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Découverte de la soumission 8

Découverte de la soumission 8



Je suis toujours à genoux, nu, sur le pas de la porte d’entrée, quand toutes les filles, montent dans leur voiture. J’ai du mal a bouger.
PATRICIA vient de livrer beaucoup d’informations. Il me faut quelques minutes avant de me lever et commencer mes différentes tâches. Elles sont toutes parties. Mon cerveau est en ébullition.
Je prends conscience que je suis l’objet d’un programme qui me dépasse.
Je rêve d’être un mâle soumis depuis très longtemps. La réalité va beaucoup plus loin.
Je rassemble les informations,
PATRICIA est en fait une femme dominatrice. Je pense même une professionnelle.
Depuis le début c’est elle qui dirige. Elle a une vraie connaissance des hommes soumis et de leur fonctionnement.
MANON notre secrétaire gère les caméras, elle sait tout alors. Donc toutes mes collègues sont complices. Est-ce que notre directrice est dans la confidence ?
PATRICIA a parlé de mes érections incontrôlées, je suis désolé mais je ne les maîtrise pas. Je suis dans une excitation presque permanente avec elles.
Elle a parlé d’un « petit jouet magique » qu’est-ce qu’elle a voulu dire ?
Mon Épouse est beaucoup plus impliquée que je le pensais.
Je nettoie, range,ferme. Trente minutes plus tard je suis dans ma voiture. Je n’arrête pas de penser à cette journée.
Mon Épouse n’est pas à la maison quand je rentre. la cuisine n’est pas rangée, le ménage n’est pas fait, ses affaires traînent un peu partout.
C’est curieux, ce n’est pas dans ses habitudes.
Je me mets nu. C’est maintenant un réflexe si agréable. Une habitude que je vais garder.
Je fais le ménage, c’est curieux d’être excité à ce point.
Je suis à poils chez moi.
Je bande, j’ai très envie de me branler.
La maison propre et rangée, mon excitation est toujours aussi forte. Pour éviter la tentation de me masturber, je m’installe devant mon cahier. Je décris ma journée, je ne cache rien, aucune censure.
Je suis surpris de constater avec quelle facilité, les idées, les mots, les phrases s’enchaînent.
Mon excitation ne me quitte pas,
19 heures STÉPHANIE n’est toujours pas la. 20 heures elle m’appelle m’expliquant de ne pas l’attendre pour manger. Elle rentrera plus tard, avec une surprise.
Fait toi beau, sont ces derniers mots.
Le repas pris, je me pose devant la tv. Rien d’intéressant, je cherche le DVD, il est encore dans le lecteur. Je connais mon programme tv de ce soir.
Excité comme un fou je part prendre une douche, j’ai toujours envie de me branler, mais je ne veux pas jouir tout seul. Un bon coup de rasoir pour être tout lisse partout. Je veux être propre aussi de partout. Le tuyau de la douche est bien pratique.
Ce nettoyage approfondi, à stimulé mes désirs.
J’ai envie de me fouiller le cul, je repense aux mots de LAETITIA, t’aime te faire baiser comme un « gros PD ».
Je choisis le rose bud que j’ai offert à mon Épouse, mais qu’elle ne porte jamais car elle le trouve trop gros et trop lourd. Une bonne dose de lubrifiant, mon cul l’accueille très facilement. Je me trouve de plus en plus ouvert. Il est agréable pas du tout gênant bien au contraire.
Devant le miroir, l’image de mon sexe sans poils le fait paraître plus grand. Mais quand je me regarde en entier, je trouve que je fais moins viril sans poils.
Mon cul est joliment décoré d’une pierre bleue.
je me pose devant la tv, j’appuie sur lecture. Je regarde la vidéo plan par plan, il y a 10 caméras en tout, elle dure 45 minutes.
Je suis impressionné par le travail effectué. Un vrai travail de professionnel, est-ce que MANON l’a réalisé seule ? Je sais qu’elle a travaillé à France 3. Qui d’autre m’a vu ?
Se revoir est encore plus troublant et excitant.
Mes collègues ont du halluciner.
Que peuvent elles penser de moi?
J’ai toujours eu un côté exhibitionniste, mais la, j’ai fait très très fort.
Je me suis totalement offert.
Le plug est de moins en moins petit. Il appui d’une façon délicieuse sur ma prostate à chaque mouvement, assis ou debout, je le sent de plus en plus.
