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Belle maman, ma soumise … (12)

Belle maman, ma soumise … (12)



Émilie a finit se nettoyer l’éjaculation de sa mère dans la cuisine et monte dans sa chambre de sécher les cheveux. J’attends devant la porte de la salle de bain que Florence sorte. Nous nous croisons dans le couloir.

– J’ai cru que c’était fini cette fois…
– Moi aussi, mais une fois encore, ça passe…

J’ouvre son peignoir et commence la lui lecher un téton.

– Arrête David… Assez pour ce soir niveau risque…

Je baisse mon pantalon au milieu du couloir att**** sa main et la pose sur ma queue à nouveau dure.

– Branles ma queue, regarde comme elle est encore lubrifiée par votre jus… Nettoyez.
– David, non arrêtes… Dit elle en me branlant…
– ce n’est pas une question, à genoux Florence.

Je change de ton, elle me résiste sans raison…

– leche mes couilles, je veux finir de me vider, tu m’as frustré tout à l’heure.
– Pardon, je suis une mauvaise vidéo couille ?

A peine à genoux qu’elle ouvre son peignoir en le gardant aux épaules. Le sèche cheveux tourne encore à l’étage… Tout va bien.

– allez applique toi…

Je pose ma main contre le mur, bloque sa tête contre celui ci, elle est soumise comme j’aime. Juste la pour mon plaisir. Je me branle intensément pendant qu’elle me leche les couilles. Elle glisse un doigt sur mon anus, juste le caresser me rend fou autant que la situation, il n’en faut pas plus. Je la saisis par les cheveux.

– Ouvres ta bouche de pute…

Elle s’exécute immédiatement, docile, experte. Parfois une branlette rapide est plus intense à jouir qu’une longue. C’est le cas. Je me vide les couilles dans sa bouche, me sert de ses cheveux comme prise pour faire des vas et viens. Je la vois avaler pendant que je remonte mon pantalon.

– je suis pardonnée ?
– la meilleure des belles mères…

Nous avons tous fini de nous préparer, le choix de film est fait.

– Les enfants, je prends mon médicament, ça prend une heure à faire effet… Réveillez moi si je m’endors devant la tv !
– pas de souci maman…

Ce soir je suis particulièrement excité… Normalement 2 ejac me suffisent amplement mais je ne peux me priver du fantasme de ce soir. Pendant le film je fais quelques approches a Émilie mains baladeuses, regards…

Florence est dans la méridienne, le salon est plongé dans le noir, seul la tv éclair la pièce. Sous la couette je caresse la main de Florence pendant qu’emilie caresse discretement ma queue par dessus mon pantalon de pyjama. Je bande encore une fois.

Nous arrivons au milieu du film, je vois que Florence a sombré, sa respiration ne laisse aucun doute.

– Ta mère dort…
– enfin !!

Je suis au milieu. Émilie à gauche, à genoux, sa mère a droite allongée dans la méridienne.

Elle glisse sa tête sous la couette, je la sens ouvrir mon pantalon et commencer à me sucer. Dommage que Florence ne puisse être témoin de sa cochonne de fille qui me suce si bien. Il se passe quelques minutes, Émilie ne relâche pas le rythme mais ce n’est pas assez excitant comme situation. Je lève la couette et la pose sur Florence. Nous sommes à découvert. Si belle maman ouvre un œil elle nous voit. Nous chuchottons.

– Alors, me sucer à côté de ta mère ?
– chut…

Émilie ne me quitte pas du regard.

– ça t’excite autant que moi Émilie ?
– chuuut elle peut ouvrir l’œil, jouis vite !
– oh non elle est partie pour un moment là… Regardes la quand tu me suces…

Émilie est bien éduquée à exécuter mes désirs. Elle me suce à 1 mètre de sa mère qu’elle regarde en même temps. Moi aussi je fixe Florence, ce qui fait sourire sa fille quand nos regards se croisent.

– A poil.
– Quoi! Non c’est déjà pas mal comme situation.
– à poil.

Elle ouvre son peignoir et le fait tomber au pied du canapé. Elle me suce toujours à genoux sur ce dernier. Je passe ma main sur sa chatte lisse. Trempée.

