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troisième sortie publique sans culotte

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Voici le récit de ma troisième sortie sans culotte. Cette sortie c’est très bien passée. Pascal est content de moi et je suis heureuse pour mon plaisir et pour le sien.

Comme toujours avant le passage d’une épreuve de mon éducation. je n’ai pas le droit de me laver la chatte. Vu comment c’est passé ma seconde sortie, Pascal m’intime l’ordre de me faire jouir le soir avant le dormir. il choisi même comment je dois faire puis je dois lui faire une compte rendu avant de dormir.
Je ne vous le dirais pas ici, je me garde un peu d’intimité et je ne suis pas encore prête à tout dire.

Au matin, je me réveille reposée et détendue. Je me caresse un peu avant de me lever, c’est un peu une habitude chez moi. Je relève mes messages et Pascal qui lui c’est levé tôt m’a déjà souhaiter une bonne journée.
Je lui renvoie la politesse et je vais prendre mon petit déjeuner.

Une fois terminé, je retourne lire mes messages : j’ai des instructions de Pascal.
Je n’ai pas le droit de me toucher, de jouer avec les pinces pour rester sage. Je dois remette la même jupe que l’autre jour, la plus courte dont je dispose. Je dois mettre une culotte dans mon sac par sécurité, ce sera la dernière fois où j’aurais le droit de faire cela. Il me rappelle aussi que je n’ai plus beaucoup de crème pour masser ma vulve et que j’irais en acheter, je dois donc prendre un peu de monnaie.
Je choisi mes vêtements. ce sera un top blanc et une veste de tailleur grise.
Je mets dans mon sac, la culotte, des kleenex, trois sucres et une petite bouteille d’eau.
Je m’habille et passe en revue mes préparatifs. Tous est bon … non j’ai oublié de raser les trous dans ma chatte. Pascal ne me le dit plus et je pense que si j’oublie je serais punie. Je vais vite dans la salle de bain pour rendre ma chatte pas très présentable.

Cette fois ci. Je suis fin prête. J’envoie un message à Pascal pour le prévenir.
J’attends sa réponse pour qu’il me donne le go et qu’il me suive.
Cinq minutes passent, pas de réponse.
Dix minutes toujours rien, je me rends compte que j’ai vraiment besoin de lui, pour qu’il me rassure et m’encourage.
Sa réponse arrive enfin. il sera avec moi et je m’essuie la vulve qui coule déjà et je pars.

Je quitte la maison et me dirige vers l’arrêt de bus. Le vent passe sur ma chatte mouillée, c’est génial. Arrivée à l’arrêt, j’envoie un message à Pascal pour lui dire où j’en suis. Le temps que j’écrive, le bus est déjà là. Cette fois ci je reste debout. Mon esprit vagabonde, je repense à nos conversations. L’achat d’un seul préservatif en pharmacie, je suis très tentée de la faire. J’aimerais aussi que quelqu’un voit ma chatte. J’en fait part à Pascal. Il juge que si je lui en parle maintenant, c’est que je suis prête. Je lui répond que j’aimerais bien en effet mais j’ai peur de la réaction de celui ou celle qui la verra. Il me rassure. Le bus arrive.

Je reste debout dans le bus pour ne pas faire comme la dernière fois Juste une petite goute tombe dans le bus. J’ai chaud mais tout c’est bien passé. J’arrive à gérer mon excitation et mes moments d’apaisement. Je marche un peu puis me dirige vers la pharmacie faire mes achats. Je préviens Pascal que je vais entrer. Il y a quelques personnes devant moi. Arrive mon tour, je demande la crème à une jeune femme, la trentaine environ. Elle va la chercher puis revient et me demande s’il me faut autre chose, j’ai très chaud maintenant. Je demande un préservatif, je pique en phare et elle me sourit et me dit bien sur. Je règle la note et la jeune femme me souhaite une bonne après-midi. Cela m’interpelle, elle avait dit aux autres clients bonne journée. En y repensant, quelle façon polie et élégante de me dire qu’elle avait compris que j’allais faire l’amour cette après-midi.
Je sors et envoie un message à Pascal pour lui dire comment cela c’est passé.

