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Elle m’a…sodomisé !

Elle m’a…sodomisé !



Bon, tout d’abord il faut que je vous dise que j’ai un peu honte d’écrire ce qui suit, mais j’en suis encore tellement excité que j’ai envie de le partager. Cette semaine mon collègue était absent au boulot. J’ai eu une intérimaire pour le remplacer. Une jeunette de 26 ans avec des yeux immenses et, pour ne rien gâcher, un sourire radieux. Je suis pas spécialement attiré par les filles aussi jeunes, mais les grands yeux j’avoue que ça me fait craquer. Elle c’est Karine. Et la première fois que je l’ai vu, dans son mini short et son débardeur rose, ben j’ai craqué. Mais jamais je n’aurais imaginé me retrouver dans un lit avec elle et encore moins que ça se passe comme ça s’est passé…

A l’heure de la pause on se retrouve avec d’autres collègues au coin « fumeur » sur le parking. Moi je ne fume pas, Karine non plus, mais il fait beau et trop chaud dans la salle non fumeur. Enfin bref, on se retrouve donc là bas et, visiblement, il n’y a pas qu’à moi que Karine fasse de l’effet. La pauvre, elle se fait littéralement allumer. Mais elle se démonte pas et elle a de la répartie. Seulement ça ne suffit pas à décourager Maurice qui, malgré ses 58 balais, est un véritable coureur de jupons. Sans que ça ne surprenne personne il lui fait remarquer qu’en étant aussi court vêtue elle aurait tout aussi bien fait de venir les seins à l’air. Par contre la surprise est venue de Karine qui y a répondu en tirant sur son décolleté, laissant s’échapper une paire de nichons magnifique en rajoutant :

« Voilà, tu les as vu mais t’en verras pas plus vieux cochon ! »

C’était lundi. La semaine s’est passée de la même manière, à la pause Maurice cherchait toujours à en voir plus mais c’est jamais arrivé. Puis arriva vendredi. En revenant de pause, après s’être bien entendu encore faite allumer et avoir refusé nos avances, je retournais à mon poste avec Karine. Sur le chemin elle me déclara préférer les filles et vivre avec une copine. Ça jette un froid, mais on va pas se mentir, ça ouvre d’autres perspectives. Qui n’a jamais rêvé de se retrouver avec 2 femmes ? Moi j’en connais pas. Donc je perd pas le nord et, surtout, j’essaie de ne pas perdre la face.

« Mais…alors t’aimes pas les hommes ? Ou t’aimes juste les allumer ? Remarque c’est de bonne guerre, on l’a bien mérité… »
« Si j’aime aussi les mecs, avec ma copine parfois on s’en trouve un juste pour baiser et bye »
« Ah ouais ? Y en a qui on de la chance, punaise ! »
« En tout cas ils s’en plaignent pas… »
« Tu m’étonnes, c’est le fantasme de tous les mecs »
« Toi aussi ? »
« Bien sur…ça m’est déjà arrivé mais c’est comme Noël quand t’es gosse, t’aimerais que ce soit tous les jours »
« Ben nous c’est une ou deux fois par mois… »
« Au cas où je suis prêt à me dévouer si besoin »
« Hahaha, nan mais t’es trop vieux, ma copine elle aime les jeunes, puceaux de préférence »

Hmmm, je suis mal là. On retourne bosser mais ça me travail à mort. Je peux pas lâcher l’affaire comme ça après tout ce qu’elle m’a raconté. On fait notre taff tout en continuant à papoter, surtout de cul. Elle me raconte ses histoires, je lui raconte les miennes. Elle me dit qu’elle doit conduire sa copine chez ses parents pour le week end dans un patelin des Vosges après le boulot. Là ça fait tilt, faut que je retente ma chance, alors je lui demande :

