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il était une fois un travesti dans la natur

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Ce premier émoi suscité par la présence de mon mateur m’avait troublée… et m’avait surtout donné envie de recommencer…

Plus j’y repensais, et plus je réalisais combien le fait de m’être exhibée, malgré moi, devant un inconnu avait décuplé mon plaisir !
Je fantasmais sur cette verge tendue, et plus précisément sur le fait que c’était moi, petite coquine, qui avait excité le voyeur… qu’il avait bandé en matant mon cul… et qu’il s’était branlé en me regardant faire mon petit show à mon insu…

Je me remémorais cette nuit-là… ma tenue, mes jeux d’exhib… mon mateur, la main sur son braquemard…
Et ma fuite.

L’envie de le refaire était de plus en plus pressante… Prudemment bien sûr.
Cette fois, il me faudrait garder la maitrise de la situation, de la présence du voyeur.
Et l’exciter, le faire bander dur, le voir se caresser pour moi…
Mmmmmmmmm… oh que oui ! J’avais envie de çà…

Déjà, je trouvais pleine satisfaction dans l’exhibition en pleine nature, mais désormais le fantasme divergeait quelque peu vers la notion de voyeurisme et d’exhibition « en public »…
J’aimais l’idée d’un homme devant moi, ou derrière moi… je voulais voir son sperme gicler pour moi…

Alors, je suis retournée sur les lieux, plusieurs fois… parfois même en plein après-midi, à l’heure où les pique-niqueurs du midi sont repartis, quand l’endroit retrouve un peu d’intimité complice…

Que ce soit de nuit ou de jour, je procédais toujours à une reconnaissance avant toute chose. Une petite balade anodine qui me permettait de me rassurer, et pendant laquelle je commençais déjà à laisser aller mon imagination…

Une fois que j’avais fait le tour, constatant parfois, avec intrigue, la présence de quelque promeneur solitaire, je retournais à la voiture pour observer les allées et venues… j’assistais parfois à un ballet de voitures, jamais plus de quatre ou cinq, souvent une ou deux, qui allaient et venaient à faible allure, faisaient le tour des lieux… semblant chercher quelque-chose…
C’était chaque fois un homme à l’intérieur. Quand la voiture passait à côté de moi, ou devant moi, elle ralentissait. J’essayais toujours de voir comment il était… Et tournais la tête avant que lui ne puisse m’identifier…
Mon penchant pour les hommes mûrs était déjà avéré. Et si l’homme remplissait ce critère, mon imagination reprenait de plus belle…
Généralement, il continuait sa route… Parfois, il se garait un peu plus loin… Plusieurs fois, j’ai assisté à des aller et retours… des voitures qui arrivaient, puis repartaient… souvent les mêmes. J’ai découvert plus tard que les environs regorgeaient d’autres lieux de « fréquentation »… Ces hommes devaient aller de l’un à l’autre, jusqu’à trouver le signe ou le partenaire qu’ils attendaient… j’imagine…

De mon côté, j’attendais toujours qu’il n’en reste qu’un…
Ça pouvait parfois prendre un peu de temps. Alors, je ressortais de ma voiture… retournais me promener un peu… jamais innocemment…
La plupart du temps, je portais ma tenue sous un survêtement ample… et j’aimais la sentir sur moi… la caresse de la dentelle sur ma peau… la sensation délicieuse de ma culotte, emprisonnée entre mes petites fesses, qui se rappelle à moi à chacun de mes pas… je me sentais sexy et confiant à la fois.
Ma tenue civile qui recouvrait le tout me permettait de croiser quiconque sans paniquer…
Et puis, la plupart des inconnus présents semblaient avoir les mêmes attentes que moi…

Le jeu du « je te croise, je te mate, je repars… et je te recroise… » s’amorçait habituellement à ce moment-là… J’aimais bien ce cache-cache qui consistait à rester discret et visible en même temps… une attitude qui disait « je me promène… et toi ? », mais dans l’attente d’un signe explicite en retour…

Quoiqu’il en soit, comme je l’ai dit, j’attendais toujours qu’il n’en reste qu’un… je retournais à ma voiture…
Et ce n’est qu’une fois que mon attente était satisfaite que je ressortais…

Je passais, en « civil », aux abords du véhicule isolé… discrètement, à couvert… pas trop près, juste ce qu’il faut pour mieux le discerner… Je voulais voir s’il s’y trouvait encore…

Parfois, il en était déjà sorti, certainement déjà engagé dans les sentiers… Je m’enfonçais alors à mon tour dans le bois, pour partir, tout aussi discrètement, à sa recherche… Je cheminais lentement, aux aguets, épiant les moindres bruits, les moindres mouvements inhabituels…
A ce stade, je tremblais littéralement d’excitation… Je sentais que l’instant s’approchait…

