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[vue sur le net] Promotion canapé

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J’ai commencé ma carrière dans une compagnie d’assurance où je travaille encore. J’étais une secrétaire ambitieuse et irréprochable depuis une dizaine d’années et je travaillais directement sous les ordres de la secrétaire de direction. Celle-ci Christiane, avait été promue deux ou trois ans auparavant et déjà à l’époque, je pensais avoir le poste qu’elle avait obtenu alors qu’elle n’était pas meilleure que moi. C’était une femme élégante, brune, avec une belle poitrine. Elle portait toujours des tailleurs assez stricts. Elle avait beaucoup de classe et était toujours souriante. Mais je n’étais pas mal du tout dans un autre style.
Lorsque cette Christiane démissionna pour partir en province où son mari avait été muté, le poste redevenait vacant et je me disais que c’était l’occasion d’obtenir ce poste si convoité. Mais je n’étais pas la seule sur les rangs et je voyais bien quelques jeunes collègues qui tentaient de pousser leurs avantages. Un soir, où plutôt une fin d’après-midi, alors que le directeur était encore dans son bureau et que j’étais seule dans le secrétariat, je pris mon courage à deux mains. Je traversais le bureau de la secrétaire de direction, ce bureau que je rêvais d’occuper, et j’allais toquer à la porte du directeur.
– Entrez
Je respirais à fond et j’entrais
– Bonsoir, Monsieur le directeur.
– Bonsoir Christelle. Vous vouliez me voir ?
A cette époque le directeur de la société était Mr Livert. C’était un homme de cinquante-cinq ans, assez enrobé, avec une calvitie prononcée. Il était très soigné de sa personne, toujours vêtu de costumes impeccables. Il émanait de lui une autorité naturelle dont il avait conscience et dont il usait avec talent. Toujours est-il que prenant mon courage à deux mains je me jetai à l’eau :
– Voilà, monsieur le Directeur, je sais que Christiane a démissionné pour suivre son mari et que son poste est libre et…
Il m’interrompit
– Et ce poste vous intéresse dit-il en souriant
– Oui, monsieur le directeur. Je travaille depuis longtemps dans la société, j’ai même remplacé Christiane lors d’un congé maladie. Je crois qu’avec votre aide je pourrais m’acquitter des responsabilités liées à ce poste.
– Sans doute Christelle, votre travail est apprécié à sa juste valeur, vous le savez, mais un poste de secrétaire de direction impose d’autres compétences, vous vous en doutez. Tout d’abord, il implique une certaine discrétion et une grande disponibilité. Et, ajouta-t-il en souriant, il faut supporter une certaine intimité avec moi puisque vous serez plus souvent moi, et les autres membres de la direction qu’avec vos collègues du secrétariat…
J’ai senti qu’il fallait défendre ma candidature :
– J’en ai conscience, Monsieur le directeur. Vous connaissez ma disponibilité, puisque je n’ai jamais rechigné à rester le soir pour boucler des dossiers lorsque c’était nécessaire. Quant à la discrétion, je suppose que je n’ai pas besoin d’argumenter : vous ne m’avez jamais entendu, ni vous ni personne, raconter ma vie, ou parler des dossiers et des clients. Pour ce qui est de la dernière qualité que ce poste réclame, je ne demande qu’à être mise à l’essai. Donnez-moi ma chance, s’il vous plait.
Il recula sa chaise du bureau et me regarda droit dans les yeux
– Christiane était une secrétaire avec beaucoup de talents. Je la regretterai. Si je vous donne le poste, j’aurai tendance à vous comparer à elle. Pensez-vous que vous supporterez la comparaison. Que vous saurez faire ce qu’elle ne rechignait pas à faire ?
– Je ferai de mon mieux, monsieur le directeur.
– Eh bien je vais vous mettre au défi dès maintenant.
Sur ces mots, tout en me dévisageant, avec un rictus ironique, il ouvrit sa braguette et sorti un sexe, mou, mais déjà de belle taille au repos.
Le rouge me monta aux joues. Mais il fallait savoir ce que je voulais. Et ce que je voulais c’était ce poste. ..
