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La maman, la fille et … la mamie ! (3)

La maman, la fille et … la mamie !  (3)



Le lendemain, il est 11 h, je gare la voiture devant chez mamie Janine et je sonne. Quelques instants plus tard, une dame aux cheveux mi-longs, châtain très clair, avec des mèches blondes, m’accueille et me dit :
– Bonjour Monsieur, vous êtes sans doute Alain, le voisin de ma fille Flora.
– Tout à fait Madame !
– Très bien, ma fille a de la chance d’avoir un voisin comme vous !
– Je ne sais pas si c’est une chance, mais nous nous entendons bien entre voisins.
Flora m’a dit que sa mère venait de prendre sa retraite, elle doit donc avoir aux alentours de 60 ans, alors qu’elle en parait à peine 50 ! Je la regarde un peu mieux, c’est une très jolie femme, sans une ride, avec des courbes magnifiquement réparties, elle porte une jupe noire moulante, fendue sur un côté et un petit gilet rouge, col en V, qui offre une vue agréable sur son décolleté. Elle est parfaitement bandante, très BCBG (beau cul, belle gueule). Nous discutons quelques instants et elle me dit qu’elle a tenté de brancher un nouvel appareil et qu’elle n’a pas réussi. Elle ajoute :
– Mais entrez donc Alain, vous permettez que je vous appelle Alain ?
– Bien entendu chère Madame.
– Janine, je m’appelle Janine !
– Très bien Janine, où est cet appareil qui fait tant de souci à ces jolis yeux ?
– Oh ! … Alain ! Il est au premier étage, dans ma chambre, permettez que je vous montre le chemin ! Et elle s’engouffre dans l’escalier devant moi en remontant sa jupe jusqu’au milieu de ses cuisses pour escalader plus facilement les marches. Je la suis plus lentement pour profiter de l’instant, elle a de belles jambes, des mollets bien galbés, je n’ai malheureusement pas le temps d’en voir plus ! Elle me montre la télé et l’enregistreur de DVD. Mais pour me montrer les branchements qu’elle a faits, elle s’accroupit, ce qui l’oblige à retrousser sa jupe étroite assez haut pour me dévoiler ses cuisses gainées de bas et l’attache des jarretelles. Super sexy et très féminine la mamie. Tout cela m’amène immédiatement une érection. Janine voit sans doute la bosse de mon pantalon et comprend mon trouble, elle me dit :
– Excusez-moi, je me comporte comme si j’étais seule, je ne suis pas habituée à avoir un homme dans ma chambre, je vais me changer et mettre un pantalon.
– N’en faite surtout rien Janine, ne vous gênez pas pour moi, au contraire, vous êtes très jolie et très féminine et je prends plaisir rien qu’à vous regarder ! Je rebranche les appareils, procède aux essais, ça marche ! Elle me dit :
– C’est formidable, comment vais-je vous remercier ?
– Vous n’avez pas à me remercier Janine, c’est si peu de choses, si vous avez un autre souci, n’hésitez pas à m’appeler, je vous laisse ma carte.
– Oh ! Merci Alain, vous êtes vraiment très gentil, mais ça me gène. Vous permettez que je vous invite à diner un soir ?
– Ce serait avec plaisir Janine, mais je suis souvent pris le soir, je fais partie de plusieurs clubs et associations, et réellement ce que j’ai fait ne vaut pas un diner ! Elle me répond :
– Si Alain, j’y tiens absolument ! Il y a bien un soir où vous pourriez vous rendre disponible ! Je ne vais pas vous manger ! Nous redescendons et entrons au salon, elle me dit :
– Asseyez-vous quelques instants Alain, afin que nous convenions d’une date. En disant cela, elle sort deux verres.
– Vous prendrez bien un petit pineau ?
– Juste une goutte, alors. Elle se penche, pose les verres sur la table basse et les remplit lentement, m’offrant une vue imprenable dans son décolleté. Elle a de beaux seins, dont j’aperçois les tétons, bien mis en valeur par un soutien-gorge « seins nus » rouge. Elle est magnifique, immédiatement elle me refile le barreau !
