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Maudit vaudou ! 02

Maudit vaudou !  02



Le musée des curiosités.

Épisode précédant: Paul et Marie produisent une émission de télévision (les chasseurs d’entités) que Marie, ancienne lectrice de nouvelle, considérer comme l’une des 10 femmes les plus sexy du Québec, anime. Après une réunion, Paul a une aventure avec une des recherchistes, une jeune et jolie Haïtienne bien ronde qui porte un étrange collier, un gris-gris pour contre-carré un mauvais sort que son ex lui avait jeté (plus d’appétit sexuel.) Mais pendant leurs ébats sur la table de réunion l’ex-petit ami débarque furieux et jette le même sort au pauvre Paul en plus de lui voler son âme ce qu’il ne prend pas au sérieux. Mais…

La visite.

Comme Miss catastrophe avait mis le feux, par inadvertance bien sûr, à son beau grand loft en bordure du canal Lachine, on avait dû se rabattre sur la maison familiale dont elle avait hérité à la mort de sa mère adoptive le temps que l’endroit soit rénové.
Une magnifique maison victorienne sur trois étages situés au fond d’une impasse dans l’ouest de Montréal sur la montagne. Une grande demeure bien entretenue entourer d’ormes majestueux, de chênes gigantesques avec une superbe clôture en fer forger sur le devant et séparer des voisins par de hauts murs de brique rouge recouverts de lierre grimpant rougit à ce temps ci de l’année.
Un havre de paix à 15 minutes seulement du centre-ville.

Sauf que cette maison avait été transformée en musée par l’arrière grand-père de sa mère Joseph-Armand Lemieux.
Il avait fait fortune dans le transport maritime et c’était trouver une vocation d’aventurier, d’explorateur et de collectionneur. Le musée avait ouvert ses portes au public en 1876, il en coutait à l’époque, 5 sous par personne pour la visite et 10 sous pour la famille.
Il y avait de tout dans les nombreuses pièces de cette maison ; de la tête réduite au faux Sasquach empailler en passant par de vastes collections d’armement primitif, de poterie, de masques funéraire de différentes cultures, d’oeuvre d’art de toute sorte, d’insecte et d’animaux naturaliser. Il y avait même des pièces remplies de squelette de toute sorte et dans un des grand salons, il y avait toute une tribu hommes primitifs en cire occuper à dépecer un pauvre mammouth grandeur nature et sans parler des deux bibliothèques. La famille Lemieux avait toujours refusé de se départir de ses collections et Marie avait bien l’intention de suivre l’exemple.

Mais vivre le dedans c’était un peu épeurant, surtout la nuit. Aller se chercher un verre de lait a deux heures du matin en étant surveillé par un homme de Cro-Magnon et sa petite famille ou un Sasquach grandeur nature, c’était une drôle d’expérience. Mais le jour c’était fabuleux. Je passais des heures dans la grande bibliothèque circulaire de la tour ouest à feuilleter des ouvrages anciens où a simplement exploré la maison de pièce en pièces chacune débordante d’objets fabuleux. Même le sous-sol et le grenier en étaient remplis. Popa tripait, sauf à la cave, là il y avait des araignées gigantesques qui devaient bien bouffé du rat, même du plombier.

Mais depuis quelques jours je m’étais installé, pour travailler en secret à mon roman (Le chevalier Pèlerin) dans l’ancien bureau de l’aïeul tout au sommet de la tour, au dessus de la grande bibliothèque. D’ici, on avait une vue imprenable sur le sommet du Mont-Royal surmonter de sa croix et du centre-ville avec ses gratte-ciels colorer. J’apercevais même le vieux Montréal plus au sud et par temps clair tout l’est de la ville jusqu’au fleuve St-Laurent qui s’écoulait doucement vers Québec.
Marie, elle, avait préféré s’organiser un petit coin dans le grand salon près de l’entrée devant sa télé pour travailler. Cela me permettait de l’admirer tandis qu’elle pianotait le soir sur son ordinateur pour préparer nos émissions.

