Eté 2018 – Vol en montgolfière
– J’aimerais que tu sois avec moi, pour tenter l’expérience ensemble…
– Tu n’aimerais pas voir le soleil se lever dans l’immensité du ciel ? Faire ce vol en montgolfière avec moi et un aérostier sympa ?
– Oui ça pourrait être sympa, je n’ai jamais fait…
– Si je te dis que l’on a rendez-vous avec quelques amis proches du Château de Chenonceau ? Une merveilleuse soirée, suivie demain de quelques baptêmes en ballon ? Nous ne nous connaissons pas, juste vues sur un site de fun des amis rencontrent des amis…
– Oui tu seras près de moi, j’ai le vertige…
– D’abord nous rejoignons ce groupe après un voyage avec BlaBlaCar, qui nous dépose devant l’hôtel. Nous faisons connaissance, l’esprit est sympa, quelques couples, des filles, des mecs seuls. Une vingtaine de personnes en tout. Nous gagnons notre chambre et nous habillons pour le repas après une brève toilette réparatrice…
– Il était beau le BlaBlaCar,
– Ouais, mais on était pressées… Et là tu as fait ton choix ?
– Pas encore, ça va trop vite… Tu as mis ton maillot ?
– Oui, je suis prête,
– La soirée va commencer…
Plusieurs tables rondes en bordure de piscine, espace réservé, à l’écart des client lambda, un buffet apéritif, puis hors d’œuvres, à volonté, et le plat chaud, un gigot haricots servi à l’assiette…
Nous nous sommes installées vers le milieu de la table, avec un couple à ta droite, l’homme contre toi, et moi, j’hérite après-coup, à ma gauche, d’un mec seul, souriant, pas trop mal qui me regarde dans les yeux en lançant à la table : « Je peux ? »
Après le plat chaud, danses avec musique rythmée, aux sons carnaval, et Antilles en délire… On rit, on s’amuse, on fait une farandole, certains vont se baigner, nous y allons aussi…
C’est un plaisir et nous retrouvons mon voisin, aux anges, les yeux rivés sur nos soutien-gorges minimalistes… La danse continue dans l’eau, un copain vient de te faire virevolter, la musique se calme, on sort et il me prend contre lui pour le slow langoureux.
Tu fais pareil en me lançant un clin d’œil…
Il me serre, ses mains s’ouvrent sur ma peau…
Le rêve s’arrête…
Nous bavardons chacune avec nos voisins, le temps passe, le rosé est délicieux, puis la musique arrive, on se lève, on se tortille, on chante, on retrouve nos voisins, on danse, tu te baignes, avec lui, sa compagne te sourit…
Je te rejoints, mon attaché aussi, il est aérostier et propose de m’emmener découvrir les châteaux au lever du soleil, dès ce repas terminé…
Je t’en parle, tu es sceptique, mais il est sympa, bien fait, et nous fait rire toute la soirée.
Ton voisin écoute, t’invite au slow suivant, sa compagne danse, lovée contre un des fêtards, sans aucune retenue…
Tu lui demandes pour sa compagne…
Il répond qu’ils sont amis d’enfance, sans attache sentimentale, et font ce qu’ils veulent sur ce plan…
Il adore ton sourire, me trouve aussi très sensuelle, il aimerait un plan à 3…
Ses lèvres se collent aux tiennes, tu fonds lorsqu’il te caresse dans l’eau, et que tu sens son sexe prometteur contre ton ventre… Je te vois remonter, sortir vers le parking avec lui…
Il est déjà 1 heure du matin, nous devons libérer le restaurant, notre chambre est là.
Tu réapparais, soutien-gorge de travers en venant me rejoindre…On en parle…
Tu es réticente de se retrouver tous les 4 dans la chambre, tu ne le connais pas, il t’a parlé de plan à 3… Moi, le mien me plaît, Max est aérostier…
Justement, il revient après une pause avec ses copains…
– Coucou, on le fait ce vol douce Marika, ton amie est la bienvenue…
– Euh… Pourquoi pas…
– Oh, merci… Si je dois faire un vol, je veux m’accrocher à toi, j’ai confiance, tu l’as fait…
– Mon copain aimerait venir…
– Pas possible, limité à 3 personnes en tout…
– C’est un piège à filles, ton truc ?
– Non, une évasion merveilleuse, si on peut voir le lever de soleil avant tout le monde.
