La majeur partie du temps, nous nous mettions sur la sable face à la mer, à attendre que le temps passe. C’était incroyable, mais nous n’avions vu aucun navire, de près ou de loin, depuis notre naufrage. Quand j’entrais en érection, j’allais auprès de ma mère, et je me masturbais, en regardant ses seins et sa toison. De sa colère des premiers temps ne restait plus qu’une vague gène, elle ne luttait plus, ne disait plus rien. Elle me laissait faire. A quoi bon partir, je l’aurai suivi et l’île n’était pas bien grande. A quoi bon me raisonner, j’avais envi de me masturber et je ne vois pas pourquoi je me serai arrêté. Certes voilà, c’est ma mère, mais c’est aussi la seule femme sur l’île. Je veux bien être conciliant avec les conventions, mais au bout d’un moment, une chatte est une chatte.
Je continuais aussi souvent de me branler avec le sable dans lequel elle pissait.
Lorsque j’éjaculais, j’orientais ma queue vers elle, et je giclais sur son corps. Ca, elle n’aimait pas, elle allait se rincer dans la mer tout de suite. Je lui giclais le plus souvent sur les seins, le torse, le ventre, parfois le visage.
Par contre, j’ai mis un peu de temps à aller voir sa chatte. J’avais attendu pour cela. Mais le jour où je fus décidé, elle n’eut pas le choix. Je me suis approché d’elle, tandis qu’elle était assise face à la mer, je l’avais allongée sur le dos, et écarté les cuisses. J’avais plongé mon regard sur sa longue fente, au milieu de son pubis. Je lui avais écarté de deux doigts. Là, j’ai su que je la baiserai souvent. Un coté a****l était en moi, s’était développé au fil des jours. Ma mère tenta de me raisonner à nouveau, me disant que dans la nature, cela ne se faisait pas.
Je lui ai demandé si dans la nature, ne pas avoir de relation sexuelle était normal.
Elle ne savait pas quoi dire.
Le soir meme, j’enfonçais ma queue dans sa chatte. Elle a du jouir quatre ou cinq fois, elle n’en pouvait plus, et j’étais toujours en forme, à la pénétrer, au bout de deux heures, le seul bruit que l’on entendait, c’était ses gémissements, le bruit de sa chatte mouillé quand j’allais et venais dedans, et la mer calme. J’ai joui dans sa chatte, c’était divin. Et elle s’est précipitée à la mer pour se rincer.
Quand elle revenue, elle s’est blottie contre moi. Notre relation changeait. Si elle était l’autorité sur moi jusqu’ici, ça commençait à changer, nous étions sur un pied d’égalité, et je prenais une place à coté d’elle qu’elle n’aurait jamais imaginé.
Le lendemain matin, je la baisais au lieu d’aller voir les filets de pêche. Elle se réveillait à peine que je plongeais ma queue entre ses cuisses. Mais nous n’avions aucune obligation. Je me rendais aux filets plus tard, et en revenant avec quelques poissons, je l’aidais à les cuisiner et à les faire cuire. Après le repas, je lui ai demandé de se masturber devant moi. Moi je l’avais tellement fait, mais elle, jamais. Elle s’est carressé le clitoris en me regardant, juste de deux doigts, elle se toucha la chatte, en se carressant un peu les seins de l’autre main. J’insistais pour qu’elle me regarde. Elle s’est fait du bien, et a joui en quelques minutes. Je suis venu vers elle pour coller ma bouche à sa chatte, et j’ai un peu léché. Et comme j’en avais envi, je lui ai ecarté les fesses, et j’ai passé ma langue sur son cul. Je lui ai léché le cul longuement, et elle m’a dit que j’étais le premier à lui faire ça. Je l’ai sodomisée. Fort. Longtemps. Sur le sable. Ce n’était plus ma mère. C’était juste une femme. Et nous perdions doucement tout lien social. Juste deux corps perdus, qui prenaient du plaisir ensemble.
(à suivre)
Ajouter un commentaire