Auteur : Oldtimesfriend
Aurélie est une belle femme, 38 ans, épanouie dans sa vie professionnelle et personnelle, mariée depuis 10 ans à Paul, architecte quadra, reconnu et apprécié pour ses compétences.
Ils forment aux yeux des tiers le couple modèle, lui est physiquement attirant, mais éloigné des canons de beauté des mecs de magazine…un mec de 40 ans qui aime bien la vie, leurs enfants sont beaux, brillants et équilibrés, un beau train de vie…bref, Aurélie a tout pour être heureuse.
Toutefois, de récents évènements ont marqué sa vie et elle sent en elle le vent du changement se lever…est-ce l’approche de la quarantaine ? L’envie de mieux vivre les choses, de profiter différemment de la vie ?
En réalité, c’est l’arrivée d’Antoine dans sa vie qui la perturbe.
Aurélie a une amie, Sophie, de son âge mais sentimentalement peu stable, la bonne copine qu’on aime consoler dans les mauvais moments, la bonne copine que l’on envie parfois, mais dont on sait qu’elle aimerait échanger sa place avec celle d’Aurélie.
Sophie avait fait la connaissance d’Antoine quelques mois plus tôt au cours d’une soirée.
Antoine,32 ans, rentier, sans réelle autre activité que de profiter de la vie, n’a jamais eu besoin de travailler, récemment séparé, beau, grand, un corps d’athlète.
Rapidement, lui et Sophie sont devenus amants, sex friend comme se plaisait à dire Sophie, qui ne se gênait pas pour raconter à Aurélie, comme il était beau, fort, doux, tendre et attentionné…surtout, un soir, un peu éméchée, Sophie avait confié à Aurélie que son jeune et fougueux amant était en plus particulièrement pourvu par la nature…
Aurélie avait l’habitude de l’enthousiasme régulier de Sophie sur ses nouvelles conquêtes, et jusqu’à présent, elle se contentait d’écouter ses histoires plutôt amusée, mais depuis quelques temps, sa relation avec Paul s’était affadie, le temps faisant malheureusement son œuvre, leurs relations sexuelles jusque-là très régulières et passionnées, étaient devenues plus pépères, moins fougueuses…donc, c’est avec une écoute nouvelle qu’elle évoquait avec Sophie les joies de l’amour passion, du sexe libre.
Et puis, Aurélie savait que son mari avait parfois des aventures par ci par là. Au nom de son bien-être et de sa famille, elle fermait les yeux, car elle se doutait bien que ces histoires n’allaient pas bien loin, et que son mari avait certainement besoin de se rassurer parfois sur sa virilité…mais depuis quelques temps, elle ressentait également le besoin de changement, de nouveauté, elle se sentait éprise d’un nouveau sentiment, qu’elle n’avait pas ressenti depuis le début de son histoire avec Paul.
Les enfants ont grandi, la mère a laissé à nouveau la place à la jeune femme, et Aurélie se prenait parfois à une certaine nostalgie de sa jeunesse, quand elle plaisait à tous les hommes, quand elle passait de l’un à l’autre, profitant de la vie et des plaisirs du sexe.
L’amour avait tout emporté avec Paul et elle s’était de bonne grâce rangée à sa vie d’épouse et de mère, estimant avoir assez profité de la vie.
Maintenant que la flamme de Paul s’était un peu éteinte, maintenant que les premiers effets du vieillissement apparaissaient discrètement, elle ressentait vaguement le besoin de voir la vie un peu différemment…et se disait que finalement, si l’occasion devait se présenter, peut-être se laisserait elle aller à séduire…elle se rendait compte également que ses souvenirs sexuels étaient cantonnés à Paul, pourtant elle avait connu d’autres amants que Paul, plus virils, plus endurants que lui, mais lui l’avait transformée par sa douceur, elle avait été touchée par sa délicatesse sexuelle et parfois son manque de confiance en lui qui le rendait très touchant, et, amoureuse, les choses étaient allées ainsi.
Elle ne manquait de rien, argent, sentiments, sexe, mais ressentait simplement le besoin de retrouver des sensations passées.
