J’ai dix-huit ans et c’est le premier jour de ma dernière année au lycée… Enfin ! Dernière si je décroche mon bac, ce qui n’est pas gagné d’avance. Moi qui est redoublée ma deuxième année, il va falloir que je m’accroche…
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En classe d’anglais. Le seul siège vide était à côté de cette fille aux longs cheveux roux.
En classe de mathématiques, elle est venue s’asseoir a coté de moi.
En classe de philosophie. Elle c’est assise encore à coté de moi.
Je me dirigeais vers la cafétéria pour déjeuner… Et bien sûr, la rousse marchait à côté de
moi.
En souriant je m’adresse à elle :
– Tu sembles être partout ou je suis.
– Je pourrais dire la même chose à propos de toi… me réponds t’elle avec un joli sourire, avant de me demander si je suis seule :
– Oui… Je suis nouvelle dans ce lycée.
Taquine elle rajoute :
– Comme nous sommes inséparables depuis ce matin, nous pourrions déjeuner ensemble ?
Nous allions être dans la même classe toute cette année scolaire. De plus, je suis nouvelle et ne connais personne dans ce lycée, suite à la mutation de mes parents dans cette ville. Déjeuner avec cette jolie rousse m’est apparu comme une opportunité à me faire une amie, ou au moins une copine. Alors j’ai accepté.
Pendant le déjeuner, nous avons fait connaissance. Je me suis présentée : Lise. En retour, j’ai appris qu’elle s’appelait Rosie, que comme moi, elle avait redoublé sa deuxième année, ce qui nous faisait un point commun. Nous avons rapidement sympathisé, puis bavardé, sur les habitudes du Lycée, les garçons et les filles de notre classe sympas ou ceux qui fallait que j’évite. Nos impressions sur les premiers cours de cette matinée. Puis la discussion à dérivée sur les professeurs et en plaisantant nous sommes tombées d’accord, pour dire que si le prof de maths nous appelait à son bureau, l’on grimperai bien sur ses genoux !… Et c’est le moment choisi par Rosie pour me dire avec un sourire coquin :
– Ce n’est pas le seul qui me donne chaud dans ce lycée !
– Vrai ?… Tu as remarqué un autre prof qui te plaît autant que lui ?
– Qui te parle pas d’un professeur… Non, ni un prof, ni un garçon du lycée d’ailleurs ! … Toi, Lise !… Je te trouve trop sexy !
– Ah bon ! Répondis-je en feignant la surprise, car je me doutais bien que ses approches matinales ne devaient rien du hasard.
– Pourquoi ?… Tu ne me trouves pas attrayante ?
– Si… Si .. Tu es très belle !… C’est juste que je ne … Et elle me coupe dans ma phrase.
– Tu n’as jamais été attirée par une fille ?
– Non …
– Ni curieuse de savoir comment ça fait avec une fille ?
– Non
– Et si une autre fille te le proposait ?
– Ce serait non… Mais je suppose que l’autre fille, c’est toi ?
– Oui ! Ça te choque ?
– Pas du tout ! Voilà qui est direct au moins !… Tu sais Rosie, je suis assez libérée, mais « le faire » avec une autre fille, cela ne m’a jamais émoustillée… J’aime trop les robinets ! Finis-je rigolarde.
Notre pause-midi s’achevait, tout en rejoignant notre salle de cours elle me dit :
– Si tu changes d’avis… Je veux bien faire ton éducation !… Me dit-elle en gloussant
– Je ne changerai pas d’avis Rosie… Je suis hétéro !
– Et ça change quoi ? Moi aussi, Lise, je suis avant tout hétéro … Mais ça ne m’empêche pas d’être bisexuelle. Alors si l’idée t’intrigue, nous pouvons en reparler… Fais le moi savoir
Et sans se départir de son humour :
– Après tout, nous sommes au lycée pour acquérir de nouvelles connaissances… Non ?
-Oui… Mais il y a des matières qui m’intéresse moins que d’autres !
– Penses-y, Lise !
Nos cours terminés, avant de sortir du lycée, Rosie c’est approchée de moi pour me dire qu’elle avait apprécié notre rencontre. Et qu’elle ne voulait pas que notre discussion de tout à l’heure, soit une entrave à notre amitié naissante. Puis elle m’a souhaité une bonne fin d’après-midi… Et des rêves agréables.
La soirée fut des plus ordinaires. En famille. Repas, télé, puis je me suis couchée. Cette proposition de Rosie, toujours en tête, car c’était bel et bien une proposition cochonne, qui je dois me l’avouer, m’avait troublée. Je n’avais pas été honnête dans mes propos. Depuis cet été et des vacances ambiguës avec une cousine lesbienne, non concrétisées, j’étais en plein questionnement et garnie d’une fièvre d’essayer de tester et de découvrir ces amours interdits. Quel était le ressenti, les sensations, les émotions par rapport avec un garçon ? Celles qui disaient « l’avoir fait » avaient l’air si enthousiastes ! Et prêtes à remettre leur nez où moi je mettais mes doigts !
