De temps à autre quand je remonte en voiture chez moi dans la région parisienne, après une mission, je fais la route travestie et je m’arrête de temps à autre sur des aires d’autoroute pour m’amuser en me garant toujours à proximité des camions, alors je sors de ma voiture pour aller dans les toilettes des femmes, soit vraiment pour pisser, soit par amusement pour m’exhiber un peu.
Sur une aire de l’A6, en début de soirée, en sortant des toilettes des femmes, un routier sortait de celle des hommes, ses affaires de toilette à la main, je le précédai jusqu’à ma voiture, le sentant me suivre, espérant qu’il reluquait mon cul je chaloupai un peu plus pour l’allumer. Quand j’arrivai à ma voiture, l’homme me dépassa et me regardant me dit quelque chose dans une langue que je ne compris pas. « I don’t understand » lui dis-je, et avec un sourire il me répondit dans un anglais improbable : « you fuck ? ». J’essayai de lui expliquer que je pouvais seulement le sucer, je n’avais pas de préservatif sur moi et je ne voulais pas risquer de me faire prendre sans protection. Avec bien du mal il comprit ce que je lui disais en mimant la succion avec ma bouche, il ouvrit alors la porte de son camion et me fit signe de monter. Après une hésitation je montai donc et l’homme me rejoignit, se glissa dans sa couchette et ouvrit sa braguette. Le type n’était pas particulièrement sexy mais il avait une queue de belle taille et surtout déjà bien raide. J’aime les belles queues, cela peut paraître ridicule mais je peux sucer un mec moche si sa bite est bien bandante. Je fis donc mon office à cette pine dure comme du bois, avec les doigts de mon « client » fourrageant mon anus et s’enfonçant sans ménagement. Je modérai ses ardeurs manuelles en saisissant son poignée afin que mon cochon me dilate la rose avec plus de ménagement. « Me fuck!» répétait-il et je vis qu’il avait saisi une boîte de préservatifs près de son oreiller. « No, no ! No fuck! », lui dis-je en montrant ma bouche « fuck here!» et je recommençais à le sucer en espérant qu’il éjacule vite, aspirant son gland aussi fort que je le pouvais et d’une main lui caressant les couilles. Heureusement pour moi il ne fut pas long à décharger dans ma bouche, mais je ne sais depuis combien de temps il n’avait pas éjaculé car j’eus l’impression qu’un geyser chaud me giclait dans la gorge. Pour qu’il reste couché inoffensif, je le finis avec ma langue, insistant sur son gland lubrifié, l’homme soupirait visiblement détendu d’avoir pu se vider, les yeux mi-clos en travers de sa couchette, parlant mais sans que je comprenne mot de ce qu’il disait. Le voyant ainsi détendu, j’en profitais pour ouvrir la portière et descendre le plus vite de la cabine. Heureusement je porte des petits talons quand je sors travestie.
Je démarrai au plus vite, mon « amant » devait encore être sur sa couchette car je ne le vis pas, même dans le rétroviseur en m’éloignant de cette aire d’autoroute où je venais de sucer mon premier (et dernier) camionneur. Même si l’aventure fut assez plaisante, je n’ai jamais réessayé, je me contente de temps à autre de m’arrêter près des camions pour aller aux toilettes, en faisant bien attention lorsque je descends de ma voiture, de dévoiler mes jarretelles aux yeux qui pourraient m’observer. Peut-être un jour un de ses messieurs me proposera à nouveau de lui faire une petite gâterie ?
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