« Et au fait, c’est ta copine qui aime les jeunes, mais toi alors ? T’as pas ton mot à dire ? »
« Ben si, mais faut qu’on soit d’accord toutes les deux… »
« C’est sur, mais disons qu’elle est pas là ta copine »
« Ahhh je te vois venir, mais non je fais rien sans elle »
« Bah tu sais on peut rester soft »
« Comment ça ? »
« Et ben juste des jeux de langues, comme si j’étais ta copine »
« Qui te dis que je suis soft ? Et ce serais quand même la tromper… »
« Mais non, juste avec la langue, c’est comme si on discutait »
« Ouais ouais, tu dois être sacrément en manque toi ! »
« C’est pas faux…mais je sais être doux malgré tout »
« Et si c’est pas de la douceur que je veux ? »
« Ben écoute, je suis ouvert à tout moi, du moment que c’est avec une femme, y a pas de soucis… »
« Vraiment tout ? »
« Absolument… »

Elle rigole et on continue à bosser et à papoter, il est presque 13H, on termine à 13H30. C’est son dernier jour, après je ne la reverrais probablement jamais, donc je ne manque pas de le lui rappeler. Et là, alors que tout espoir semblait perdu, elle prend un stylo et un bout de papier sur lequel elle griffonne un truc puis me le tend. C’est son adresse et son numéro de téléphone. Médusé, je lui demande ce que c’est et elle me répond :

« Ca se voit pas ? »
« Euh…si, mais j’en fais quoi ? »
« Viens pour 18H, sauf si t’as changé d’avis… »
« Carrément pas, mais si c’est une blague c’est moche »
« Mais non je suis sérieuse, tiens, regarde l’adresse » en me tendant sa carte d’identité
« Ok Ok, je serais là sans faute alors… »

Il est 13H30, finit le boulot, c’est le week end. Même si j’espérais qu’elle accepte je ne m’y attendais vraiment pas. Avant de rentrer je passe par une pharmacie pour chercher des capotes, ce serait con de ne pas en avoir le moment venu. Une fois chez moi je me prépare tranquillement mais le temps se fait long jusqu’à 18H. J’ai environ 20 minutes de routes pour aller chez Karine. A 17H je tiens plus en place, je saute dans ma bagnole et j’y vais. Tellement excité que j’étais j’ai galère à trouver l’adresse et une place où me garer. Il est 17h45 quand j’y suis enfin, j’attends encore 5 minutes dans la voiture avant d’y aller. Quand j’arrive devant la porte de l’immeuble elle est là, entrain de récupérer le courrier dans la boîte aux lettres. Avec un grand sourire elle me dit que je suis un peu en avance et m’invite à la suivre. On monte les 4 étages à pieds, je suis HS, j’ai plus l’habitude des escaliers.

« Oulala claque pas maintenant, faut que tu tiennes le coup ! »
« T’inquiète, j’ai juste plus l’habitude des escaliers »
« J’espère bien, il va te falloir des forces là »

Punaise, ces mots me font presque flipper, après la discussion qu’on a eu ce matin j’ai l’impression que c’est moi qui vais passer à la casserole, mais je n’étais pas encore au bout de mes surprises…Elle me propose un café le temps qu’elle se prépare et j’entends qu’elle va sous la douche. Pendant ce temps je regarde un peu les photos accrochées aux murs. Elle a l’air bien mignonne sa copine et je me met à les imaginer toutes les deux. Quand l’eau s’arrête mon coeur se met à battre super fort, ça y est elle va sortir et moi j’ai déjà des images plein la tête. Quelques instants plus tard la porte de la salle de bain s’ouvre et elle me dit de venir la rejoindre, à priori elle doit être dans sa chambre.

