Lorsque nous sommes entrés dans la chambre de maman, elle s’est affalée sur son lit et fait signe à Barbara de se joindre à elle tandis que nous les contemplons avec convoitise.
– Et maintenant ?
Demande Robert.
– Le meilleur est bientôt à venir !
Déclare ma mère avec des yeux malicieux. Barbara rigole à la suggestion. Puis maman écarte les jambes pour nous faire admirer sa chatte humide.
– Tu vas mettre ta bite ici. Ce sera vraiment bon !
Dit-elle en me regardant.
– On va baiser ?
Questionne Robert d’un ton neutre.
– Ouais ! Nous allons faire de vous des hommes.
Répond ma mère. Barbara tourna la tête vers maman.
– Je voudrais être mangé d’abord !
Murmure-t-elle. Robert et moi ne savons pas ce qu’elle veut dire. Manger ? Manger ? Pourquoi a-t-elle envie de manger maintenant ?
– Peut-être plus tard !
Répond maman.
– Pour faire simple faisons ça d’abord et finir avec le reste. D’ailleurs, je suis trempée rien que d’y penser !
Je suppose qu’avoir l’idée que son propre fils te baise et qu’en outre tu lui prends son pucelage, est suffisante comme préliminaires ! Puis remarquant ma bite de nouveau érigée, maman me fait signe de venir sur le lit et me coucher sur elle. Comme je le fais, elle tend ses bras et m’embrasse quand ma bite se niche près de sa chatte. Comme je la tiens elle saisit mon pieu d’une main, tout en essayant de manœuvrer mon corps pour le mettre à l’intérieur d’elle.
– Bien, pousse fort !
Me demande Maman une fois que je suis à l’entrée de sa chatte… Je le fais. Si sa bouche sur ma bite fut incroyable, là ce fut un délire sexuel. Tout d’un coup une chaleur humide recouvre ma queue adolescente quand je m’enfonce davantage à l’intérieur, centimètre par centimètre jusqu’à ce que mon pubis se plaque contre le sien. À ce moment l’instinct a****l reprenne. Je me recule de quelques centimètres et pousse à l’avant de nouveau. Je répète l’action jusqu’à ce que je commence à prendre un rythme et pistonne sa chatte, dedans et dehors… allers et retours de plus en plus vite, de plus en fort. Je trouve cela vraiment super et je ne suis pas le seul à penser ainsi. Maman gémit à chaque poussée de ma bite et moi aussi je grogne et gémis.
– Oh, oui Poulet ! Ooooh… Ouiiiiiii ! Voilà, ça y est ! Oh mon Dieu, oui ! Baise-moi ! Oh oui, Bébé, baise-moi ! Baise ta maman ! Ooooh dieu… baise ! Défonce ta maman… c’est bon !
Crie-elle. Pendant ce temps, juste à côté de nous se trouve mon cousin sur sa mère qui martèle sa chatte encore plus fort que je le fais.
– Ouais ! Ouais !
Gémit-il
– Encore plus fort ! Encore !
Crie ma tante à chaque poussée puissante de sa queue. Barbara ne dit pas d’autres mots, sauf ce fort et incroyable cri à chaque coup de sa queue lourde. La salle est remplie avec les sons fantastiques ! Le grand lit est vraiment secoué, Robert et moi grognons et gémissons à chaque poussée dans les chattes de nos mères, tandis qu’elles hurlent de plaisir de cet acte fabuleux de pratiquer l’i****te ! Mon cousin et moi durons beaucoup plus longtemps cette fois, donnant aux chattes de nos génitrices une bonne séance. Je suis proche d’éjaculer et je peux sentir la tension dans ma bite. Frénétiquement, je martèle ma mère jusqu’à ce que en criant je commence balancer ma semence en elle.
– Oh oui bébé ! Donne ton sperme à maman ! Oh ouiiiii ! Jouit en moi !
Beugle maman. Je m’affale sur elle tandis que ma bite balance de plus en plus de sperme dans chatte humide et chaude. J’ai chaud sue à grosses gouttes. Maman me serre et me caresse les cheveux. Son bébé vient de devenir un homme dans le même trou, d’où il est sorti de treize ans avant ! J’entends Robert qui grogne et ma tante qui gémi quand il jouit en elle.
– Oh oui, Robert !
Maman gémit dans mon oreille.
– Baise ta maman ! Donne-lui ton sperme ! Tu es l’amant de maman maintenant !
Entendant ces mots, je remarque que ma bite bande de nouveau, tout en restant dans sa chatte.