Elle s’assoit face à moi et place ses jambes de manière à ce que la fente de sa jupe soit tournée de mon côté, puis elle croise et décroise ses jambes plusieurs fois en discutant, ce qui a pour effet de découvrir de plus en plus haut ses cuisses. Elle porte effectivement des bas couleur chaire, maintenus par des jarretelles rouges. Elle est vraiment très sexy, j’ai une canne d’enfer ! Elle s’en est parfaitement aperçue et me dit :
– Oh, je ne suis pas raisonnable, dans quel état je vous mets ? Et vous n’avez peut-être personne aujourd’hui pour s’occuper de vous ! Je suis fautive, je vais vous soulager !
– Non, je vous en prie Janine, vous êtes une belle femme et je vous désire sur le moment, mais ça va passer, ne vous inquiétez pas. Elle se lève, fait le tour de la table basse, écarte mes jambes, s’agenouille, ouvre ma braguette et att**** ma queue qu’elle a du mal à sortir tellement elle est dure. Je lui att**** les bras et lui dis :
– Non, Janine, je ne veux pas, ça ne serait pas honnête de ma part !
Elle pose ses lèvres sur mon gland et dit en me regardant :
– Pourquoi Alain ? Je ne vous plais pas ? Je ne vous fais pas envie ? J’avais pourtant l’impression … ! Vous ne voulez pas me faire l’amour ? Pourquoi ? Je crois deviner, vous couchez avec ma fille, c’est ça ? Si c’est ça, vous savez elle s’en fiche, vous ne serez pas le premier à s’offrir la mère et la fille !
Je ne vais pas lui dire qu’elle oublie la petite-fille !
– Je suis désolé Janine, je ne veux froisser personne, vous êtes une femme magnifique et comme vous avez pu le constater, j’ai très envie de vous ! Mais il est vrai que les relations que j’entretenais avec Flora ont récemment évoluées.
Entre temps elle a repris ma bite dans sa main et me masturbe lentement. Elle dit :
– Aujourd’hui, je ne vous fais qu’un petit plaisir, si ma technique vous plait, rendez-vous ici même, vendredi soir à 19 heures. Et pour vous rassurer, vous pouvez en parler à Flora ! Ceci dit, elle déboutonne son gilet, offrant ses seins à mes caresses et prend ma queue dans sa bouche. Je succombe. Ses seins sont fermes et lourds, étonnant chez une femme de cet âge, très sensibles, comme ceux du reste de la famille et elle suce à la perfection. D’ailleurs elle ne suce pas, elle masse le haut de la hampe, juste en dessous du gland en serrant très fort ses lèvres tout en léchant le gland et en masturbant le bas de la hampe avec une main et caressant les boules avec l’autre. Cette technique est très efficace et quelques minutes plus tard, je lui dis dans un râle que je viens et je me répands peu après dans sa bouche en râlant de plaisir. Je sens sa langue s’agiter encore autour de ma bite et lorsqu’elle a terminé, ma queue ne comporte plus aucune trace de sperme. Elle me regarde en souriant et ouvre sa bouche, remplie de mon jus. Puis, elle l’avale. Je l’att**** dans mes bras et l’embrasse, lèvres entrouvertes, nos langues se rejoignent et à mon tour j’avale un peu de ma semence. Elle s’est assise sur mes cuisses, nous restons de longues minutes langue contre langue, pendant que je caresse ses seins et ses cuisses, elle me dit :
– Si tu as aimé ma fellation, tu me fais un cunni !
– Avec plaisir, j’ai adoré ta fellation ! Tu suces mieux qu’une déesse, tu es aussi bien plus excitante !
Elle se lève, moi aussi, en continuant à l’embrasser, je dégrafe sa jupe et lui retire, ôte son gilet et pose ses vêtements sur le fauteuil lorsque le téléphone sonne. Janine va répondre, vêtue uniquement de ses dessous, bas, porte-jarretelles, son string qui a du mal à cacher son sexe et laisse ses fesses entièrement découvertes, et son soutien-gorge qui offre ses seins à nus et j’oubliais ses talons hauts. Une tenue hyper érotique ! Elle répond et me dit :
– C’est Flora, on parlait justement de toi avec Alain …..
– Oui, il est encore chez moi, pourquoi ? ….