Je pousse la porte et là je la vois, assise au bord du lit, elle est nue et elle est belle. Je suis un peu déçu de ne pas pouvoir la déshabiller moi même mais c’est pas grave, me retrouver face à elle m’exposant son corps de rêve comme ça c’est troublant et ça me fout une trique d’enfer. Je reste planté là quelques secondes et, se penchant en arrière tout en écartant les jambes, elle pointe du doigt sa petite chatte parfaitement épilée et me dis :

« Viens là »

Je m’approche, me met à genoux entre ses cuisses, en extase devant ce petit minou dont les lèvres font un « S ». Elle me choppe la tête et me la colle contre sa chatte en me disant de lécher. Alors, je suis pas soumis, mais qu’est ce que j’aime quand une femme me demande de la lécher ! Ma langue la fouille, je la dévore, je suce ses lèvres et son clitoris pendant que mes mains caressent ses seins et titillent ses petits tétons. Elle ne laisse s’échapper que des petits « hmmm » parsemés de « continus comme ça ». Pas de soucis, je continue, j’adore ça…Mais j’ai envie de lui bouffer le cul, alors je relève ses jambes et là je vois qu’elle a un rosebud planté dans l’anus. C’est la première fois que j’en vois un en vrai. Et oui, il y a un début à tout, et aujourd’hui il y en aura pas mal des « tout ». Je joue un peu avec en tirant dessus sans le faire sortir tout en continuant à la lécher.

« C’est mignon ça, c’est pour moi que tu t’es décoré le cul ? »
« Oui, ça te plaît ? »
« J’adore… »
« Retire le avec ta bouche »

Je le prend entre mes lèvres, il vient sans résister bien qu’il doive faire un bon 4cm de diamètre, découvrant ainsi son anus qui reste bien ouvert. Ma langue plonge dans ce trou béant que je lèche sans vergogne lui arrachant au passage quelques gémissements avant de reprendre mes assauts sur sa petite chatte toute mouillée. Avec 2 doigts dans son anus je la broute longuement jusqu’à la faire jouir. Ses jambes tremblent, je remonte vers sa poitrine en l’embrassant sur le ventre, je prend ses seins en main et commence à les lécher mais elle me pousse sur le côté et sort 2 paires de menottes de sous un oreiller.

« T’as pas un fouet planqué sous l’autre ? »
« T’inquiète pas, je vais pas te faire mal »
« Je m’inquiète pas, mais je suis pas sado maso ! »
« Moi non plus, mais t’as dit que tu ferais tout ce que je veux »

Et c’était pas faux…je l’avais bien dit. Me voilà attaché au lit, bras écartés, du coup pas moyens de tenter une évasion si les choses tournaient mal. Mais après tout, pourquoi ça tournerait mal, hein ? Donc je suis allongé là et Karine vient s’accroupir au dessus de ma tête et se frotter sur ma bouche, alternant entre sa chatte et son cul. Cette situation m’excite énormément et je bande comme un taureau. D’une main elle s’appuie sur mon torse, de l’autre elle me branle doucement puis se met à quatre pattes et me suce à la perfection, sans forcer. J’avais envie de la toucher, de lui caresser les fesses, mais pas moyen à cause des ces foutues menottes. On est resté comme ça un bon moment avant qu’elle ne se retire. J’ai cru que c’en était finit des menottes, mais non, elle s’est mise entre mes jambes pour continuer à me sucer. Puis elle a commencé à me lécher les boules et, me relevant les jambes, à m’embrasser les fesses.

« Tu vois, je te torture pas, si ? »

Pas encore voulait-elle plutôt dire. Là sa langue a commencé à me lécher l’anus et j’avoue que j’ai bien aimé. Voyant que je ne bronchais pas elle m’a écarté les fesses et s’y est attaqué plus sérieusement. C’était toujours très agréable même si je me sentais terriblement gêné, mais après tout, c’est une femme qui me fait ça donc je laisse faire…

« Tu aimes ce que je te fais ? »
« Oh oui, tant que c’est pas un mec qui prend ta place fais moi ce que tu veux… »
« Tout ? »
« Oui, juste pas de coups ou de trucs crades… »
« Hmmmm Ok… »

Elle m’enlève les menottes et me demande de me mettre à 4 pattes puis me les remet et recommence à me bouffer le cul. Ca aussi c’est une première pour moi, me retrouver à 4 pattes avec une langue dans le fion. Je me suis souvent fait lécher la rondelle, mais jamais dans cette position et encore moins en étant attaché. Soudain je sens un doigt qui rentre dans mon cul. Je lui demande ce qu’elle fait là.