Maman me fait signe de descendre de sur elle et je sors ma queue de nouveau raide, mais heureux et satisfait. Je me suis alors effondré à ses pieds comme Robert quitte sa mère et s’assois sur le coin du lit pour reprendre son souffle.
– Vous êtes les hommes maintenant !
Proclame maman.
– Comment c’était Barbara ?
– Mmmm, très agréable
Gémit-elle.
– Je parie que…
Enchaîne maman regardant la bite encore bandée de Robert. Je ne réalisais pas pleinement alors mais ma mère est une aime le cul… souhaitant profiter de l’opportunité.
– Robert veux-tu me baiser ?
Demande maman. Je fus un peu surpris
– Ouais !
Répond Robert et aussitôt dit, il saute sur ses pieds. Comme je me suis déplacé à côté, mon cousin se place entre les jambes de maman, et maintenant sachant quoi faire, pointe son pénis plus grand sur chatte très humide et gluante de maman. Comme il y entre, ils gémissent tous deux à l’unisson. Barbara et moi regardons son fils baiser ma mère. Et ils sont tous les deux tendres ! Je bande à mort de voir ma propre se faire baiser et de voir que je me tiens juste là sans rien à faire que de regarder. Je tourne les yeux vers ma tante qui me sourit, les jambes grandes ouvertes et avec son doigt me fait signe de la rejoindre. Tout d’un coup je me suis senti beaucoup mieux ! Tous les deux nous allons pouvoir jouer à ce même jeu ! C’est à mon tour de baiser sa mère aussi ! Je suis entre les jambes de ma tante et me baisse sur elle. Elle n’a pas besoin de me guider maintenant que je sais ce qu’il faut faire. Je lui fais un grand sourire et elle me sourit en retour. Je glisse ma bite dans sa chatte bien trempée. Elle me serre contre elle. Je fais l’amour à ma tante, j’aime sa chatte bien juteuse et un plaisir sauvage de la baiser dans la chambre de maman et à côté d’elle. Comme je m’enfonce dans sa vulve, j’entends maman crier comme Robert la ramone avec sa bite épaisse. Ma tante me serre, elle bouge ses hanches pour venir à ma rencontre, de renforcer mes coups de reins. A chaque poussée de ma bite elle geint dans mon oreille. Je commence à embrasser sa joue, et je me déplace jusqu’à ce que mes lèvres se posent sur les siennes et j’embrasse ma tante à pleine bouche. Elle semble surprise, mais répond à mes baisers avec sa langue. Ça peut sembler bizarre, un garçon de treize ans, embrassant passionnément sa vieille tante de quarante-trois ans, tandis que son jeune pieu pistonne sa chatte mature, mais nous allons échanger toutes sortes de fluides, nos langues avec la salive, sa cyprine et mon sperme sa chatte. Alors que nous sommes perdus dans notre propre jouissance, maman et Robert sont comme deux volcans en éruption.
– Plus fort Robert ! Plus fort !
Crie Maman alors que mon cousin a grogne comme un a****l comme il baise maman.
– Oh… ouiiiii… ooooh… ouiiiiiii ! Je jouiiiiis !
Hurle maman quand un orgasme puissant lui ravage le corps.
Pendant ce temps, comme je la repousse en approchant de l’orgasme, elle pose ses mains sur mes fesses, arrête nos baisers, se met à gémir bruyamment. Elle plaque contre sa chatte pour utiliser mon corps se masturber, elle aussi approche de l’orgasme. Je gémis bruyamment et brutalement je ne peux pas tenir plus longtemps et décharge en profondeur dans son vagin. Barbara halète quand elle jouit et continue pendant que ma queue lui donne la dernière goutte. J’essaye de reprendre notre souffle, mon cousin et moi sommes sortis des corps en sueur de nos mères. Robert effondré entre nos deux mamans pendant que je tombe à aux pieds de tout le monde.
– Vous êtes de bon garçons, n’est-ce pas Barbara ?
Demande maman.
– Certainement.
Répond ma tante la chatte remplie de sperme.
– Eh bien les gars, comment trouvez-vous le monde du sexe ?
Interroge maman. Robert et moi pouffons.
– Pas mal !
Dit-il. Je suis d’accord. Nous nous sommes reposés un petit moment, nous avons parlé de gentiment de sexe, mais deux adolescents et deux femmes matures nues dans la même chambre tous couchés dans le même lit, de gentiment rapidement c’est devenu beaucoup plus osé !
– Vous en voulez plus, hein ?
Plaisante en ricanant maman. Nous avons ri. Enhardi, Robert et moi avons mis la main sur nos bites et avons commencé à les branler. Oui, nous en voulions plus ! Nos mamans rient avec les yeux excités. Elles en veulent plus, aussi.