– Petite chienne ça t’excite de sucer devant ta mère…

Je saisis la couette et la jette au pied de la méridienne. Florence est allongée, en robe de chambre.

– qu’est-ce que tu fais !!?
– Je regarde… Je n’aurai pas mille occasions de vivre ça hein ?

Émilie att**** son peignoir, se rhabille et remet ma queue dans mon pantalon.

– Tu fou quoi Putain, j’ai pas joui !
– elle va se réveiller c’est trop dangereux !

Elle est debout face à moi. Je lui saisis une main alors qu’elle allait reprendre la couette. De l’autre, je passe sous son peignoir et attaque immédiatement son clitoris. Je sais que quand elle est excitee, j’en fais ce que je veux.

– Tu kiffes te prendre des doigts là hein…

Sans réponse, elle ouvre son peignoir à nouveau et le laisse tomber à ses pieds.

– Je préfère ça…

Je me lève, face à Florence, Émilie pose un pied sur la table basse.

– je vais te baiser doucement en levrette devant ta mère.

Pour rassurer Émilie, je vais attention à ne pas faire claquer son cul à chaque aller retour.

– Ça te plaît de me baiser devant maman gros porc… Souiller sa fille chérie.
– oh oui, si elle savait que tu mouilles comme une pute à te faire prendre devant elle…
– Je suis une vraie chienne Putain… J’ai honte.

Le film s’est terminé, l’écran redevient blanc, écran d’accueil. La pièce est plus claire qu’avant. Je me retire.

– Je veux voir ta mère de plus près. Ouvre sa robe de chambre.

Émilie est bouillante, elle n’oppose pas de resistance, excitee et rassurée car elle constate que sa mère est très profondément endormie.

Je suis debout face à la méridienne. Émilie saisit un bout de la ceinture qui se défait sans encombre. Je me branle en admirant le spectacle.

C’est un vrai effort, un vrai cadeau que me fait Émilie. M’offrir sa mère. Elle ouvre son peignoir et libère un sein.

– Tu aimes alors…?
– je me branle en te regardant déshabiller ta mère pour moi…
– on est fou, mais vas y, branle toi mon amour…

Nous ne pouvons nous attarder sur chaque étape. Je ne veux prendre aucun risque mais je sais que Florence fera semblant de dormir si elle se réveille.
Émilie ouvre encore le peignoir, je vois à présent sa poitrine offerte. Je fixe Émilie qui sourit, regarde les seins de Florence.

– ça te plaît de te branler devant nous deux…?
– Tu n’imagines pas à quel point… Et toi !?

Émilie passe ses doigts sur ses lèvres et me les montre.

– Je suis trempée… Je mouille de voir mon mec se branler en regardant ma mère… J’ai honte…
– Honte de quoi ? D’être soumise à mes désirs ? Honte que ça te plaise ? T’es une chienne sans limite, assumes…

Je veux qu’elle reste en temperature, nous allons déjà tellement loin dans l’immortalité, j’ai peur qu’elle refroidisse.

Je lui demande de s’asseoir dans le canapé à côté de sa mère. Je lui donne un cunilingus intense, en silence. Je sens qu’elle est bouillante, se cambre de plaisir, retient de gemir…

– regarde ta mère quand je te leche. Pas moi…

Je le vois dans son regard, elle est chienne… Terriblement excitee par la situation.

– Vas y touche la… Je veux te voir encore plus soumise à mes désirs… Touche ses seins..

Florence est immobile, la respiration profonde… Elle est ailleurs c’est certain. Je me rapproche au dessus de Florence, ma queue doit être à 30cm de son visage, de sa poitrine.

– Viens.. Approches. Suces moi.

Émilie fait attention de ne pas toucher sa mère. Je commence à baiser sa bouche profondément, doucement. Son visage n’est qu’à quelques centimètres au dessus de Florence. Putain comme c’est excitant… Elle fait attention à bien avaler le jus de gorge, de ne pas faire de bruit. Mais comme je l’espèrais, un peu de bave tombe entre ses seins. Épais, visqueux, immanquable.

– Merde !
– Chut… Continues de me sucer. Assumes, vide ta gorge…

Je baise sa gorge un peu plus fort, elle encaisse. Je me retire, je sens qu’elle a la bouche pleine. Elle me regarde, attends ma requête.

