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Déchéance… en route pour l’en

Déchéance… en route pour l’en



Chap. I – Capture

Aline se réveille…
Elle ressent un mal de tête épouvantable, elle évite de bouger, elle pense putain, j’ai du prendre une de ces murges, hier soir… elle se rappelle être entrée dans la broîte de nuit, avoir dansé, puis avoir fait la connaissance de Ben, avoir flirté, puis plus rien…
Elle essaie d’allumer sa lampe de chevet… rien… elle n’est pas chez elle…
C’est quoi ce truc, elle passe la main, une chaine entoure sa taille…
Son ventre et son anus la brûle, elle passe une main et se rend compte qu’ils ont été rasé…
Aline hurle… Ben… Ben… c’est pas drôle, au secours, sort moi de là…
Une porte se déverrouille, la lumière éclaire la pièce, un homme entre, il porte une cagoule, il est vêtu de cuir, une cravache est passée dans sa ceinture…
Aline le regarde éberluée, regarde autour d’elle, elle doit être dans une cave, dans une maison ancienne, le plafond est en voûte anglaise…, dans un coin une table, une chaise, des toilettes et une cabine de douche…
Ben… tu fais chier, ce genre de fantasme je ne l’ai pas, ce que j’aime c’est faire l’amour avec un beau mec… détache-moi et nous n’en parlerons plus…
L’homme la regarde, et soudain, violemment lui cingle le corps à la cravache, Aline hurle… arrête espèce de taré… malade… pauvre type…, mais qui êtes-vous ? Vous n’êtes pas Ben ?
Non… Ben est nôtre rabatteur, nôtre appât et toi la victime…
Tu es maintenant entre nos mains… tu vas voir que la vie est bien faite, tu vas suivre une formation professionnelle, je suis en quelque sorte ton conseiller d’orientation… et vais être désormais ton maître de stage, d’ailleurs c’est le nom que tu devras me donner désormais : « Maître »… compris salope…
Pov taré, je t’emmerde, pour qui tu te prends, je te préviens si tu ne me relâche pas tout de suite, ça va aller mal, allez bouge connard… maître…, n’importe quoi, pauvre cloche, gros mytho…
Du caractère… grossière… tu démarre mal… t’as pas vraiment compris, l’éducation, il n’y a que ça de vrai…
L’homme s’approche de la couche sur laquelle Aline est allongée, elle essaie de lui donner des coups de pied en visant le bas ventre, de lui cracher dessus, il esquive assez facilement, la cravache s’abat à nouveau, Aline hurle, pleure…
L’homme sort de la pièce et revient en poussant une table roulante, Aline le voit prendre des bracelets en cuir, assez larges et épais, reliés par une chaine d’une dizaine de centimètres…
Aie… pédé… tu me fais mal…
L’homme vient de la retourner sur le ventre, un genoux bloque ses reins, l’empêche de bouger, il lui tord un bras, passe le bracelet, le ferme, l’autre bras est traité pareillement, Aline a les deux mains attachées dans le dos…
L’homme la retourne, prend la cravache, cingle la poitrine, le ventre, les cuisses, Aline hurle…
Maintenant je vais t’attacher les jambes, essaie de me donner un coup de pied ou de te débattre et tu comprendras…, il y a des méthodes radicales pour calmer les révoltées…
Aline se laisse attacher les chevilles…
L’homme passe un collier de chien autour de son cou, le serre, accroche une laisse à un anneau, il détache la chaîne qui la maintenait attachée à sa couche, cependant la chaîne qui entoure sa taille est toujours en place…
Aline une fois debout, essaie de se débattre, une série de coups sur ses seins et son ventre, la plie en deux, en larmes, hurlant de douleur…
Fumier… Aie… Salaud… Aie… Malade… Aie… Gros Taré… Aie… Aie… pitié… Aie… pardon Maître… excusez-moi Maître…
A genoux salope, Aline obéit, l’homme lui empoigne les cheveux, l’immobilise, une grêle de coups de cravache s’abat sur sa poitrine, elle voit avec horreur des marques apparaître sur ses seins…
On ne sait pas dire, Merci ?