Je l’apercevais, et il m’apercevait…
Le ballet reprenait… L’un de nous faisait demi-tour, espérant que l’autre le suive… Parfois, le doute était encore plus fort que l’excitation, et chacun s’éloignait… sans vraiment sortir du jeu… faisant en sorte de recroiser l’inconnu plus loin…
Toujours dans l’attente du geste qui rassure, qui confirme une intention coquine…
Comme une main posée sur l’entrejambe, caressant à travers le tissu… une posture cambrée qui présente une croupe invitante… ou, d’une manière plus franche, une braguette ouverte et un sexe sorti…
La franchise a toujours eu un bel effet sur moi…

Je pouvais alors rentrer dans le vif du sujet…

Parfois, la silhouette était toujours dans la voiture…
J’aimais bien cette situation… A moi de jouer pour lui donner envie d’en sortir… Je l’observais quelques instants… guettant… cherchant à me convaincre de la situation…
Mon imagination empruntait des passages de plus en plus érotiques… la caresse de mes dessous me rappelait à ma féminité dissimulée sous mon survêtement… mon désir grandissait…
Je m’avançais un peu, pour me faire apercevoir, puis retournais à ma place… attendant une réponse : un appel de phare ou de warning, une vitre qui se baisse…
Je me rapprochais alors, à découvert, à quelques mètres… à un mètre… sans chercher à communiquer… je voulais voir à l’intérieur… apercevoir l’homme…
Je passais ainsi à côté de la voiture, d’une allure qui se voulait neutre… guettant là-encore un signe invitant… et retournais, rassurée, à l’orée du bois…

J’étais parée à me lancer…

Je me dérobais derrière un arbre pour me changer… retirais mon sweat et mon pantalon pour les ranger dans mon petit sac… et m’emparais de mes escarpins, de ma longue perruque brune… et de mon petit masque noir…
Ca y est, j’y étais : Femme sexy et anonyme, prête à se livrer un peu !
Mes longs cheveux tombaient sur mes épaules dénudées… les bretelles de ma robe ou de mon petit haut… la légèreté du tissu qui se soulève un peu au gré du vent léger… Mes mains me frôlent… Mmmmmmmmm… sentir le nylon sur mes cuisses… remontent… agrippant ma robe au passage pour la relever doucement… et mes dessous, toujours sexy…
Je me sentais de plus en plus… prête…

Un pas sur le côté, puis deux… Me voilà face à lui, à quelques mètres…
Je restais là quelques secondes, lui laissant le temps de s’acclimater à l’obscurité … Je savais que la blancheur de ma peau ressortait… qu’il commençait à me distinguer un peu plus… à entrevoir ma tenue, mes courbes…
Quelquefois le coquin se plaisait d’un appel de phare pour m’éclairer un peu… je m’exposais quelques secondes encore, tournant sur moi-même… et me retirais, d’une démarche encourageante…

Ca ne tardait jamais… j’entendais la portière s’ouvrir, puis se refermer… et je commençais à m’éloigner lentement dans un sentier… prenant soin de rester à sa vue…
J’avançais, d’une démarche chaloupée… mes talons accentuant ma cambrure… je m’enfonçais dans les dédales…
Me retournant de temps en temps pour m’assurer qu’il était toujours là… qu’il me suivait… qu’il me matait…
Ses yeux sur ma petite robe, sur ma silhouette, sur ma croupe… et sa main sur son entrejambe…
Il était bien là, un peu gauche… il m’emboitait le pas, respectant la distance entre nous…
Il avait l’air d’apprécier…

Mon excitation se nourrissait de son désir…
Je m’arrêtais ça et là, lui faisais signe de s’arrêter aussi… et lui prodiguais un petit show…
Tantôt je me cambrais un peu plus, relevant subtilement ma robe ou ma jupe… laissant entrevoir un peu mes fesses… tantôt je me penchais, promenais mes mains sur moi, sur mes cuisses, sur mes fesses…
Au fur et à mesure, je me laissais aller un peu plus… de plus en plus coquine, de plus en plus charmeuse… je retirais ma robe, ou faisais glisser ma jupe… et je reprenais mon chemin, les fesses à l’air… lui exhibant ma culotte, ma lingerie… Je tournais du cul, en petite allumeuse…
Progressivement, je ralentissais, le laissais se rapprocher un peu…