Heureusement il n’y avait plus de visiteurs depuis des lustres, mais les collections avaient été répertoriées et étaient entretenues par du personnel provenant du musée d’histoire naturelle d’Ottawa.
Mais la mère de Marie avait fait moderniser quelques pièces, dont la cuisine, des chambres, deux salles de bain ainsi que le grand salon double près de l’entrée et aussi, le système de sécurité. Dans un endroit pareil, ça s’imposait. On s’y était donc installé en attendant de regagner notre chez nous, mais j’aurais bien voulue demeurer ici pour de bon, malheureusement ma belle refusait.
Mais popa avait la tête dure !

De retour à la maison, tandis que Marie se douchait là-haut j’en profiter pour épousseter un peut ma collection de DVD ; des Simpson, de Clint Eastwood, de Star Wars et des Charlot entre autres et aussi la tête du pauvre Sasquash juste a côté, que l’équipe de nettoyage avait visiblement oublié quand on sonna à la porte.
Surprise, la belle ma tante Pierrette avec arme et bagage et qui me souriait sous un grand parapluie. Il tombait des cordes et les cordes de novembre sont souvent glaciales.

— Mon petit Paul, ça va ? Demanda telle toute heureuse de me revoir les joues rougies par le froid.

Elle était radieuse avec ses longs cheveux raides d’un roux éclatant qui encadrait son visage maigre aux pommettes saillantes, aux lèvres envoûtantes et aux yeux rieurs. Une sacrée belle femme de 68 ans, une vrai rousse, petite, mince et forte poitrine. Une boule d’énergie qui ne tenait pas en place. Habiller comme elle était, en jeans bleu délaver et veste de cuire noire ajuster a la taille, elle paraissait vingt ans de moins. Une pure merveille qui faisait déjà battre mon petit coeur d’envie.

— Oui et vous Pierrette ? Belle surprise et toute rajeunie en plus, entrée !
— Toujours aussi charmeur toi. Dit-elle en refermant son parapluie pour le jeter dans un grand vase chinois antique avec la même désinvolture que si ce fut une cuve en fer blanc, tandis que je fermais la porte derrière elle.
— Bof ! Fi-je modestement tout en la débarrassant de ses valises et de sa veste pour les ranger.

J’admirer franchement sa poitrine gonflée sous un magnifique chandail rouge a col roulé, cela la fit sourire et…
paf !!!
Une gifle en pleine face qui me fit reculer ahurit en me frottant la joue.

— Outch ! Ma tante !
— Ta pas honte de regarder mes seins comme ça ?
— Non !

Elle éclata de rire en s’approchant et m’enlaça pour me frencher longuement. Sa petite langue pointu semblait bien décider à combattre la mienne et farouchement.
Je bandais déjà, même si je venais de me vider les couilles une heure plutôt, les mains plaquées sur son beau derrière sentant ses seins lourds écraser contre moi, mais que je n’osais palper pour le moment. Elle giflait trop bien la dame.

— Hum, fit-elle en reculant la tête et se léchant les lèvres tout en frottant mon sexe par dessus mes jeans, tu bandes toujours aussi vite toi.

La je penser au mauvais sort vaudou qui visiblement ne fonctionnait pas. Hi ! Hi !

— Je n’ai pas de mérite, quand une beauté pareille vous gifle et vous frenche et votre parfum. Wow !

Ses petits yeux brun vert se plissèrent et un sourire s’épanouit sur sa jolie bouche couverte d’un rouge pâle superbe.

— Mon parfum, il est allemand et de grande renommée ! Cadeaux d’un admirateur, un moine.
— Pardon !

Elle rit amuser de ma surprise.

— Ben quoi Paul, les pauvres moines la bas dans les montagnes, ils fabriquent de la bière, prie, se gèle les couilles et s’ennuie alors… J’en est réchauffé quelques-uns.
— Pourquoi ça ne m’étonne pas ?
— Je ne sais pas. Fit-elle moqueuse. Tu devrais y emmener Marie, ses magnifique la bas, l’Allemagne, la Suisse, le Danemark, et…
— Et les moines. Mais popa ne prend pas l’avion.
— Une croisière c’est très romantique mon beau, surtout pour des nouveaux marier. Hum !