Marcher est encore plus stimulant. Mon cul, est une zone érogène très puissante. Des vagues de frissons partent de mon ventre et se propagent dans tout mon corps.
je me revois adolescent, mon premier orgasme anal, avec une brossé à cheveux. Puis à la FAC, les deux expériences avec des copains. La honte pendant des années de prendre du plaisir comme un  » homosexuel « .
J’ai gardé ce secret si longtemps. Incapable d’en parler à qui que ce soit.
Je me revois le jour ou STÉPHANIE m’a surpris, avec son gode dans mon cul. Le soulagement, quand elle a trouvé ça génial.
Comment elle a adoré me faire hurlé de plaisir en me fouillant le cul.
Comment elle a, depuis des années utilisé beaucoup de jouets et d’objets, jusqu’à sa main entière.
Depuis il ne se passe pas une semaine sans que mon cul ne soit sollicité.
Mon Épouse m’a appris à ne plus avoir honte de mon corps, de mon plaisir, de mes désirs.
Je suis dans la cuisine, je me fais un café, quand la porte d’entrée s’ouvre, des rires féminins, je n’ai pas le temps de réagir, de faire quoi que ce soit. STÉPHANIE, et toutes mes collègues sont là, en face de moi.
La vidéo de mes exploits passe à la TV dans le salon, le son qui nous parvient ne trompe personne. Je suis nu en érection, un gode dans le cul, (qu’elles n’ont pas vu encore.)
_Quelle tenue parfaite mon juju d’Amour, tu ne peux pas faire mieux pour m’accueillir et recevoir nos invités.
Approche, ne fait pas ton timide mon juju, tu connais tout le monde.
Viens me montrer comment tu as appris à saluer. Je fais trois pas jusqu’à mon Épouse. Je me mets à genoux. Je dépose un baiser sur ses pieds. Je veux me redresser, mon Épouse m’arrête d’un mot.
_Tu n’as pas salué tout le monde aujourd’hui.
Mon Épouse et mes collègues s’écartent, MANON est sur le pas de la porte, elle me regarde avec un grand sourire. Une sorte de haie d’honneur s’est formée. Elles se sont toutes écartées.
Je me déplace à quatre pattes jusqu’à elle, j’embrasse ses pieds sous une huée de commentaires les plus salaces les uns que les autres. Mon cul rempli et décoré n’est pas passé inaperçu.
Elles sont hystériques. Je reviens vers mon Épouse toujours à quatre pattes, sous les huées.
Elles sont bien alcoolisées.
_Mon petit juju d’amour, on a encore très soif, va nous chercher à boire. Lève toi, tourne toi, penche toi un peu. Il te va beaucoup mieux qu’à moi. Vous ne trouvez pas les filles ?
Rires, applaudissements, elles y vont toutes de leurs commentaires.
_Champagne pour tout le monde.
il y en a toujours une au frais. Mon Épouse et ses copines ne boivent que ça ou du vin blanc.
Les filles s’installent au salon. Elles sont toutes bien habillées, robes, jupes, haut talons,…Elles sont vraiment très belles et sexy.
je sorts les flûtes, ouvre la bouteille, rempli les verres, je m’approche de PATRICIA, je me met à genoux, je lui tend le verre.
_Madame PATRICIA, votre boisson.
Il y a un grand silence, elles m’observent toutes.
_Merci mon petit juju.
Je recommence le même cérémonial devant chaque femme. Je termine par mon Épouse, je reste à genoux à ses pieds.
je n’ai sorti que 6 verres.
Elle lèvent leur verre et s’apprêtent à trinquer.
_À quoi trinqu’on nous les filles?Tient, je sais tu va nous dire mon petit juju d’amour.
Mon Épouse a déjà dû bien boire, elle a les yeux brillants, elle parle fort, elle doit être un peu saoule.
Je regarde mon Épouse, chacune de mes collègues.
_Mesdames, trinquons à votre beauté, à votre intelligence, à votre puissance.
_C’est trop mignon mon petit juju. Tu as tellement raison.
A notre intelligence, à notre beauté et à notre puissance.
Elles se sont toutes levées, les verres tintent.
_Et toi mon juju tu n’as pas de verre, c’est pas grave, ouvre la bouche.
Elle fait couler une gorgée de champagne directement de sa bouche à ma bouche sous les applaudissements de toutes les filles.
Je passe toute la soirée à les servir, j’ouvre cinq bouteilles de champagne.
Elles rient, discutent de tout et de rien.
je marche entre elles, parfois à quatre pattes, pas une de mes collègues ne me touche. Par contre mon Épouse ne se gêne pas pour me caresser partout dès qu’elle peut. Je suis la propriété de STÉPHANIE. « chasse gardée » à t’elle dit.