– Essayons ceci !
Claironne maman.
– Avance-toi Poulet.
Elle s’assois, saisit ma bite et la porte à sa bouche. Elle la macule de salive, puis la sort de sa bouche, se lève sur le lit, se met à quatre pattes, se tourne vers moi.
– Mets-toi derrière ! Mets ton gland contre mon derrière.
– Quoi ! tu veux faire cela ?
Répondis-je choqué comme Robert l’est aussi. Même Barbara semble surprise.
– Allez… entre dans mon cul. Il te suffit d’aller lentement.
Continue ma mère
Comme je me suis derrière maman, j’écarte ses fesses pulpeuses et vois ce petit trou rose plissé. C’est tout différent de sa chatte béante. Comme je place mon gland sur son petit trou plissé, je redoute presque le faire entrer parce que je crains de lui faire mal. Mais comme je pousse lentement, mon nœud fait son chemin à l’intérieur de son anus. C’est chaud, mais serré, vraiment serré par rapport à sa chatte. J’adore cette sensation ! Réalisant que tout va bien, Robert se tourne vers sa mère
– Maman s’il te plait je peux mettre ma bite dans ton cul,
Lui demande-t-il. Barbara ne semble pas trop disposée.
– Nous allons tout leur enseigner… tout !
Explique maman. Barbara cède et se déplace à côté de maman et se met à quatre pattes pour que son fils la sodomiser.
– Doucement Robert… doucement !
L’avertit-elle, craignant que son excitation puisse lui être désagréable ! En attendant, je suis maintenant dans le cul de maman, la tenant par les hanches, enfonçant ma bite aussi profondément que je peux.
– Oh oui ! Mmmm, oui !
Marmonne ma mère. Je suis surpris. Elle aime vraiment ça ! Mais moi aussi, donc je continue à l’enculer, grognant de mon propre plaisir. Maman se penche sous elle et commence à jouer avec son clitoris, le frottant dur, et gémissant de plus en plus fort tandis que je continue les va-et-vient de ma bite. Barbara s’est détendue et commence à jouir de la sa sodomie, elle accepte facilement la grosse bite de mon cousin. Robert et moi les enculons dans le même tempo. C’est comme un jeu mais plus amusant, grognant en glissant nos bites dans les trous du cul de nos mamans.
– Stop ! Vous deux !
Dit maman en brisant notre rythme.
– Changez de trou les gars !
Mon cousin et moi nous regardons étonnés. Maman en forme. Barbara ne dit rien quand Robert retire sa bite. Je sors la mienne du cul de maman, je suis vraiment étonné par la vue de son anus béant. Robert et moi, avec nos pieux maculés qui dansent dans l’air, changeons rapidement de place. Quand j’arrive derrière ma tante, la bite dressée je remarque son orifice anal bien ouvert par la queue épaisse de mon cousin. Je constate le contraste entre les fesses pleines et charnues de ma mère et de son petit trou rose avec celles de ma tante plus brunes, minces et même plus sombre, son anus brun et son clitoris encore dégoulinant de nos sécrétions. Barbara semble aussi apprécier sa sodomie.
De peur de la désapprobation de ma tante, j’approche doucement mon gland contre l’ouverture brune. Je suis entré lentement sentant la chaleur. Elle n’a pas réagi du tout donc, de ce fait je pousse ma bite bien au fond. Puis je me mets à prendre mon propre rythme. Je tiens sa taille et fais de lent mouvements de va-et-vient je commence vraiment à aimer le sentiment de fourrer ma bite dans un cul. À cet instant, je me rends compte que le sexe anal va devenir mon préféré. Comme je besogne Barbara, je remarque qu’elle a posé sa joue sur le lit, et je vois son regard vitré, la bouche ouverte, se léchant les lèvres tout en roucoulant nouveau, à chaque poussée de ma bite, comme quand je lui ai baisé sa chatte. Cela me donne tellement plus de confiance que je la pilonne plus fort et plus vite, essayant d’obtenir autant de plaisir que je le peux et heureux de lui donner du plaisir aussi. Tant et si bien que Barbara se met à jouer avec son clitoris pendant que je l’encule, elle roucoule de plus en plus fort, je grogne de bien-être, tous les deux nous sommes proches de l’orgasme. Tandis que Barbara ne fait que gémir, ma mère est un peu plus expansive.
– Oh, oui ! Baise mon cul ! Encule-moi à fond ! Oooohhhh, ouiiiii je l’aime ta grosse bite dans mon cul ! J’adore me faire foutre !