Elle me lâcha et jeta un coup d’oeil aux alentours en repoussant ses longs cheveux derrière ses oreille.

— C’est toujours aussi morbide ici. Cette maison-là me faisait peur quand j’étais jeune et qu’on y venait en visite, surtout quand on devait dormir ici. Je préférais faire pipi dans un pot de chambre la nuit plutôt que de me promener dans les couloirs remplie de bêtes empaillées et de squelettes. Comme ça, vous vous mariez sans m’inviter, dit-elle en me pointant du doigt comme si elle sermonnait un écolier, ce n’est pas gentil ça mon petit Paul. J’étais revenu de voyage pourtant.
— On c’est marier au bout du monde sur un coup de tête ma tante, en Abitibi. Dis-je penaud. Et puis c’était dans le nord alors y faisait froid, des oies sauvages nous on attaquer pendant la réception a l’extérieur et…

Même si elle n’était que la tante par adoption de Marie, je l’appelais ma tante aussi tout naturellement.

— WAIS, WAIS, Marie m’a tout raconté ça, et ben. C’est elle qui se douche là-haut j’imagine ? Demanda telle en regardant le grand escalier droit rempli de babiole. Il y en avait sur chaque marche le long de la rampe ; des statuettes incas, toltèques, olmèques, des bonzaïs, des pots remplis d’ossement d’animaux, quelques crânes humains, des bouquins, des pierres graver, etc. Sans parler des nombreux tableaux accrocher aux murs. Les ancêtres et des paysages de Montréal du 18e et 19e siècle. Des huiles, des sérigraphies et des aquarelles, certaines de peintre renommé et une de moi que j’avais placé en catimini.
— Et oui c’est ma douce. Confirmai-je.
— Je vais la rejoindre, dit-elle en grimpant déjà les marches rapidement, cette pluie m’a glacer les os. On se voit tantôt, mon beau Paul.

Elle, Marie et moi baisions ensemble depuis que l’on se connaissait. Pierrette était bi avec une préférence pour les femmes, Marie bi avec une préférence pour les hommes et moi… j’en profitais.
Popa allait dormir bien au chaud cette nuit entre deux belles rousses. Yes !
Tête penchée j’admirer son beau cul bien moulé dans les jeans et qui sursautait tandis quelle grimpait là-haut. Ma maudite vertèbre craqua, l’axis, celle que je m’étais fracturée en camping un an plus tôt. Je continuer mon petit ménage l’esprit ailleur en me frottant la nuque, je ne pensais qu’a monté les rejoindre, mais je voulais leur laisser un peut de temps ensemble. Décidément, me dis-je déjà excité, le sort vaudou ne fonctionnait vraiment pas.

30 minutes plus tard, j’allais monter, impatient, quand j’entendis mon téléphone.
« Make my day, make my day, make… » J’avais la mauvaise habitude de le laisser n’import ou. Merde !
Je tourner sur moi-même plusieurs fois et le vit finalement dans la main de monsieur Cro-Magnon accoler à un mur au milieu du long passage qui séparait la maison en deux le long des escaliers. Le pauvre homme avait été placé là temporairement, séparer de sa famille parce qu’une équipe d’ouvrier restaurait une partie de l’autre grand salon du côté est de la maison.
Je lui enlever mon portable pour le remplacer par mon enlève poussière magnétique.
J’ouvris ma petite merveille de téléphone, personne anonyme.

— Oui !
— Monsieur Lemieux ?

Une belle voix de femme profonde et douce.
Je soupirer quand même, tout le monde m’appelait comme ça depuis que je sortais avec Marie. Mon nom de famille était Tremblay, mais comme Marie était une personnalité connut… J’avais fini par renoncer à corriger les gens même si l’on s’était marié récemment.