J’avançais lentement vers lui, les yeux fixé sur son membre puis je m’agenouillais. Il écarta les cuisses tandis que je prenais son sexe dans mes mains et je commençais un lent mouvement, une sorte de lente caresse. Puis alors que je commençais à sentir une réaction, que ce sexe semblait prendre vie, je plongeais la tête en avant et je pris son gland dans ma bouche. Il poussa un petit soupir d’aise… Et je commençais à lui administrer une fellation qui devait me faire obtenir le poste convoité. J’ai toujours été une bonne suceuse. Je le sais car c’était la caresse préféré de mon mari et même, lorsque ses ennuis de santé l’ont diminué, ce fut la dernière caresse qui le faisait encore réagir.
Je m’appliquais donc, montant et descendant plus ou moins vite, avec des ruptures de rythme, sortant de temps en temps son sexe de ma bouche pour jouer avec son gland du bout de ma langue… Il était maintenant très excité et son membre, en pleine érection avait belle allure. Je sentis qu’il appréciait mon travail et j’accélérais les mouvements de ma bouche tout en suivant la cadence avec ma main.
Le résultat ne tarda pas et il poussa un grognement en se cambrant et se déversa dans ma bouche. Je prenais bien soin de ne pas sortir sa queue de ma bouche. Il n’aurait pas apprécié une tâche de salive ou de sperme sur son pantalon de costume. J’avalais donc son sperme, consciencieusement jusqu’à la dernière goutte, puis je nettoyais son membre avec ma langue. Enfin, une fois que sa queue ait eu perdu toute sa rigidité, je la rangeais dans son pantalon et refermais sa braguette. Je me relevais, me reculais de quelques pas et tête baissée, un peu essoufflée, j’attendais.
Il y eu un moment de silence, je relevais la tête et le regardais. Il était encore avachi dans son fauteuil et arborais un sourire béat :
– Je crois que vous ferez une bonne secrétaire de direction. Je vais parler de vous à Imbert notre DRH que vous connaissez. Revenez demain soir à la même heure, nous statuerons sur votre cas.

Toute la journée j’avais attendu avec impatience, regardant souvent la pendule qui n’avançait pas. Puis enfin, vers 17h30 les collègues partirent et j’inventais un dossier important pour justifier que je reste après l’heure. J’attendais, ne sachant trop quelle attitude adopter. Attendre, frapper à la porte ? J’hésitais quand Mr Imbert arriva. Son surnom était « le Héron » dans l’entreprise car il était assez grand, dégarni et maigre. Un échalas…
– Bonsoir Christelle
– Bonsoir Mr Imbert
– Nous avons rendez-vous avec Mr Livert me semble-t-il.
– C’est exact, Mr Imbert, mais il ne m’a pas précisé d’heure.
Il ouvrit la porte du secrétariat de direction et alla frapper à la porte du directeur
– Oui entrez… Ah Imbert. Parfait je suis à vous. Voulez-vous faire venir Melle Christelle ?
Je me levais et rejoignis Imbert. Ensemble nous entrâmes dans le bureau de Livert et Imbert referma la porte.
– Imbert, cher ami, je vous ai mandé car je souhaite que vous entériner une décision. Vous savez que Christiane nous quitte. Elle nous manquera. Je souhaite que Melle Christelle prenne sa place
– Bien Mr Livert, mais fera-t-elle l’affaire ? C’est un poste délicat.
– Vous avez raison, mais elle me semble avoir les qualités nécessaires.
– Lui auriez-vous fait passer un test ?
– Exactement. Et elle s’en est très bien sortie
– Vraiment ?
Je sentais dans son ton de l’incrédulité ? Mr Livert eut probablement le même sentiment car il sourit et dit à Mr Imbert
– Je suis sûr que Christelle peut réussir un nouveau test…
Et il fit comme la veille, il fit reculer son fauteuil et ouvrit sa braguette. Il sortit son sexe et attendit.
J’avais de nouveau le rouge aux joues. Il voulait que je recommence, je pouvais m’en douter, mais devant Mr Imbert… J’eu un moment de désespoir qui ne dura que quelques secondes car je réagis au défi : Ils me prenaient pour une oie blanche… Ils allaient voir.
J’avançais vers Livert et comme la veille, je m’agenouillais et sans préliminaires, je pris sa verge dans ma bouche et commençais à le pomper. Je me sentais humiliées et j’avais les larmes aux yeux. Je me raccrochais à l’idée de de ce poste et je pensais à mon mari qui serait si fier de moi si je décrochait ce poste… J’essayais d’imaginer que c’était à lui que je prodiguais cette fellation. Que c’était lui qui bandait dans ma bouche.
