Ces faits datent du tout début des années 70, j’ai 23 ans.
Avec mon mari nous envisageons de faire construire un pavillon dans un nouveau lotissement situé dans la ville ou nous résidons.
Pour cela il nous faut trouver le prêt bancaire le plus avantageux possible.
A cette époque Les employeurs paient encore assez souvent leur personnel en espèces, les comptes bancaires ne sont pas encore généralisés.
Un samedi matin avec mon mari nous discutons avec une première banque avec mon mari.
Comme il est souvent en déplacement il me charge de contacter les banques de la ville qui sont au nombre de quatre et de voir ce qu’elles peuvent nous proposer.
Je le fais en me basant sur ce qui a été négocié avec la première banque et en suivant les directives de mon mari qui est très pointilleux je prends beaucoup de notes, je leur demande de me détailler par écrit leurs propositions de prêt.
Au bout de deux semaines nous avons un tableau précis de ce que nous pouvons obtenir et je peux comparer la qualité d’accueil qui m’a été réservée. Mon chéri est très content de moi et me félicite.
Je suis chargée d’ouvrir un compte dans l’établissement choisi et je suis reçue (comme lorsque je suis venue les solliciter pour le prêt immobilier) dans son bureau par le responsable un bel homme blond charmant et aimable, élégamment vêtu, de taille moyenne ayant la quarantaine qui ne me déplaît pas.
A cette époque c’est encore une petite agence bancaire qui comprend trois personnes (une femme et deux hommes).
Comme je sers d’intermédiaire pour mon mari, je commence à bien connaître les lieux et le personnel avec tous les aller-retour que je fais à la banque pour apporter des documents, donner ou demander des renseignements.
Et si le responsable me plait bien je m’aperçois vite qu’il apprécie tout autant de me voir et qu’il ne laisse à personne d’autre le soin de me recevoir ou de me renseigner. Avec mes jupes et robes courtes et le fait que je n’empêche pas celles-ci de remonter quand je m’assois j’offre une superbe vue à mon interlocuteur.
Une fois les problèmes d’ouverture de compte et du prêt bancaire soldés, même quand je viens retirer de l’argent au guichet il continue, quand il n’est pas trop occupé, à me recevoir avec empressement, souvent sans nécessité, dans un box ou dans son bureau sous divers prétextes.
Pas folle j’ai vite compris ou il veut en venir et je me prête au jeu car cela m’amuse et j’aime profiter de l’attrait que j’exerce sur la gent masculine, je suis déjà bien dévergondée.
Mon air de salope, mon physique et mon habillement souvent sexy l’attirent, je me suis rapidement aperçue qu’il a des vues sur moi ce qui m’arrange car j’ai des idées préconçues concernant les revenus des banquiers.
Au fond de moi je sais que je vais faire ce qu’il faut pour joindre l’utile à l’agréable et de nouveau tromper mon mari, avec mon tempérament de pute je ne cherche pas à contrôler mes envies.
Le banquier tente de me voir en dehors de la banque, ce que je refuse pendant un certain temps sans vraiment fermer la porte.
L’homme s’appelle Armand et maintenant nous abandonnons les « monsieur » « madame » et nous appelons par notre prénom.
Si au début sa drague était discrète au fur et à mesure que le temps passe il devient beaucoup plus direct et plus entreprenant.
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Comme j’ai une idée en tête je résiste afin de le faire mariner car je sais déjà ce qu’on peut tirer d’un homme attiré par le « cul » d’une femme et que l’on fait attendre, je sais que je finirais par coucher avec lui mais seulement quand j’aurais ce que je veux.
Il est tout sourire quand enfin je sens qu’il est mûr et que j’accepte un rendez-vous.
En fin d’après-midi je l’attends devant la banque.
ensemble nous marchons dans la rue car il veut m’offrir un rafraîchissement et parler.
Nous entrons dans un bar.
Il m’offre un apéritif et pendant que nous parlons, surtout de ce qu’il espère de moi, il commande une deuxième tournée car il doit penser que l’alcool aidant je serais plus encline à lui céder.
Je lui laisse l’espoir qu’il peut se passer quelque chose entre nous sans m’engager plus avant.
Quelques jours plus tard, salope que je suis, je passe comme par inadvertance devant la banque en guettant le moment ou il en sort.
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Armand commence à être à point, j’avance mes pions et je commence à le tutoyer.
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Il réfléchit vite sentant sa proie s’éloigner.
