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Le petit fils et son grand-père suite

Le petit fils et son grand-père suite



Le soir prévu j’enfilais la robe noire offerte par Paul, elle descendait jusqu’ mes chevilles. le décolleté plongeait jusqu’au ras de mes aréoles, en laissant apercevoir un petit morceau de brun. Elle était retenue par de fines bretelles sur les épaules, laissant mon dos nu. Il n’était pas pensable de porter un soutien gorge en dessous. Mes cheveux châtain doré, presque blonds étaient noués en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complètement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornaient mes oreilles et un collier du même genre pendait à mon cou. La robe possédait trois fentes sur le devant, deux de chaque coté sur mes cuisses, elles remontaient jusqu’à mes hanches, une troisième centrale qui lorsque je marchais laissait deviner le bas de mon pubis. A chaque mouvement on apercevait une bande peau blanche, au dessus de mes bas noirs. Assise, la fente du milieu baillait assez largement, on devinait la naissance de ma fente, les ouvertures de côté dévoilaient sur mes deux cuisses les fermetures et les lanières de mon porte-jarretelles. Paul m’avait demandé de ne pas mettre de string.
Le patron, un monsieur aussi âgé que Paul, nous souhaita la bienvenue. Il nous fit entrer dans un salon particulier. Daniel était partit aux toilettes.
– Vous serez tranquilles ici, dit-il en souriant
– Marcel, c’est toi qui nous sert…
– Bien sûr comme convenu Paul…
Il était passé derrière moi et avait entouré ma taille de son bras.
– Marcel je te présente Trixie…
Marcel s’avança, pour me serrer la main, la main de Paul tira sur les pans de ma robe, dévoilant ma chatte encadrée du porte-jarretelles au regard de son vieux copain, ses yeux s’illuminèrent et un grand sourire apparu sur sa figure ridée.
– Parfait, parfait… magnifique…
La table était ronde assez grande, Paul me fit asseoir près de lui, reléguant Daniel assez loin de nous.
– Ce n’est pas tous les jours que je peux être en compagnie d’une aussi jolie fille, tu permets que je l’accapare pendant le dîner, Daniel ?
La lumière tremblotante des bougies des trois chandeliers et une lumière tamisée mettaient une ambiance romantique.
A peine assis, je sentis la main du vieux grand-père se poser sur ma cuisse, repousser les pans de ma robe, tirer sur mon genou pour me faire ouvrir les jambes… et découvrir ma chatte, Daniel ne pouvait rien voir. Paul se mit a me questionner, sur ma vie, mon boulot.
Je compris que le vieux coquin voulait faire profiter de ma chatte aà son vieux copain, J’obtempérai à sa,demande.
– Voila qui est mieux…
Le dîner servi par le vieux copain de Paul, qui n’arrêtait pas de lorgner dans mon décolleté et de regarder mes jambes et ma chatte glabre découvertes, fut succulent. Le vin était excellent et j’en abusais un peu. Nous avions fini de manger, la main ridée de Paul se glissa a nouveau le long se la lanière de mon porte-jarretelles. J’écartais un peu plus les jambes… son majeur s’insinua dans ma chatte. Un léger mouvement, sur ma droite le serveur était à côté de moi, il avait suivit avec attention la pénétration du doigt de Paul, il tenait une bouteille de vin.
– Mademoiselle Trixie prendra bien deux  doigts…. de…plus… de… de ce…. merveilleux vin ?
– Ouui, oui… bien sûr bredouillais-je rouge comme une tomate.
Aussitôt je sentis l’index, pui l’annulaire de Paul venir rejoindre son majeur dans ma chatte.
– Très bien dit le majordome… Mademoiselle apprécie ?
Vu la bosse de son pantalon, je subodorai qu’il ne portait pas de slip. Nous en étions au dessert.
– Marcel, une coupe de champagne s’il te plaît.
Il s’empressa de nous servir. L’alcool aidant, je me penchais pour lui tendre mon verre, la robe bailla sur mes seins, dévoilant mes tétons érigés, je restais penchée, un léger tremblement agita sa main et du champagne se répandit sur la table. Daniel, tout occupé à déguster son repas, n’avait pas l’air de se rendre compte du jeu qui se déroulait sous ses yeux.
Je bu lentement mon champagne en regardant le vieux Paul qui se léchait les doigts pleins de mon foutre. Il me semblait que son regard devenait coquin. Il fit un léger signe de tête à Marcel.