— Oui !
— Bonsoir, je suis Nathalie Normando la propriétaire de la maison Delorme.
— Bonsoir !
— Désoler, mais j’ai commis une petite erreur de date, j’avais déjà accordé la permission à une équipe de cinéma d’aller là-bas cette fin de semaine. Ils tournent un film de peur, mais d’un autre coté ils seraient intéressés a faire tourner Mme Lemieux dans le film si cela l’intéresse, sinon vous pouriez vous y rendre un autre weekend a votre convenance, mais avant l’hiver.
— Pourquoi pas la semaine ? Demandai-je.
— Parce que je travaille monsieur la semaine.
— Eh… !

Gros soupir.

— Mme Lemieux ne vous a pas expliqué que les assurances m’obligent à être là quand il y a des visiteurs que j’ai autorisés ?
— Ah… Non, mais je comprends.

Je réfléchis que quelques secondes avant de lui dire qu’on irait quand même cette fin de semaine.
Marie rêvait depuis toujours de jouer dans un film et elle était maniaque de films d’horreur, je savais quelle allait sauter de joie. Je ne comprenais pas qu’une intellectuelle comme elle puisse aimer autant ce genre de film, tous pareil pour moi. Le monstre tue des gens et les gens tuent le monstre. Fin !

Je raccrocher et filer la haut pour sauter sous la douche avec les belles rousses et annoncer la nouvelle a ma bombe, mais elles avaient déjà terminé. Il y avait tellement de vapeur dans la salle de bain qu’une colonie de Jack l’Éventreur aurait pu s’y cacher facilement.
Mes bronches complètement déboucher j’allais à notre chambre juste a côté, mais je me buter a une porte barrée. J’y frapper énergiquement très excité. Marie !!! Marie !!!

— Quoi ? Entendis-je suivit de petit rire coquin.
— Popa veut entrer !
— Non popa entre pas. C’est une soirée de fille.

Mon sourire s’effaça.
Encore des rires.

— Mais… Marie, j’ai une grande nouvelle.
— Revient dans une heure Paul.
— Non deux. Fit Pierrette et encore des rires étouffés.

Merde !

Je gratter à la porte timidement en une ultime tentative pour me faire ouvrir. Mais je n’entendis que des murmures, puis plus rien. Tant pis !
Gros soupir de déception en redescendant au salon. Je décider d’écouter un bon film pour passé le temps sur l’écran géant de Marie, si géant qu’il occultait carrément les six fenêtres a carreaux en demie cercle qui donnait sur le devant de la maison. Le téléviseur avait un peu brûlé dans un coin, mais il fonctionnait toujours.
J’opter pour une bonne vielle comédie avec Peter Sellers. « La souris qui rugissait. » Ça, c’était du cinéma.
Yes !
Je m’installer donc confortablement sur l’immense sofa de cuir noir avec du pop-corn et une bière de micro-brasserie et démarrer le DVD. Mais j’écoutais le film distraitement en repensant aux belles rondeurs chocolat de Tahina et surtout à Marie et Pierrette se savonnant mutuellement là-haut, se caressant et…
encore une érection.

Mais au milieu du film je me mis à bâiller de fatigue… à cligner des yeux… et…

Maudit vaudou ! ! !

— Paul… Paul… You houe !
Une bonne odeur de café Arabica me ramena à la vie. J’ouvris les yeux et grimacer, il faisait jour et j’aperçus Marie en pyjama de garçon, ce quelle portait toujours pour dormir, agenouillé devant moi et qui me tendait une tasse fumante. La voir fait toujours battre mon petit coeur habituellement, mais la, rien. La fatigue sans doute.
Je pris la tasse brûlante en me redressant tant bien que mal en clignant des yeux l’esprit embrouiller me rappelant vaguement un cauchemar absurde. J’était enfermer dans une bouteille avec Jenny, mais une Jenny zombie et nue qui me courrait après et ont tournaient sans cesse en rond tandis que quelqu’un riait. Et ben.
Je m’étais endormi sur le sofa devant la télé, j’étais courbaturé et j’avais un mini-torticolis.
Le haut de pyjama de Marie était déboutonné jusqu’au nombril ce qui, normalement, m’aurais fait bander automatiquement, mais la, rien non plus.
Même au réveil, les cheveux tout croches et sans maquillage, elle était d’une beauté stupéfiante. Elle ramena ses cheveux derrière ses oreilles et dit avec sa voix unique, un peut rocailleuse :

— Désoler Paul, on ses endormies aussi ma tante et moi, un peut pas mal épuiser faut l’avouer. Pis cette bonne nouvelle ces quoi ?