Je me suis endormi la dessus en me disant que « la nuit portait conseil », je ne croyais pas si bien dire…
Je me suis réveillé plusieurs fois dans la nuit. À chaque fois l’image de Rosie en tête et ma main sur la chatte (je dors nue sous une chemise de nuit). À chaque fois, j’ai fantasmé sur Rosie. Je m’imaginais que c’étaient ses mains et pas les miennes qui me caressaient lentement, partout. Ses doigts et pas les miens qui fouillaient mon sexe, frottaient mon clitoris. Sa bouche qui goûtait mon sexe. Dans mon esprit, c’était Rosie qui me léchait la vulve, sa langue qui titillait mon bouton. C’était Rosie qui me faisait mouiller abondamment au point de salir mes draps. Rosie qui me faisait gémir, crier de bonheur. Rosie qui me faisait jouir !
À chaque fois, j’étais haletante, trempée et il ne me fallait jamais bien longtemps pour avoir un orgasme libérateur d’une intensité incroyable, avant de me rendormir à nouveau.
Au petit matin quand je me suis réveillée, ma chatte et mes draps souillées, par mes élucubrations de la nuit, ma décision était prise…
Au lycée, je me suis arrangée pour être assise à coté de Rosie. Et pendant un cours, je lui ai murmuré : « d’accord ». Sa première réaction fut la surprise. Ensuite, un sourire illumina son visage, et son regard devint caressant avant de me chuchoter :
– À propos de notre discussion de hier ?
– Oui, chuchotai-je à mon tour… Enseignez-moi, professeur Rosie !
À la cafet’ nous nous sommes isolées et tout en déjeunant avons élaborés plusieurs plans pour se retrouver seules. Comme ses parents sont commerçants et rentre au plus tôt à 19h30 alors que chez moi, il y a toujours ma mère, car elle est femme au foyer, c’est donc chez Rosie que nous avons décidée de satisfaire cette pulsion sexuelle et ma première expérience avec une fille.
Notre dernier cours de la journée se terminait à 15 heures ce qui nous laissait beaucoup de temps pour « faire la chose ». J’ai appelé ma mère pour lui dire « je ne rentrerai sûrement pas avant 19 heures », avec comme excuse « je dois passer à la bibliothèque pour faire des recherches et y travailler pour un de mes cours »… Et c’est toute émoustillée, mais avec un peu d’appréhension que j’ai suivi Rosie chez elle.
Dans sa chambre, elle ne m’a pas laissé le temps de me poser des questions, l’impatience ? La peur que je ne change d’avis au dernier moment ? Le fait est qu’elle s’est littéralement « jetée sur moi » pour me rouler une « pelle » fabuleuse tout en baladant ses mains sur tout mon corps ! Jamais un garçon ne m’avait embrassé comme cela ! Nos langues s’entremêlaient, nos dents se cognaient, nos salives se mélangeaient, dégoulinaient sur nos mentons. Nous étions haletantes et excitées !
Puis Rosie a pris « les choses en mains ». Elle a fait tomber ma jupe que j’ai dégagé avec mes pieds. enlevé mon chemisier, dégrafé mon soutien-gorge libérant mes deux petites pommes aux tétons déjà bien durs et dressés. Descendu et enlevé ma culotte qu’elle a portée à son nez pour en inhaler la fragrance, mélange de mouille et de pipi, tout en me disant que ma foufoune était très joli et que j’avais un abricot qui sentait bon … Et elle m’a poussé sur le dos en travers du lit.
Devant moi, elle s’est déshabillée rapidement, pendant que pleine d’envie, je me caressai la chatte en la regardant faire. Sous sa robe qu’elle a fait voler par-dessus tête, elle ne portait pas de culotte, juste un soutif ! En quelques secondes, elle m’est apparu nue, exhibant une magnifique toison rouge !
Moi Lise, j’allais faire l’amour avec cette déesse rousse, connaître ma première fois homo avec cette fille aux courbes parfaites !
l’excitation m’avait gagné définitivement, plus de honte de ce que j’allais faire, plus de craintes de ne savoir m’y prendre. En un mot plus d’appréhension, que du désir ! Il fallait que je la touche, qu’elle me touche, qu’elle me fasse jouir, que je la fasse jouir !
Rosie s’est couchée sur moi, silencieuse, sure d’elle, de son effet, de son expérience. Son contact m’a fait frémir. Quand je l’ai enveloppé de mes bras, ma chatte s’est engorgée de mouille, mon bas-ventre s’est mis à gargouiller.
Collée à moi, elle frotte son buisson roux contre mon buisson noir, bouches soudées par un baiser impétueux, mouillé. Puis Rosie se dégage de mon étreinte pour partir à la découverte de mon corps. Je me laisse faire. Sa bouche est légère, ses mains sont douces. Je découvre de nouvelles caresses, plus sensuelles qu’avec les garçons.