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Le jour dit il quitte son travail et nous gagnons à pieds un restaurant situé un peu plus loin, nous passons devant une boutique ou j’ai repérée une belle robe et je m’arrête devant la vitrine pour l’admirer.
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Il ne répond pas, nous gagnons le restaurant ou nous parlons de tout mais surtout de moi pendant le repas.
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Rendez-vous est pris pour un nouveau déjeuner la semaine suivante.
J’attends Armand devant sa banque puis en gagnant le restaurant nous passons de nouveau devant la boutique ou j’ai repérée une belle robe qui se trouve en vitrine et je fais celle qui est intéressée au plus haut point.
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Je ris sans répondre.
Pendant le repas, envoûté et de plus en plus impatient de coucher avec moi il me dit:
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Comme malhonnête je me pose là.
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Il sourit heureux d’arriver à son but sans savoir que moi je suis en bonne voie pour le mien.
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Le lendemain je l’attends devant la boutique de vêtements, il arrive le sourire aux lèvres.
Je donne ma taille à la vendeuse puis j’entre dans la cabine d’essayage, j’enlève la jupe et le maillot que je porte et j’enfile la robe mais je n’arrive pas à remonter la fermeture à glissière qui se trouve dans le dos, je sors de la cabine et demande à Armand de la fermer ce qu’il fait maladroitement.
Je me regarde devant un miroir, je fais plusieurs tours devant Armand et lui demande son avis que je connais rien qu’à voir ses yeux.
Je retourne dans la cabine retirer la robe et je demande à Armand de venir m’aider.
Timidement il me rejoint, baisse la fermeture et m’aide à enlever le vêtement ce qui fait que je me retrouve en string et soutien-gorge devant lui sans chercher à me cacher. Il est gêné et ne sait plus quelle attitude adopter.
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Son pantalon est déformé au niveau de son sexe.
Je lui souris puis je m’approche de lui et l’embrasse sur les lèvres en me collant contre lui.
Pendant que je me rhabille il paie l’achat et je le raccompagne jusqu’à sa voiture. Quand il est assis au volant je me penche et approche mes lèvres des siennes, ma langue pénètre dans sa bouche et cherche la sienne. Nos langues se livrent une bataille acharnée pendant un moment.
Il démarre et me quitte le sourire aux lèvres après que je l’aie remercié pour son cadeau et lui aie dis quelques mots à l’oreille.
Le lendemain comme je le lui avais dit à l’oreille la veille je le rejoins dans son bureau une fois que ses employés sont partis.
Nous n’avons pas beaucoup de temps la femme qui nettoie l’établissement doit bientôt arriver.
Je ne m’embarrasse pas de préambules, je me colle contre lui et passe mes bras autour de son cou.
Ma bouche est contre la sienne et nos langues se cherchent dans de longs baisers pendant que mon ventre apprécie la bosse qui grossit dans son pantalon. Avec une de mes mains je caresse l’endroit.
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Armand s’assoit, je déboutonne son pantalon et bataille avec son slip pour en extraire son pénis bien érigé qui est long mais pas trop gros.
A genoux entre ses jambes, après l’avoir caressé je lèche son membre sur toute la longueur après avoir insisté sur le gland. Il apprécie ce que je lui fais les yeux mi-clos.
Il sursaute quand j’introduis l’objet dans ma bouche. Je commence une fellation en serrant bien mes lèvres pour qu’elles épousent au mieux la verge et en la faisant pénétrer le plus profond que je peux dans ma gorge.
Ma bouche fait des aller-retour lents au début puis j’accélère la cadence pendant que ses mains s’accrochent aux accoudoirs de sa chaise.
Il a trop envie, rapidement son corps se cabre, sa queue gonfle dans ma bouche et prise de soubresauts envoie des jets de sperme au fond de ma gorge, j’avale et continue un peu à sucer. je me relève.
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Je m’allonge sur son bureau jupe relevée, jambes écartées pendant dans le vide.
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Debout entre mes cuisses il écarte ma culotte et sa queue bute contre mon sexe. je la prend avec une main et la dirige vers l’entrée de ma grotte déjà bien humide.
Les mains agrippées à mes hanches il exerce une poussée avec son corps et son membre coulisse en moi.
Pendant qu’il me défonce à grands coups de reins une de ses mains soulève mon maillot puis mon soutien-gorge, palpe et caresse ma poitrine puis s’en prend aux tétons.