J’ouvris la bouche pour répondre, mais Pierrette arriva de la cuisine, café à la main avec juste un long t-shirt blanc sur le dos et ses gros seins qui roulait près du nombril les pointes bien tendu. Elle se laissa tomber lourdement a coté de moi en croisant ses jambes superbes tout en disant :

— Bonjour, mon petit Paul qui bandes tout le temps. Pauvre toi, tu t’es endormi devant la télé tout seul comme un petit chien abandonné ? C’est la faute à Marie, elle m’a épuisé. Bien dormi ?

Je voulus répondre encore, mais :

— Pis la nouvelle. Insista ma blonde.
— Laisse le se réveillé Marie tabarnouche. Dit-elle en me frottant l’entrejambe sans détour tout en décroisant les cuisses. Son t-shirt était si remonté que j’apercevais sa toison rousse.

Petit Jésus ! Mais toujours pas d’érection. Je pris une grosse gorgée de café complètement paniquer. J’ai toujours et depuis toujours, eu des érections matinales presque douloureuses et la… rien.
Marie soupira en se levant pour s’asseoir à ma droite et croisa bras et jambes. Ses pantoufles roses à long poil me firent mal aux yeux et ses seins généreux sortirent quasiment du pyjama. J’apercevais même un de ses magnifiques mamelons brun pâle. Bien des hommes auraient vendu leurs âmes au diable pour être à ma place présentement. Il y avait des tas de vidéo d’elle sur YouTube se penchant en décolleté ou des extraits de bulletin de nouvelle qu’elle animait autrefois ou elle était particulièrement sexy. Mais ces décolletés n’étaient jamais très plongeants, Marie était très prude, c’était une grande timide ma blonde.

— Bon, yé réveiller la, pis ? Fit-elle amuser en secouant les épaules faisant remuer sa poitrine que je fixais toujours. Ses seins lourds et tout blanc s’entrechoquèrent joliment, mais cela me laissa de marbre.
— Ben non, objecta Pierrette, regarde ses yeux son tous vitreux.
— Ça, c’est à cause de ta main Pierrette.
— Tu penses ?

Elle l’enleva et rajouta :

— Regarde ma grande, ça reste vitreux.

Là, elles rirent un bon moment puis Marie m’agrippa solidement par le col de chemise et me frencha avant de me dire :

— Tu parles où tu meurs mon petit coeur.

Je cligner des yeux et lui annoncer la nouvelle sur le même ton que le gars qui lisait les avis de décès le soir à la télé quand j’étais jeune. Comme prévu elle sauta de joie au milieu du salon en imitant un joueur de hockey qui vient de marquer son premier but de la saison, mais au printemps. Un de ses seins magnifiques sortit du pyjama, wow, mais toujours pas d’érection.

— Maudit vaudou. Murmurai-je avant de prendre encore du café. Tout me revenait tout à coup.
— Quoi ? Demanda Pierrette en croisant à nouveau les jambes. Le rouge sur ses ongles d’orteils me fit cligner des yeux.
— Popa bande pu !
— Ben oui ! Confirma Pierrette en me tâtant le paquet comme il faut. C’est la fatigue Paul, ce n’est pas grave voyons.
— Plutôt la belle Tahina hum ! Fit Marie en fermant la télé qui était restée allumée toute la nuit puis se rassoyant et replaçant son sein dans le pyjama négligemment. Elle t’a épuisé hier ?
— Maudit vaudou ! Répétai-je me sentant vraiment bizarre.
— Cé qui Tahina ? Demanda Pierrette vivement intéresser, Marie lui raconta.
— Ah ! Fit-elle. Une Haïtienne, ces pour ça qui parle de vaudou, faudra me la présenter. Une petite friandise au chocolat, cela me ferait le plus grand bien. Déjà baisé avec une Noire Marie ? Elles sont superbes.