– Géant, ça me plait, et toi ?
Tu me souris, tu es d’accord pour att****r cette chance…
Expérience unique, même s’il faut renoncer… Elle regarde son voisin de loin qui parle à son amie…
Max nous instruit, 1 heure avant de partir vers la zone de décollage, dérouler le ballon, descendre la nacelle de la remorque, allumer le brûleur, surveiller le gonflage en faisait basculer le ballon petit à petit, puis mettre le brûleur à fond lorsqu’il devient droit. Arrimer le tout en fonction des vents.
A son top, ballon gonflé, sauter dans la nacelle en osier, c’est parti !
Prévoir lainage au début…
Les yeux tristes, tu dis aurevoir à ton flirt d’un soir…
Il est temps de faire notre sac, et de nous habiller…
Tout se déroule comme annoncé, on saute dans la nacelle à son signal, il coupe le brûleur, lâche les amarres, et nous rejoint…
Il fait encore nuit, sauf du côté Est, un halo apparaît, lumière diffuse pour l’instant, Il fait frais, je me serre contre toi, tu trembles, je te prends dans mes bras, il s’agite en tous sens, mais tout semble normal, il a les yeux rivés sur l’altimètre, une main sur la commande du brûleur…
Tu te détends, tu me remercies, c’est super, sauf le bruit et la chaleur dans nos cous…
Ta bouche est douce, tu m’embrasses avec tendresse, mon corps réagit… Il fait encore sombre dans la nacelle, il ne peut pas nous voir, occupé à surveiller l’immense ballon.
J’ai mis un jean, toi, un short long, ma main s’avance, la tienne est là… Je me libère, tes seins sont sortis, les miens pointent sous le chandail…
Je te serre contre moi, passe derrière toi, tu agrippes la rambarde de protection en cuir, mes mains soulèvent ton tee-shirt, empoignent tes seins, tu me mords le lobe de l’oreille en te retournant…
Tu ondules contre moi…
Ma main s’est glissée dans ton short que tu avais dégrafé…
Elle te sent mouiller abondamment, je glisse un doigt dans ta chatte, parcours ton minou, tourne sur le clito gonflé, tu jouis doucement, la tête vers les étoiles, et cette aube qui change de couleur…
Je sens soudain mes nénés se soulever…
Notre pilote du ciel devient peloteur… Mais le pire, c’est son dard que je sens contre les fesses, alors que je continue à te faire du bien, et que tu me le gémis…
Nous n’avions pas fait attention, mais le jour se lève, dans quelques secondes le soleil va apparaître…
– Eh, oui, c’est bientôt l’apothéose mesdames…
Il est en train de me faire ce que je te fais, et mon Jean’s tient par miracle, et mes seins pointent vers ce ciel qui s’illumine…
Tu en prends plein la chatte, je te fais jouir, deux doigts t’emportent, puis trois et c’est l’explosion à bord…
De sexe, pas de gaz…
Il a glissé habilement son membre dans ma chatte, et après quelques douces pénétrations de mise en condition, il me lutine férocement, avec toute sa fougue de jeune homme en manque…
Tu le ressens à travers moi, tu tournes la tête, me souris avec tes grands yeux quémandeurs…
Je lui cède ma place…. Il me donne un baiser, te prend par les hanche, tâte tes rondeurs et tu exploses en gazouillant, le soleil nous illumine, il te pourfend, tu relèves une cuisse pour mieux le sentir…
Mais nous perdons de l’altitude et il doit tirer sur le cordon pour lancer le brûleur…
Nous grimpons à une vitesse folle, le brûleur crache son feu dans l’enveloppe.
Mon Jean s’est affalé, ma culotte a suivi…
Tu retires tout, on se tourne l’une vers l’autre et tandis qu’il règle son engin, l’œil sur l’altimètre, nous nous embrassons avec passion, et tu viens explorer ma chatte, trempée de mon désir, agenouillée…
J’ai hâte qu’il revienne, mais tu le remplaces activement, moi aussi je me regonfle avec ta langue.