Crie-t-elle à Robert.
Robert frénétiquement encule maman, et la vue de son long et épais pieu, entrer et sortir de son anus rose est tout un spectacle. Son clitoris est distendu et dégouline comme elle encore une fois jouit. Ça m’a fait un tel effet que j’agrippe les hanches de Barbara et commence vraiment à la rudoyer, poussant plus fort et plus vite, déterminé à la sodomiser à fond. Barbara se mit à crier, puis pousse un cri et un soupir.
– Ooooh ! Ouiiii ! Ouiiiii !
Sanglote-t-elle. Barbara gigote dans tous les sens quand son orgasme la terrasse, et sur le point de jouir à nouveau, je pousse un long feulement juste avant une dernière poussée et lui envoyer mon sperme aussi profond dans son cul. Je remarque alors Robert serrant de la taille de ma mère contre lui, sa bite enfoncée de toute sa longueur au fons son cul. Je vois son visage en sueur, rouge de plaisir et je pense qu’il décharge tout ce qu’il avait dans le cul de maman.
Totalement lessivés, Robert et moi nous retirons des trous du cul de nos tantes, et encore, je suis sidéré par la vue d’un trou du cul grand ouvert. Celui de Barbara me donne une vue fabuleuse. Comme maman et ma tante se sont effondrées sur le lit, maman nous a dit d’aller dans la salle de bains nous nettoyer. Nous sommes revenus dans la chambre.
– Les garçons vous avez appris très vite, ce soir !
Proclame maman.
– Ce n’est pas une blague !
Enchaîne Barbara. Il se fait tard et nos mamans sont éreintées et souhaite prendre un bon bain chaud et aller dormir. Robert et moi sommes un peu déçus.
– Pouvons-nous le faire encore demain ?
Demande-je. Barbara regardé au loin pensant que je plaisante.
– Ton oncle sera là demain. Rappelles-toi ?
Me rappelle maman. Eh bien, je pensais. Nous nous avons embrassés nos mamans.
Plus tard dans notre chambre, Robert et moi reparlons les faits marquants de la soirée.
– J’ai beaucoup aimé avoir ma bite sucée… Qu’est-ce que tu aimes le plus, baiser une chatte ou cul ? La chatte de ta mère est si humide !
– Je sais, et le trou du cul de la mère super !
Nous avons dormi comme des souches… avec des rêves de bouches, de chattes et de culs.
Le lendemain nous nous sommes réveillés bien décidés à continuer. Manque de pot, mon oncle était revenu. Nous avons fini la semaine calmement.
Après cette semaine à la montagne, je pensais que nous étions au début de quelques parties chaudes ensemble. Notre tout premier jour maison, une fois que mon père est parti travailler, maman et moi avons eu la maison pour nous toute la journée. Quand elle ne va pas faire les courses ou le nettoyage, ou si je suis parti avec des amis, nous pouvons baiser pendant des heures. Elle m’a appris à lui manger la chatte, et j’ai appris la valeur des préliminaires, mais avec maman ce n’est pas nécessaire car elle s’excite vite et est prête juste à l’idée de le faire avec son fils. Maman a rapidement trouvé qu’elle et moi étions totalement fusionnels quand il s’agit de sexe. Elle en a toujours voulu plus que ce que mon père peut lui procurer, et ses infidélités étaient malgré tout assez rares. Maintenant, juste sous son propre toit, elle peut baiser tous les jours si elle le souhaite. Et souvent elle le fait ! Et depuis qu’elle m’a initié au sexe, je veux la baiser dans tous ses trous. Maman a rapidement réalisé que j’apprécié vraiment le sexe anal, et elle a toujours fait en sorte que je puisse assouvir mes désirs et passer derrière elle la queue raide, écartant ses globes charnus, admirer son trou plissé, le doigter et jouer avec son cul, puis le lubrifiant copieusement avec la vaseline qu’elle a achetée pour nous, et puis planter ma bite dans son anus jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Il y a des jours où tout ce que je veux faire c’est de la sodomiser et balancer mon sperme au fond jusqu’à ses entrailles, mais maman fait en sorte que je fais sa chatte ma priorité numéro un. Ma mère adore ma bite d’adolescent, un peu comme un chien fou de ses, lui décharge ma semence dans sa gorge et continuer à bander. Ensuite le plus vite possible et m’installer entre ses jambes pour insérer ma bite dans la chatte. Elle a commencé à m’appeler son jeune amant et même Superman, une référence à ma bite qui est toujours prête pour elle. Nous avons baisé dans le lit conjugal, quelque chose maman trouvé particulièrement osé, le plus souvent dans mon lit. Grâce à nos imaginations, nous sommes arrivés avec des petits jeux. Je l’ai baisée dans chaque pièce de la maison, sur chaque meuble, sous la douche et même sur la banquette arrière de la voiture. Malheureusement, maman a toujours un peu peur de nous laisser surprendre. Donc, nous sommes arrivés à un compromis… nous le faisons quand elle est dans le garage.