Les récits enflammés et dénués de toute pudeur de Sophie sur sa relation avec Antoine l’avaient émoustillée, au point qu’elle acceptât un jour de printemps, de le rencontrer avec Sophie, qui voulait manifestement exhiber à sa copine son bel étalon.
Aurélie fut d’emblée fascinée par la beauté et le charme naturel d’Antoine qui était en tout point conforme à la description de Sophie, Elle garde toutefois un souvenir mitigé de cette rencontre, tant il paraissait évident qu’Antoine ne plaçait pas sur le même plan sa relation avec Sophie, qu’elle le faisait !
Elle avait également remarqué qu’Antoine la regardait beaucoup, et elle n’était pas restée insensible aux discrètes allusions du jeune homme sur son physique.
Un soir, au cours d’une soirée de filles, Sophie rejoint une soirée salsa où Aurélie était seule avec d’autres amies communes, accompagnée d’Antoine (besoin encore d’exhiber à ses copines son trophée !). L’ambiance était bonne et décontractée, Antoine était très à l’aise avec cette assemblée de filles, toutes attentionnées pour ce beau jeune homme…Aurélie restait quelque peu en retrait mais sentait le regard d‘Antoine régulièrement fixé sur elle, au point qu’elle fut même un peu mal à l’aise vis-à-vis de Sophie, qui de toute façon ne voyait rien.
Elle consentit toutefois à danser un peu avec lui et l’alcool aidant, se lâcha également plus qu’à l’accoutumée, il y avait tellement de bruit et de monde qui faisait tout et n’importe quoi qu’elle se laissât entraîner dans le flot ambiant…
Non seulement Antoine était beau et musclé, mais il dansait de surcroît comme un dieu. Aurélie était aux anges, frustrée de ce que Paul détestait tout ça…elle dansa donc longtemps avec Antoine, et d’autres, Antoine la récupérant toutefois régulièrement….à la fin de la soirée, Aurélie se surprit à danser lascivement avec Antoine, collé serré et à en ressentir beaucoup de satisfaction pour ne pas dire plus, il lui a même semble à quelques reprises que le jeune homme n’était pas insensible à la danse, et qu’effectivement Sophie n’avait pas menti sur les dimensions exceptionnelles de l’apollon.
Les jours suivants, Aurélie eu beaucoup de mal à oublier cette soirée, elle s’était même masturbée seule à plusieurs reprises en fantasmant sur le corps d’Antoine…
Fatalement, Antoine a vite largué Sophie, pour qui cette rupture fut la fin du Monde. Aurélie fut alors très présente auprès de son amie, et finit par accepter de tenter de convaincre par téléphone Antoine de recoller les morceaux avec Sophie. Elle savait qu’elle devait refuser, mais ce fut plus fort qu’elle, elle accepta de l’appeler, inconsciemment heureuse de revoir le jeune homme.
Bien évidemment, Antoine ne voulut rien entendre sur Sophie, et n’hésitait pas à provoquer Aurélie en lui disant clairement qu’il savait qu’elle voulait le revoir. Malgré ses protestations de forme, elle finit par accepter de revoir Antoine, le lendemain, dans un café discret de la ville. Ce fut pour elle un moment divin, Antoine tentait de la séduire par tous les moyens et Aurélie, telle une jeune fille, se laissait docilement captiver par le rentre-dedans du jeune homme.
Durant quelques semaines, ils se téléphonèrent, échangèrent des mails au contenu de moins en moins amical, mais de plus en plus enflammé…Aurélie aimait ce jeu de séduction, aimait se sentir désirée, aimait la compagnie de cet homme qu’elle trouvait de plus en plus séduisant.
Elle aimait cette clandestinité, elle se sentait revivre son adolescence à éprouver les premiers émois, et puis, tout le monde y trouvait son compte, Paul la trouvait plus détendue, plus épanouie, elle se livrait plus facilement à des jeux sexuels, mais dans sa tête, c’est avec Antoine qu’elle jouissait, c’est à lui qu’elle pensait dans ces moments-là, elle parvenait même grâce au concours involontaire de son mari, à s’imaginer pleinement avec Antoine, lorsque son mari sortait le soir le gros gode caché dans l’armoire afin de le suppléer…Paul souffrait d’un complexe par rapport à la taille de son sexe et aimait, sans que Aurélie ne sache ou ne cherche à comprendre pourquoi, se servir de ce gode surdimensionné avec sa femme, qui n’y trouvait rien à redire, car elle devait avouer, sans jamais le reconnaître, que cette grosse tige de plastique lui procurait, dans le contexte, un plaisir différent.
