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Elodie part aux champignons

Elodie part aux champignons



Elodie part aux champignons.

Ce matin il fait chaud et lourd, il a plu ses derniers jours et Elodie a décidé d’aller aux champignons. Un coin secret que son mari avait déniché dans les bois derrière la source. Elodie a 70 ans, encore belle femme à la poitrine avantageuse. Elle enfile un tee-shirt sur son soutien gorge blanc et une jupe de toile simple, légère sur sa culotte. Elle prends son panier, monte dans sa voiture et se dirige vers la foret toute proche. En ce mardi, il n’y à pas grand monde sur la route et pas plus dans le village d’une centaine habitants de cette campagne ou il ne se passe rien. Il faut faire 15 kilomètres pour faire ses courses en ville. Elle arrive dans la foret contourne la source et cache sa voiture dans un petit chemin. Pas question que l’on connaisse son coin à champignons. Elle et veuve depuis une dizaine d’année, pas d’amis, pas d’ennemi. Juste la télé et quelques revues qu’elle reçoit par la poste. Elle saisit son panier et s’enfonce dans la foret pour 30 mn de marche. Son coin foisonne de champignons. Ce soir ce sera omelette aux champignons et les autres en bocaux. Le panier plein, il faut rentrer. Il fait déjà chaud et lourd. Elle arrive derrière la source quand elle aperçoit entre les arbres deux hommes. L’Antoine et l’Anselme. L’Antoine est son voisin d’en face. Cinquante ans, chômeur qui attend la retraite. Plutôt con, qui subit surtout sa femme, la Martine. Quand à l’Anselme, il a bien plus de 70 ans, bedonnant, ourse mal léché, il habite la rue du bas, seul et ne cause à personne. Que font ces deux là à la source ? Ils vont aux champignons aussi ? Bizarre qu’ils soient ensemble. Ils s’enfoncent un peut plus dans la foret, s’arrête près d’un gros arbre sous un beau rayon de soleil. Mais ils se roulent une pelle ? Elodie essaye de s’approcher un peut plus pour mieux entendre et surtout mieux voir. Elle y arrive sans trop de bruit et se cache derrière un gros chêne.
L’Anselme et à genoux et suce l’Antoine dont la bite grossis, à chaque mouvement de la bouche. Il tien la tête de L’Anselme et semble apprécier la fellation. Elodie n’en revient pas. Qui lu cru ? Ben s’il avait pensé ça deux ? Et oui même à la campagne on suce ! Après de longues minutes de succion, L’Anselme se lève et baisse son pantalon. Il prend la bite d’Antoine et le branle vigoureusement. Antoine caresse le gros paquet d’Anselme sur son slip. Il glisse la main à l’intérieur et Elodie stupéfaite, aperçois le gros dard tout mou de l’Anselme qui abaissé son slip. Non de dieu, qui lu cru ? Elle n’avait jamais vu une aussi grosse bite avec de belles couilles pendantes. Dommage qu’il ne bande pas. L’Antoine bandait comme un cerf, sa bite longue et pointue dressée. Il tourna l’Anselme qui s’appuyant sur l’arbre, tendit son cul. Antoine sortit un préservatif de sa poche et un tube de gel. Il enduit le cul de l’Anselme et lui enfonçait ses doigts entre les fesses. L’Anselme gigotait du cul en poussant des sons rauques et des « encule-moi vite » régulièrement. Elodie n’en perdait pas une miette. Elle se surprit de sentir sa main sous sa jupe et caresser sa chatte. Deux doigts puis les autres passèrent sous la culotte et entrèrent à l’intérieur de sa vieille moule humide. Le panier était tombé au sol. Elle saisi un bolet au gros pied et se troussant elle l’introduit comme un gode qu’elle enfonçait complètement en regardant l’Antoine défoncer l’Anselme. Elodie se fourra un doigt dans le cul en jouissant et se mordant les lèvres. L’Antoine tenait l’Anselme par les hanches et l’empalait à grands coups. Les gosses bites et les bourses de l’Anselme ballottaient à ce rythme endiablé. D’un coup l’Antoine sorti de ce fourreau et l’Anselme se mit à genoux. Il retira la capote et ouvrit la bouche pour recevoir le foutre chaud. Puis il suça la bite un instant pour bien la nettoyer. Ils remirent leurs pantalons et après un baiser goulu, repartir par le chemin.
Elodie tremblait. Pas seulement de la peur d’avoir put être surprise, mais surtout de désirs. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas joui, ni était enfilée, surtout par un champignon. Fallait le faire. Elle porta le bolet à ses lèvres, suça le pied plein de mouille et le jeta. Plus personne à l’horizon, elle ramassa le panier et rentra chez elle. L’Anselme et l’Antoine… Elle ne les verrait plus du même œil. Tu parles de deux salopes. Elle remonta dans sa voiture en pensant à se grosses bourses de l’Anselme. Avec leurs cochonnerie, il allait falloir qu’elle change de culotte.

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