hanches et m’ide à monter. Ils parlent un anglais de cuisine.
Il remonte, ferme la portière, me trousse comme on dépiaute un lapin et me fait passer sur la couchette. Un désordre et une netteté douteuse.
Ils sont soumis à leur contrôle horaire, c’est évident… Avant d’avoir échangé un mot, il a sorti sa queue et me l’enfonce. Longtemps qu’il est au régime, ça va vite. Le deuxième suit, idem.
À peine fini, ils me font descendre, la robe à peine passée aux épaules.
Je cours à la voiture qui repart. Gérard ne dit rien sauf de me remettre en position. Comme je reste ébahie, il ajoute qu’il y a d’autres parkings.
Je me sens sale, transformée en vide-couilles. Je voulais me soumettre, c’est fait.
Kilomètre après kilomètre je montre mon cul, je me tortille pour mieux montrer mon sexe nu.

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