Je devrait pousser un soupir de soulagement. Sa disparition me soulage, au contraire.
Mon amie Nicole est venue passer quelques jours chez moi pour que je passe ces lendemain difficiles, alors que pour moi, c’est une délivrance. Elle ne sait pas que je peux maintenant faire ce qui me plaît sans être gênée par sa présence.
Quand elle me demande si ses contacts ne me manque trop, je ne sais que dire. Depuis des années notre couple ne marchait pas du tout. Nous menions chacun de notre coté une vie particulière.
Nous étions libres de faire l’amour avec qui nous plaisait, mais, là :
Le premier il s’est éprit d’un jeune type de 10 ans de moins que lui. Il le faisait venir à la maison, le caressait devant moi, lui prenait la bite dans la bouche pour qu’il y jouisse. Lorsque nous étions à table au lieu de me caressait comme avant, il sortait sa queue pour la donner à ce type. Mon seul devoir état de les regarder jouir avec un homme.
Il se mettait souvent nu, il venait vers son amant la bite bandée. Il la lui prêtait un instant avant de lui donner ses fesses.
Avant quand nous baisions il me donnait son cul pour que je le lui caresse, que j’y mette un doigt profond.
Maintenant je le voit décharger son trop plein de sperme quand il a le cul occupé par une belle queue, qu’il se laisse branler en étant sodomisé.
J’aime me faire enculer, moi aussi, c’est lui qui m’a appris cette perversion. Quel plaisir est plus fort que sentir son cul s’ouvrir devant une bite bien dure qui s’enfonce à fond au point que je sente ses poils sur mes fesses ?
Nicole me surprend un matin quand, sous la douche, je me caressais dans la respective d’un orgasme. Malgré ou à cause de sa présence, je n’arrêtais pas ce que je faisais, au contraire je sentais un nouveau plaisir plus fort d’être vue ainsi. Je poussais même un gémissement au moment de l’orgasme.
Je voyais Nicole se mettre nue aussi. Mais elle sortait de la salle de bain. Excitée je partais nue à sa recherche en voulant lui faire l’amour, chose que nous n’avions jamais fait.
Elle était presque couchée sur le divan, la main sur sa chatte, la caressant. Les yeux fermés, elle ne pouvait me voir venir.
Elle me donnait envie de la caresser, de lui faire l’amour sans arrêt. J’étais debout près d’elle, les jambes ouvertes, sa main sur le minou.
Elle se donnait du plaisir, j’en faisais autant. Mais je regardais en détail ce sexe de fille qui avait du connaître pas mal de bite.
J’ai participé à son orgasme en lui mettant dans son vagin entrouvert le gode que je possède. Je baisais ma copine, j’en prenait plaisir lui en donner. Mon autre main prenait mon clitoris. Elle me regardait me donner du plaisir, elle prenait le sien en gémissant. Elle prenait ma main pour me remplacer. Nous branlions mutuellement. Il me semble qu’elle me masturbait bien mieux que je me le faisais . Il me semblais voir couler sa cyprine entre ses cuisses ouvertes, descendre vers l’anus.
Je pouvais venir sur elle passer ma langue dans sa chatte, descendre un peu, juste un peu vers son petit trou joli.
Je trouvais son goût extraordinaire, un peu musqué, légèrement salé. Et surtout je trouvais en elle la douceur d’un sexe de fille. C’est du haut de la fente, en passant par l’ouverture du sexe, jusqu’à l’anus, la même douceur. Ce même désir de plus en plus fort de lui faire du bien.
Ma bouche plein de ses secrétions, je me régalais. La langue léchait tout le sexe, pire qu’un chaton quelques gouttes de lait. Je léchais sans cesse son clitoris qui devenait plus dur. Des fois le m’oubliais pour aller ausculter son petit trou. Là elle aimait, elle voulait que le bout de ma langue entre, ce que je refusais toujours, sauf la première fois quand, nous étions en 69, elle me léchait justement le petit trou, c’était bon je ne pouvais pas faire autrement que lui rendre sa caresse particulière. Finalement c’était agréable. Quand elle me le faisait j’acceptais, à la recherche d’un plaisir moins commun.
Actuellement nous nous embrassons l’anus souvent en nous mettant un gode dans le vagin, et avant surtout de terminer par un long sexe à sexe réunis en longues caresses aussi bonnes qu’une bite, et tellement plus érotiques. Nous avons choisi ensemble un long gode à double gland.
Nous nous baisons souvent, dans la même recherche d’un plaisir différent. C’est elle qui a la maîtrise de l’engin que le fait aller et venir entre nos deux sexes ou nos deux culs, selon notre désir et c’est bon de se baiser ainsi. Ça n’empêche pas de nous lécher en 69.
J’ai voulu essayer le double gode rien que pour moi. J’étais allongée, un bout de gode dans l’anus, l’autre plié dans le vagin. J’avais ainsi une double pénétration, mon rêve. Ma compagne a voulu essayer : nous avons deux doubles godes pour nous satisfaire ensemble face à face.
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