Une nouvelle halte… je me penchais encore, écartant les jambes… mes mains sur les fesses… je lui offrais ma croupe en pâture… mes doigts passant sous ma dentelle… Mmmmmmmmmm… j’adorais me faire mater comme çà…
Je me retournais alors vers lui, avec un sourire coquin… faisais glisser ma culotte jusqu’à mes chevilles… par terre… et me tournais à nouveau pour me pencher, lentement, et la ramasser…
Puis repartais… excitée comme une puce… le cul complètement à l’air, simplement habillé du regard de mon complice…

Tout en marchant, je rangeais ma culotte dans mon sac et prenais le tube de lubrifiant pour en déposer sur mes doigts…
La pause suivante serait la dernière…

Une fois arrivée à l’endroit propice, refuge douillet et discret, je m’arrêtais.
Sans parler, je lui faisais signe de s’approcher un peu… encore un peu… à quelques mètres… stop.
Quand il n’avait pas encore déboutonné son pantalon et sorti sa queue, il ne tardait pas à le faire.
Il se tenait là, en face de moi… la queue à l’air, tendue, et une main dessus… un va-et-vient qui m’indiquait son envie, son excitation… un va-et-vient qui m’invitait à lui en donner encore plus…
Il me fixait avec convoitise… me dévorait des yeux… Mmmmmmmmmmm… j’adooooooore…

Le show final commençait…
Face à lui… sans culotte… je promenais une main sur mon corps… des petits soupirs m’échappaient… je caressais mes cuisses… mes hanches… mon ventre… mon sexe… je me branlais un peu, délicatement…
Une fois de plus, je me tournais pour lui exposer mon cul… les jambes écartées… les fesses bien ouvertes…
Je pivotais un peu ma tête pour le regarder… il n’en perdait pas une miette… se branlait avec ferveur…
Parfois quelques commentaires me parvenaient… me complimentant avec plus ou moins de langage… qu’importe, il est des fois où une once de grossièreté peut aussi avoir toute sa place, tant qu’elle est dénuée d’agressivité…
J’aimais les entendre parler de mon cul, de mes jambes, de ma tenue…
J’étais tantôt « une sacrée coquine »… tantôt j’avais un « beau petit cul de salope »… tantôt j’étais une « belle petite pute » et j’adorais « dresser des bites »… et j’en passe… rien de choquant en soi…
Ca avait un effet immédiat sur mon désir…
Ca m’excitait terriblement… et me délurait encore plus…

J’amenais mon autre main sur ma croupe… mes doigts lubrifiés glissaient le long de ma raie…

Une main sur mon sexe, gonflé d’excitation… prêt à exploser… et l’autre entre mes fesses, les lustrant avec soin…
Mes doigts ne tardaient pas à s’arrêter plus précisément… titillant… forçant délicieusement le passage… un peu…
Je regardais mon mateur en enfonçant mon doigt… tout entier… bien au fond… et ressortais lentement… Je recommençais, encore… et encore…
Mmmmmmmmm… je me branlais la bite et le cul en même temps… sous les yeux de mon inconnu…
Je joignais un autre doigt au premier… et parfois même un troisième… et continuait de les glisser entre mes fesses, complètement ouvertes de plaisir… Ooooooooooohhhhhhhh… j’adorais çà…

Je fixais la belle queue tendue pour moi… mon mateur se branlait de plus en plus vite…
Je guettais son sexe, à l’affut de sa jouissance… j’attendais cet instant où les jets de spermes jaillissaient du gland turgescent… par saccades… Mmmmmmmmmm… de longs jets de foutre… pour moi…
Je me sentais honorée, petite coquine que j’étais… et venais à mon tour en jouissant sans retenue… la bite bien dressée, dégoulinante… et les doigts bien au fond entre mes petites fesses…

C’était tellement boooooooooooon… J’en tremblais de délice…

Rapidement, mon visiteur rebroussait chemin, sans demander son reste…
Et c’était aussi bien. Je n’avais aucune envie de communiquer, de dialoguer… Le seul partage était celui du plaisir et du vice…
Je restais quelque secondes, et retournais à mon tour vers la voiture…
Quelquefois, je gardais ma tenue de coquine jusqu’au parking… quelquefois… quand j’étais vraiment très excitée…

Cette phase a duré un bon moment.
J’adorais m’exhiber ainsi devant un voyeur. A ce jour, pas plus d’un seul à la fois…
Et, forcément, au fur et à mesure de mes expériences, la distance de « sécurité » diminuait… Plus ça allait, et plus le mateur était proche de moi. Et plus sa queue en érection était proche moi… quasiment à portée de main…
Pourtant, je ne le touchais pas. L’exhibition m’apportait tout mon content, et suffisait à ma jouissance…

Jusqu’au jour où mon envie s’est réveillée…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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