Marie me tâta le paquet à son tour le sourire aux lèvres sans répondre à sa tante.

— Et ben, cé rare ça, c’est même du jamais vu.
— Jamais ? Fit Pierrette étonner.
— Jamais ma tante.
— Tu devrais lui acheter du Viagra Marie, y as passé 50 ans ton beau Paul, ces l’âge. Ça ne peut pas nuire de toute façon, au contraire.

Marie riait.

— Maudit vaudou ! Répétai-je me sentant vider de toute substance. J’avais l’impression de flotter entre deux mondes.

Elles se regardèrent avant d’éclater de rire et je leur raconter le petit épisode d’hier dans la salle de réunion sur un ton a faire bailler d’ennuie le club des optimistes.
Marie me regarda, main sur la bouche, retenant un gros fou rire. Pierrette aussi. Puis ma blonde dit :

— Y as qu’a toi que ça arrive des choses comme ça Paul.
— Non ! Affirma Pierrette.
— Comment ça non ?
— Tu ne te rappelles pas ton vendeur de balayeuses ma grande ?
— Hein ! Non !
— Ben oui, celui qui tripait sur les shamanes et…
— OK ! OK ! Ça vient de me revenir.
— Non, mais c’était spécial son affaire avec les baguettes de noyer et…
— Pierrette… La coupa Marie sur un ton qui n’admettait aucune réplique.

La tante sourit en buvant du café tout en levant une main pour lui faire comprendre qu’elle avait bien compris le message.

— Bon, on va se doucher, dit ma blonde en se levant, tu viens Paul ?
— Pas envie !

Elles se regardèrent vraiment étonner. Marie plissa les yeux, se mordilla une lèvre puis enleva son haut de pyjama en souriant, leva les bras et secoua les épaules comme une danseuse de Baladi. Ses seins lourds et superbes en furent drôlement secoués. Mais aucune réaction de ma part. Je pris juste une autre gorgée de café en clignant des yeux comme un automate.

— Et ben ! Fit Pierrette sérieuse comme un croc-mort. Là c’est grave. Amène-le chez le docteur au plus vite.
— J’y vais avec Tahina cet après-midi, chez le docteur vaudou. Précisai-je.
Encore des rires.
— Je peux venir ? Demanda Pierrette les yeux vicieux. J’aime ça le vaudou.
— Oui ! Dis-je platement.
— Bon, fit Marie en renfilant son haut de pyjama les joues rougies, mais sans le boutonner, vous irez vous amuser après-midi, moi je vais me renseigner sur ce film d’horreur ; qui le réalise, le scénario, les producteurs, etc. Mais là, on monte Pierrette, j’ai un rendez-vous dans une heure.

Mais la tante me regardait l’air vraiment navré.

— Si on l’emmenait ma grande, peut être qu’à force de le frotter ça se réveillerait son affaire, pauvre Paul qui bande put.
À nouveau des rires.

— OK, décida Marie en m’enlevant mon café pour le poser sur la table du salon et me prendre par le bras en me forçant à me lever, aller viens monsieur vaudou. On va s’occuper de ton cas.
— Tu vas voir mon Paul, fit Pierrette en posant sa tasse a son tour pour me prendre l’autre bras et m’entraîner toutes les deux vers les escaliers, t’auras pas besoin de gris-gris pour bander avec nous, hein Marie ?
— Ça ses sûrs ! Sinon, je m’appelle put Marie Lemieux.
— WAIS, fit Pierrette, ça vas venir raide ton affaire comme un… eh… aide moi Marie.
— Ben oui… un… un pilier de pont.

Il y eut un silence et ce fut le fou rire en grimpant les marches.

— Un pilier de pont ! S’exclama Pierrette les larmes aux yeux, seigneur Marie.
— Ben quoi, je sais pas moi, je n’écris pas de porno. Un manche de vadrouille cé tu correct ?
— C’est plus raisonnable.

