Grace à un orage
Nous effectuons régulièrement des randonnées et cette année, nous sommes sur le circuit autour de Mont Blanc, relativement difficile, surtout en fonction des changements du temps, en cette période, mais pour l’instant tout va bien et c’est notre dernière étape, avant de redescendre dans la vallée. Le refuge nous accueille , sommaire mais confortable pour des randonneurs. A notre entrée, nous constatons qu’il est déjà occupé par quatre jeunes, trois garçons et une file, sans doute suisses , vu leur accent. Nous récupérons deux lits, côte à côte et nous nous préparons pour la soirée. Repas simple, jambon et pâtes, mais l’ambiance est sympa et les jeunes nous font bien rires ; puis dodo assez rapidement car demain, il faut se lever tôt pour la dernière journée
Le réveil est difficile et les jeunes sont partis avant nous. Le ciel est gris, et les gros nuages au-dessus de nos têtes ne sont pas encourageants ; alors que nous sommes sur le départ, l’orage éclate et par prudence nous décidons de rester sur place ; rien ne nous presse et nous avons bien fait, car une heure plus tard, les jeunes sont de retour, trempés ; ils ont même trouvé la neige un peu plus haut, ce qui leur interdisait d’aller plus loin.
Heureusement la cheminée est là avec son tas de bois, ce qui leur permet de mettre rapidement leurs vêtements au sec ; avec ce que cela comporte : se déshabiller devant nous, ce qui ne les gênent pas du tout , et c’est sans complexes à priori qu’ils mettent nus pour se changer, devant les flammes ; par contre pour nous, c’est la découverte de trois garçons, musclés, bien pourvus au niveau sexe, même s’ils sont au repos, et une fille, toute aussi décontractée, avec de belles rodeurs, aussi bien aux seins qu’aux fessiers et un joli minois. Difficile de ne pas apprécier. La journée se passe sans problème, confinés en raison du temps qui ne s’arrange pas ; et nous partons pour une nouvelle soirée.
Par contre, pas de douche individuelle, juste une rangée de pompes dans une petite pièce attenante. Alors que nous jouons aux cartes, Nicole en profite et se dirige vers la pièce, et sans que j’y prête attention, un peu plus tard, un des jeunes en fait autant ; c’est une des conséquences dans ces refuges ; peu de choses pour tous. Quand elle revient, je constate qu’elle a le feu aux joues et que sa serviette cache mal son corps ; et je ne suis pas le seul à le constater et quand le jeune revient un peu plus tard, ses copains lui demandent s’il s’est bien amusé.
Manifestement, ils n’ont pas du être très sages et nini se collant contre moi, discrètement confirme les événements : alors qu’elle prenait sa douche, il est entré, s’est mis à poil et le sexe prenant du volume, il s’est rapproché d’elle, avant de commencer à la ploter, mettant un doigt devant ses lèvres pour lui demander de se taire ; la suite a été rapide, la faisant mettre à genoux il lui a demandé de le sucer, lui pétrissant les seins , puis la plaquant contre le mur, il l’a puissamment possédé, lui bâillonnant le bouche pour étouffer sa jouissance et rapidement, il l’a fécondé par de puissants jets de sperme.
Pour moi le récit m’a excité et les jeunes aussi, car l’un deux s’occupe de la jeune fille ,une main sur ses seins lui roulant des pelles ; j’ai du mal à cacher une érection alors que ma main s’est infiltrée sous la serviette de nini , à la limite de sa minette ; je n’ose pas la caresser de façon trop visible, mais il n’en ai pas de même pour le jeune qui vient d’ouvrir la veste de sa compagne et qui s’est emparé de sa poitrine , libre de tout soutien-gorge : il nous est facile de voir ses tétons pointer sous les caresses, alors que les deux autres nous regardent attendant sans doute ma réaction.
Alors que ma main devient un peu plus osée, l’un des jeunes s’approche de la jeune fille déjà occupée, et lui retirant sa veste, il lui suce un sein, sans qu’elle se rebiffe ; nini frémit, sans doute encore excité de sa dernière possession, mais peut être aussi de la vue de la poitrine offerte à notre vue : deux globes bien ronds, une belle auréole brunâtre avec au milieu un téton maintenant bien tendu. Elle aime les femmes et cela doit lui donner des envie ; J’avoue que j’ai envie de plus et à mon tour, je découvre les seins de nini ; malgré deux grossesses, ils se tiennent encore très bien et si son téton est beaucoup plus petit, il est visible qu’il est lui aussi tendu.
