J’ai laissé filer quelques jours sans reprendre contact avec Amalia. Je voulais un peu connaitre sa réaction, et la laisser gamberger sur ce qu’il s’était passé à la maison ce fameux soir.
Au bout d’une semaine, elle tenta de m’appeler à trois reprises, sans laisser de message. Je ne lui répondis pas. Le lendemain, c’est ma femme qui me donna des nouvelles.
– Ah au fait, j’ai eu un coup de fil de ma sœur, elle veut faire du bricolage chez elle, elle voulait savoir si tu pouvais l’appeler pour lui prêter ta caisse à outils.
Pas mal comme pretexte, en tout cas, elle voulait vraiment que je la rappelle. Une fois de plus, je laissais filer. Deux jours plus tard, ma femme me demanda si j’avais rappelé sa sœur, je lui ai répondu que je n’avais pas eu le temps, mais que je passerai certainement la voir, sans préciser quand. C’est finalement le mardi de la semaine suivante que je me présentai à la porte d’Amalia, avec ma fameuse caisse à outils. Elle m’ouvrit, surprise de me voir là, et en même temps à priori soulagée, et me fit entrer. Elle était en jogging, et était en train de finir de manger.
Je posais ma caisse à outils dans l’entrée et lui demanda :
– Bon, je suppose que tu n’as pas besoin des outils, qu’est ce qui me vaut tous ces appels ?
Elle fut un peu surprise que je sois aussi direct, elle marmonna un peu, puis me répondit :
– Ecoute, j’ai eu mon banquier la semaine dernière, l’argent que tu m’as donné a permis de payer les crédits en cours, mais comme il y a eu des rejets, j’ai pas mal d’agios, et il m’a demandé de mettre 2000 euros sous trois jours ou il m’inscrivais au fichier des incidents de crédits particuliers. Ca me mettrait dans la merde, et le troisième jour c’était hier.
– Bon, appelle le, dis lui que tu vas déposer cette somme cet après midi, qu’il ne fasse rien.
– Je l’appelle, j’espère que ce n’est pas trop tard.
Je sortais mon chéquier et le posais sur la table de la cuisine, tandis qu’Amalia composait sur son téléphone le numero de sa banque.
– Oui, bonjour, est ce que je pourrai parler à Mr Chanot s’il vous plait ? de la part d’Amalia Flamand. Concernant mon compte.
Amalia semblait tres concentrée et nerveuse. Je me collais derrière elle et passait mes mains sous le haut de son jogging, pour aller saisir ses seins. Elle ne portait pas de soutien gorge, aussi je pus prendre à pleines mains ses seins généreux, et saisir ses mamelons entre mon pouce et mon index.
– Oui, Mr Chanot, bonjour… voilà juste pour vous prévenir que je vais déposer 2000 euros cet après midi, j’espère que le dossier ficp n’est pas encore fait… non, vous avez attendu ? oh merci… oui je passe sans faute…
Je glissais ma main sous le pantalon de son jogging, directement sous sa culotte. Ma main sentit les poils de sa chatte , et la chaleur de sa fente. Je me mis à la masturber fort, comme le premier soir, à tout vitesse sur son clito, tout en alternant et en plongeant mes doigts à l’interieur de sa chatte. De légèrement humide, elle passa à sévèrement trempée, en quelques secondes. Je sentis également ses tétons se durcirent. J’appréciais la rapidité avec laquelle elle passait d’un état neutre à celui d’excitée.
– Je vous remercie, Mr Chanot, finit-elle par dire en raccrochant. Bon sang, arrête, j’étais au téléphone avec mon banquier…
Elle posa sa main sur son jogging, au niveau de son entrecuisse, pour stopper ma main, mais je continuais de la doigter, de trois doigts qui tapaient au fond de sa chatte.
– Dis, je vais quand meme pas te donner tout ce fric comme ca sans compensation, surtout que bon, sans boulot, je ne vois pas trop comment tu comptes me rembourser rapidement.
– Tu veux quoi ? que je couche avec toi pour du fric ?
Je ne répondis pas. En fait, je souhaitais davantage que ça. Je voulais qu’elle soit à moi, la posséder completement. Je me dirigeai vers sa chambre en cessant mes carresses. Comme je ne disais rien, elle me suivit à petite distance.
– c’est où que tu ranges ta lingerie ? je veux que tu me montres tes culottes et tes soutifs.
Elle sembla génée, se dirigea vers une commode, et tira deux tiroirs. Dans le tiroir de droite étaient rangées ses culottes, certaines pliées, d’autres en vrac, et dans celui de gauche, ces soutifs. Il y en avait un peu de toutes les couleurs, mais un majorité de noirs, et la lingerie en dentelles était majoritaire. Je sortais certaines culottes, transparentes ou sexy, et les posais sur son lit.
– Dis moi, le mois dernier à la piscine de tes parents, tu portais un maillot noir, avec des petits motifs carrés dessus, tu t’en souviens ?
– Heu oui…
– Je veux que tu le mettes maintenant.
Amalia ouvrit un autre tiroir, je vis le fameux maillot, qu’elle posa sur son lit. Elle me regarda comme si elle ne savait pas trop ce qu’elle devait faire.
– Tu m’as trop fait bander quand tu portais ce maillot, à ce moment là je ne savais pas que l’on allait devenir aussi proches… Tu avais remarqué que je te déshabillais du regard ?
