Ce n’était pas la première fois que je couchais avec une stagiaire, mais Alice fut un cas très à part.
Agée de 21 ans, étudiante, elle voulait devenir journaliste. C’est moi qui avais reçu sa lettre de motivation et son CV où figurait une photo d’identité. Je l’avais trouvée charmante.
Elle a passé un mois complet avec moi, au bureau mais aussi à me suivre partout dans la région afin de découvrir les ficelles du métier. Nous avons donc eu tout le loisir de discuter et de faire connaissance. Elle avait commencé son stage depuis un peu moins d’une semaine quand on a couché ensemble. C’était chez moi, un soir, à la suite de l’inauguration d’une exposition sur laquelle je devais écrire un article.
Et Alice n’a pas attendu bien longtemps pour me dire que ce n’était pas la première fois qu’elle couchait avec un homme mûr.
J’avais 43 ans. J’étais célibataire, je n’avais pas d’enfants et je vivais dans un grand appartement bourré de livres et de DVD. Alice s’y sentait bien et nous avons continué de nous voir après la fin de son stage. Deux ou trois fois par semaine, elle venait et on buvait des verres en discutant et en écoutant de la musique. On baisait et elle repartait le lendemain matin, mais il nous est souvent arrivé de passer des week-ends complets ensemble.
Sur son rapport aux hommes mûrs, Alice m’expliqua deux choses qui, selon elle, avaient été déterminantes :
1. Elle n’avait pas connu son père.
2. Elle avait eu une relation avec un prof de Lettres à la retraite, qui lui avait donné des cours quand elle était au lycée.
Ensuite, elle avait fait en sorte d’en rencontrer d’autres, en partie grâce à des sites internet. Il lui arrivait de coucher avec des garçons de son âge, mais rarement. Elle n’y trouvait pas son compte.
Je voyais donc souvent Alice, et j’aimais énormément m’envoyer en l’air avec elle, mais je savais que le reste du temps elle pouvait rencontrer d’autres hommes. Je l’acceptais tout à fait, d’autant que je n’avais pas l’intention de passer le restant de mes jours avec une fille de son âge. Non seulement je l’acceptais, mais ça ne me déplaisait pas. Il n’était pas rare que je demande à Alice de me raconter ses expériences. Et elle le faisait avec plaisir.
Elle m’expliqua notamment que sur Internet, elle n’avait aucune peine à trouver des hommes mûrs. Il lui suffisait de se connecter aux dialogues en direct de sites de rencontres pour recevoir des dizaines de messages en quelques minutes. Elle avait l’embarras du choix.
Elle n’avait qu’à en sélectionner un, et, soit elle se mettait toute nue devant sa webcam, soit elle rejoignait l’homme dans un endroit convenu, en ville, dans un bar ou directement chez lui.
J’aimais sa façon de me conter ses histoires. Les mots qu’elle employait pour le faire et les images qu’ils généraient dans mon esprit.
Je me souviens de ces phrases, par exemple :
« J’ai adoré prendre un bain moussant avec un homme qui voulait qu’on fasse comme si j’étais sa nièce. »
Ou :
« Un vieux monsieur m’a proposé qu’on fasse du naturisme ensemble, au bord d’un lac, dimanche prochain. »
Ou encore :
« J’ai sucé un homme marié dans les toilettes d’un restaurant. »
Il n’était pas rare que je demande à Alice de me raconter ses périples pendant qu’on baisait. Ses paroles et la nature de ses aventures me donnaient des érections incroyables, et il n’était pas rare non plus que j’éjacule avant qu’elle ait fini de me raconter certaines scènes qu’elle avait vécues.
Il n’y avait ni possession, ni jalousie entre elle et moi.
Alice était une friandise à mes yeux, dans tous les sens du terme. Dans le sens affectif, mais aussi dans le sens charnel, car je raffolais de son corps, qui était très mince, ainsi que du goût de sa petite chatte et de son anus qui étaient mi-salés, mi-sucrés.
Ses petits seins pointus, n’en parlons pas, je les aurais croqués…
Le jeu de la nièce, nous l’avons également fait ensemble.
Nous avons même fait le jeu de la fille et du père, tout comme celui de la belle-fille et du beau-père.
Nous avons aussi joué à la voisine qui vient frapper à ma porte, ainsi qu’à la fille qui fait de l’autostop en mini-short au bord d’une route de campagne.
Nous avons joué tout un tas de rôles ensemble, et il m’est même arrivé de regarder Alice s’exhiber en webcam devant des hommes, chez moi.
Jusqu’à ce qu’on évoque l’hypothèse de le faire en vrai.
D’arrêter de simuler.
C’est elle qui me l’a proposé. On était en train de baiser dans mon lit et elle m’a dit comme ça :
« Tu m’offrirais en vrai à un homme plus âgé que toi ? »
Je me suis aussitôt retiré de sa chatte pour éjaculer sur son ventre, mais juste avant j’ai eu le temps de lui répondre :
« On le fait quand tu veux. »
…/…
A suivre…
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