Puis, en te relevant, tes seins sur mon visage, tes doigts me propulsent, je m’écartèle en m’agrippant aux haubans qui tiennent le ballon…
Le brûleur s’est arrêté, il nous contemple…
Il s’allonge sur le dos, entre nous, la bite fièrement dressée…
Tu y vas sans hésiter, tu te laisses glisser sur le membre et fermant les yeux… Puis tu te donnes du plaisir, tu ondules sur lui, tu te relèves et le reprend de plus belle, lui arrachant un râle…
Nos bouches se retrouvent, ma chatte est envahie de nouveau par vos mains, vos doigts me font frémir, je jouis, toi aussi…
On descend à toute vitesse, le ballon s’est refroidi et dégonflé…
Monsieur Brûleur, il est à poil, je ne peux résister, il est devant moi…
Il s’est levé en vitesse, tu es restée bouche bée, écartelée…
J’en profite, et je respire immédiatement vos effluves mélangés, dans ta chatte devenue source…
Ton orifice est béant, ouvert, désirable à souhait, et je remplace le sexe déserteur avec mes doigts brûlants…
Que de mouvements, le paysage est magnifique et nous le contemplons accoudées et penchées à ras la nacelle…
Il a une vue merveilleuse, meilleure que les champs et les architectures… Nous volons de nouveau, sans aucun bruit…
Il nous laisse le temps d’admirer les animaux sauvages, en quête de nourriture et d’eau, parcourant la campagne, biches, renards, sangliers, cerfs…
Il arrive… Il se glisse à notre hauteur pour partager la même vision… Ses mains se plaquent sur nos anatomies, on se tient à la nacelle et il commence à nous caresser ensemble, un trio superbe, faisant à l’une ce qu’il procure à l’autre…
Quel pied !
Ses doigts nous affolent, nous ne restons pas de marbre et partageons cette longue tige que nous avons déjà appréciée…
Nos mains se la partagent, il devient long, large, à point quoi !
Ses lèvres sont douces, de nouveau un long baiser, puis à toi, il te fait jouir, sans répit
Coquin jusqu’au bout des doigts, il en insinue un, dans mon derrière…
Tu réagis aussi… J’ai encore envie de lui, c’est trop rapide, trop mouvementé…
Il passe derrière toi et t’enfile brutalement ce qui te propulse contre la nacelle, tes seins ballottent… Je les calme… Les malaxe tendrement…
Il recommence, il te pourfend et tu jouis, ahanant ton plaisir, agrippée, il te tient par les hanches et il te pilonne, le membre droit, un vrai piston …
Je me caresse en vous regardant, cuisses ouvertes…
Ton plaisir monte, monte…
Tu feules, il va jouir aussi, tu le sens se raidir…
– Oui, viens ! Oh que c’est bon de s’envoyer vraiment en l’air…
Il vient vers moi et me prend aussi, infatigable machine, et m’emporte aussi, dans la même position, son sexe est surprenant, affolant, je sens mon orgasme arriver…
Tu m’embrasses, dégoulinante de sperme, que mes doigts recueillent et portent à ma bouche et à la tienne…
Complices jusqu’au bout, pour notre première rencontre…
Tu me regardes jouir, en prenant mes lèvres, caressant mes seins baladeurs, partageant les coups de reins rageurs de notre aérostier baiseur…
Il lâche ce qui lui reste…
Je suis démontée, essoufflée, dégoulinante comme toi…
Il se rue sur le brûleur, il était temps, on frôle la cime des arbres, puis on atterrit dans un pré, seuls, perdus en pleine nature sauvage…
On roule-boule hors de la nacelle, éjectées, les fesses à l’air, enlacées, épuisées, radieuses…
Le ballon dégonflé, il le tire prêt à être enroulé…
Et comme on lui sourit en se marrant, étalant sans vergogne nos anatomies, il vient nous tirer aussi, oubliant pendant plusieurs minutes de signaler sa position, jusqu’à ce qu’il atterrisse enfin, complétement vidé de son lest…
Çà c’est du sport ! Bises et bonne lecture…
Ad-on :
L’inspiratrice de ce texte, écrit au débotté, me revoie un message après quelques minutes…
– Merci Marika pour cette belle histoire. Comme à chaque fois, je ressens à travers tes écrits, ce plaisir, cette sensualité…… Cette envie de se caresser…
– Ma douce… J’ai essayé de t’imaginer lorsque tu me lisais, de voir ta réaction, ton envie de ressentir ce que je décris, une main sur ton ventre… Bises et bonne journée…
– Humm, j’ai très apprécié et je me suis caressée au point de venir. Merci pour cette histoire…
FIN
Marika842010
Août 2018
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