« Chutttttt, t’as dis tout ce que je veux »
« Ouais mais bon… »
« Je te fais mal ? »
« Non mais… »
« Alors laisse toi faire »

Soit, je me laisse faire, et c’est pas désagréable, elle sait s’y prendre. Elle alterne entre sa langue et son doigt puis j’en sens un deuxième. Elle me lèche en même temps et me branle de l’autre main. Punaise que c’est bon. Puis elle lâche ma queue et m’écarte bien les fesses pour me dévorer le cul de plus belle avant de me mettre 4 doigts, deux de chaque main et de m’ouvrir le petit trou.

« Hmmmm comme t’es bien ouvert, une vraie petite chatte ! »
« Ca veut dire quoi ça ? »
« Que t’es prêt pour la suite… »
« Quelle suite ??? »
« Celle que je veux… »

Et merde, si j’avais pu me barrer je crois que je l’aurais fait. Mais là je suis baisé. Enfin, bientôt…Elle se lève et va chercher un truc dans un tiroir. Je m’attend au pire et je me suis pas trompé. Elle revient s’assoir à côté de moi et me montre une gode ceinture plus gros que ma queue ! Putain, mais qu’est ce qu’il m’a prit d’accepter cette situation. En même temps c’est moi qui le voulait, même si je savais pas encore à quoi m’attendre. Perdu pour perdu, tant pis pour ma gueule, ou plutôt pour mon cul. Elle enfile ce truc énorme et se place derrière moi. Ses doigts me fouillent encore un peu puis elle frotte le gode contre mon cul.

« T’inquiète pas, ça va bien se passer, promis »

Je répond pas, j’ai peur de la suite des opérations. Elle me dit de me détendre mais je peux pas. Sa langue repasse sur mon anus, elle y remet quelques doigts, je ne saurais pas dire combien au point où j’en suis et là je sens le bout du gode qui pénètre en moi. Elle s’arrête un instant et me demande si ça va, je répond toujours pas. Je le sens qui rentre un peu plus et tout à coup elle est collée à moi. Bordel, ce truc est entièrement dans mon cul !

« Ca y est, t’es dedans ? »
« Oui, tout au fond… »
« Oh putain, ça tu vas me le payer »
« Chuttttt »

Elle se met à me ramoner, d’abord doucement puis de plus en plus fort. Je ne pensais pas dire ça un jour, mais j’ai aimé. Quoi qu’il en soit Karine est entrain de me défoncer le cul. A cet instant je me dit que je suis vraiment dépravé et le pire c’est que ça me plaît. Elle me prend comme ça quelques minutes avant de se retirer et de me demander si j’en veux encore. Je lui répond de se faire plaisir mais dans une autre position. Elle me détache, je me retourne, la prend dans mes bras en me laissant retomber sur le lit et l’embrasse à pleine bouche.

« Jamais je me serais attendu à ça ! Tu m’as bien niqué ! »
« Ahhh là on peut dire que oui, mais avoue que t’as aimé »
« C’est vrai… »
« Alors t’en veux encore »
« Si tu veux, mais pas de menottes »
« Ok »

Je reste allongé sur le lit, Karine se met entre mes jambes, me les relève et m’enfile à nouveau avec son jouet. Elle me branle en même temps mais je sens que je vais jouir si elle continu alors je lui demande d’arrêter. Mais elle arrête de me branler, pas de me défoncer. Elle continue encore quelques minutes peut être, je sais pas trop, et je sens comme une envie de pisser que j’essaie de retenir. Alors qu’elle allait recommencer à me branler, à peine a-t-elle effleuré ma queue que j’ai éjaculé. J’ai cru halluciner. Je me fais enculer et en plus j’en jouit ! Un truc de fou…Elle se retire et lèche mon jus avant de me sucer sans que je perde mon érection. C’était juste incroyable. Elle remonte sur moi et se met à frotter sa chatte sur ma queue toute raide. Entre mon sperme et sa cyprine ça glisse tout seul. Je lui demande d’enlever ce gode ceinture puis elle revient se frotter à moi pendant que je caresse ses seins et admire ses lèvres gonflées glisser sur ma queue.

