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Les collants de ma voisine ,histoire de L’est

Les collants de ma voisine ,histoire de L’est



Cela fait maintenant six mois que Stéphane et Magalie ont emménagé dans la maison voisine à la nôtre dans ce lotissement. Les maisons sont jumelées, les jardins aussi. On sait quand ils sont là et inversement. Ce n’est pas gênant, nous nous entendons bien même si nous sommes cinq ans plus jeunes qu’eux.

Magalie est une belle et grande brune de 26 ans, elle est serveuse dans un resto chic sur le port. Stéphane, pêcheur, est du même âge et plutôt baraqué.
J’ai remarqué que tous les quinze jours Mag fait une grosse lessive de collants qu’elle met à sécher sur le fil dans le jardin. De ma terrasse, lorsque je fume une clope, je prends le temps de les admirer. Il y en a de toutes les sortes, certains sont aguicheurs imitant un porte-jarretelles et ses bas, d’autres très colorés : des roses, des bleus pâles, il y a même des résilles.

Je ne l’ai pas entendue arriver sur sa terrasse et son « bonjour ! » me fit faire un bond.

— Eh bien Marco tu rêvais ? déclara-t-elle d’un ton amusé.

Je me mis à rougir et à bafouiller essayant de trouver une excuse bidon : mais en vain. J’ai eu le temps de voir qu’elle était vêtue d’un haut blanc moulant mettant en valeur sa poitrine non soutenue, par le bas un jean avec des chaussures à talons hauts.

— Ce sont mes collants qui te mettent dans un état pareil ? insista-t-elle

Pour finir, je lui avoua que oui, en fait certains modèles me faisaient fantasmer.

— C’est normal Stéphane adore aussi. Ta copine Delphine n’en porte jamais ? demanda-t-elle.
— Si mais très rarement, c’est dommage. Je n’arrive pas à lui en faire mettre.
— Tu sais, ça vient avec l’âge. Moi je n’ai pas eu le choix ma patronne m’impose la tenue classique de serveuse depuis plus de dix ans. Le restaurant est bien situé mais la terrasse est souvent en courant d’air donc je porte des collants pratiquement toute l’année. Tu as dû le remarquer ?
— C’est vrai que je te vois souvent partir au boulot en jupe noire !
— Ma collection n’est pas grande, lors de mes deux jours de congés je fais le grand nettoyage. J’allais les ramasser, tu veux m’aider ?

De nouveau mes joues rougirent, un « oui » timide sortit quand même. Je passai par-dessus la haie.
Amusée Mag prit son temps pour les décrocher un à un. De mon côté, je faisais très attention de ne pas les abîmer en enlevant les pinces à linge. Ils étaient très doux et d’une grande qualité, certainement du haut de gamme. Je lui fis la remarque. Elle fut surprise de mes connaissances.

— Exact, tu as l’air de t’y connaître en collant et bas ? me lança-t-elle
— C’est vrai, que je fais attention, je regarde ce qui existe des fois qu’un jour ma copine veuille bien en acheter.
— Viens avec moi je vais les mettre sur la table, on va les plier.

Cette idée m’excitait follement, je sentais l’érection monter petit à petit, espérant que mon bermuda ne se déforme pas. Elle passa devant moi. Ses petites fesses étaient parfaitement bien moulées dans son Levis ! Elle avait vraiment un physique de rêve.

— As-tu déjà essayé ceux de ta copine ? Me lança-t-elle avec un petit sourire et un regard complice.
— Oui… une fois pour voir… mais Delphine est beaucoup plus petite que moi, je n’ai pas réussi à l’enfiler entièrement. Et puis ses collants sont des premiers prix de supermarché, sans doute moins confortables que les tiens.
— J’ai commencé comme ça aussi, et puis j’ai voulu me faire plaisir en lingerie en achetant un beau modèle fantaisie et depuis je me fournis uniquement là-bas. Mon préféré du moment c’est celui-là.

Elle me montrait un magnifique collant rose très clair avec des motifs sur chaque cheville.

— Et toi lequel aimes-tu ?

Mon choix se porta sur un collant résille beige, ouvert à l’entrejambe. Surprise de mon choix, elle laissa ces deux collants sur la table et partit ranger les autres dans sa penderie.

À son retour elle me dit d’un ton amusé :

— Tu veux l’essayer ?