Elles sont entre filles, je ne suis qu’un serveur.
Je vis encore une fois, un moment surréaliste, je suis nu au milieu de 6 femmes habillées, une vidéo des plus hard de moi passe à la tv, tout est  » normal. »
Une soirée entre filles, je suis leur serviteur.
Un moment, MANON commente certaines images, explique le passage d’un plan à l’autre, les fondus, les raccords, la musique…
Je suis surpris quand elle m’interpelle pour me féliciter et me remercier.
Elle m’explique alors que c’est la première fois, qu’elle a pu voir un homme qu’elle connaît, se donner du plaisir avec autant de sensualité et de bestialité, sans aucune censure ni pudeur.
Elle m’a trouvé beau et très très excitant.
Cette dernière phrase est confirmée par toutes mes collègues, qui se lâchent. Elles parlent de leurs passages préférés, des détails de mon anatomie, mon cul qui avale mes doigts, les crispations de mon visage, la belle queue qu’elle ont découvert, la façon dont j’ai léché mon sperme, des cris que j’ai poussé,….
Elles parlent sans détour de tout ce qui a pu nourrir leurs maturations, leurs jouissances.
Je suis le centre de toute leur attention.
MANON parle aussi des dernières images qui sont au montage. Mon éjaculation sur CELINE, mes aveux dans la cuisine… Je suis devenu sa star. Elle continue en expliquant qu’elle a beaucoup d’images à monter, elle pense pouvoir nous donner un autre film à la fin de la semaine.
Les discussions s’enchaînent, les filles sont toutes très complices,très peu pudiques, elles parlent de leur expériences, avec des hommes ou des femmes. Elles sont crues, je les découvrent.
Je n’ai jamais eu de t’elles discussions avec mes potes, on ne parle pas comme ça entre nous .
PATRICIA est tombée sur mon cahier intime qui était posé sur la table. Après autorisation de mon Épouse elle l’a longuement feuilleté.
La soirée est très animée jusqu’à leur départ à 2 heures du matin. STÉPHANIE part se coucher la première, c’est moi qui raccompagne toutes mes collègues, je leur dépose un baiser sur chaque pieds avant qu’elles montent dans leur voiture.
Je suis nu dans la rue.
Je range rapidement la maison et rejoint mon Épouse, qui dort déjà.
La nuit est courte.
Le matin, je prépare le petit déjeuner pour mon Épouse. Je part travailler.
Comme toujours, c’est moi le premier arrivé.
Je me déshabille à l’entrée, pose mes habits dans un coin de la cuisine.
PATRICIA, LAETITIA arrivent dans la même voiture suivit de CÉLINE et VANESSA.
Je les accueillent en embrassant leurs pieds. Le café est prêts ainsi que les viennoiseries.
LAETITIA me demande un doliprane et VANESSA du citrate de betaïne, notre pharmacie de secours est heureusement bien fournie.
La matinée va être difficile pour certaines.
PATRICIA pose un petit paquet sur la table à côté de ma tasse à café en me regardant.
_C’est pour toi mon petit juju.
J’ouvre le paquet. Je découvre plusieurs éléments en plastique transparent, un tube incurvé, des demi cercle, des petites goupilles.
Je n’ose comprendre.
_Oui mon petit juju tu ne rêve pas, tu as devant toi une cage de chasteté. Celle-ci est en plastique, ne t’inquiète pas, on verra plus tard pour une plus confortable et plus sûre. Je connais un fabricant qui fait du sur mesure en acier.
Va chercher des glaçons.
J’obeis, je les mets dans un saladier, suivant ses directives, je m’approche tout près, mon sexe est juste devant elle.
_Dans l’état ou tu es, jamais ça ne rentrera.
En effet je suis en érection.
Je réalise que toutes les filles se sont rapprochées.
PATRICIA prend mon sexe, elle le plonge entièrement dans le saladier. Elle frotte mes couilles, mon gland, ma queue avec les glaçons.
Le froid me saisi, comme une brûlure. Il faut plusieurs minutes avant que mon sexe devienne tout mou et tout petit.
PATRICIA me saisie alors le sexe à pleine main par la base du scrotum, att**** le demi cercle, le passe sous mes couilles, encastre deux autres pièces plus petite sur le dessus, des trous permettent d’y glisser les petites goupilles, elle fait glisser ma queue dans le tube qui s’emboite, sur les tiges. Elle sort un petit cadenas de sa poche le passe par un trou. Cela n’a duré qu’une poignée de seconde.
_Et voilà plus d’érection sans notre accord. juju maintenant on a vraiment le pouvoir sur toi. Tu vas le comprendre très vite. Qui veut fermer le petit oiseau ?