Peu de temps avant le début de l’école, ma mère a appelé Barbara à propos de nous quatre tous de se réunir à nouveau. Je sais que maman aime la bite de Robert bien plus grosse que la mienne, mais je ne peux pas me plaindre puisque je la baise tout le temps et je voudrais aussi de nouveau baiser ma tante.
Les choses de leur côté, ne sont pas allées aussi bien, que nous. Au début, elle et Robert baisent tous les jours depuis qu’ils sont rentrés, dès que mon oncle part de la maison travailler. Le matin, Robert attend que la voiture de son père démarre, sort du lit tout nu avec son pieu bien raide, rampe dans le lit de ma tante, écarte les jambes et la baise à la hussarde. Elle doit elle-même se doigter dans l’attente de l’arrivée de son fils pour que sa chatte soit prête pour lui. Ma tante aime les préliminaires mais Robert non. « Bonjour madame… merci maman ! » Robert et Barbara baisent dans la journée dans le lit de Robert et elle a également dû s’habituer à ses sodomies. Elle n’aime pas ça autant que ma mère, et d’ailleurs avec la grosse bite de Robert cela lui est plus douloureux. Elle ne fait l’amour pour lui sucer la queue, se faire mettre rapidement, se faire enculer, sans en avoir de plaisir. Au bout de trois semaines, Barbara commence à en avoir assez.
Un après-midi le téléphone sonne. Je suis assis à quelques mètres grignotant des chips
– Pourquoi ?
Demande maman.
– Je pensais que vous apprécierez cela. Tu l’as dit l’autre jour ?
– Eh bien, les choses ont bien changé.
Déplore Barbara.
– Comment ça ?
– Eh bien, tu as là-bas que sa queue est trop grande pour moi…
– Tu n’as qu’à lui dire non. Lorsque nous nous réunirons, je vais prendre soin de ses besoins. Dis-lui qu’il peut me m’enculer ! Est-ce le problème ?
Puis, la conversation tourne totalement unilatérale avec Barbara faire toute la conversation. Puis je vois les yeux de maman s’écarquiller, et elle laisse échapper un soupir exaspéré et très choquée.
– Vraiment ? Il veut vraiment faire ça avec toi ?
– Oui.
Répond tristement Barbara.
– Ce que je veux dire… je veux bien continuer à lui enseigner et avoir nos besoins satisfaits à tous les deux, mais il est si têtu ! Je lui ai dit, que je ne suis pas son jouet à tout faire ce qu’il veut ! Je ne vais pas baiser avec tes amis ! Il ne cesse de dire quel plaisir cela sera, mais je ne veux pas que quiconque sache que je baise avec mon propre fils ! Que dois-je faire ? Je ne sais pas comment gérer ça !
– Eh bien, peut-être tous les deux vous devez cesser pendant un certain temps.
Lui dit maman. Ma tante et mon cousin ont cessé tout acte sexuel. Elle a commencé à se sentir coupable de tout ce que nous avons fait. Inutile de dire, nous n’a pas eu de nouvelle relation ensemble. Après avoir raccroché avec Barbara, maman dit que Barbara aurait dû prendre l’offre du Robert. Tant que les autres garçons connaissent les règles de base, ce qui signifie discrétion, ils auraient pu avoir des moments vraiment torrides ! Je peux dire maman est un peu jalouse. J’ai eu quelques amis, aucun très attrayant. Est-ce que le souhait de ma mère était vraiment de réaliser un fantasme d’avoir tous ses trous remplis à la fois.
– Je regrette qu’on n’a pas essayé en vacances
Dit-elle. «
– Mais vous étiez juste trop inexpérimenté. J’aurais aimé que ton cousin et toi me prennent dans ma chatte et dans mon cul en même temps. Vous aurez pu le faire Barbara, aussi. Ton cousin est trop gros pour elle, mais elle m’a dit la dernière fois que je parlais avec elle qu’elle a vraiment apprécié ta bite dans le cul.
Alors que les relations sexuelles entre Robert et sa mère se sont terminées, maman et moi avons continué. J’étais son amant régulier, et elle était ma maitresse. Même marié, je viens de temps en temps lui rendre visite et nous baisons comme deux jeunes ados.
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