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Elle avait le ballon

Elle avait le ballon



Je n’avais pas revue Marilyn depuis plusieurs mois mais ce jour-là, en allant acheter mon journal, je suis tombé sur elle. On avait eu une aventure ensemble qui avait duré quelques mois mais ça n’avait jamais collé entre nous et nous nous étions séparés.
– Eh bien, félicitation, lui ai-je lancé en la serrant dans mes bras !
– Eh, oui, je suis enceinte, m’a répondu Marilyn !
– Et l’heureux papa ?
Je voyais bien qu’elle n’avait pas d’alliance à son doigt, mais de nos jours…
– Il n’y en a pas, m’a répondu Marilyn ! Il n’y en a plus !
Je ne voulais pas m’attarder sur le sujet mais elle a tenu à m’expliquer que son mec avait fui quand il avait su qu’il l’avait fécondée et qu’elle voulait garder l’enfant. Je lui ai demandé si elle habite toujours chez ses parents.
Ce n’était pas très loin et elle a exigé que je la suive chez elle. Ça n’avait pas changé. Je n’avais vu ses parents qu’une ou deux fois et j’avais profité de leur absence pour venir la sauter quand ça ne s’était pas passé chez moi.
Sur la table du salon, il y avait une pile d’enveloppe et il n’y avait aucun doute qu’elles venaient de chez un photographe. Je lui ai demandé si elle s’est mise à la photo. Marilyn m’a répondu qu’elle se fait photographier.
– Ta grossesse ?
– Oui, pourquoi pas, m’a-t-elle répondu ! Ça fera des souvenirs pour ma fille !
– Tu sais que c’est une fille !
Elle savait.

Elle m’a laissé ouvrir les enveloppe. C’était des photos de sa grossesse, semaine après semaine et ça devait lui coûter bonbon. Il restait une dernière enveloppe, un peu plus remplie que les autres. Je l’ai ouverte et j’ai reconnu des photos que j’avais prises de Marilyn quand on était ensemble. Celles-ci avaient été prises chez moi, ces autres chez elle et d’autres encore, prises un peu partout où nous étions allés ensemble et comme pour les photos de sa grossesse, elle était nue. Il y en avait même où nous étions ensemble. J’avais calé l’appareil sur un muret et j’avais mis le retardateur. J’ai dit à Marilyn qu’on voit ma bite. Elle m’a demandé si j’ai honte.
– Il n’y a pas ton ex, ai-je ajouté ! Tu veux me faire passe pour le père ?
– Encore faudrait-il que je fasse un site sur le net, m’a répondu Marilyn !
Encore aurait-il fallu qu’elle trouve quelqu’un pour lui faire un site. Elle a ajouté qu’elle pourra toujours les mettre sur un site de cul.
– Tu veux pas me baiser ?
Je suis resté sans réagir. Elle a ajouté que c’était juste pour me faire plaisir.
– Il faut que je me change ! Tu veux voir mon gros ventre ?
Elle commençait à me chauffer, d’autant plus que je commençais à bander.
– Je vais te sauter !
– Vous êtes tous les mêmes, m’a répondu Marilyn ! Au moins, là, tu sais que tu ne risques rien !
Elle a disparu dans le couloir et quand elle est revenue, elle s’est étonnée que je ne sois pas déshabillé.
– Aller ! Oust, m’a-t-elle dit en m’arrachant mes vêtements ! Tu m’as donné envie et je ne vais pas changer d’avis !
Elle a fait coulisse ma bite dans la paume de sa main puis elle m’a dit que je n’ai pas changé.
– Tu me fais jouir, comme autre fois ? Ton successeur, lui, il ne savait pas et je devais me finir !
– Tu veux que je te prenne comment, lui ai-je demandé ?
– Comme tu veux !
– Tu n’as pas peur que…
– Ah, je me souviens, m’a répondu Marilyn ! Tu était obsédé par ça !
– Je voulais juste…
– Ne recommence pas, sinon je te fous dehors !
Elle n’avait pas arrêté de me narguer avec son cul et je commençais à en avoir marre de sa chatte. Son trou du cul…
Elle s’est penchée en avant et elle a posé ses mains à plat sur le lit. J’ai enfoncé ma bite dans sa chatte et j’ai commencé à limer. Je me souvenais très bien qu’elle voulait toujours que je lui touche les seins. Maintenant, il y avait son gros ventre et ses seins avaient doublé de volume. Je les ai caressés tous les trois puis j’ai attrapé les hanches et je me suis mis à labourer. J’ai dit à Marilyn que c’est bon. Elle m’a répondu que c’est comme avant.
Quand je l’avais traitée de pute en lui faisant l’amour, elle s’était fâchée mais là, elle n’a rien dit. Tout à coup, mon regard a été attiré par un objet sur la commode et que je n’avais pas vu. Je lui ai demandé ce que c’est. Elle m’a répondu de ne pas faire l’idiot puis elle a ajouté que je sais bien que c’est un plug.
– Un plug anal ?
– Oui !
– Tu aimes ça, maintenant ?
Elle m’a répondu qu’elle aime bien.
– T’as changé d’avis ?
Elle ne m’a rien répondu mais elle a fini par me dire qu’elle aime bien le sentir quand elle marche.
– Et tu sors avec ?
– Oui ! Je ne porte même plus de soutif ! Tu m’as assez souvent fait la leçon, a-t-elle ajouté ! Et puis maintenant, j’ai mon ventre pour les soutenir !
J’avais vu. Je me suis cramponné à ses fesses et j’ai repris la saillie. J’étais obnubilé par le plus anal. La partie inférieure était grosse comme un citron et la partie extérieure était ornée d’une sorte de diamants gros comme un pièces de cinq francs.
– Touche-moi les seins !
J’ai lâché sa hanche pour att****r un nichon. Je l’ai caressé, soupesé, bousculé et je me suis accroché à son mamelon. Marilyn m’a dit qu’elle aime ça.
Quand j’ai lâché son nichon, j’ai voulu me raccrocher à sa hanche mais j’ai dérapé et ma bite est sortie du vagin et quand j’ai voulu la renfoncer, j’ai vu l’anus, avec sa rosette si parfaite.
– Qu’est-ce que tu fais, m’a demandé Marilyn ?
– Ça va, lui ai-je répondu ! J’y retourne !
– Qu’est-ce que tu fais, m’a encore demandé Marilyn ?
Dans l’affolement, je m’étais trompé de trou et si elle avait une belle rosette de trou du cul, le trou était très souple et je m’étais enfoncé sans effort.
– Je t’encule !
Elle m’a répondu qu’elle ne veut pas mais j’ai insisté.
– Je t’encule, Marilyn, lui ai-je répété !
De guerre lasse, elle n’a plus insisté. J’ai continué dans son anus puis je lui ai dit que je suis sûr que ça lui plaît. Elle a grogné et elle a grogné à chaque fois que je lui ai dit puis elle m’a laissé faire.
– Je t’en prie ! Touche-moi les seins, a fini par gémir Marilyn ! J’en ai besoin !
J’ai fait ce que j’ai pu mais ce qui m’importait, c’était de l’enculer. Et je l’enculais.
– Je t’encule ! Je t’encule, Marilyn, lui ai-je lancé plusieurs fois !

