Un travail avec Ghost. Là c’est un texte qu’il a écrit pour moi. Bisous
Ce soir-là, je voulais m’offrir une femelle pour satisfaire rapidement mes besoins. Je décidais donc d’aller dans ce nouvel établissement qui proposait à sa clientèle de faire son choix pendant la soirée.
Après l’entrée, il y avait un long couloir vitré de part et d’autre. Derrière la vitrine des petits boxes éclairés dans lequel une femelle debout, nue, mains derrière la tête, attachée à une des cloisons par une longue chaine et un collier au cou.
Un panonceau permettait de les identifier par leurs prénoms. Ce soir-là, il y avait de nombreuses femelles à la vente et la direction avait dû en mettre deux par box.
Pour animer, une vendeuse habillée avec beaucoup de distinction faisait la promotion de certaines femelles qui étaient mises aux enchères. Quand j’arrivais, tout un petit groupe d’hommes et de couples l’entouraient autour d’un box où se situait Chloé une jeune femelle magnifique qu’elle vantait pour sa nouveauté et sa fraîcheur. De longs cheveux châtains clairs, des seins fermes bien accrochés aux bouts roses et pointus. Sa chatte aux lèvres fines était rasée. Son propriétaire s’en défaisait pour cause de déménagement.
A côté d’elle, une femelle mature brune aux seins lourds, aux hanches bien marquées, une chatte à la toison fournie mais qui permettait de distinguer des lèvres pulpeuses attira mon regard. « Michèle ».
Je demandais à la vendeuse de les faire sauter sur place. Elle transmit ma demande aux femelles.
Toujours mains derrière la tête, les deux femelles sautillèrent sur place.
Alors que les miches de la jeune dodelinaient à peine, celles de Michèle ballottaient amplement à chaque mouvement.
« Tu as vu chérie ? Si tu veux me faire plaisir, j’aimerais bien la Michèle. » Dit mon voisin à sa femme.
En m’adressant à lui, j’allais dans son sens :
« Je suis comme vous, pris en levrette, des miches comme ça, c’est unique ! »
Je demandais ses performances à la vendeuse.
« Cette femelle se fait prendre par tous les trous bien sûr ! Elle aime avaler. Un caractère de soumise mais qui a besoin d’être régulièrement corrigée ce qui ne pourrait vous déplaire je suppose ? En plus … »
Elle s’arrêta un instant pour susciter la curiosité de son auditoire. Elle poursuivit en insistant avec son ton de voix :
« En plus elle aime toutes les saillies ! »
« Humm intéressant chuchotais-je à mon voisin ! J’ai un jeune cheval et deux labradors en pleine maturité ! »
Je poursuivais en direction de la vendeuse :
« Mais je souhaiterais la voir à l’œuvre avant d’en faire une éventuelle acquisition. »
La vendeuse me répond :
« Bien entendu Monsieur. J’ai un noir bien monté et vous jugerez ainsi de la marchandise. »
Elle appelle le black et lui dit :
« Défonce Michèle pour que Monsieur voit bien le potentiel de cette femelle ! »
Aussitôt, le black se met à la saillir. Le spectacle de Michèle se faisant enfiler de multiples façons par l’impressionnant mastodonte, dura un long moment. De quoi susciter l’excitation des spectateurs.
Michèle, tout en se faisant maintenant enculer, ouvre grand la bouche en émettant des gémissements obscènes. Les lèvres humides et les yeux mi-clos, elle offrait un spectacle totalement impudique au public. Ses seins ballottaient sous les regards enfiévrés au rythme des coups de boutoir du colosse. Elle captivait tous ces hommes qui exhibaient maintenant leur sexe bandé. Quelle sensation que d’être ainsi possédée à la vue de tous ces mâles voyeurs. Michèle jouissait plus encore d’être ainsi l’objet de l’attention de cette foule, que de l’énorme queue qui allait et venait si puissamment entre ses fesses. Elle gémissait bruyamment chaque fois qu’un coup de rein l’empalait sur la verge aussi dure que pierre et la soulevait carrément du sol.
Quand, enfin, elle sentit le flot épais et incroyablement abondant de la semence du black qui se répandait en elle et coulait de son cul sur l’intérieur de ses cuisses. Le black. Michèle se laissait faire, manipulée comme un pantin désarticulé. En montrant à tous sa docilité, c’est certain que les enchères allaient exploser.
D’un claquement de mains, la marchande rappela son colosse. Elle la fit mettre droite devant moi et je pus promener mes mains sur le corps poisseux aux courbes délicieusement harmonieuses. Je vérifiais la qualité de sa dentition, la fermeté de ses seins, de ses tétons qui s’érigèrent à la première pression. Je vérifias aussi la fermeté de sa croupe. Satisfait, je demande alors à la vendeuse :
« Combien pour cette chienne ? »
« En raison de l’utilisation qu’on peut en faire et de son expérience, sa mise à prix est à 2500 €. Allez messieurs qui veut cette femelle pour 2500 € ! »
Un homme derrière moi lance :
« Moi ! sur le chantier, elle me servira pour soulager mes ouvriers le soir, au moment du changement d’équipe ! »
La vendeuse reprend :
« 2500 pour ce monsieur ! Qui dit mieux ! »
« 3000 ! j’veux l’offrir à mon filleul pour l’enterrement de sa vie de garçon ! »
« 3500 ! J’ai un séminaire à animer avec une vingtaine d’inscrits. Je la ferai mettre sous la table à la pause ! »
Les enchères s’envolent et chacun enchérit pour saisir l’occasion d’acquérir cette femelle voyant déjà en elle l’utilisation qu’ils pourraient en faire. La vendeuse lance :
« 3500 une fois…… deux fois ???? »
« 4000 ! » Lance un homme en disant :
« Je suis le président de l’équipe de rugby et je peux vous dire que les petits gars aiment bien s’amuser après l’entrainement ! Ca les motivera ! »
Je l’imagine déjà dans les douches avec cette quinzaine de gaillards à faire décharger.
La vendeuse relance une foi de plus :
« 4000 une fois ????? Deux fois ???? »
« Je prends à 5500! Pour mon usage personnel ! C’est le prix où j’ai eu mon cheval ! »
« Vous pratiquez l’équitation ? » Demande-t-elle.
« Oui mais c’est juste pour le plaisir ! C’est comme elle. »
« Alors ? Personne à 6000 ? 5500 une fois ???? »
J’espérais que personne ne relève les enchères. Je la voulais pour ce week-end. Je savais que mes amis allaient apprécier ce petit geste de ma part. Je la voyais déjà attachée à la barrière pour pouvoir l’utiliser des deux côtés au retour de la balade à cheval. Ca ferait sensation pour ma petite soirée spéciale.
« 5500 deux fois…. ? »
Surtout que j’ai toujours rêvé de voir une telle saillie. Une telle femelle avec un étalon !
« 5500 trois fois ????….Adjugée à Monsieur le cavalier! »
J’étais radieux de la bonne affaire que je venais de conclure. Même si je ne me rendais pas vraiment compte que Michèle valait en réalité, sur le marché, beaucoup plus qu’e 5500€. J’invitais les autres à fêter mes enchères et entraînais mon acquisition avec moi en rêvant déjà à l’idée des tous les plaisirs vicieux et pervers que je pourrais tirer de mon esclave.
Après quelques libations, je décidais de prendre le chemin du retour avec ma femelle qui empestait le sperme du black. Pour pas salir ma voiture, je la mis dans le coffre pour le trajet.
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