Je voyais apparaître de temps en temps, dans mon champ de vision restreint, Mr Imbert qui tournait autour de nous et qui n’étais pas avare de commentaires
– Et bien, en voilà une sacrée suceuse. Elle y met de la bonne volonté. N’est pas mon cher Philippe ?
Mr Livert ne répondait rien, tout à son plaisir de savourer cette pipe magistrale. Mais Mr Imbert n’attendait pas de réponse.
– Oh la petite cochonne… Ce doit être une affaire.
Il s’approcha de nous et je sentis sa main se faufiler sous ma jupe qu’il releva.
– Mais quel cul, s’écria-t-il quel cul !!! Il ne mérite pas d’être couvert par une culotte.
Je sentis qu’il tirait ma culotte vers le bas. Comment faire pour l’en empêcher. Je devais continuer ma fellation puisque Mr Livert ne disait rien.
L’autre ne tarda pas à faire descendre la culotte jusqu’à mes genoux et à insinuer sa main vers mon sexe malgré que je tentais de serrer les cuisses. Sa main entreprit un va et vient sur mon sexe dénudé.
– Mais elle mouille la cochonne. Ça lui plait s’écria-t-il.
Il est vrai que la situation et surtout la pensée que je suçais mon mari m’avait excité plus que je ne l’aurais cru.
Mr Imbert glissa un doigt puis deux dans mon sexe et se mit à me prodiguer une caresse, un peu brutale mais au combien efficace.
– Tu aimes ce que je te fais, hein cochonne… Mais les doigts ce n’est pas ce que tu préfères, j’en suis sûr.
J’entendis le bruit du zip de sa fermeture éclair de braguette puis l’instant d’après, son sexe était à l’entrée du mien. Je n’avais plus envie de résister, je ne pensais même plus au poste convoité, à la promotion, je n’avais plus en tête que mon plaisir. J’écartais un peu les genoux et Mr Imbert s’engouffra d’un trait jusqu’à la garde. J’eu un petit moment d’arrêt, pour savourer la présence de ce membre au plus profond de mon intimité, puis je repris ma fellation de plus belle, pendant qu’Imbert faisait monter mon plaisir à grand coup de reins.
Je sentis le sexe de Mr Livert monter dans ma gorge et le goût acre de son sperme envahir ma bouche tendis qu’il poussait un grognement de satisfaction. Comme la veille, j’attendais qu’il ait éjaculé la dernière goutte pour faire le ménage avec ma langue. L’autre, accroché à mes hanches, continuait ses va et vient et se mis à claironner
– Eh bien Philippe ? Déjà ? Regardez comme je bande mon ami. Je me retiens n’est-ce pas ! Et je l’ai maintenant pour moi tout seul. Cela vous dérange si je l’enfile sur votre bureau ? Il en a vu d’autre, ce cher vieux bureau.
Comme Mr Livert ne disait toujours rien, Imbert me libéra de son emprise et se releva. Son éducation lui ordonna de m’aider à me relever
– Venez ma chère, vous méritez une position plus confortable.
Une fois debout ma culotte glissa jusqu’à mes chevilles et d’un petit mouvement de pied je m’en débarrassais tandis qu’Imbert ôtait son pantalon qu’il avait jusqu’alors juste ouvert. Il présentait toujours une belle érection. Son sexe était plutôt mince, mais d’une longueur honnête.
– Allons chère Christelle, venez par ici
Il me guida entre le bureau et Mr Livert qui nous regardait, avachi dans son fauteuil en tripotant son sexe maintenant flasque. Il me fit pencher vers le bureau. Il troussa ma jupe et me mit une petite claque sur les fesses.
– Avouez Philippe qu’elle a un cul magnifique. Dommage que vous sembliez un peu… désarmé. Bon, j’en profite.
Il présenta de nouveau son sexe à l’entrée du mien et m’enfila. J’étais debout, penchée sur le bureau, la poitrine reposant sur le dessus de bureau en cuir et je subissais les assauts de Mr Imbert qui ne semblait pas pressé de conclure. Je bougeais à son rythme pour essayer de l’aider à monter au septième ciel mais rien n’y faisait.