Elle n’avait jamais véritablement accordé d’importance à la taille sexuelle de ses amants, et avait même gardé le mauvais souvenir d’un amant très membré, mais très brutal, qui pensait que le simple fait d’avoir une grosse bite suffisait à faire jouir toutes les femmes…… Antoine cumulait en fait tous l’attirail du parfait fantasme conscient ou inconscient de cette jeune belle femme de 38 ans.
De jours en jours, la relation virtuelle avec Antoine devenait plus présente, plus pressante, il était maintenant clair au début de cet été chaud, qu’un jour ou l’autre, le virtuel allait devenir réalité.
Un jour, Antoine, mit un ultimatum à Aurélie, il ne supportait plus le virtuel, et voulait la revoir chez lui. Antoine avait hérité de la belle demeure de ses parents, dans le beau quartier de la ville et y vivait seul. Sophie avait tant décrit cette maison et cette chambre (et ce qu’il s’y passait) qu’Aurélie connaissait déjà la disposition du salon, de la chambre…
Aurélie, après quelques temps de réflexion, consciente de ce que ce nouveau pas dans cette relation pouvait chambouler sa vie, accepta formellement l’invitation, mais expliqua qu’il fallait jongler avec son mari, qu’elle ne voulait absolument pas blesser.
Paul lui répondit alors par sms « …« ok…demain 15 h…je suis chaud bouillant…j’ai hâte de te revoir enfin !! »…Aurélie avait entré le numéro de son futur amant sous le nom de Val et prenait soin d’effacer systématiquement toute trace d’Antoine, suspectant son mari d’inspecter peut-être parfois son téléphone…il vaut mieux être prudente !!
Voilà, c’était fait, demain, elle allait franchir le pas, elle le savait et elle le voulait.
Elle accueillit donc son mari ce soir-là de bonne humeur et ils passèrent une bonne soirée.
Paul avait oublié ses cigarettes et était subitement reparti en acheter, il fut même bien long à la réflexion, mais la soirée se déroula sans histoire, Paul avait même eu la bonne idée de se coucher très tôt, puisqu’il devait se rendre dans une ville voisine toute la journée du lendemain pour une difficulté de dernière minute sur un gros chantier.
Si même le destin s’en mêle, s’était-elle dit alors….en plus, dans son enthousiasme de son rendez-vous du lendemain, elle avait oublié d’effacer le message de « Val », ce qu’elle fit adroitement durant l’absence de Paul.
Le lendemain, Paul partit de très bonne heure, avant même qu’elle se soit levée, ce qui n’était pas habituel, mais Aurélie se sentait bien trop excitée, à tous les sens du terme, pour y accorder la moindre importance.
A l’idée de son après-midi, elle s’était longuement caressée dans son lit le matin en imaginant tout et n’importe quoi sur ce qui allait se passer….elle se sentait belle, confiante, énergique et était bien décidée à vivre pleinement cette aventure extra conjugale, certainement unique dans son esprit.
Elle enfila rapidement sa petite robe rouge, celle qui énervait tous les hommes, et surtout son mari, oubliant volontairement toute espèce de dessous, incompatibles avec cette tenue.
Elle quitte la maison à 14 heures 45, téléphone rapidement à sa mère afin qu’elle récupère les enfants si ses courses devaient durer plus que prévu….et monte dans sa voiture direction le bel Antoine.
Elle ne décroche pas son téléphone quand Paul essaie de la joindre, elle n’en a pas envie, et après tout, il est parti depuis ce matin sans dire bonjour, donc il attendra, de toutes façons, son esprit est déjà ailleurs.
Elle trouve sans difficulté la belle demeure d’Antoine, sonne à la porte, et avant de rentrer, jette un coup d’œil en arrière, trahissant ainsi sa posture de femme adultère.