Les regards sont maintenant sur elle, mais elle ne se dérobe pas, bien au contraire car elle ne retient pas la serviette, tenue jusqu’à là par la poitrine , celle-ci tombe à terre, la dévoilant encore un peu plus. et c’est la jeune femme qui va débloquer la situation ; se libérant de ses amis, elle contourne la table et vient se mettre derrière nini, lui emprisonnant les seins avec ses deux mains, et se penchant , elle dépose un baiser sur la bouche, encore un peu contrainte ; cela ne dure pas et se retournant, nini embrasse la jeune suisse, lui fouillant la bouche d’une langue avide de sensation, puis sans doute excitée d’avoir cette jeune femme entre ses bras, elle lui dégrafe son pantalon, et doucement , elle lui retire son slip ; les deux femmes sont maintenant nues et se prenant par la main, elle se dirige vers un lit pour un combat aussi sensuel que puissant, se doigtant, se mettant en 69 pour déposer leur minou sous la bouche de l’autre ; elles se branlent , se lèchent se broutent le minou, déclenchant à tour de rôle des cris de plaisirs ; toutes les deux jouissent parfois de concert.
Pour tous, le tableau est charmant, torride et il est évident que tous bandent, se caressant le sexe à travers le pantalon. L’un d’entre eux se rapproche de moi, et me dit « j’ai envie de votre femme et si cela vous dit, ma copine est à vous » sur le moment je reste sans voix, mais nini qui a entendu la conversation, me regarde et lui tendant la main , elle l’invite à la rejoindre « viens me prendre, j’ai envie de toi et de ta queue » je suis surpris car en principe elle est assez discrète en parole ; il ne perd pas de temps et une belle tige, grosse longue, charnue se présente à l’entrée de sa caverne ; les cuisses écartelées, elle accueille le chibre avec un long gémissement ; il doit la remplir complétement ; la joute est fascinante, lui se déchainant en une longue et puissante saillie, elle jouissant sous les coups de butoirs, réclamant cette pénétration, s’offrant sans retenue, jouissant bruyamment ; ses cris remplissent la pièce et quand un deuxième s’approche d’eux, elle lui att**** la queue pour le sucer , en lui broyant les burnes ; finalement ils se relaient dans son ventre, la possédant complètement, la faisant se cambrer à la recherche d’une plus profonde pénétration ; les deux garçons sont puissants et endurants et le plaisir de nini éclate à nos oreilles. Elle se donne sans réserve, et ce n’est que quand, ils la fécondent doublement qu’elle s’écroule sur le lit, épuisée de plaisir ; quand le dernier se retire, le bout encore plein de semence, sur ces cuisses s’écoule une coulée de sperme., qu’elle essaie de garder en portant sa main sur sa chatte.
la jeune fille vient se placer entre mes jambes et ouvrant ma braguette, elle fait jaillir ma tige bandée sa bouche se pose sur le gland et sa langue vient titiller mon méat d’où perle une goutte de semence, avant d’enfourner en totalité la queue qui s’offre à elle ; elle l’avale , la recrache , avant de la reprendre , me faisant sous un gorge profonde ; une main s’est agrippée à mes couilles qu’elle maltraite, pour mon plus grand bonheur, alors que l’autre part à la découverte de mon sillon où un doigt me titille l’anneau. Sous ce doux traitement, ma jouissance est imminente et quand je veux me retirer, elle s’agrippe à mes fesses et me maintient, jusqu’à mon éjaculation ;je ne peux retenir mon plaisir et mes jets lui remplissent la gorge, jets qu’elle déglutit le plus possible, le reste débordant autour de ses lèvres ; elle me boit jusqu’à la dernière goutte, léchant mon sexe qui perd de sa fierté, le laissant propre comme un sou neuf.
Les deux compères se retirent alors que la miss vient se lover entre les cuisses de Nini ; ; écartelée, la chatte béante, nini l’accueille en lui enserrant la tête collée sur sa grotte ; à nouveau , son clito est mordillé, sa chatte est aspirée et fouillée par une langue avide de la semence qui la remplit ;
je me souviens de la proposition de son copain et l’attirant à mon tour vers un lit, je lui écarte les cuisses pour atteinte sa chatte ; sans surprise, elle est pleine de cyprine et ma langue jouant avec son clito à vite fait de la faire se cambrer, offrant le calice à un cunnilingus que j’affectionne particulièrement ; je lape, je mordille, tourbillonnant entre ses parois, déclenchant soudain un flot de jute ;elle est fontaine et elle m’asperge le visage de son plaisir. Sans aucun mal, deux puis trois doigts lui fouillent le vagin, ouvrant encore plus la dilatation et quand elle appuis sa main sur la mienne, je comprends ce qu’elle veut. Petit à petit ma main élargit le passage et une poussée un peu plus forte me permet de la fister complètement, ma main la fouille, vrille dans sa grotte, et quand mes doigts découvrent son point g, un long cri témoigne de sa jouissance. La faisant jouir ainsi un long moment, puis doucement je retire ma main, laissant sa chatte dilatée .