_Moi!!! c’est CELINE qui a parlé.
Elle s’approche, me regarde dans les yeux, elle prend son temps pour examiner mon sexe en cage, elle m’att**** les couilles les serrent un peu et avec un grand sourire. Elle ferme le cadenas d’un petit Clic, en me disant.
_Tu aurais du réfléchir un peu avant de lécher mes culottes.
Je ne sais pas pourquoi, mais tombe à genoux, je lui embrasse avec reconnaissance les pieds. Je me redresse, je la regarde dans les yeux.
_Merci Madame CELINE,
Je me retourne vers une autre collègue embrasse ses pieds, la regarde dans les yeux en disant
_Merci Madame PATRICIA
Je me décale, refais les mêmes gestes, prononce les mêmes mots.
_Merci Madame LAETITIA,
_Merci Madame VANESSA,
Enfin je lève la tête vers la caméra
_Merci Madame MANON.
Ce sont des mots très puissants que je viens de formuler. Je suis très ému, je ne suis pas le seul.
Le café et les croissants sont
vite expédiés. Beaucoup de travail aujourd’hui.
Midi on fait une pose rapide. Faire le service nu devient un réel plaisir.
Voir mes collègues heureuses me transporte de joie.
Je suis de dos à la porte, je fais la vaisselle quand j’entends la voix de notre secrétaire. J’arrête tout et la salue comme j’ai appris.
Elle explique sa visite en déposant une petite boîte et un tube fin. C’est comme un antivol pour les magasins, une puce qui permet d’allumer les caméras.
Les filles sont ravis
_il faut le fixer à la cage. juju, vient ici.
Elle m’att**** par les couilles, elle manipule la cage dans tous les sens, enroule le tube autour d’une tige, le passe par un trou et fixe le tout avec une colle type « super glu »
Ces quelques manipulations m’on excité, je sent que j’ai très envie de bander mais ma queue ne peut pas grandir. Ça tire sur mes couilles, la douleur est soudaine. J’ai l’impression que l’on m’arrache les couilles.
_Excusez-moi Mesdames, ça fait très mal…
PATRICIA s’approche de moi, me caresse la joue et la tête, elle essaie de me rassurer.
_tu vas t’y habituer tu vas voir. Si c’est trop douloureux , va faire pipi, ou prend une douche froide ou essaye les glaçons.
_excusez-moi Madame PATRICIA mais c’est un vrai appareil de torture cette cage.
_Mais bien sur mon juju.
Je suis terrorisé. LAETITIA et VANESSA détournent le regard devant mon visage douloureux et effrayé. Ma queue me fait mal. C’est comme un recevoir un coup sur les couilles mais ça vient de l’intérieur de mon corps.
PATRICIA pose des toutes petites clefs sur la table. Elles sont fixées à de jolies chaînes en argent.
_Il y en a une pour chacune. Tient juju, dans cette enveloppe il y a une clef pour STÉPHANIE. Elle peut m’appeler quand elle veut, je te fais confiance pour lui donner sans ouvrir l’enveloppe il y a un petit mot pour elle.
_Oui bien sur Madame PATRICIA. Je lui donne en arrivant.
Elles sont toutes passées devant moi pour récupérer les clefs et les porter autour du coup.
La douleur diminue en effet quand l’érection disparaît.
CÉLINE de toute sa hauteur me toise, d’un ton sec et moqueur, et rieur elle dit.
_Au fait juju c’est fini pour toi de pisser debout.
_Madame CÉLINE , j’ai toujours fait pipi assis. C’est juste quand je suis dehors en pleine nature que je fais debout.
_Tu ne finira jamais de m’étonner mon petit juju dit PATRICIA,
_Bon, une petite explication s’impose, la puce qui vient d’être installé par MANON déclenche automatiquement les caméras. Elle est en train d’installer le dispositif sur les caméras.
Oui c’est du matériel de pro. Le plus important, C’est que la star c’est toi, donc les caméras se mettent en marche quand tu es proche. Environ trois mètres.
Donc pour ta confession journalière tu vas dans les sanitaires, tu te mets à genoux sur la table, face caméra. Tu sera parfait.
_,Merci Madame PATRICIA.
MANON n’est pas resté longtemps, elle a couru un escabeau à la main, un sac à l’épaule dans tout l’entrepôt. Un café, une cigarette, elle repart la clef autour du cou.
Je finis la vaisselle, le rangement de la cuisine dans une grande sideration.
Pour la première fois, je me sent pris au piège.

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