Tout devint confus dans ma tête : fuir ou plonger dans l’inconnu ? Après avoir hésité, elle s’approcha de moi et me fit remarquer que ma bosse sous le bermuda avait parlé pour moi.

— Enlève ton bermuda s’il te plaît Marco ! me lança-t-elle d’un ton autoritaire qui fit que je n’avais plus le choix.

Une fois rendu aux chevilles, ma posture était plutôt ridicule. Elle insista :

— Enlève tout ! Chaussures et slip, il ne cache plus rien de toute façon !

Je m’exécutai, nerveux et excité à la fois. J’étais maintenant nu devant ma voisine et la voilà qui me poussait vers le canapé, et me disait de me laisser faire.
Elle prit délicatement le collant résille et roula une jambe, puis me l’enfila délicatement du pied à la cuisse. Elle en profita pour me caresser. Cette sensation de sentir sa jambe gainée de nylon et sa main me caressant le mollet, puis la cuisse me firent m’abandonner à elle, je fermai les yeux. Elle fit pareil pour la deuxième jambe puis me demanda de me lever. Mon excitation était au maximum, elle saisit ma queue et profita de l’ouverture de l’entrejambe pour passer tout ça. Elle remonta le collant au-dessus de ma taille.

— Alors tes impressions mon grand ? Aimes-tu cette matière ?

En fait j’étais de la même taille qu’elle, son collant m’allait à merveille. Je ne savais plus quoi répondre l’excitation parlait pour moi.

— J’ai encore une surprise ! annonça-t-elle.

Elle me tourna le dos, déboutonna son jean puis le fit glisser lentement de ses fesses jusqu’aux chevilles. Elle portait un superbe string noir, un papillon de tissu reliait les élastiques. Elle abandonna ses chaussures à talons, à mon grand regret, puis enfila devant moi le collant qu’elle s’était gardé. Lentement pour ne pas que j’en perde une miette elle passa une jambe laissant apparaître le motif brodé sur la cheville, puis la deuxième et le laissa se dérouler jusqu’à la taille.

Mag s’approcha de moi, nous nous sommes installés dans le canapé. Je pus lui caresser longuement les jambes, pendant qu’elle faisait la même chose sur les miennes. Elle reprit ma queue entre les mains, entreprit de me branler doucement puis plus énergiquement. Je lui fis remarquer que j’allais jouir rapidement.

Elle cessa puis m’installa sur le bord du canapé les jambes en appui sur la table basse, les fesses presque dans le vide. Elle passa entre mes jambes et commença la plus divine des fellations. Ça aussi, elle savait bien faire !

Sa main passa sous son collant et son string, je croyais qu’elle se caressait en même temps mais en elle ressortit un doigt trempé de sa mouille qu’elle s’empressa de poser sur ma rosette.
Je lui fis signe d’arrêter, je n’avais jamais essayé et n’y tenais pas.
C’est comme si elle ne m’écoutait plus et continuait de tourner autour, de temps en temps je sentais une phalange me pénétrer.

— Laisse toi faire, tu vas adorer, tous les hommes adorent ça ! me lâcha-t-elle

Je sentis un deuxième doigt rejoindre le premier. Elle commença de longs va-et-vient. Ajouté à la fellation qu’elle me faisait, je jouis dans sa bouche, l’orgasme fut long et très fort. À peine remis, elle m’embrassa langoureusement, me faisant goûter mon sperme.

— Alors, ils t’ont fait de l’effet mes collants ? demanda-t-elle amusée
— À moi de te remercier, lançai-je
— Non désolé, c’était très amusant, je suis toute excitée, mais je ne veux pas que tu me lèches ou me pénètres. Stéphane n’aimerait pas savoir ça. Désolée.

Je ne comprenais plus rien.

— Il y a cinq minutes, tu avalais mon sperme et maintenant, je ne peux plus rien te faire ?
— On a dérapé, va mettre en application ce que tu as découvert avec ta copine, mieux vaut arrêter maintenant. Et puis tu pourras toujours te remémorer ce midi quand tu verras ma collection de collants sécher au grand air !

Après avoir enlevé son collant ouvert, je lui rendis, m’habillai, lui fis la bise et rentrai chez moi, gêné mais avec plein de souvenirs dans la tête.

Il ne s’est jamais rien passé d’autre avec Magalie depuis, je continue à fantasmer sur elle quand je vois son linge sécher dehors.

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