Merci… Maître… sanglote Aline…, l’homme l’aide à se relever…
Une main caresse sa poitrine, son ventre, ses fesses, tu vois que tu comprends vite… suis moi… esclave…
Ils parcourent un couloir sur une trentaine de mètres, Aline marche comme elle peut, ses chevilles entravées, la gênent, ils entrent dans une pièce, une estrade trois hommes sont assis, dans un coin quatre hommes cagoulés sont à quatre pattes…
Aline est poussée sur une bascule : 67 kilos annonce l’homme…
Aline est désormais immobilisée, bras et jambes écartés, attachés à des anneaux…
L’homme qui est au centre de l’estrade prend une fiche et lit :
Notre nouvelle recrue, voyons, voyons !
Aline Mercier, 24 ans, blonde naturelle, yeux bleus, jolis yeux d’ailleurs,
Célibataire, vis seule, a rompu avec sa famille.
Pas de travail stable, multiplie les CDD.
Études arrêtées en seconde à 17 ans, t’avais redoublé ?
A quitté le domicile parental, car son beau-père avec l’accord de sa mère, (une belle nature la maman il faut le noter), voulait se la sauter, nôtre bonne Aline a déposé une main courante au commissariat à ce sujet.
Une sœur, sœur mariée qui a rompu avec la famille, à cause de beau-papa, qui l’avait initiée à coups de beignes, sans que maman y trouve à redire.
Maman se fait sauter par tous les copains de son compagnon, ce brave garçon adore voir sa femme se faire enfiler, en fait, il adore la prostituer.
A vécu et logé chez des copains en échange de ses faveurs.
Depuis huit mois, habite seule un studio, pas de petit ami connu.
Travail intermittent en Intérim, CDD, caissière, ouvrière, femme de ménage…
De mœurs libres, à certains moments de sa vie, était à la limite de la prostitution, une pute, quel régal…
Physiquement, 1 m 70, 67 kg, c’est trop, nous allons te faire maigrir… la poitrine…, voyons… voyons, volumineuse, assez ferme, beaux mamelons, aréoles bien dessinées, quasi parfaite… donc c’est du, Maître Pierre, s’il vous plaît ?
(Aline réfléchit à toute vitesse, c’est incroyable, ces hommes savent tout de ma vie… mais qui sont-ils?)
Je dirais 95 D ou 100 A, attendez, l’homme prend un soutien-gorge, le met à Aline, 100 A, ça nage un peu, voyons le 95 D, comme vous pouvez le voir, impeccable…
Bien nous disons donc 95 D.
Des marques, avez-vous eu un soucis Pierre ?
Une incompréhension vite dissipée dirons-nous…
Un peu de ventre, normal, du poids en excès, des fesses trop grasses, un début de culotte de cheval, manque d’exercice, nous allons y remédier, tu as une vie trop sédentaire Aline, ce n’est pas bien !
Les orifices, Maître Pierre, s’il vous plaît ?
Aline a un sursaut, un coup de cravache sur ses fesses et ses seins, la calme, le doigt de l’homme est dans son sexe, sexe ouvert, très humide, malgré sa situation, notre amie doit avoir des tendances exhibitionnistes, car elle mouille, l’anus, voyons, n’offre pas une grande résistance malgré l’absence de lubrification, nous pouvons en déduire un usage intense et répétitif de cette voie…
Messieurs, si vous le permettez…
Le Maître s’agenouille devant Aline, écarte les lèvres de son sexe, insinue sa langue, mordille le clito, Aline sent une boule s’emparer de son ventre, les doigts maintenant s’agitent dans son vagin, elle sent son plaisir monter, elle essaie de le refréner, échoue, fini par jouir en haletant…
Comme vous avez pu le constater, l’excitation, la jouissance de cette esclave sont faciles à obtenir…
Bien nous allons te montrer un petit film… au cas où !
Que tu saches ce qui t’attend… si… si tu décides de prendre des initiatives malencontreuses…
Aline voit une femme agenouillée, bras attachés dans le dos, un homme se fait pratiquer une fellation, la femme mord, l’homme hurle… (Maître Pierre est derrière elle, il a attrapé ses tétons, les triturent durement, Aline essaie de ne pas broncher, elle a compris que si elle réagi ce sera pire…).
Un coup de taser, la femme est par terre, des mains ouvrent sa mâchoire, insèrent un écarteur, un gros plan est fait sur le sexe de l’homme, on y voit une profonde morsure.
Un homme emmène le blessé.