Antoine l’accueille dans une tenue très décontractée, un short, une chemisette laissant deviner son torse parfait, pieds nus. Il fait très chaud…
Aurélie se sent subitement décontenancée par cette intimité, cette grande et vaste maison, Antoine ressent son malaise, s’approche d’elle et sans un mot lui prend la tête et l’embrasse tendrement, Aurélie sent sa bouche répondre instinctivement, et une vague de chaleur emplit son corps au contact de cette bouche qui, en plus, l’embrasse divinement bien, il sent bon, il a bon goût…
Antoine lui propose un café, elle répond oui instinctivement, mais ce n’est pas de ça dont elle a envie, ce premier baiser à fait ressurgir l’a****l sexuel qui sommeille en elle depuis bien longtemps, et elle se sent déjà toute mouillée à l’idée de ce qui va arriver.
Antoine revient, pose les cafés sur la table, s’assoit à côté d’Aurélie, après deux ou trois banalités d’usage, Aurélie, se sentant comme possédée le regarde et lui dit « on s’en fout de tout ça, tu ne m’as pas demandé de venir pour parler de la météo…. ».
Prenant cela à juste titre pour une invitation, Antoine lui prend la main et silencieusement l’emmène avec lui vers la chambre, au fond de la pièce.
Silencieusement, Aurélie emboite le pas du jeune homme, elle se laisse guider vers cet immense lit, tout blanc, tiré d’un magazine, comme elle les affectionne.
Antoine l’enlace, elle sent le corps puisant du jeune homme se coller au sien, elle se sent toute petite, toute frêle dans ses bras puissants de son amant, elle sent qu’Antoine est déjà très excité et se surprend encore à mouiller encore plus au contact de la verge d’Antoine qu’elle sent palpiter contre son ventre, une verge qui lui paraît encore plus impressionnante que lors de leur première danse.
Les deux amants se laissent glisser sur le lit, la bouche d’Antoine envahit celle d’Aurélie qui apprécie particulièrement ces baisers fougueux, les mains d’Antoine parcourent son corps sans s’arrêter, pas un millimètre de ce corps n’est pas touché par Antoine.
Il lui murmure qu’elle est douce, qu’il aime sa bouche, elle lui répond, elle d’ordinaire muette dans ces moments, que lui aussi, qu’elle a très envie de lui depuis leur première rencontre.
Aurélie fait face à Antoine, ils sont à genoux, elle regarde cet homme sans pudeur aucune, Paul est très loin d’elle, elle se sent libre et pleine d’envie, ses mains touchent ce corps puissant et nouveau, Antoine l’embrasse tendrement mais fougueusement, elle sent cette langue très douce se mêler à la sienne, elle aime son goût, elle aime ses mains qui la font frissonner de plaisir.
Elle profite également de la vue très érotique de ce couple hyper sexy qu’elle forme avec Antoine qui se reflète dans le grand miroir placé devant le lit et qui excitait également terriblement Sophie, dans ces récits.
Elle ne pense plus à rien d’autre qu’à son plaisir, pas à son amie, pas à son mari, pas à la situation, elle vit pleinement ce fantasme vivant, cette ambiance érotique à l’extrême de cette grande maison, de cette chambre baignée de soleil.
Elle d’habitude si réservée se surprenait à aimer ce grand jour, à aimer regarder le visage, le corps de son amant sans aucun filtre de lumière tamisée ou ambiance nocturne.
Nous étions en plein après-midi et elle allait vivre un intense moment de bonheur sexuel et rien d’autre ne comptait à ce moment que de profiter intensément de chaque seconde de ce moment unique.
Aurélie maintient fermement la tête de son amant contre elle, elle passe ses mains dans ses soyeux cheveux bouclés, elle sent les mains de son amant se promener sur son corps, faisant connaissance avec cette peau brulante, elle sent le plaisir monter en elle, et se laisse aller à gémir doucement sous les caresses d’Antoine.
Celui-ci devient plus précis, sa bouche s’approche régulièrement de la poitrine haletante d’Aurélie, Antoine lui caresse les seins sur la robe, sa bouche lèche ses tétons sur le tissu et ce contact bouleverse Aurélie, qui bascule sa tête en arrière offrant à Antoine la possibilité de faire glisser les bretelles de la robe et de révéler les deux seins d’Aurélie, tétons dressés, offerts à la bouche d’Antoine.
