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Lucas

Lucas



Lucas jette ses lèvres sur les miennes en m’enpoignant les hanches de ses mains fortes, sans ménagement . Pas besoin d’attendre longtemps avant que je ne lui cède et sa langue vient enlacer la mienne. J’agrippe son dos musclé. Notre baiser est passionné, nos langues tournoient l’une contre l’autre. Une fois ce premier baiser passé, je ne peux que lui avouer avec une voix de chatte, mes yeux noyés dans son regard :
« J’ai envie de toi… de ton sexe, je n’en ai jamais vu d’une pareille largeur. »

Sa bouche, ses lèvres gagnent rageusement ma nuque et mes épaules, puis ils reviennent baiser mes lèvres. Je suis en feu ! Je prends ses cheveux dans mes mains, l’embrasse sur tout le visage. Ça fait si longtemps que je n’avais pas fait cela ! D’une main je le branle un peu.

Sans égard il prend ma vulve son énorme verge rentre en moi, écartelant ma grosse chatte et m’arrachant un cri ! D’un doigt il fait frétiller ma rondelle et ne tarde pas à me doigter l’anus. C’est bon ! Non c’est délicieux !
Lucas arrête de m’embrasser pour m’écouté gémir avec force puis, il retire son doigt arrête son traitement pour ne pas me faire jouir tout de suite, je coule littéralement d’excitation et mes grosses lèvres sont luisante de mouille.
Il se retire avant de m’empaler a nouveau, d’un coup, violement ! Hummm ! je n’ai jamais été écarté a ce point !
Son sexe effectuant des va-et-vient dans mon vagin rapide et puissant l’effet est prodigieux, tant je n’avais pas été baisée depuis longtemps ! Je pousse de petit cris a chacun de sous ses coups de boutoir.

« Hummm Nath tu n’as jamais vu d’aussi grosse bite, ça t’excite hein ma salope ! tu la sens bien la, au fond de ton sexe trempée…
— Oui…
— Comment ?
— OUUUUIIIIIII salop ! »

Lucas me baise bien, je crie. Ses allers-retours en moi, sont de plus en plus puissant, sortant quasiment toute sa queue pour la rentrer de nouveau, et ainsi de suite. Je crie quasiment à chacun de ses coups, me mords la lèvre inférieure entre deux râles.
Je ne sais plus très bien où je suis. Je n’entends plus que mes râles de plaisir. Jusqu’à ce que la boule qui me tenaille le bas-ventre ne me remonte dans tout le corps, laissant échapper trois puissants cris de jouissance.
« Haaaa ! Lucas ouiiiii tu me fais jouirrrrrrr !!!! »

Je reste ainsi quelques précieuses secondes empalée dessus.
Lucas me donne quelques petites tapes sur les fesses.
Après quelques minutes sans bouger, en m’appuyant sur son torse musclé, je recommence à faire coulisser son énorme sexe dans ma vulve. J’ondule doucement de la croupe en contractant mon vagin je veux le sentir jouir en moi. Un rodéo jubilatoire ! J’ai beau avoir jouis quelques minutes plus tôt, ce nouveau traitement fait très vite effet mais l’effet inverse de celui que je recherchais, je gémis de nouveau.
Heureusement, ça a l’air de plaire à Lucas qui grogne ostensiblement.

Je recommence en fait à me laisser aller entièrement au sexe, comme envoûtée, faisant claquer mes fesses contre ses cuisses avec toujours plus de force, avec toujours plus de cette envie impérieuse de me faire prendre comme une chienne ! Mais Lucas arrête mon élan.