Les va-et-vient de la verge durent un petit moment avant que prise de tremblements elle n’arrose mon vagin.
Il se retire et s’essuie pendant que je rajuste ma culotte et mes vêtements.
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Le mardi suivant nous déjeunons ensemble, il me dit qu’il a pris son après-midi pour le passer avec moi.
Il est content de voir que j’ai mis la robe qu’il m’a offerte.
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L’apéritif et le vin bus pendant le repas me rendent un peu euphoriques.
Puis dans sa voiture nous gagnons la ville voisine.
Il se gare devant un hôtel chic et nous allons à la réception prendre une clé puis nous montons au premier étage et entrons dans une chambre coquette.
Debout il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement tout en caressant mon corps. J’en fais autant sur lui en insistant au niveau de son sexe qui est gonflé par le désir.
Il baisse le fermeture de ma robe et la fait glisser et tomber à mes pieds.
Il me caresse sans se presser partout tout en me regardant sans retirer mes sous-vêtements ce qui m’étonne.
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Il caresse longuement mes seins et mon sexe par dessus les sous-vêtements avant de dégrafer mon soutien-gorge et de faire glisser mon string qui tombe à mes pieds.
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Une fois nue il me couche délicatement sur le lit puis il se déshabille avant de s’allonger à côté de moi.
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Nous nous embrassons pendant qu’il me caresse s’attardant sur mes seins. Je caresse son torse.
Quand sa main quitte ma poitrine pour aller sur mon ventre elle est remplacée par sa langue et sa bouche. Il embrasse, lèche les seins puis il suce les tétons avant de les agacer avec ses dents.
Sa main a quitté mon ventre et caresse longuement mon sexe avant qu’il ne doigte ma chatte. Ensuite il masturbe doucement puis plus énergiquement mon clitoris pendant que sa bouche s’occupe toujours de mes seins.
Le plaisir monte dans mon ventre, il n’est pas pressé d’en terminer avec les caresses qui durent depuis un moment, j’en ai assez de simplement caresser et masturber son pénis je me déplace et approche ma bouche de celui-ci.
J’embrasse partout son membre puis je le lèche en insistant sur le gland pendant un bon moment avant de le prendre dans ma bouche et de lui faire une fellation en faisant pénétrer le maximum de longueur dans ma gorge.
Comme il continue ce qu’il a entrepris le plaisir devient intense dans mon ventre, je m’acharne avec ma bouche sur sa verge mais prise de spasmes j’ai un orgasme et la cyprine qui sort de mon vagin arrose sa main qui continue à me martyriser.
Enfin son corps se raidit, sa queue grossit encore dans ma bouche et est agitée par des tremblements pendant qu’il déverse son sperme dans ma gorge, j’avale la semence et je continue à sucer.
Je me déplace, il se met sur le dos, je m’accroupis sur lui les jambes de chaque côté de son corps et en m’aidant d’une main je m’empale sur sa verge qui vient buter au fond de mon vagin. Je remue à grands coups de reins pendant qu’il accompagne mes mouvements et triture mes tétons, ma mouillure coule sur son ventre et le plaisir que je ressens est toujours intense mais il jouit avant moi arrosant mon vagin.
Sans que son membre ne sorte de ma grotte il me retourne et se retrouve sur moi, mes bras enserrent son cou pendant qu’il me défonce sans ménagement, les aller-retour de son pieu dans mon intimité sont accompagnés par les clapotis dus à ma mouillure abondante et ses testicules frappent contre mes fesses. Je jouis bien avant qu’il n’éjacule encore.
Après un moment de repos allongés côte à côte il recommence à me caresser, je le masturbe puis lèche et suce sa queue qui reprend vie pendant qu’il doigte ma chatte et masturbe mon clitoris.
A genoux la tête dans les draps, il me prend en levrette tout en s’occupant de mon clitoris faisant remonter rapidement les sensations dans mon ventre, je caresse ses cuisses et triture ses testicules, il me besogne longtemps et j’ai un orgasme puis il jouit encore.
Non lassé il me retourne sur le dos et me prend en pliant et relevant mes jambes, notre accouplement est très long et au bout d’un moment je baisse mes jambes pour pouvoir remuer en même temps que lui en dehors des fois ou je dois récupérer après avoir eu un orgasme.
Quand enfin il réussit à éjaculer il s’allonge et récupère en soufflant une main sur mes seins.