Ce petit manège a duré jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme qui la fit se raidir en poussant un long soupire avant de se mettre à trembler et de s’écrouler sur moi. La tenant par la nuque je l’embrassait dans le cou et ma main libre se dirigea vers son fessier puis sa chatte trempée. J’y récupère un peu de cyprine en la doigtant vite fait avant d’introduire 2 doigts dans son anus. Sa main s’empare de ma queue et elle la fait entrer dans sa chatte puis se met à me chevaucher pendant que mes doigt continuent à lui dilater la rondelle. Sans crier gare elle choppe à nouveau ma queue pour se la rentrer dans le cul, en plus de mes doigts, et s’en donne à coeur joie. Elle faisait pas semblant, elle aime vraiment la sodo. Ses coups de reins faisaient claquer ses fesses sur moi, à un moment j’ai même cru qu’elle allait me casser la bite tellement elle y allait fort.

Puis, sans se retirer, elle s’accroupit, se penche en arrière et s’empale de plus belle. J’avais une vue parfaite sur sa chatte et ma queue qui rentrait et sortait de son cul. C’était juste magnifique, d’autant que cette position avait l’air de lui faire un sacré effet. Profitant du spectacle, et de son cul évidement, je lui caresse le clitoris avec mon pouce et elle ne tarde pas à avoir un autre orgasme, du moins je crois à entendre les cris qu’elle pousse. On continue à baiser sauvagement pendant un bon bout de temps, dans toutes les positions et pour finir, alors que je la prenais à 4 pattes, elle me demande de tout lâcher dans son cul. Pas besoin de me prier, je l’ai inondé et elle a tout ressortit pendant que je me délectait en regardant son anus grand ouvert et mon sperme qui coulait sur sa chatte. Je l’ai prise encore un peu par le cul, elle m’a sucé et on est resté allongés sur le lit, exténués après cette partie de jambes en l’air qui aura tout de même duré plus de 3 heures.

Elle me confessa que c’était bien mieux qu’avec les jeunots qu’elles avaient l’habitude de se taper avec sa copine et qu’elle était contente d’avoir réalisé son fantasme qui était d’enculer un mec. Perso c’était pas mon fantasme mais j’avoue que j’étais pas mécontent. On a continué à discuter une bonne heure puis elle est allée se laver. Moi j’ai du m’endormir parce que je ne l’ai pas vu revenir et je me suis réveillé le lendemain dans son lit. Elle était déjà debout, ça sentait le café. Je me suis habillé et suis allé à la cuisine mais elle n’y était pas. J’ouvre la porte du salon et la vois sur le canapé entrain de jouer sur son téléphone, écouteurs dans les oreilles et à poil les cuisses écartées. Cette vision matinale me réveilla et me remémora nos ébats de la veille. Elle me proposa un café, me le ramena et vint s’affaler sur le canapé à côté de moi, une jambe pliée et l’autre sur moi. Je lui fit un petit bisous sur la chatte et lui demanda si je pouvais utiliser sa douche. Pendant que je me lavais elle est venue me rejoindre.

« Je vais devoir partir bientôt, mais on a encore un peu de temps » me dit-elle en me caressant

Comment refuser ? Je lui dit « Ok, mais pas de gode ». On s’est séché et direction la chambre où ce coup-ci on a fait l’amour, avec tendresse. On s’est rhabillé, en partant elle m’a dit que même si ça avait été super elle ne ferait plus d’écarts et que par conséquent on ne se reverrait plus…sauf si sa copine était d’accord. Ca laisse un petit espoir, sait-on jamais, l’avenir me le dira. Mais qu’importe, ce fut un moment mémorable. Je n’ai pas changé de bord et n’essaierais jamais avec un mec, mais je retenterais peut être l’expérience avec une femme…

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