Elle caresse ma fente d’un doigt, s’attarde sur mon bourgeon. Après plusieurs aller-retour qui me font gémir, mouiller et ouvrir encore plus mes cuisses, elle pénètre lentement ma vulve.. Je lâche un cri de jouissance. Sa bouche avide cherche une cible. Mon sein fait l’affaire.
Je ne suis plus moi ! Le sein aspiré, le téton mordillé et le sexe caressé avec une adresse diabolique, je suis une autre Lise !
Je me cabre lorsque un deuxième doigt me pénètre, facilement tant je coule. Ils restent un instant immobiles plantés dans mon vagin avant de commencer de lents va-et-vient diaboliques. Je gémis. Je crie. Je gigote pour échapper à cette main qui me fouille pour immédiatement après m’empaler sur elle.
Rosie intensifie ses caresses dans un gémissement étouffé par mon petit sein. Ma jouissance la surexcite. Ses doigts continuent de me supplicier alors que son pouce vient frotter frotter mon capuchon, me faisant trembler davantage. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps, avant de m’envoler. Mais c’est le moment qu’elle choisit pour changer de position. Elle m’abandonne pour se coucher sur le dos. Un instant, pantoise, je la regarde, sans comprendre … « J’allais jouir… Oh non ! »… Mais je saisis vite ce qu’elle veut.
Elle me guide en saisissant mes cuisses pour me faire asseoir sur sa bouche. Sa langue pointue se fiche sans prévenir dans ma vulve béante et ruisselante. Je gémis en fermant les yeux pour mieux profiter de ses sensations indescriptibles. Sa langue est satanique, Rosie varie les effets, les pressions, les sensations. Je coule littéralement sur elle. Je dois lui inonder son beau visage, mais je m’en fous ! Je suis en train de jouir, sur le point de non-retour et je serai capable de l’étouffer avec ma vulve pour un orgasme !
J’ondule lentement sur sa bouche tout en me caressant les seins. Je regarde cette rouquine aux yeux d’émeraude s’activer entre mes cuisses. Aucun garçon ne m’avait jamais léché la chatte comme Rosie était en train de me le faire.
Sa langue agace mon clitoris. Je me cambre lorsque ses doigts me pénètrent pour une caresse conjointe affolante. Je me tortille sur son visage. Je suis sa chose et j’aime ça ! Sur un attouchement plus appuyé de la pointe de sa langue sur mon bourgeon, une vague me traverse et me submerge, je viens d’un coup, sans aucune retenue, cramponnée à ses cheveux ! Je lui fais certainement mal, s’il faut, je l’étouffe même, mais je m’en fous ! Je jouis ! je m’envoie en l’air ! Longuement, bruyamment, inondant son visage de mon éjaculation féminine qu’elle boit avec vampirisme.
Le corps tremblant, tant mes spasmes sont violents, je regarde amoureusement Rosie qui me dévisage satisfaite de son coup ; sa bouche, son menton, son nez, et même ses paupières barbouillées de ma liqueur. Elle sait la coquine (je devrais dire la cochonne) que je ne pourrai plus me passer d’elle ! Je l’attire à moi pour un baiser au goût de mon plaisir. Avant de profiter de cette mini-trêve et qu’elle est encore sur le dos pour me mettre dans une position de 69.
Nous nous sommes goûtées, broutées, léchées, mangés, doigtées, branlées très longtemps ! Nous avons joui et orgasmé plusieurs fois. Ses draps étaient souillés de nos plaisirs… Pas rassasiée pour autant, Rosie a fait quelque chose que je n’avais vu que dans les films pornos de lesbiennes.
Face a moi, elle a emboîté sa fourche dans la mienne. Sa foufoune mouillée s’est d’abord frotté lentement, puis plus vite et plus fort contre la mienne. Je me suis ancré plus étroitement dans la sienne, cramponnée a elle comme j’ai pu, je sentais mon clitoris battre le sien au rythme de nos couinements en folie… nous nous sommes frottées furieusement tout en râlant de plaisir jusqu’à ce qu’un énième orgasme, fabuleux, monstrueux nous emporte, accrochées l’une a l’autre, chattes collées, têtes en arrières et yeux révulsés.
Jamais !… Oh non jamais ! Je n’avais tant joui. Eu tant d’orgasmes. Quand nous nous sommes détachées son buisson roux, comme mon buisson noir était tout gluant de nos jus intimes mélangés.
Épuisées de tant de jouissance, après s’être assoupies, enlacées, nous avons pris la douche ensemble. Nos mains étaient partout sur nos corps, et chacune de nous eu droit a un dernier orgasme avant de se rhabiller et que je rentre chez moi à regret …
Je ne sais pas si j’aurais mon bac en juin. Par contre, j’étais maintenant sure qu’avec cette « amitié particulière » que je venais de nouer, l’année scolaire aller être ludique, la plus agréable et la moins longue que je n’ai jamais connue…
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