Je pensais à Mr Imbert qui devait avoir un drôle de spectacle avec à hauteur de sa vue le fessier de son collaborateur qui s’agitait.
Mr Imbert se retira, et me pria de me relever
– Allons ma belle, relevez-vous, voilà. Tournez-vous et posez vos jolies fesses sur le bureau. Bien… Laissez-vous aller en arrière. Parfait. Relevez les jambes. Je suis sûr que Mr Livert appréciera de voir votre vulve, lui qui n’a vu que le dessus de votre crane.
J’étais exhibée, allongé sur le dos sur le bureau, les cuisses relevées, les jambes retenues par mes mains sous mes genoux. Mon intimité s’étalait sous le regard de ses deux hommes, l’un dans son fauteuil essayant de redonner de la vigueur à son sexe mou, l’autre, pérorant debout, le sexe en érection, le front en sueur avec de larges auréoles qui décorait sa chemise sous les aisselles.
– Alors Philippe ? Non ? Tant pis, j’y retourne…
Et il enfila de nouveau son sexe, dans le mien, de toute sa longueur…
Mr Imbert était penché sur moi, ahanant à chaque coup de reins. Il finit par se pencher tant que nous étions visage contre visage et qu’il m’embrassa en enfonçant profondément sa langue dans ma bouche.
Je vis derrière lui Mr Livert qui s’était relevé et qui tenait dans sa main son sexe qui avait repris une vigueur certaine
– Mon cher Patrick, dit-il je ne sais pas si c’est de voir vos fesses s’agiter sous mon nez ou si c’est votre performance sexuelle, mais cela m’a donné des idées. Et de l’énergie ! Une énergie que je voudrais vous faire partager
Je le vis s’enduire le sexe de salive tandis que prise d’une impulsion subite, m’enfermait Mr Imbert dans mes bras. Celui-ci cessa son baiser sauvage et tenta de se relever alors que Mr Livert était collé derrière lui. Trop tard… Avec une habileté qui traduisait une longue expérience, Mr Livert introduisit son gland entre les fesses du DRH et d’une poussée inexorable s’enfonça dans son anus.
Imbert poussa un petit cri à moitié de surprise et à moitié de douleur. Je sentis son sexe qui était toujours en moi doubler de volume… Les deux cochons n’en étaient pas à leur première expérience de ce type.
Ma promotion prenait un tour irréel : j’étais sur le dos sur le bureau, jambes en l’air avec la queue du DRH de l’entreprise plantée dans mon intimité alors que celui-ci se faisait sodomiser par le directeur.
Après quelques mouvements désordonnés, nous nous mimes en harmonie, en rythme. Nous étions en phase. Les coups de reins de Mr Livert donnaient la cadence.
– Mon cher Patrick, votre cul est aussi accueillant que le con de Christelle, bien que je ne l’ai pas encore essayé. Mais saurez-vous sucer comme elle ? A voir aussi… Ah je crois que je vais jouir dans votre cul cher ami. Je viens, je viens…
Il poussait un véritable grognement. Je sentis Mr Imbert se cambrer et se déverser à son tour dans mon sexe alors que, balayée par l’orgasme, je laissais tomber mes jambes.
Nous restâmes de longues minutes absolument inertes, puis Mr Livert de retira. Mr Imbert fit de même, et tous les deux, me prenant galamment chacun par une main, me redressèrent. Je restais assise sur le bureau, puis je me mis lentement sur mes jambes flageolantes et je me penchais pour récupérer ma culotte qui gisait sur le sol, et l’enfilait.
– C’est vrai qu’elle a un cul superbe dit Mr Livert
– Et beaucoup de talent répliqua Mr Imbert. Mon cher Philippe, je pense que vous avez fait le bon choix.
– Et bien arrosons donc cette promotion. Patrick, sans vous commander, voyez dans le frigo, il doit y avoir une bouteille de champagne.
Nous le vîmes, les fesses à l’air, partir vers le frigo et revenir avec une bouteille, son sexe pendouillant entre ses cuisses maigres.
– Et remettez votre pantalon, mon vieux, vous êtes ridicule..
Devant l’air dépité de Mr Imbert, sa queue à l’air et sa bouteille de champagne entre les mains, nous partîmes, Mr Livert et moi, d’un grand éclat de rire bientôt partagé par Mr Imbert.
J’étais devenue la secrétaire de direction…

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