– ouvre la bouche, laisse couler sur ton menton.

Elle execute. Un bon filet de bave tombe doucement sur le sein de Florence.

– si ta mère savait que tu crachais ton jus de gorge sur son sein..
– je suis qu’une Putain… J’ai honte mais je suis excitee comme une pute …

– Tu vois elle sent rien… Elle dort profondément… Je pourrai me vider sur elle sans qu’elle se réveille.
– Tu aimerais ?
– a cet instant je préfère te gicler dessus, c’est toi ma chienne…
– je suis sûre que maman est une chienne aussi…
– Tu connais nos critères pour être une bonne chienne… Et l’un d’eux c’est d’être toujours epilé, prête à se faire baiser à tout moment…
– il n’y a qu’un moyen de le savoir… Tu veux que je te la montre….?
– vas y…

Émilie se lève se dirige au bout de la méridienne. A genoux, cul en l’air.

– tout se mérite… Non ?

Nul besoin d’un dessin je sais ou elle veut en venir… Je m’installe derrière elle a croupi et commence à la penetrer, trempée comme toujours…

– non non… Prends moi le cul… A froid.

Je m’execute, lubrifié par sa chatte je l’encule sans précaution…

– Putain ta queue rentre sans problème…

Émilie saisit les deux parties du peignoir qui finit de couvrir Florence. Elle les écarte et laisse paraître les jambes de sa mère, jusqu’à ne couvrir que les épaules de Florence.

– Tu peux me demander n’importe quoi. Je viens de mettre ma mère à poil pour toi pendant que tu me prends le cul…. J’ai honte tu me rends dingue…

Nous levons les yeux, Florence est intégralement epilée… Les jambes fermées nous ne voyons que la naissance de sa chatte. Je continue d’enculer Émilie doucement.

– Putain elle est vraiment bonne ta mère… Je la baiserai bien… regarde elle est epilée comme une chienne…
– maman est une chienne… On l’est de mère en fille… Tu avais raison…
– Montre moi sa chatte. Je veux que tu l’as regarde sans limite jusqu’au bout…
– oui mais après on arrête j’ai peur qu’elle se réveille…
– ok.

Émilie att**** le mollet de sa mère, doucement. Elle attend quelques secondes pour s’assurer qu’il n’y a pas de réaction. Rassurée, elle le soulève et écarte sa jambe d’une dizaine de centimètres. Quel spectacle… Émilie qui m’offre la chatte de sa mère en visuel…

– elle a une belle chatte bien lisse comme toi… Je rêve de la baiser la…
– je crois que j’ai autant envie de la goutter que toi de la baiser… Je suis une pute… Vraiment. Défonce mon cul, vide toi dedans…
– Tu me laisses toucher ta mère…? Après je te remplis…
– ne la réveille pas…

Je sors un instant de son cul. Elle me suce pour nettoyer… C’est devenu un réflexe. Je me mets à cheval de part et autre de la méridienne au dessus de Florence.

– Tu vas la baiser la ? T’es fou non !
– Tu veux pas ?
– C’est trop la… C’est vraiment grave si on fait ça…

En regardant Florence nue, je me rappelle la bave sur sa poitrine.

– récupères ta bave sur ses seins alors…

Émilie attrapé un kleenex mais je lui fais comprendre avec la bouche uniquement. Elle pose ses lèvres doucement, aspire son jus. Il ne reste plus rien, encore un peu mouillé mais ça ne laissera pas de traces.

– Branles toi… Profites de ça..

Sans demande Émilie passe le bout de sa langue sur le téton de sa mère en me regardant, regard de chienne… Elle le suce quelques secondes..

– Quelle pute tu es… Tu vois elle sent rien…

Elle se rassoies dans le canapé à côté de sa mère… Se touche, se glisse des doigts en me regardant sur sa mère en me branlant…

– t’es beau mon amour… Profites… J’adore…
– et ça tu aimes ?

Je me baisse et pose ma queue sur le pubis de Florence… Émilie est en transe… Elle ne répond que par oui…

Je bifle ma queue sur le haut de ses lèvres en regardant Émilie… Elle ne me dit pas de m’arrêter… Elle se donne un gros plaisir solitaire qui l’amène doucement sur une autre planète… Alors je continue.

