Ça avait été une vraie surprise de découvrir que ma copine avait les seins qui pendent. Je ne l’avais toujours connue qu’habillée et je ne me doutais pas de cette surprise. Non seulement ses seins tombaient mais ils étaient mous.
Devant mon étonnement, elle m’a demandé si je suis déçu. Bien sûr que je l’étais mais je ne pouvait pas lui avouer. Je lui ai répondu que c’est très sexy.
Après, quand nous avons baisé face au miroir et que j’ai vu ses seins valdinguer dans tous les sens, ça m’a vraiment excité. Quand elle est revenue de la salle de bains, elle a joué avec puis elle s’est allongée tout contre moi. Ses fesses appuyaient sur ma bite. J’ai passé la main sous son bras et j’ai attrapé un de ses seins. Je connaissais déjà cette sensation parce que j’avais fait du pain chez mon grand-père. C’était exactement la même sensation qu’avec la pâte. Je le soulevais et il retombait sous son poids. Je n’ai pas tardé à rebander et j’ai dit à ma copine que je l’encule et comme elle ne m’a pas répondu, je m’y suis mis et ma bite est entrée toute seule. J’ai demandé à ma copine si elle s’enculait avec un gode mais elle ne m’a pas répondu et j’ai continué jusqu’à ce que j’éjacule.
Après ça, nous nous sommes endormis. Le lendemain matin, il y avait une énorme tache de sperme sur le drap. Ma copine est partie se changer chez elle. A midi, elle est venue pour déjeuner avec moi au restaurant. Dans l’après-midi, elle m’a demandé plusieurs fois si j’aime sa poitrine puis elle m’a suggéré que sa poitrine est trop grosse. Je voulais qu’elle passe la nuit avec moi mais elle travaillait de bonne heure le lendemain.
La semaine suivante, j’avais un déplacement pour mon boulot si bien qu’on est restés longtemps sans nous voir. Heureusement, il y avait le téléphone. J’avais tenté de résister mais j’ai fini par me branler. Je me branlais tout le temps quand j’étais adolescent et je me branlais quand j’étais seul. Il n’y avait que quand j’avais une copine que je m’abstinais de le faire moi-même.
Quand nous avons pu baiser à nouveau, nous l’avons fait plusieurs fois dans la nuit. Je me souviens d’au moins trois fois. Le lendemain, j’ai dormi jusqu’au soir. On se voyait le vendredi et le samedi. Je maudissais les jours où elle avait ses règles et où elle risquait d’être enceinte parce qu’elle ne voulait pas prendre la pilule. Je ne voulais pas mettre de capote et elle encore moins de protection.
On a fini par se marier, mais c’était plutôt pour plaire à nos mères. La mienne ne s’était jamais mariée. Six mois après, ma femme est tombée enceinte. Ce n’était plus vraiment l’enthousiasme des premiers jours et je me demandais comment faire pour faire remonter la passion. La sodomie, pas terrible. Je pouvais et mon épouse ne se plaignait jamais. Jouir dans sa bouche ? Elle bougonnait mais elle l’acceptait.
Un jour qu’on promenait son gros ventre dans le parc de la commune, nous avons croisé deux gouines. Elles ne se cachaient pas et elles s’embrassaient sur la bouche.
J’ai demandé à mon épouse si elle a déjà fait l’amour avec une femme et pour toute réponse, elle m’a demandé si je l’ai déjà fait avec un homme. Je ne pouvais pas lui avouer qu’on s’était sucé la bite avec un pote. J’étais jeune. On avait bu. Il nous était déjà arrivé de nous branlé au bord du canal après avoir voulu savoir qui de nous deux pouvait pisser le plus loin possible. Je n’avais jamais gagné à ce jeu-là. Mon pote avait une bite que j’enviais. Elle devait bien faire vingt centimètres de long et aujourd’hui, je me demande si elle n’est pas plus longue. Je me souviens encore de ses doigts qui glissaient sur sa bite. C’était interminable et quand il avait joui, il avait envoyé son sperme à plus d’un mètre de distance alors que j’avais presque joui sur mes pieds. Alors, forcément, quand je lui avais sucé la bite, il me l’avait enfoncé jusqu’au fond de la gorge et ce salaud m’avait joui sur le visage et j’en avais eu partout sur mes vêtements.