Je l’enculais. Je ne sais pas vous, mais c’était vraiment jubilatoire. Un mec, c’est normal, mais baiser une femme dans ce trou-là !
Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais je bandais. Ma bite était raide et elle ne mollissait pas.
– Je t’encule !
– Oui, m’a répondu Marilyn ! T’es un pédé !
Je lui avais raconté. Quand je faisais mon service militaire, on avait tellement picolé que je n’avais pas pu les en empêcher et mes compagnons de chambrée m’avaient enculé. Je ne savais pas combien l’avaient fait mais quand j’avais pu me relever, j’avais du sperme tout le long des jambes. J’avais essayé de me venger mais on m’avait fourré une bite dans la bouche et j’avais sucé. Après, je n’avais plus aucun souvenir.

J’ai quand même fini par jouir dans l’anus de Marilyn. Je suis resté collé à ses fesses encore un bon moment puis elle m’a expulsé. Elle m’a traité de cochon et elle a ajouté que je devrais avoir honte. Après, elle a sorti son smartphone et elle a souhaité qu’on fasse un selfie.
– Comme ça ? Tous les deux ?
– Oui, on dira que tu es le futur papa !
Elle a pris sa photo. Elle n’avait pas de code de sécurité et j’ai supprimé la photo un peu plus tard mais je n’avais pas compté sur la duplicité des femmes car elle l’avait déjà sauvegardée et le lendemain, elle me l’a envoyée.

Je lui ai dit que je veux passer la nuit avec elle. Elle a d’abord refusé puis elle a accepté mis j’étais trop fatigué et je me suis contenté de dormir à son côté. Nous avons repris l’habitude de baiser et je regrettais de l’avoir laissée me larguer mais après l’accouchement, j’ai pris mes jambes à mon cou et je cours encore.

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