J’approche mon gland à l’entrée de sa chatte, la position n’est pas confortable mais le plaisir immense. Émilie continue de me regarder en se mordant les lèvres de plaisir. Je dépose un peu de salive sur le bout de ma queue. Je m’attendais à ce qu’emilie sonne la fin du kiff, mais elle se rapproche pour mieux voir tout en se caressant..

Je rentre mon gland dans sa mère… Devant elle cette fois. Me contente de ses allers retours lent. Émilie regarde sa mère, pas de signe de réveil.

– Tu es rentré !?
– oops…
– Tu baises ma mère là ?! Devant moi ?! gros porc…
– je le ferai pas mais je crève d’envie de rentrer entièrement.. ‘
– non resté comme ça. Continue, j’adore… J’assume. Putain mais quel genre de fille je suis qui jouie en regardant son mec baiser sa mère…
– Putain on est bien dans belle maman… T’es une chienne Émilie, juste une chienne.
– dommage qu’elle ne voit pas que son beau fils est entrain de la baiser…
– devant sa chienne de fille qui profite en se masturbant… Approches.

Émilie amène son visage juste à côté de la chatte.

– Tu vas gicler!??
– goutte ta mère d’abord…
– elle mouille ?!!
– a fond…

Je retire mon gland d’entre ses lèvres. Émilie saisit immédiatement ma queue et la dirige vers sa bouche. Elle goutte la cyprine de sa mère sur ma queue. Je sens que je vais gicler enfin…

Je passe mon gland sur tout la longueur de sa chatte, et le redonne à Émilie.

– Tu sais que tu es entrain de goutter la chatte de ta mère la…
– j’ai jamais été aussi chienne, je pourrai la lecher mais je ne ferai pas…

Soudain, Florence bouge, pas réveillé mais entre deux eaux semble t il…

Émilie sursaute, je me retire de ma position immédiatement. On se fige. Sans un mot Émilie attend quelques secondes et replace facilement le peignoir, refait même le noeud. On se rhabille en vitesse. J’en ai mal à la queue…

– il faut la réveiller qu’elle aille dans son lit.

Émilie essaie… Il faut quelques secondes pour la tirer de son sommeil.

– le film est fini maman.. Tu seras mieux dans ton lit.

Florence se redresse, elle est vraiment stone. Elle m’avouera le lendemain avoir chargé un peu plus que d’habitude les somnifères pour être sûr d’être à l’ouest. Ce n’est pas faux… Elle l’est complètement.

J’éteins les lumières, le lumière du lampadaire dans la rue éclaire juste assez la cage d’escalier. Florence monte en premier, je passe en dernier… Je continue de caresser le cul d’Emilie. J’ai pas finis mon affaire… Elle se laisse faire alors que sa mère est juste devant.

Florence rejoint sa chambre, nous sommes encore dans le couloir, elle fait tomber son peignoir et s’allonge nue, elle est Stone complet! Elle dormait debout…

Je regarde émilie.

– toi tu as jouie. Moi non…
– t’inquiète pas on va finir ça… Viens te coucher…
– non la!
– quoi devant la porte de maman ?
– t’es une chienne ou pas !?

Elle se met à genoux et commence à me sucer à nouveau…

– Suis moi… J’en ai pas fini avec belle maman… Garde tes vêtements… Si elle ouvre un œil on dira qu’on était la pour s’assurer que ça va ! OK ?
– oui vas y.

Je reste debout à côté de la table de chevet, je me branle à quelques centimetres de la bouche de Florence.

– Je rêve de lui mettre en bouche mon amour…
– oui mais ça c’est mon job de te sucer… Faut que je pisse je reviens…

Émilie descend l’escalier. Je continue de me branler en regardant Florence. Je n’en peux plus… Et ne résiste pas au plaisir de poser mon gland sur sa bouche. Impensable, Florence ouvre la bouche, est elle réveillée ?! Pas le temps de réagir, je sens une main sur ma fesse, elle me force à rentrer ma queue.

– Mais tu dors pas !!?
– comment veux tu que je dorme… Des que tu as mis ta queue sur ma chatte j’étais réveillé…
– Ah OK.. Putain .. On arrête ?
– Non… Mets la au fond cette fois. Je mimerai que c’est Philippe…

Je mets quelques secondes à me remettre de mes émotions, Émilie remonte, Florence se rendort. Mais avant ça, elle m’offre une position idéale. Elle se retourne et se met en cuillère au bord du lit.