– Mademoiselle prendra bien un fruit !
Me demanda le majordome, et sans attendre ma réponse, il prit une banane dans la corbeille. Il la pela délicatement, l’approcha lentement de mes lèvres. Je regardais Paul, ses yeux me fixaient tendrement. Puis mon regard se porta sur Daniel, il avait l’air ébahi. Je plongeais mon regard dans le le sien et sortis ma langue pour lécher le bout du fruit. Marcel me la fit pénétrer lentement dans la bouche, puis la ressorti tout aussi lentement. Il recommença trois ou quatre fois l’opération, comme si je suçais un phallus, puis il me la fit entièrement avaler.
Mais avant qu’il ne la ressorte entièrement, je croquais le bout, en souriant à Daniel.
Marcel posa un petit panier de fraises sur la table accompagné d’une coupe de crème chantilly.
– Après la banane, Mademoiselle Trixie goûtera-t-elle aussi les fraises ?
Je regardais à nouveau Daniel avec un air de défi, il faisait triste mine.
Le maître d’hôtel trempait les fruits dans la crème, et me les faisait manger voluptueusement une à une. Astucieusement, il les approchait de ma bouche puis les reculait, pour que je sois obligée de me pencher en avant, ce qui ouvrait mon décolleté, dans lequel son regard plongeait sans aucune retenue. Je penchais la tête en arrière, me renversant sur le dossier de la chaise. Il avançait puis reculait le fruit rouge lorsque mes lèvres voulaient le saisir, je sentis sa main s’insinuer dans le décolleté de ma robe, il caressa mon sein droit, titillant le téton et il le dénuda lentement, je frissonnais. Daniel, sans voix semblait subjugué, ! Ma langue léchait la crème sur les fraises. Marcel en avait plein les doigts, il me les fit sucer. il se pencha pour lécher la chantilly qui avait coulé sur mon mamelon, il en profita pour le mordiller, je gémis de plaisir.
– Mademoiselle à l’air d’aimer la chantilly… Vous allez pouvoir en manger !
Il sortit son sexe. Je fus en admiration devant la longueur et la grosseur du phallus de ce vieux de plus de soixante quinze ans, qui pendait flasque au bout de sa main, et descendait presque jusqu’à son genou.
– Oh lala… Ta bite est monstrueuse…
– Si Mademoiselle veut bien profiter de ma cuillère…
Il mit son sexe au dessus de la coupe de crème. Il ne bandait pas et le bout effleurait la chantilly.
Je fixais Daniel, il s’était levé et avait rapproché sa chaise, il s’aperçut alors que ma robe découvrait entièrement ma chatte et que j’avais les jambes grandes ouvertes.
– Salope… éructa-t-il !
Je pris délicatement le phallus de Marcel, décalottais son gland en tirant lentement son prépuce vers l’arrière. Je plongeais au fur et à mesure la bite dans la mousse onctueuse. Je la tournais dans la coupelle pour bien l’enduire. Marcel prit sa bite d’une main et me la porta à hauteur de la bouche. Je léchais à petits coups de langue la friandise blanche. Il y en avait pas mal entre son prépuce rétracté et son gland, la pointe de ma langue faisait doucement le tour des seize centimètres de circonférence de son gland bien décalotté. Mes jambes étaient découvertes jusqu’à l’aine, offrant sans pudeur ma chatte aux regard s des trois hommes. Marcel commençait à bander, sa queue se relevait imposante. Je l’attrapais et la replongeais dans la crème. Puis enfournais cette fois le gland dans ma bouche, j’aspirais comme une gourmande, avec le bout de ma langue j’essayais de nettoyer son méat, dont la fente était assez grosse pour permettre au bout de ma langue de s’y insinuer. Cela lui tira un gémissement de plaisir.
Il me sembla que Daniel se masturbait doucement. Marcel me fit lever, je voulu remonter ma bretelle, il m’en empêcha.
Il me positionna devant Paul toujours à table. Je m’assis sur celle-ci, son vieux copain m’attrapant sous les cuisses me fit basculer vers l’arrière, je m’appuyais sur mes avants bras. Il avait largement remonté sur mon ventre ma robe, laissant mon ventre dénudé par une large bande de peau bronzée au dessus de mon porte-jarretelles. Me tournant légèrement de côté, il écarta largement mes jambes, pour offrir une vue complète de la suite des opérations aux deux hommes qui regardaient. Il m’attrapa le sein droit, et me roula le téton entre son pouce et son index. Puis sa main gauche descendit sur mon ventre et se glissa sous le porte-jarretelles. Tout en me caressant l’abdomen. Avec le majeur de sa main droite, il le frotta le long de la fente de ma chatte. Celui-ci fut aussitôt trempé par le foutre poisseux qui s’en écoulait. Il enfonça sa première phalange dans mon orifice vaginal, comme pour bien l’imprégner.