Cette bouche lèche, suce, mordille les tétons surexcités d’Aurélie qui sent monter encore en elle le plaisir, elle gémit de plus en bruyamment, elle sent instinctivement son bas-ventre se rapprocher de celui de son jeune amant.
La main d’Antoine caresse dans le même temps la cuisse d’Aurélie, la main remonte, frôle l’entrecuisse, repart, revient, se fait plus précise, Antoine passe maintenant sa main sur le sexe d’Aurélie, celui-ci doit se rendre compte qu’Aurélie est toute mouillée.
Aurélie se sent toute liquide, de mémoire, elle ne se souvient pas avoir été aussi excitée, bestialement excitée, son ventre est en feu, elle a envie de se sentir prise possédée par cet homme si fort.
La sensation de cette main qui la caresse différemment de ce à quoi elle est habituée l’électrise, elle aime cette caresse, elle sent le chaud envahir tout son bas ventre et remonter jusque dans sa tête, elle a chaud, elle se sent humide, brûlante.
Aurélie sent qu’Antoine veut l’allonger, elle se laisse faire par cet homme expérimenté qui répond instinctivement et d’avance à toutes ses envies, elle se laisse glisser sur le lit, s’abandonnant aux baisers et aux caresses subtiles de son partenaire. Elle le regarde, ils se sourient, elle est captivée par la beauté du visage du jeune homme, par ces traits, elle le trouve encore plus beau excité.
Allongée lascivement sur ce lit, elle sent la main d’Antoine se reposer entre ses cuisses, il la caresse doucement, elle sent sa main toucher son sexe, ses cuisses s’écartent d’elles-mêmes, la main caresse son clitoris doucement, délicatement, la chaleur redouble d’intensité, Aurélie s’entend gémir, minauder…la caresse fait rapidement venir l’orgasme qui gronde dans le ventre d’Aurélie, elle se crispe, sa main est serré sur le short d’Antoine qui accentue encore sa caresse, Aurélie perd tout contrôle d’elle, son bassin se relève, recherche la main lorsqu’elle pense qu’elle s’écarte de sa peau, son corps est tendu vers l’homme qui lui donne un plaisir rare.
Dans le miroir, elle aime se voir, les cuisses écartées, la robe roulée autour de ses hanches, elle voit les doigts d’Antoine lovés entre ses grandes lèvres, les écarter, les resserrer….cette vision génère chez elle une nouvelle sensation, jamais, ou très peu, expérimentée, auparavant, les images sexuelles ne l’avaient jamais particulièrement excité, mais la vue, comme extérieure, de son sexe livré à cet homme, renforçait encore son plaisir.
Sans qu’elle ne sut pourquoi, elle s’entend encourager son amant, manifestement par des « oui », des « encore » son envie.
Une dernière caresse, plus appuyée, provoqua la crispation tant recherchée par Aurélie, le premier orgasme, violent, bref qui n’a pas éteint l’excitation d’Aurélie, mais qui au contraire l’a décuplé.
Aurélie ressent subitement l’envie de profiter du corps de son amant, son esprit se braque sur l’envie qu’elle ressent de le toucher de découvrir enfin ce sexe, objet de tous ses fantasmes depuis des semaines.
Le rythme s’accélère, Aurélie se redresse, retire maladroitement la chemisette d’Antoine, dévoilant son torse parfait, imberbe, puissant musclé, viril…elle embrasse goulument le corps de son amant qui n’a pas cessé sa caresse, le clitoris d’Aurélie est devenu presqu’insensible, tant la jouissance est discontinue.
Elle le dévore, elle le mord, elle sent Antoine réagir fortement à ces stimulations.
Aurélie pose sa main sur le sexe d’Antoine, elle est surprise par la taille de celui-ci qui lui paraît au travers du short, long, large, dur…ce contact la stimule plus encore.
Elle retourne son amant et le place à présent à sa merci, elle le surplombe, elle le regarde, son regard est vitreux, le visage d’Aurélie est déformée par un rictus la rendant encore plus belles, ses cheveux sont en bataille, dans un état second, elle se sent puissante, elle embrasse encore son amant et guette sur son visage de les signes de plaisir.