La femme est attachée sur une chaise, bras et pieds ne peuvent bouger, sa poitrine et son ventre sont cannés à intervalles réguliers, la femme gémit de douleur.
L’homme blessé, revient, un pansement autour de son sexe, l’homme qui l’avait accompagné, annonce,
6 points de suture quand même…
Toi, salope tu vas comprendre…
L’homme au pénis recousu, prend une paire de pince, il rentre les pinces dans la bouche, un hurlement dément de la femme, il vient de lui arracher une dent à vif, un flot de sang jaillit de la bouche maintenue ouverte par l’écarteur, la pince s’approche une nouvelle fois de la bouche, un nouveau hurlement, une deuxième dent vient d’être arrachée…
L’homme prend une sorte de pic à glace, tire sur un mamelon, tend un sein, implacablement plante le pic dans le sein, traverse le sein de part en part de haut en bas, à la moitié du sein en épaisseur, la femme hurle, procède de même avec l’autre sein, nouveau hurlement, l’homme enlève l’écarteur, prend les deux pics plantés dans la poitrine, leur fait faire un quart de tour, la femme hurle et s’évanouit…
L’homme prend alors des aiguilles et froidement les enfonce sous les ongles de la femme, elle se réanime en hurlant…
Quelques instants plus tard, à genoux, libre de ses mouvements, elle pratique à nouveau une fellation sur un nouvel homme, du sang coule de sa bouche et de ses ongles, elle conclut la fellation et remercie l’homme de l’avoir ainsi honorée, du sang mélangé au sperme coule par terre, sur un ordre, elle se couche et lèche le dallage souillé.
Aline entend une voix prononcer : ce type de comportement est intolérable, votre punition, pendue par les seins, aiguilles avec poids dans les seins et la chatte, 50 coups de canne… attachez-là
Lorsque la punition est terminée, la femme n’a plus la force de hurler, son dos, ses fesses, sa poitrine, son ventre, ses cuisses ne sont qu’une plaie sanguinolente…
Tu vois ce qui arrive, si on se révolte… tu vas sucer les quatre chiens, et bien les sucer, tu t’enfonceras bien leur bite dans ta bouche de pute, compris esclave…
(Des dingues…. je suis tombée chez des dingues… des fous furieux…) Oui Maître…
Pour que tu sois réellement convaincue, démonstration !
Aline pleure, hurle, une volée de coups de cane arrive sur son cul, ses cuisses, son ventre, ses seins, elle hurle, pleure, douleur, humiliation.
Aline attachée sur un chevalet, sanglote, ses chevilles sont attachées aux pieds du chevalet, son ventre repose sur une poutre recouverte de cuir, ses mains sont libres.
Sur un claquement de doigt, deux « chiens » se lèvent, mains derrière la tête, il se positionnent devant le Maître, stupéfaite Aline voit que leur sexe est contenu dans une cage métallique qui épouse la forme du sexe, le Maître insère une clef, ouvre un cadenas, les deux « chiens », enlèvent la cage.
L’un des deux, s’avance devant elle, elle ouvre sa bouche, il introduit son sexe, Aline suce, s’applique, elle se sait bonne suceuse, l’autre lui lèche l’anus et le sexe, elle sent à nouveau son ventre prendre feu, elle ne doit pas se laisser déconcentrer et s’applique à faire la fellation… tout faire, tout accepter, pour éviter les coups.
Aline entouré la taille de l’homme avec ses bras, il lui empoigne la tête, elle cherche entre les fesses de l’homme, empoigne et caresse les bourses, enfonce deux doigts dans l’anus débusqué, l’homme grogne, quelques minutes plus tard il se vide dans la bouche d’Aline, comme elle en a reçu l’ordre, elle avale peu à peu, montrant à chaque fois le sperme qui envahit sa bouche, lorsqu’elle a tout avalé, elle nettoie soigneusement avec sa langue et ses lèvres le sexe englué de sperme…
Les doigts dans le cul et la main qui branle les bourses, on voit que tu as de la pratique, un bon point pour toi, t’es vraiment une salope douée… esclave…
Un autre a pris place, le premier est passé derrière elle, lui lèche le sexe, le cul, puis une douleur Aline comprend, elle est sodomisée, elle continue de sucer et de doigter le cul du « chien » qui s’occupe de sa bouche.