Une fois passés par la salle de bain et rhabillés nous allons boire un verre avant qu’il ne me ramène. Il est content de son après-midi et satisfait de ma prestation. Il compte bien recommencer.
La fois suivante on se retrouve en fin de journée dans son bureau.
Tout en m’embrassant il me déshabille et je me retrouve en sous-vêtements (il aime regarder une femme dans cette tenue, c’est sa marotte).
Il me caresse pendant que j’extirpe son sexe du pantalon quand soudain une porte s’ouvre et une personne entre dans la banque.
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Armand cache mes habits dans un placard.
Je me glisse sous le bureau. Armand s’assoit et s’installe comme-ci il allait travailler sur un dossier.
Ne perdant pas le nord j’ouvre la fermeture de son pantalon car il a remballé son pénis, il essaie de m’en empêcher mais j’arrive à mes fins et je sors son sexe qui est ramolli à cause de la présence de l’intruse.
je commence par caresser son membre puis je le masturbe, malgré la situation il finit par bander.
Bien que ma position soit inconfortable j’approche ma bouche de son pénis et le lèche pendant un bon moment en alternant avec des succions sur le gland.
La femme entre dans la pièce et commence le ménage, j’en profite pour commencer une fellation avec des aller-retour rapides de ma bouche sur sa queue. Rapidement il repousse ma tête avec une main mais je reprends possession de son membre et telle une sangsue je m’active.
Les va-et-vient de ma bouche sur sa queue finissent par donner le résultat que j’espérais, son corps se raidit et avec des soubresauts il éjacule dans ma bouche en soupirant.
<<ça ne va pas monsieur>> lui dit la femme intriguée par les mouvements de son corps et le bruit qu’il a émis.
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Imperturbable je continue la fellation et je suis toujours en action quand la femme de ménage quitte la pièce pour s’occuper des box. Je prend mon temps et arrête de temps en temps pour faire durer au maximum la torture.
J’accélère quand j’entends <
Je sors courbaturée de sous le bureau.
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Je le masturbe vigoureusement, comme il n’a pas totalement débandé sa queue se dresse vite pendant qu’il me débarrasse de ce qui me reste comme habits: le string et le soutien-gorge.
Debout face à moi les jambes un peu fléchies il me pénètre et s’active un moment tout en m’embrassant les mains sur mes fesses pendant que je passe mes bras autour de son cou.
Puis il me prend en levrette une main pétrit mes seins, tord et étire les tétons, l’autre main masturbe violemment mon clitoris. Je gémis
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Il continue longtemps à martyriser mes tétons et le clitoris tout en pilonnant ma chatte avec vigueur, je commence à bien mouiller et comme la situation que nous avons vécue m’a beaucoup excitée le plaisir monte dans mon ventre et devient intolérable, je jouis pendant que des jets de cyprine sortent de mon vagin agité par des contractions.
Les va-et vient de la verge de mon amant continuent dans mon intimité, j’éprouve beaucoup de plaisir. Ses doigts se crispent et ses ongles pénètrent dans ma peau quand sa queue est prise de soubresauts, il éjacule dans mon vagin.
J’en veux encore, à genoux je le masturbe puis lèche son sexe gluant et enfin je recommence une fellation jusqu’à ce qu’il bande correctement.
Je lui demande de s’asseoir sur une chaise qui se trouve dans un coin de la pièce et à califourchon face à lui je m’empale sur son pénis.
Tout en l’embrassant je fais des mouvements verticaux avec mon corps pour faire coulisser son membre dans mon intimité pendant qu’il caresse mes seins et martyrise les tétons. L’accouplement dure un bon moment et emportée par le plaisir je jouis et m’affale sur lui.
Je me retrouve à genoux sur le sol, lui derrière moi, sa queue pénètre ma chatte et il me prend en levrette à grands coups de reins pressé d’en finir. Au bout d’un moment en haletant il éjacule encore dans mon ventre puis se retire et se relève.
Il me donne une petite claque sur une fesse et me dit:
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Je me rhabille et nous allons boire un verre avant de nous quitter.
Ensuite nous faisons l’amour une fois par semaine dans une chambre d’hôtel et dès que nous le pouvons dans son bureau.
Tout le temps que durera notre liaison, qui se terminera quand il sera muté dans une autre agence bancaire, il sera attentionné et m’offrira des cadeaux: sous-vêtements, guêpière, porte jarretelles et bas, habits divers, montre, bijoux et autres.
Je prends goût à braver les interdits.
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