Elle secoua la tête négativement.
– Allez, mets le devant moi, salope.
Amalia retira le haut de son jogging, mettant ses deux magniques seins à l’air. Je pris une culotte noire en dentelles que j’avais posé sur son lit, sortit ma queue raide, et commença à me branler en enroulant sa culotte autour de ma queue, et en plaquant bien le devant de la culotte, tout en dentelles, contre mon gland.
Amalia retira son pantalon de jogging, ainsi que sa culotte en tissu, rose, tachée de traces de mouille. Je contemplais sa chatte pour la première fois. Poilue, avec de petites boucles brunes, mais bien taillée, au dessus de sa chatte, en triangle, et toute lisse autour de sa fente.
– elle est belle ta chatte.
Elle enfilait la culotte de son maillot sans rien dire.
– je te fais un compliment, tu pourrais dire merci.
– ça va, fit-elle, c’est malsain comme compliment.
– si ca ne te va pas, je me casse, et tu te démerdes… je pense que ton banquier ne va pas trop appecier que tu le ballades en ne passant pas le voir, finalement.
Amalia me considéra avec un peu de mépris dans ses yeux.
– elle est belle ta chatte, salope, répétais-je.
– merci, murumura t-elle.
Je me rapprochais d’elle. Elle portait ce meme maillot que le journée que nous avions passé dans ma belle famille, autour de la piscine. La revoir le porter m’excitait profondemment, d’autant que là, elle le portait pour moi. Je saisis ses seins en les carressant à travers son maillot, puis en les attrappant pleines mains. Je passais egalement mes doigts dans son profond décoletté.
– assieds toi sur le lit, ecarte les jambes.
elle s’assit devant moi, sur son lit. je continuais de me branler. je retirai la culotte que j’avais entouré autour de ma queue, et la jeta par terre, pour en saisir une autre.
– petite culotte Lise Charmel, ça coute cher ça, tu gères mal ton budget non ? en tout cas c’est joli, tu as bon gout.
j’utilisais à présent cette culotte pour continuer de me branler, juste devant Amalia qui était assise devant moi. je la regardais, j’accelerais ou ralentissais la cadence. Puis je me mis à genoux entre ses cuisses, et contemplais la culotte de son maillot. Avec mes mains, je lui fis écarter davantage les cuisses, puis je posais mes doigts sur le tissu pour bien le tendre et bien l’appuyer contre sa peau. La fente de sa chatte apparaissait distinctement. Je me mis à donner quelques petits coups de langues, puis j’ecartais son maillot sur le coté, et plongea ma bouche contre sa chatte. J’enfoncais ma langue dans sa chatte chaude et humide, puis la passait sur son clito, ce qui la fit tressaillir, à priori elle aimait cette sensation. Avec mes doigts, j’ouvrais sa chatte en grand, et me mit à lui bouffer le clito en le prenant entre mes lèvres, et en jouant avec avec ma langue. Je plongeais deux doigts dans sa chatte, juste afin de les lubrifier, et les présenta à son cul. Je les glissais entre ses fesses, pour les faire entrer completement, tout en continuant de lui bouffer la chatte avec délectation.
Je pris mon téléphone portable et composa le numero de ma femme.
– tiens, parle à ta soeur, elle va répondre, dis lui que je fais du bon travail chez toi.
Amalia prit le téléphone et sa soeur répondit aussitôt. Elles se dirent leurs banalités de soeurs habituelles, sauf que là j’étais chez elle et j’effectuais quelques travaux dans sa cuisine. Je lui doigtais le cul, et j’entrepris de lui doigter sa chatte de l’autre main simultanement. elle s’allongea un peu sur le lit. Je pus faire entrer aisément quatre doigts dans sa chatte, tandis que je lui bourrais le cul de doigts profonds.
Je la doigtais devant et derrière, en accelerant de plus en plus. J’avais le gout de sa chatte dans ma bouche. A un moment, elle cessa de parler et se mordit un peu la lèvre en se cambrant doucement. elle etait sur le point de jouir. je sortis mes doigts aussi sec, et me branla contre son visage. Je sentis mon jet de sperme venir, gicler dans les dentelles de sa culotte Lise Charmel, et passer au travers pour couler contre son visage.
Amalia était sur le point de jouir, mais comme je ne la touchais plus elle fut un peu échaudée. Je lui disais doucement des petites insultes :
– Allez petite pute, t’en as envi, branle toi pour te finir. Tu vas jouir pour moi salope…
Et comme elle allait s’executait, je lui fis :
– Allez, raccroche le téléphone, et lève toi. Tu vas me couler un café et je vais te faire ton chèque. Faut que je m’en aille maintenant.
Amalia s’essuya un peu le visage avec la culotte Lise Charmel, du coté encore propre, et se leva, remettant en place la culotte de son maillot. Je pris dans ma poche deux de ses culottes :
– je me branlerai avec et te les rendrai plus tard.
Elle me servit un café que je bus rapidement, et je lui fis son chèque. Je fis un saut dans ses toilettes pour pisser. Je m’amusa à pisser sur le battant de la cuvette, et mon urine coula autant dans les toilettes qu’à l’exterieur pour se répendre au sol.
Je ne lui dis rien en partant afin de lui laisser la surprise.
Peut etre qu’elle se branla après mon départ pour se finir. Ou bien est elle partie directement à la banque.
Je m’en foutais.
(à suivre)
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