– Tu as vu Paul, comme elle mouille la petite coquine ! Sa chatte est trempée. Il enfila son majeur entièrement dans mon vagin qui offrait Daniel une vue parfaite sur mon orifice béant. De son pouce, me caressa le clitoris. Il était vieux, mais il savait y faire pour exciter les jeunes femmes, Marcel.
Paul s’était levé et avez sorti son sexe. Il bandait, et se caressait doucement.
– A mon tour d’être gourmand….
Daniel commençait a s’exciter.
– Petite Salope, pute… tu te laisses tripoter par des vieillards…
– Toi tu te tais, tu regardes, tu prends de la graine… tu vas regretter qu’elle te quitte… c’est une fille merveilleuse gronda Paul.
Le patron du restaurant attrapa la coupe de chantilly prit le reste de la crème sur son index et son majeur et me badigeonna la chatte bien rasée, la faisant pénétrer assez profondément dans ma fente. Puis il commença à me lécher, je sentais sa langue me fouiller, remonter au clitoris, qu’il suçait avidement, me le mordillant. Je me tortillais et gémissais de plaisir. J’avais réussi à att****r le pénis de Paul et le masturbait vigoureusement.
– C’est délicieux, Paul la chantilly parfumée au foutre de Mademoiselle Trixie. Voulez-vous goûter ?
Demanda-t-il ironiquement à Daniel..
Un juron lui répondit
Paul ne se le fit pas dire deux fois, je sentis son double menton me frotter l’entrejambe, tandis que sa langue me parcourait le vagin.
– C’est dommage, il n’y en a plus… rétorqua Paul !
– Bon alors on va nettoyer la chatte de Mademoiselle !
Le maître d’hôtel attrapa la bouteille de champagne et me versa une rasade de liquide sur le mont de vénus. Il écarta de deux doigts mes lèvres et en fit couler encore un peu à l’intérieur.
– Paul si tu veux bien boire !
Celui-ci se pencha, lécha ma fente, aspira le liquide mêlé au mon foutre de mon vagin.
– Marcel dit-il tu as des idées merveilleuses !
– Si Monsieur veut bien me permettre… dit-il en s’adressant à Daniel.
Il s’installa entre mes jambes. Il me sorti délicatement l’autre sein, les caressa pour bien faire dresser mes mamelons.
– Paul, les tétons de Mademoiselle Trixie sont étonnants, as-tu remarqué la longueur qu’ils peuvent atteindre ?
Il me mit la jambe droite sur son épaule. Son énorme gland chercha mon orifice anal, le champagne l’avait imprégné et le fait que ma jambe soit surélevée l’ouvrait largement. L’énorme rouleau y pénétra tout en douceur, mais sans aucun arrêt. Apparemment Marcel comme Paul était un as de la sodomie, sa toison blanche vint me chatouiller, le mont de vénus. Paul et surtout Daniel ne perdaient pas une miette du spectacle. J’avais repris sa queue en main et la caressais doucement.
Daniel avait l’air admiratif, de ce que me faisait Marcel. Je lisais dans ses yeux une jalousie féroce, pour l’exciter je me mis à gémir, disant à Marcel que j’adorai sa grosse queue.
– Mets toi à l’aise Paul, je te laisse la place…
Paul se déshabilla en un tour de main. Lorsqu’il baissa son slip sa verge, jaillit comme un diable monté sur ressort. Il me fit pencher sur la table, je cru qu’il allait lui aussi me sodomiser. Mais je sentis son phallus s’insérer dans mon vagin, et il commença de lents mouvements de pénétration. Il s’appliquait à bien faire entrer sa virilité jusqu’au bout, pour me tirer lui aussi des gémissements de plaisir. Marcel s’était mis devant moi, il me pencha la tête sur son appendice ou quelques gouttes de liquide perlaient. Je le suçais comme un bâton de sucre d’orge. Il me malaxait les seins. Paul me tenait par les hanches et s’escrimait toujours pour me tirer des râles de plaisir, ses coups de boutoir et la caresse de ses mains sur ma poitrine, me firent enfin gémir de plaisir.