Antoine a repris sa caresse entre les cuisses d’Aurélie, cette nouvelle position donne une nouvelle dimension au plaisir d’Aurélie, d’autant qu’Antoine glisse à présent un de ses doigts à l’intérieur d’Aurélie.
Aurélie sent son doigt s’insérer en elle, il glisse et coulisse parfaitement, elle se sent chaude, elle sent son humidité glisser sur la peau de son amant, elle ressent intensément tous les contacts, elle cherche encore plus de profondeur de pénétration, sans qu’elle ne contrôle quoique ce soit, son bassin va instinctivement à la rencontre de ce doigt qui la transperce, elle ne peut retenir un cri de plaisir.
Le rythme respiratoire de son partenaire s’est accéléré, la main d’Aurélie tente d’enserrer le sexe d’Antoine qu’elle peut difficilement contenir. Elle sent les pulsations de ce sexe gonflé qui lui parait croitre encore sous la caresse.
Maladroitement elle retire le bermuda d’Antoine et contemple maintenant, enfin, le membre viril de son partenaire, un membre superbe, pense-t-elle, doux, fier, qui lui touche le nombril , elle le regarde fascinée, captivée, pour la première fois de sa vie, elle matérialise vraiment le sexe de l’homme comme objet de plaisir…avant, son plaisir sexuel était plus global, moins porno, c’est le terme qui lui traverse rapidement l’esprit à ce moment-là…
Elle prend délicatement le sexe d’Antoine en main, elle le caresse doucement, elle veut montrer à son partenaire que c’est elle qui contrôle maintenant, elle ressent l’incontrôlable envie de faire jouir cet homme, de le tenir à sa merci, ces moments où la femme se sent vraiment en pouvoir.
Aurélie contemple son partenaire, elle le branle doucement, prenant visiblement plaisir à jouer avec les sensations de cet amant si beau, si doux…elle le regarde vivre son plaisir, abandonné, elle se regarde furtivement dans la glace et se trouve belle, dominant son mâle, tenant en sa main un sexe entièrement dédié à elle.
« tu es beau…j’ai envie de te donner du plaisir…j’aime ta queue… » sans s’en rendre compte, Aurélie venait de penser tout haut, Antoine l’embrasse encore, d’un baiser d’une sensualité rare, en réponse, Aurélie accélère le mouvement de va-et-vient sur le sexe d’Antoine.
Elle aime branler cet homme, elle aime sentir les vibrations de ce sexe dans sa main, elle aime sa chaleur, sa douceur, sa grosseur….
Sans le quitter des yeux, Aurélie penche sa tête vers son objet de désir, sa langue titille le gros gland du jeune homme, elle se sent prise d’une envie de sucer son amant, elle a toujours aimé ça…la sensation est étrange pour Aurélie, elle a du mal à appliquer ce qu’elle sait que les hommes aiment, elle a du mal à prendre en bouche ce sexe, elle aime son goût sucré-salé, elle aime ressentir en elle le mouvements de ce sexe dans sa bouche.
Aurélie accentue sa pression, elle accentue sa succion, elle s’applique de tout son cœur à sucer sa friandise, elle l’aspire, elle ressort, reprend sa masturbation des deux mains, fascinée par la taille hors norme de l’engin, ses mouvements lui paraissent infiniment longs.
Elle sent venir la jouissance de son amant qui semble manifestement apprécier son œuvre ; plus il respire fort et gémit, plus elle accélère son mouvement, plus elle appuie ce gland si soyeux contre son palais, elle sent rapidement la jouissance de son amant car son sexe a changé de gout, il s’est encore durci.
Juste avant le point de non-retour, Aurélie arrête sa caresse et reprend sa contemplation de son partenaire. …. « j’ai envie de toi en moi, j’ai envie de te sentir tout en moi…. » lui dit-elle, encore toute étonnée de son audace verbale.
Il est vrai qu’elle n’a qu’une envie maintenant, se sentir possédée par ce corps inconnu, sentir ce sexe s’enfoncer doucement en elle… Anticipant à nouveau son attente, Antoine, tout aussi surexcité, l’embrasse à nouveau et reprend le contrôle des opérations. Lentement, précautionneusement, Antoine bascule Aurélie avec une souple aisance, la repositionne sur le dos, et insinue son corps massif entre les cuisses ouvertes d’Aurélie.