Pour moi, c’est le moment de la couvrir et la couchant à plat ventre, je m’introduis en elle, sans aucune difficulté ; la pourfendant, m’enfonçant au plus profond d’elle , la besognant sans ménagement ; mon bassin lui frappe le fessier : le sillon devant moi est accueillant et la mettant à genoux , je continue à la posséder, lui caressant en même temps l’anneau brillant de sécrétion ; je comprends vite qu’elle est habituée à la sodomie et me retirant de sa chatte, je glisse mon gland sur son sillon, avant de forcer le passage ; quand je franchis le passage secret, elle ne peut retenir un gémissement, mais reculant brutalement son bassin, elle s’enfonce seule et d’une poussée sur mon mandrin ; lui bloquant les hanches, je me déchaine sur ce petit cul accueillant et à grands coups , je la possède, l’enculant sans ménagement ; elle aime cela , ses cris le prouvent et ma jouissance arrivant je lui remplis ses entrailles, pour son plaisir et le mien.
A côte de nous, le dernier se branle, le pantalon sur les chevilles ; décalottée, sa tige courte mais très épaisse m’attire et doucement je dépose ma main sur elle, attendant les réactions ; il me regarde mais ne bronche pas. Finalement, c’est elle qui vient le sucer, alors que je pars à la découverte de son fessier, bien rebondi ; quand mon doigts caresse son petit trou, alors qu’il a la tige dans la bouche de son amie, il se redit un peu, mais me laisse faire ; un peu de mouille prise dans la chatte de la miss et mon doigt vrille l’anneau, pénétrant doucement le conduit ; pris entre deux, il s’offre, reculant son bassin , favorisant la pénétration de deux doigts ;
j’en déduis qu’il aime se faire sodomiser et je promène ma queue encore bandée, sur son sillon, venant buter contre l’anneau encore peu dilaté ; c’est alors que la miss me dit, » vas y encule le, il aime cela et moi je vais le faire jouir dans ma bouche ; « le message est clair et l’agrippant aux hanches, je m’enfonce profondément dans ses entrailles ; il essaie de se retirer mais l’emprises est totale et mon bassin vient buter contre ses fesses, avant de commencer à le pistonner allégrement. Sous la double emprise, il se laisse possèder et comme je viens de jouir, la sodomie est longue ; afin d mieux le dominer, je sors du temple, avant que d’une poussée, de le pourfendre à nouveau ; dilaté au max, il encaisse chaque pénétration sans problème, bien au contraire car se retirant de la bouche, il gémit et m’encourage à le dévaster, ce que je fais sans hésiter , sous les regards de nini et de ses amis qui reprennent doucement vigueur.
Nini se rapproche de la jeune fille, la couche sur le lit et se mettant en 69, elle lui offre son abricot, alors qu’elle lui fouille la chatte, buvant le jus qui s’en écoule, puis s’allongeant à coté d’elle , écartant ses cuisses, elle glisse son bassin entre ses jambes et leurs deux chattes entre en contact , alors qu’elles se sucent les seins ou s’embrassent fougueusement, avant de revenir en 69, se luchant aussi bien la vulve que le sillon et leurs petits trous.
Les deux garçons ne sont pas en reste ; se positionnant derrière elles, ils s’engouffrent d’une violente poussée , déclenchant un oh de surprise et de plaisir, car dès que les queues sont en position, alors qu’elles peuvent voir les mandrins posséder l’autre, elles jouissent très rapidement sous les coups de butoirs et quand après une longue baise et plusieurs jouissances des deux petites salopes, ils se retirent après avoir éjaculé, elle s’abreuvent des semences qui s’écoulent de leurs vagins dilatés.
Finalement la nuit fut très courte, les deux femmes se faisant plusieurs fois prendre, aussi bien par les garçons que par moi ; plusieurs fois prises en double vaginales ou anales, elles se sont enfin écroulées dans les bras de leurs amants, nini entre les deux garçons et la jeune fille collée contre moi.
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