– Non tout va bien, il y a longtemps qu’il l’a branché …. Nous faisons connaissance maintenant ….
– Non, pas encore …. Ah ! Que vas-tu chercher là ? ….
– Mais non, je t’assure, il vient seulement de m’ôter ma jupe ! ….
– Bon, puisque tu veux tout savoir, j’avoue, il va me faire un cunnilingus en remerciement de la fellation que je viens de lui administrer. Ça ne t’embête pas ? ….
– Oui, c’est ce que je lui ai dit ! Pas de problème, tout se passe en famille ! ….
Elles ne pensent pas si bien dire !
– D’accord, je lui dis, bisous ma chérie. Flora passera te voir ce soir, pour que tu lui racontes ! Tu sais, c’est une vraie salope ! Bon, soyons sérieux maintenant, tu me la bouffes ma chatte ?
– Oui et je vais me régaler ! Elle m’entraîne à l’étage, dans sa chambre. Je retire mon pantalon que j’avais remonté, elle pose une grande serviette sur le lit, elle s’allonge dessus et me dit :
– Je suis prête. Je m’allonge à ses côtés, nous nous enlaçons, nous nous embrassons, je caresse son corps, je titille ses mamelons, je descends plus bas, retire son string, son sexe est glabre, totalement épilé, j’insère ma langue dans sa fente pour lécher sa vulve, l’entrée et les parois de son vagin, je remonte sur ses petites lèvres vers son clitoris, déjà dur, pour le frôler, le caresser, l’embrasser, le mordiller, le sucer, le lécher … elle soupire de plus en plus fort … sa cyprine coule à flots … pendant que mes mains malaxent ses seins. Un moment après, je sens des vibrations dans son ventre, ses fesses se crispent, ses cuisses se resserrent, elle crie en jouissant. Je continue à embrasser son minou jusqu’à ce qu’elle se calme. Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle me regarde, sourit et dit :
– Je comprends pourquoi ma fille couche avec toi. Puis elle att**** ma queue, à nouveau bandée, et ajoute :
– Et tu as encore envie de moi !
– Eh oui ! Mais j’ai une excuse, tu as tout pour faire envie, de plus j’adore la lingerie et tu la portes terriblement bien !
– Merci ! Je n’ai rien prévu, sinon tu aurais déjeuné avec moi.
– De toute façon je ne peux pas, j’ai rendez-vous à 14h.
– Avec une femme, je parie ?
– Oui, ma banquière !
– Ah, je t’attends demain soir à 19h, prévois la soirée et préviens Flora qu’elle ne te trouvera pas !
– D’accord, à demain.
Je quitte la belle Janine. Le soir vers 20h30, j’entends la porte s’ouvrir, c’est Flora qui vient aux nouvelles.
– Bonsoir Alain, dit-elle en me tendant les lèvres.
– Bonsoir belle enfant, lui dis-je en lui donnant un long baiser et en lui passant une main aux fesses, comme tu peux constater, bien que particulièrement accueillante, ta mère ne m’a pas enlevé !
– Tu dois penser que c’est une super salope ma mère !
– C’est amusant, elle m’a dit la même chose de toi !
– Ça s’est bien passé ?
– Plutôt, oui, j’ai passé 5 minutes à lui brancher ses appareils et on s’est sucés pendant 1 heure ! C’était très bon, elle fait bien les gâteries !
– Mieux que moi ?
– Dans un autre genre, mère et fille en même temps, ça doit être sublime !
– Ce soir, je n’ai pas le temps de rester avec toi, j’ai des affaires à préparer pour les enfants qui partent chez leur père pour le week-end, il passe les chercher demain vers 12h30, tu auras fini les cours ?
– Oui, je recevrai Greg à 9h et Jess à 10h. Au fait ta mère m’a invité à diner demain soir à 19h.
– Alors, tu vas la sauter ! Si tu n’as rien de prévu ce week-end, on peut passer la nuit de samedi à dimanche ensemble !
– Absolument ! Et si j’avais eu quelque chose de prévu, j’aurais tout annulé !
– C’est gentil ça ! Nous nous embrassons et elle rentre chez elle.