Je marche jusqu’à un square et je m’assieds sur un banc en face des pelouses et de allées. J’en profite pour manger un sucre et boire un peau d’eau, j’écris encore un message à Pascal pour lui dire où je suis. Pendant ce temps, il m’écris aussi un message pour me conseiller de manger un sucre. S’il n’a pas lu dans mes pensées, nous sommes sur la même longueur d’onde. Je ressens cette chaleur dans mon bas ventre; sensation que j’aime tant.
Je suis maintenant là pour que quelqu’un voit ma chatte, je suis très motivée même si j’ai encore une certaine appréhension. Je mets ma cheville droite sur mon genoux gauche puis je relève un peu ma jupe. Je vérifie la vue discrètement avec mon téléphone: j’allume l’appareil photo et je choisi l’objectif frontal; cela me permet de l’utiliser comme un miroir. Si une personne passe et regarde comme il le faut, il la verra. J’explique ce que je viens de faire à Pascal puis j’attends. Plusieurs personnes passent sans même me voir. Après plusieurs minutes, un monsieur, plutôt bien habillé regarde vers mon entre-jambes; il me souri et me dit bonjour sans s’arrêter. Je suis assez honteuse mais je ne sais pas s’il a vu ce qu’il fallait voir. J’envoie un message à Pascal pour avoir son avis, il n’a pas eu de réaction particulière, il n’a donc rien vu. Ce sera pour une prochaine fois.

Il est midi passé, cela fait une heure et demie que j’ai quitté la maison. Je commence à avoir faim et j’ai le droit de rentrer.
Je remonte légèrement ma jupe, 1 à 2 cm pas plus et je retourne vers le terminal des bus. J’arrive à l’heure de pointe avec tous ces gens qui travaillent et qui rentre chez eux pour déjeuner.
Je monte dans le bus en restant debout. Pendant le trajet, je veux garder cette sensation de chaleur. j’alterne le croisement de mes jambes serrées très fort avec des moments de relaxation. Pour simplifier, je me masturbe dans le bus au beau milieu tous ces gens. J’ai envoyé un message à Pascal pour lui demander le droit de manger nue avec des pinces sur les tétons et mes poids au lèvres.

Lorsque je sors du bus, je n’y ai laissé aucune goute cette fois, j’ai les cuisses mouillées. Je rentre à la maison dans cet état. A l’arrivée, Pascal m’autorise à être nue mais je n’ai ni le droit aux pinces ni aux poids. Je n’ai pas non plus le droit de jouir. J’en avais vraiment envie. Je dois me calmer avant de mettre mes ustensiles. Je l’écoute comme une petite fille sage.

Je réchauffe mon repas, me regarde dans la glace plusieurs fois, j’en ai des contactions dans le vagin. je suis très, très, excitée.
Il me demande comment ça va. Je lui dis que j’ai du mal à me calmer et que je ne me suis même pas touchée pour ne pas décoller. Il me dit : « Un exploit de ne pas vous toucher !  » puis « Cochonne, vous vous regardez dans un miroir? ». Je ne peux qu’avouer. Je n’aurais le droit à ce que je lui ai demander que si j’arrive à me calmer. Je mets de la musique et je mange tranquillement, cela m’apaise et je lui fais savoir puis je fais la vaisselle .

Il a une course à faire et il m’autorise à jouir à condition de lui en faire un compte rendu détaillé. Le contenu de mon compte rendu est peu de choses près les trois prochains paragraphes:

J’ai mis les pinces sur mes tétons, j’ai mis mes attaches sur les lèvres et j’ai ajouter les poids. J’ai commencer à me caresser, je montais bien puis j’ai mis une pince sur mon clitoris. Je me suis caressée les seins, les auréoles en faisant le tour des tétons pincés. mes auréoles étaient toutes contractées.

J’étais à deux doigts de l’extase, mon téléphone c’est mis à sonner. J’ai vu que c’était ma meilleure amie. J’ai hésité à décrocher vu mon état mais, l’élan était déjà rompu et une pensée perverse m’a traversé l’esprit. J’ai décroché.

J’ai dû me maitriser mais j’avais malgré tout une respiration haletante. Mon amie m’a demandé si j’étais en train de courir, je lui ai répondu que oui. Nous avons parlé 3 minutes. Si seulement elle savait que son amie est une cochonne.
J’ai raccroché, j’avais très chaud et j’étais plutôt honteuse d’avoir parlé à mon amie dans cet état. J’ai ôté la pince de mon clitoris puis je l’ai à peine caressé avant d’exploser. J’ai gémis, crié, eu des spasmes et des tremblements. L’orgasme a duré une longue minute, enfin je le pense la notion de temps est perturbée pendant ces instants, puis j’ai mis du temps à m’en remettre.

J’ai réussie mon épreuve. Je ne sais pas encore quelle sera la suivante.

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