Paul aidé en cela par Marcel grimpa sur la table, il se coucha sur les coudes et me demanda de m’empaler sur sa verge. Ce que je fis lui tournant le dos. Mes deux seins hors de ma robe, tressautaient sous ses assauts.
Daniel s’était mis en face de moi, il se masturbait avec vigueur.
Dans cette position son phallus me faisait plus d’effet. Marcel empli une coupe de champagne et me fit boire le liquide ambré et pétillant. Il en fit couler sur mes seins, suçant ensuite mes mamelons. La faisant passer par dessus ma tête, il quitta ma robe. Il fit ensuite couler du liquide ambré sur mon ventre, inondant mon porte-jarretelles et mes bas et se mit à me caresser le clitoris ruisselant de vin pétillant, tandis que genoux écartés, cuisses ouvertes j’avais englouti entièrement la bite de Paul et m’étais assise sur ses cuisses. Je hurlais d’extase. J’embrassais le vieux Marcel pervers, lui titillant sa langue avec la mienne, puis l’aspirant dans ma bouche. Je sentis les mains de Paul me saisir les seins, les presser fortement. Il se vida de sa vieille semence, dans mon vagin ruisselant de champagne, j’attendis le dernier spasme de son pénis pour descendre de la table, me pencher sur lui et bien le lui lécher.
Marcel était monté à son tour sur la table, jambes pendantes de chaque côté. Il entretenait sa condition physique, le vieil homme. Il me dit de venir le rejoindre et de m’accroupir de dos sur son pénis tendu. Il le tenait fermement d’une main.
– Met le dans ton anus…
Je guidais l’imposant mandrin, dans mon orifice anal bien ouvert, avec ma position accroupie, il glissa presque tout seul entre mes parois anales elles aussi détrempées par le champagne. Lentement pour bien profiter de la grosseur de la queue qui m’empalait, je me relevais et me rabaissais tout aussi doucement. Puis tenant la bite rigide d’une main, j’alternais les pénétrations entre ma chatte et mon anus. Lorsque les poils pubiens blancs de Marcel frottaient mon entrejambe, son sexe emplissant bien à fond mon vagin, je remuais lascivement mon bassin d’avant en arrière ou en rotation autour de l’énorme pieu, regardant ironiquement Daniel, qui marmonnais toujours des insultes a mon égard.
Paul lui s’était accroupi devant la table et ne ratait rien des pénétrations. Puis il se leva, passa à coté de moi et me caressant les seins se mis à m’embrasser comme un fou.
– Maintenant, tourne toi et met toi à genoux, Marcel enfonce bien ta bite dans la chatte de Trixie.
Ouvrant une seconde bouteille de champagne, qui trempait dans un seau de glace, il l’ouvrit, me fit pencher sur le torse de Marcel et fit couler le liquide glacé entre mes fesses. Je poussais un cri de surprise et le froid me couvrit de chair de poule. Paul s’était mit à plat ventre sur la table et je sentis sa langue s’insinuer dans mon orifice anal. Il lécha le breuvage répandu. Puis deux et enfin trois doigts remplacèrent la douce caresse de son appendice buccal.
Marcel avait récupéré la bouteille, et me faisait boire de petites gorgées glacées. Je ne sais pas si c’était l’alcool qui commençait à me faire beaucoup d’effet mais il me semblait être dans un rêve. La sensation de bien-être était décuplée par la chaleur qui montait de mes entrailles… Marcel accélérait la cadence de ses pénétrations. De violents spasmes contractèrent ses bourses, il me sembla que sa queue devenait encore plus grosse, il me plaqua sur la base de sa bite, m’empêchant de bouger, comme s’il ne voulait pas qu’une goutte de sa vieille semence puisse gicler au dehors.
Puis tout se calma d’un seul coup, à part le cri que poussa Daniel en éjaculant.
– Tu n’es qu’une grosse Salope, je ne veux plus te voir… te faire baiser par des vieillards !! Pute…
– Moi non plus je ne ceux plus te voir… bon débarras !!

Il fit claquer la porte en sortant…
– Voila, ce petit morveux a du comprendre la leçon… Trixie tu as été merveilleuse !
– Oh oui… oh oui, et vous pouvez revenir quand vous voulez Mademoiselle, le repas sera toujours gratuit pour vous… me dit le restaurateur avec un grand clin d’œil et caressant son énorme bite.

A suivre  

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