…. « va doucement….je n’ai pas l’habitude de… »…Aurélie veut pleinement vivre ce moment, et croit devoir avertir son amant de sa crainte face à l’étonnante dimension de l’engin. Elle n’entend pas sa réponse, elle sent le gland puissant de son partenaire se présenter devant elle, habilement Antoine frotte son sexe contre celui d’Aurélie, qui instinctivement se sent à nouveau littéralement inondée afin de faciliter la pénétration à venir.
Elle écarte naturellement ses cuisses au plus large, son sexe semble appeler cette queue durcie, elle l’attend, elle l’accueille en elle. Tout en l’embrassant, Antoine presse son sexe contre celui d’Aurélie, elle sent la chaleur et la dureté de ce membre l’envahir doucement, ses lèvres s’écartent, elle sent chaque centimètres dilater son intérieur dans une incroyablement douce et agréable sensation de brûlure…elle se sent subitement totalement envahie et perd le contrôle, sa tête explose littéralement à chaque avancée de ce membre en elle, il lui semble que cette lente pénétration ne s’arrête pas, elle découvre ces nouvelles sensations avec une jouissance extrême…Antoine s’applique à faire entrer délicatement toute sa longueur en Aurélie, qui suffoque presque sous le choc, ses muscles se contractent, elle sent son vagin enserrer aussi fort que possible l’intrus, elle croit ressentir le battement du sang dans la verge gonflée contre ses parois vaginales tendues à l’extrême, la sensation est intense.
Lorsqu’Antoine entame un long mouvement de recul, la sensation augmente encore, et lorsqu’Antoine reprend son avancée, il lui semble qu’à chaque fois, il va de plus en plus loin.
Elle n’entend même plus ses râles rauques, elle, toujours dans la retenue, ne contrôle plus ses sens, sans pudeur aucune, elle gémit son plaisir et accompagne en hoquetant les butées croissantes du sexe d’Antoine dans les tréfonds de son intimité. Elle s’accroche à lui, tient ses fesses si dures avec ses mains comme pour le maintenir en elle, elle remonte ses cuisses afin d’enserrer les hanches de son amant, il lui semble que la pénétration s’accentue encore, comme s’il n’y avait plus de limite…plus il s’enfonce en elle, plus elle le veut encore plus loin…
Antoine est entré dans la phase bestiale de son coït, il s’enfonce de plus en plus fort, de plus en plus loin, il gémit également ponctuant ses coups de reins d’un cri viril, Aurélie, hors d’elle, s’accroche au dos de son amant, le griffe, et plus elle enfonce ses doigts dans la peau de l’homme, plus il déchaîne ses coups de reins…
« oui, oh oui, c’est bon, encore… »…. « baise-moi fort, oui c’est bon, j’aime ta queue, je te sens bien…encore, plus fort… »…Aurélie, au bord du plus terrible orgasme de sa vie, perd encore le peu de pudeur et de retenue qu’elle avait encore, elle se sent défoncée, écartelée, tout son esprit est concentrée sur les 20 cm de chair qui la pénètre sans cesse depuis de longues minutes.
Elle se sent jouir et le crie à son amant, l’orgasme la saisit violemment, tordant son corps de violentes contraction, Antoine continue son travail de mâle et insiste à continuer de la pénétrer malgré le plaisir, ses coups de reins deviennent insoutenables pour Aurélie, à la limite de la perte de connaissance.
… « encore, je vais jouir…ouui », Aurélie est transpercée, transportée par la v******e de l’orgasme qu’elle ressent en elle…et Antoine continue de la baiser violemment, sourd à l’orgasme de sa partenaire, sur-motivé par le plaisir visible d’Aurélie…
… « attends » souffle t’elle… « laisse-moi reprendre mon souffle », Aurélie n’en peut plus, son sexe est en feu, elle demande grâce. Antoine reprend alors contact avec la réalité, et ralentit son fatal va-et-vient…
« j’aime te faire jouir, c’est si bon de faire l’amour avec toi, j’ai encore envie de te donner du plaisir… » ce sont les mots que distinguent à peine Aurélie lorsqu’Antoine délicatement la fait se mettre sur le ventre…
Aurélie sent son corps tressauter, elle a le cerveau embrumée, elle ressent un plaisir d’une intensité jusqu’à présent inconnue, elle se sent hors d’elle-même, tout son corps, son sexe, son esprit sont tournés et dédiées au plaisir que lui procure son fantastique partenaire.