Encore des rires et Marie glissa sur une marche, perdit l’équilibre et dévala les escaliers sur le ventre jusqu’en bas suivit de quelques statuettes, plusieurs livres et une petite hermine naturalisés quelle avait accroché au passage. Elle en avait quasiment perdu son haut de pyjama.
Je la regarder l’esprit vide réalisant que je n’avais même pas essayer de la ratt****r.

— Ça vas ma grande, rien de cassé ? Demanda Pierrette pas vraiment inquiète trop habituer à ces petites chutes quasi quotidiennes.

On entendit des jurons à faire rougir le gars qui fouettait les esclaves à la belle époque des galères romaine.

— Outch ! Mes boules sacrement. Fit-elle finalement en roulant sur le dos péniblement tout en se massant les seins puis un tibia.
— On t’attend dans la douche ma belle, vient Paul.
— Maudite pantoufle ! Cria ma blonde en s’en débarrassant.

La douche

— Vas falloir te trouver un nouveau nom Marie. Il n’y a rien à faire.
— On dirait ben.

Elles eurent beau se frotter toutes les deux contre moi et de toutes les manières possibles ; me caresser, se caresser en se savonnant, me sucer ensemble sous le jet d’eau, mais… rien à faire, mon petit gris-gris refusa de monter même quand Pierrette, plier en deux devant moi, réussit a le glisser dans son sexe. Marie m’avait alors agrippé par les hanches pour me pousser du bassin pour que je baise Pierrette. Mon sexe s’étira, mais refusa de bander. Décourager elle avait fini par renoncer.

— Carole, WAIS, ta une tête de Carole ma grande ou de Lili, dit Pierrette en se savonnant la poitrine puis le ventre, WAIS, Lili Lemieux, ça sonne bien.
— Ça fait danseuse nue Pierrette.

Marie se lavait les cheveux et commença à se déhancher sous le jet d’eau, imitant une effeuilleuse en nous regardant tout sourire et… elle dérapa en s’accrochant à nous paniquer. On se retrouva tous sur le cul bras et jambe entremêler en geignant de douleur.

— Maudit que tes dangereuses. Lâcha Pierrette sous moi.
— Ma noune. Se plaignit Marie, ses longs cheveux roux plaquer sur le visage en enlevant mon genou d’entre ses longues cuisses pour se prendre le sexe à deux mains, compressant sa belle toison pubienne d’un noir corbeau.

J’avais le nez entre les seins glissants de savon de la tante et ça ne me faisait absolument rien.
On se releva péniblement en grimaçant tous les trois.

— Ouf ! Lâcha Marie le dos appuyer dans un coin les mains toujours entre ses cuisses.

Ma belle grande bombe avait des ecchymoses sur les seins, les genoux et un tibia. C’était toujours comme ça avec elle, partout où elle pouvait, elle trébuchait.

— Je vais te soigner ça, fit Pierrette en se mettant à genoux devant elle. Elle lui écarta les mains et commença a lui manger le sexe à grand coup de langue, Marie projeta son bassin vers l’avant les yeux révulser et à demi fermer en écartant les genoux. Je les regardais comme j’aurais regardé un bon documentaire sur la possibilité qu’il y est de la vie sur mars et en japonais en plus et sous-titrer en allemand.

Gros soupir.

Décourager, je sortis de la douche en me frottant les fesses douloureuses, m’essuyer, mis des vêtements propres comme un zombie et aller végéter devant la télé. Je n’avais même pas le goût de déjeuner.
Plus tard Marie descendit en catastrophe et en retard pour son rendez-vous. Elle prit quand même le temps de caler son grand verre de lait de poule aux fraises quotidien avant de me donner un baiser sucré et de filer rapidement.

Je regarder le canal découverte jusqu’a midi seul dans la maison avec Pierrette qui passa un temps fou dans ça pièce préférer. Celle où était entreposée une collection de phallus et d’objets de toute sorte conçus pour les petits plaisirs sexuels provenant d’un peut partout sur la planète.
Elle finit par me rejoindre, alanguie, les joues rouges avec un drôle de sourire et on se prépara pour se rendre à mon rendez-vous après avoir mangé, sans appétit, une petite salade grecque.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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