Les quatre « chiens » se sont succédé dans sa bouche et son cul, Aline a joui deux fois sous les langues, elle a envie de vomir et mal au cul…
Bien Messieurs, nous n’avons pas affaire à une oie blanche, autant de temps gagné…
L’homme enfile un gant en latex, il pulvérise un produit dessus, Aline sursaute, hurle, l’homme lui rentre une main dans le cul, il force la main entre entièrement jusqu’au poignet…
De son autre main, il branle le bouton d’Aline, ses doigts écartent les lèvres, il caresse, excite, au bout de quelques minutes Aline halète et gémis elle vient de jouir d’un viol, alors qu’elle est attachée avec une main enfoncée dans son cul…
De la très très grosse salope…, t’es un vrai phénomène toi…, faite pour le viol… tu vas aller te doucher, nous allons te violer à tour de rôle, enfin essayer de te violer…, rigole l’homme…
Aline s’est douchée, elle est allongée sur un lit, des mains caressent son ventre, ses seins, s’insinuent dans son sexe, son cul, elle est offerte et malgré elle, elle s’offre, prête à tout, un des hommes le lui fait remarquer, Aline doit en convenir il a raison…
Elle est épuisée, elle a joui avec les quatre hommes, elle s’en veut, elle se battrait, elle a joui alors qu’on la violait… ils ont raison, elle est vraiment une salope, comme le lui a dit un homme, une véritable pute… naturellement pute…, elle pleure de cette révélation…
Elle est ramenée dans sa cellule, elle remarque sur la table un plateau avec de la nourriture et des bouteilles d’eau…
C’est sûr, je vais maigrir… le plateau contient dans des assiettes quelques tranches de tomate, de la salade, une tranche de pain, une tranche de jambon, un yaourt… j’ai une faim moi, je boufferai la table et là quasi rien à becter…
Aline s’est endormie, une main la secoue…
Debout, c’est comme à l’armée…, visite médicale, perception du paquetage…équipement… l’homme s’en va.
Aline répond à la femme qui l’interroge, elle est examinée, palpée…, prise de sang… une véritable visite médicale.
Elle suit l’homme dans le couloir, toujours en laisse…
Allongée sur une table, attachée, immobilisée par des sangles autour du torse et du ventre, jambes et bras écartés Aline regarde dans la glace qui occupe le plafond de la pièce.
Maître Pierre et un autre homme, mesurent, discutent… elle est palpée, pénétrée, tripotée comme un morceau de bidoche pense-t-elle…
Des points au crayon, elle voit avec horreur Maître Pierre prendre une pince, pincer un de ses mamelons, approcher avec une grosse aiguille, une douleur, le mamelon est traversé, un barbel, un anneau, à l’autre sein…
Elle voit horrifiée, n’osant hurler, une aiguille se rapprocher de son nez, une douleur, un anneau vient d’être fixé à sa cloison nasale…
Son clitoris est dégagé, une pince le saisit, une aiguille, barbel, nouvel anneau…
Quatre anneaux supplémentaires sont ajoutés aux lèvres de son sexe…
Une pulvérisation, un coup de compresse, le sang qui avait suinté disparaît, Maître Pierre vérifie que les anneaux coulissent, nouvelles douleurs…
Elle est attachée, taille, torse, jambes et bras liés entre deux poteaux, avec horreur, toujours dans une glace (ce sont vraiment des sadiques, de grands malades, ils ont positionné des glaces pour qu’elle se voit marquée, le paquetage comme dit l’autre taré…) elle voit Maître Pierre faire chauffer un fer avec un chalumeau, lorsqu’il estime la température adéquate, il applique le fer sur le sexe d’Aline, une odeur de chair brûlée, elle est marquée, il remet le fer à chauffer, à nouveau douleur, brûlure, hurlement, la fesse droite est marquée elle aussi… 3 lettres entrecroisées « DBC ».
Pulvérisation, compresse, pansement, un verre d’eau et un comprimé sont tendus, Aline avale le comprimé avec de l’eau, elle est détachée, ramenée dans sa cellule…
Maître Pierre se déshabille, la sodomise sans précaution, lorsqu’il a éjaculé dans son cul, lui fait nettoyer sa bite avec la bouche…
L’effet du cachet, le désespoir Aline s’endort…

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