Allongée sur le ventre, elle profite docilement des douces caresses d’Antoine » qui parcourt son dos et ses fesses avec ses lèvres. Aurélie sent le désir la reprendre à nouveau, Antoine mord ses fesses et elle sent, sans qu’elle ne puisse contrôler quoique ce soit ses fesses se lever, irrémédiablement attirées par Antoine, elle sent sa bouche s’insinuer entre ses cuisses derrière elle, instinctivement elle se redresse à quatre pattes sans prendre réellement conscience de l’indécence de sa posture, ce dont elle se fiche royalement à ce moment-là.
Antoine insinue sa langue dans la fente d’Aurélie qui gémit de nouveau de plus belle, elle sent sa langue entrer en elle, elle se sent mouiller encore plus, elle sent sa bouche se crisper sur son clitoris et très rapidement, un troisième orgasme, encore plus intense, la foudroie à nouveau.
Aurélie perd encore le contrôle de son corps et ne s’étonne même plus de s’entendre réclamer à son amant qu’il la pénètre encore.
« Viens encore en moi » supplie–t-elle « je veux te sentir jouir en moi », elle veut maintenant profiter à fond de la jouissance de son amant, comme pour le récompenser de ses efforts, elle est obsédée par l’idée de le sentir se crisper en elle, l’envie de le sentir jouir en elle, de sentir les jets saccadés s’écraser en elle, se le sentir s’écouler au plus profond d’elle-même…
Sans se faire plus prier, Antoine se redresse et enfonce brutalement son sexe dans la chatte trempée d’Aurélie, qui peine à réprimer un vrai cri de jouissance, à nouveau envahie par Antoine, qui reprend un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide, derrière Aurélie à quatre pattes, totalement offerte à son amant.
Aurélie sent le membre la pénétrer à nouveau, et ressent encore mieux du fait de la position toute la largeur et la longueur d’Antoine…elle ne sent même plus le plaisir, il lui semble que son orgasme est devenu permanent, elle n’attend que de sentir son étalon enfin jouir en elle
Après quelques minutes de ce traitement, elle ressent encore le corps de son amant se raidir, ses cris à lui deviennent plus rauques, ses mouvements plus brutaux, plus saccadés.
Soudain, Antoine se bloque et libère de longs traits de son propre plaisir, fiché au fond du sexe d’Aurélie qui accompagne la jouissance d’Antoine d’une nouvelle contraction vaginale qui lui fit ressentir pleinement la façon dont son amant jouit en elle.
Elle reste immobile durant de longues minutes, sentant le sexe d’Antoine perdre de sa vigueur, elle ressent le doux plaisir de la sève de l’homme glisser de son sexe et se répandre entre ses cuisses.
Antoine la caresse doucement, donnant à son plaisir une dimension plus tendre et romantique. Elle s’endort presque lorsque son amant se lève et lui propose un verre d’eau qu’elle accepte.
Le retour à la réalité est très dur, car elle pense subitement à son mari, à la difficulté qu’elle aura à refaire, peut-être dès ce soir, l’amour avec lui.
Elle est prise d’un petit fou rire, lorsqu’elle voit Antoine manquer de tomber en sortant de la chambre, il avait glissé sur quelque chose d’humide, par terre, à l’entrée de la chambre !
Ils passent encore de longues minutes à, discuter et Aurélie prend finalement congé, confrontée à la réalité de la vraie vie.
Il s’embrassent tendrement devant la porte, Antoine lui dit qu’il avait passé un moment fantastique, Aurélie n’ose pas lui avouer sa réciprocité, qu’Antoine ne pouvait qu’avoir deviné.
Ils conviennent de se revoir très vite, et c’est la tête dans mes nuages qu’Aurélie repart vers sa vraie vie
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