– qu’est ce qui s’est passé ???
– rien, elle s’est juste retournée..

Émilie se remet à genoux, tout près du cul de sa mère offert.

– quel cul… Tu es sa fille pas de doute.
– je voudrai bien regoutter sa chatte…

Je place ma queue devant ses lèvres, prêt à la prendre à nouveau. Cependant… Je sais qu’elle ne dort pas..

– je peux mon amour ?
– mets ta queue dans ma mère. .. Mais Ne la réveille pas…

Je commence par refaire quelques allers retours Émilie observe de près. Je sors de temps à autre ma queue et lui donne à lecher.

– j’ai envie de lui mettre profondément…
– non non tu vas la réveiller…!

Émilie sort de la chambre, reste à l’entrée, à moitié cachée mais pas assez pour ne pas voir la scène.

Trop tard, je rentre doucement ma queue.. De plus en plus, sensation incroyable…. Devant les yeux de sa fille que je vois en apnée. Ça y est je suis au fond… Je recule et recommence lentement.

– oh Putain… Je baise ta mère… Quel pied…

– hum Philippe… Tu es déjà rentré…

Je me retire, Émilie est paralysée. Florence est embrumée. A l’entrée de la chambre je vois Émilie en panique, me fais signe de quitter la pièce tout de suite.

– reviens… Prends moi chéri.

Émilie ne dit plus un mot je me lance et la penetre à nouveau lentement. Elle me regarde, entre choquée et demandant à en voir plus. Émilie a les mains sur la bouche. Toujours figée je saisis Florence par la hanche, toujours en cuillère, moi debout à côté du lit. Sans y aller trop fort je continue… Florence semble se rendormir. Je fais signe a Émilie de venir. Elle approche discretement. Je lui chuchote à l’oreille.

– je baise ta mère… Merci…
– stop, c’est excitant mais tu as eu ce que tu voulais stop…

Je me retire de Florence et penetre Émilie debout tout en douceur, mouillée, ne refusant rien malgré les ultimatum…. Je saisis alors sa main prend son majeur et son index et la guide jusqu’à la chatte de Florence.

– ça n’arrivera pas tous les jours… Je sais que tu en as envie.

Émilie glisse ses deux doigts dans sa mère.. doucement elle s’applique à rester discrète.

– Tu m’as dit que je pourrai gicler sur ta mère m’a dernière fois…
– non viens on finit dans ma chambre…

Trop tard, je commence à ejaculer sur la fesse de Florence, je contrôle tant bien que mal la puissance du jet pour ne pas en mettre partout.

– nettoies mon amour…

Elle commence à att****r sa culotte.

– les chiennes nettoient avec la langue.

Émilie prend quelques secondes, me regarde dans les yeux, s’abaisse et commence à lecher proprement le cul de Florence…

J’ai beau avoir joui, je ne debande pas. Sur un nuage devant cette soirée… Elle aura duré moins d’une heure entre le premier coup de langue d’Emilie sur ma queue et ce dernier sur le cul de sa mère… L’un de mes plus grands fantasmes assouvi..

Émilie replace la couverture sur sa mère. Ferme la porte de la chambre. Nous nous couchons. L’excitation redescend…

– A quoi penses tu Émilie ?
– a ce que tu as fais… A ce que tu m’as fait faire…
– Tu m’en veux ?
– un peu… Je suis tarée je sais mais… Je crois que j’aimerai te voir baiser ma mère, comme tu me baises moi.
– Tu délires ou tu le penses vraiment ?
– non non… Je voudrai pas être là en vrai mais… La voir te sucer ou la defoncer comme tu le fais pour moi me plairait…
– J’en rêve tu sais…
– Mais si ça arrive, je veux une vidéo… Et…
– et ?
– Je veux que tu organises un rendez-vous avec plusieurs mecs, je sais pas combien, pour me baiser.
– je participe ?
– t’as intérêt…
– alors d’accord.

Notre débauche sexuelle est passée à un autre niveau depuis ce week-end chez belle maman…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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