« Et maintenant le bouquet final, dit-il. »

Sa main me flatte les fesses. Un doigt passe et repasse entre mes globes jumeaux.
Je vois où il veut en venir et je me tais. Je sens le doigt se poser sur mon petit trou et à le masser doucement. Je suis consentante. Je sais ce qu’il veut et malgré la crainte de la douleur avec une telle verge, je m’offre, je le laisse faire. Le doigt continue son doux et lent massage un moment et puis fermement me perfore l’anneau musclé. Je pousse un petit cri d’a****l. Mais aussitôt, il ressort laissant un vide et reprend son manège infernal. Vraiment, Lucas est un expert en la matière. Il va-et-vient dans mon anus, sort son doigt pour l’enduire de nos sécrétions, l’enfonce de nouveau profondément.

Je recule mon cul vers ce pal tendu et je pousse sur mon sphincter écartant mes fesses de mes mains pour m’ouvrir.

Il prend alors mes grosses fesses a pleine main me soulève et place sa queue à l’entrée de mon anus, il s’enfonce lentement, me faisant pousser un long gémissement. Je sens la chaleur de son gland contre mon anneau. La lubrification aidant, il glisse et entre en moi. je lui cris de ralentir ! Curieusement, le début se déroule plus facilement que prévu vu sa taille. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait. Je me sens me dilater de plus en plus, ses mains sur mes fesses les écartent encorte.

Les coups de reins de Lucas suivent et se font de plus en plus profonds, m’arrachant déjà des râles de plaisir.
Mes cris deviennent de plus en plus aigus. De vrais cris de salope !
Il saisit mes gros seins blancs qui ballottent au rythme de ses assauts et les malaxent fermement presque méchamment. J’aime ça… je suis sa chose !
La cadence de sa bite qui va et vient en moi, s’accélère. La tête me tourne. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, je crie. Encore. Et encore. Et encore. Lucas a des convulsions et finit par jouir en même temps que moi. Je suis épuisée… mais tout mon corps est encore en feu !
Il se retire se lève et me fait assoir a sa place puis vient me présenter sa queue. Je la mets en bouche, un peu désorientée, et quelques succions me suffisent pour gouter le précieux liquide qui finit encore de s’écouler de son gland.

Mais Lucas n’en a pas encore finit avec moi !
« Caresse-moi avec tes nibards de pute maintenant . »
J’aime ces mots, je m’exécute. La sensation est très agréable. Plus je frotte mes seins à sa verge, plus celle-ci tressaute. Mes caresses sont efficaces, car la respiration Lucas se fait plus rapide et sa verge est a nouveau pleine de vigueur. Je pose mes mains sur son sexe.
« Serre-le doucement et fais des va-et-vient avec ta main. Ta main doit caresser le gland par le prépuce, jamais par la main… »

Je commence à le branler doucement. Son sexe devient de plus en plus dur et grossit a nouveau dans ma main.
Pendant quelques instants, je continue mon manège, mais instinctivement, j’approche mon visage de ce sexe qui me fascine. Son gland est à quelques centimètres de ma bouche. Je tends ma langue et titille le méat. C’est très doux. Aucun goût désagréable comme je le pensais. Je pose mes lèvres dessus. Je le suce entre mes lèvres. J’ouvre ma bouche en grand. J’absorbe lentement le gland en prenant garde de ne pas le blesser avec mes dents. Lentement, je commence de petits mouvements de va-et-vient.

Enfin au bout de quelques minutes, je réussis à avaler le gland tout entier dans ma bouche. Lucas ne peut s’empêcher de bouger et pousse lentement son sexe en avant. Il me tient par les cheveux. Le gland bute contre le fond de ma gorge. J’ai un haut-le-cœur. J’arrête ma fellation pour laisser échapper un petit cri de surprise. Je le reprends courageusement en bouche.
Lucas me prend la main et me fait comprendre de lui masser les testicules de l’autre main. Deux à trois minutes plus tard, je cesse ma caresse.

« Déjà ?
Non, mais je pense qu’il vaut mieux que nous allions dans la chambre… Nous serons plus à l’aise… il y a plein de « jouets » et je veux encore profiter de toi et de ta putain de vulve poilue…
Tu as encore envie de ma queue j’espère ?
Oui, très envie, une énorme envie… »

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