Comment expliquer ça à ma mère ? Nous avions recommencé plusieurs fois, à pisser le plus loin possible, à juter aussi et à se sucer puis il y avait eu la fois où il avait voulu m’enculer. Comment aurais-je pu refuser. J’avais cru mourir mais une fois sa bite bien au fond, ça avait été comme un délice. Heureusement ou malheureusement, je devais partir au service militaire et ça a coupé court à nos rencontres.
Quand je l’ai revu, il était marié et il avait déjà deux gosses. Sa femme semblait comblée. Après avoir croisé les deux lesbiennes, nous nous sommes assis sur un banc.
– Tu penses vraiment ce que tu m’as dit, m’a alors fait mon épouse ? Tu peux m’imaginer couchant avec une femme ?
– Bien non !
Qu’est-ce que je pouvais lui répondre d’autre ? A partir de là, j’ai commencé à l’imaginer baisant avec une femme et j’ai fini par ne plus penser qu’à ça. Je touchais son gros ventre et j’enfonçais ma bite dans ses trous mais ce n’était pas moi. C’était une femme équipée d’un gode ceinture. Ça me rendait fou. Ma femme était enceinte de huit mois et j’ai fini par lui dire que je veux qu’elle baise avec une femme. Je n’imaginais pas que l’idée avait fait son chemin dans son cerveau. Après lui avoir demandé plusieurs fois, mon épouse m’a demandé si ça me plairait. Ce n’était pas vraiment ce que je voulais mais elle insistait puis elle m’a dit que ça ne la dérangerait pas. Elle a encore ajouté qu’elle peut toujours essayé et elle a voulu savoir si veux qu’elle soit seule ou que j’assiste.
Je me rendais compte que j’étais allé trop loin. Je lui ai répété plusieurs fois que c’était un fantasme. Elle ne m’a pas répondu. Un soir que je rentrais du boulot, ma femme m’a dit qu’elle a une collègue de bureau qui lui a déjà fait des propositions. J’ai dit à ma femme qu’elle n’est pas lesbienne et elle m’a répondu que ce n’est pas nécessaire pour essayer. On s’est vraiment enguirlandés ce soir-là et ma femme a conclu qu’elle est enceinte et qu’elle ne va pas avoir un autre gosse avec une femme. J’ai fini par céder.
Deux jours plus tard, elle m’a téléphoné au bureau pour me dire que ça se passera dans l’après-midi vers trois heures. J’étais en réunion avec mon patron et j’ai menti pour pouvoir partir. Je suis arrivé chez nous vers trois heures un quart. Les deux femmes étaient déjà au lit. Putain. Putain. Putain. J’ai sorti ma bite et je me suis branlé. Ma femme m’avait vu et elle m’a fait signe d’approcher.
– Non, pas lui, a hurlé sa collègue et je me suis tenu à l’écart. Elles se léchaient la chatte et elles se doigtaient puis sa collègue l’a fistée. Je bouillais d’impatience.
– Oui ! Oui, hurlait mon épouse alors que la main entrait et sortait de son vagin. Je ne pourrais jamais nier que c’était un superbe orgasme qu’elle a eu. L’autre femme s’est agenouillée auprès d’elle et elle lui a caressé la poitrine puis elle lui a caressé le ventre. Elle s’est attardée sur le clitoris et je bouillais.
– Tu aimes ça, chérie, lui a-t-elle encore dit ! Ça te change de la bite ! Elle a encore chevauché mon épouse et elle a écrasé sa chatte sur son visage, puis elle s’est soulevée pour lui permettre de la lécher.
La femme me regardait et ses seins balançaient tout doucement au dessus du gros ventre.
– Quoi ? Qu’avez-vous dit, m’a demandé la femme ?
– Salope !
Je l’avais traitée de salope, mais j’avais murmuré et elle avait entendu. Elle m’a répondu que ma femme est une gouine et elle a ajouté qu’elle fera tout pour me l’arracher.
C’est ce qui est arrivé quelques mois plus tard. Un soir, j’ai attendu mon épouse jusqu’à deux heures du matin. Elle ne m’avait pas prévenu. Je me suis endormi dans le fauteuil devant la télé et le lendemain matin, je suis allé travailler et en rentrant, j’ai découvert un mot dans la boîte à lettre, mot me disant qu’elle était partie avec quelqu’un et plus tard, quand nous avons divorcé, j’ai compris qu’elle était devenue gouine.
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