Le soir, je fais une petite toilette, je m’habille, costume cravate et je me rends chez Janine. Elle m’ouvre et me dit :
– Excuses-moi, j’ai pris du retard, je ne suis même pas habillée !
– Ça ne me gène pas, au contraire !
– Attends moi au salon, je n’en ai pas pour longtemps. Je m’assois dans un fauteuil.
Un moment après, je l’entends descendre l’escalier, elle me rejoint, elle porte un tailleur gris à très fines rayures rouges, dont la jupe courte laisse ses genoux largement apparents, elle est chaussée d’escarpins rouges à talons hauts, sous sa veste, un chemisier rouge très décolleté, enfin elle porte des bas couture noirs. Je l’embrasse, nos langues s’emmêlent et lui dis qu’elle est ravissante. Elle sort une bouteille de champagne et trois coupes qu’elle pose sur la table du salon, je lui demande :
– Tu as invité quelqu’un d’autre ?
– Moi, non ! Mais toi, oui !
– Et j’ai invité qui ?
– Moi ! Je reconnais la voix de Flora qui entre, elle porte un tailleur gris foncé, très moulant, qui fait ressortir ses rondeurs et dont la jupe est très courte. Et elle ajoute :
– Mais je ne fais que passer, après l’apéritif je pars m’occuper de mes enfants et je vous laisse en amoureux ! Janine me dit :
– Assieds-toi dans le canapé, au milieu, puis Flora se place à ma droite et Janine à ma gauche, Flora défait mon pantalon, Janine baisse mon slip sort ma queue, Flora dit :
– Mère et fille en même temps, ce ne serait pas un de tes fantasmes ?
– Une fellation à deux bouches, sublime les filles ! Ah, vous me comblez. Elles retirent leur veste, Janine est en chemisier et Flora, qui n’en porte pas se retrouve en soutif, satin gris perle et dentelle rose, qui met en évidence son opulente poitrine, magnifique, je retire également ma veste, elles tombent mon pantalon et mon slip et Janine me dit :
– Tu ne fais rien, tu nous laisses faire, tu es seulement autorisé à nous caresser, c’est tout !
Je me cale sur le dossier du canapé, leur pose mes mains sur le cul et admire leur savoir faire. Au début, les langues et les lèvres font une sarabande, j’ai l’impression que mon gland est absorbé par un millier de bouches, les demoiselles attendent que mon désir prenne forme, ce qui ne tarde pas, pour entreprendre le véritable travail de pompage, une fois bien dure, ma queue est mordillée à sa base par une bouche, l’autre maintenant mon gland entre ses lèvres serrées, une langue titille le méat, une main caresse mes boules, des doigts visitent mon cul. Les bouches se relaient, à des rythmes différents, ces deux salopes sont en train de me faire une pipe d’enfer, je résiste un moment à la pression. Si ce n’est pas le bonheur, c’en est pas loin ! Je n’en peux plus, je m’avoue vaincu et je lâche mes spermatozoïdes dans une bouche, sans savoir à qui elle appartient, j’ai fermé les yeux depuis longtemps ! Quand je les rouvre, elles me regardent en souriant. Je leur dis :
– Sublimes ! Vous êtes sublimes ! Vous êtes vraiment deux super salopes !
– Notre prestation était à la hauteur de ton fantasme ? Demande Janine.
– Vous êtes allées bien au-delà, je suis heureux de vous avoir rencontrées.
Flora remet sa veste et nous buvons le champagne, puis elle repart s’occuper de ses enfants. Janine et moi terminons la bouteille, enlacés sur le canapé. Puis nous dinons tranquillement, en causant. Elle a concocté un excellent repas, accompagné d’une bonne bouteille de vin.
Pour le café, nous retournons dans le salon, elle dégrafe deux ou trois boutons de son chemisier et s’assoit à mes côtés, elle me tend les lèvres et nos langues se rejoignent pour un long baiser. Je passe une main dans son chemisier, att**** un sein et agace le mamelon. Je dégrafe le reste des boutons et découvre qu’elle porte une guêpière en dentelle noire, qui laisse ses seins totalement libres, ma bouche et ma langue remplacent ma main et ses tétons durcissent rapidement. Ma bite aussi d’ailleurs, qui commence à être mal à l’aise dans mon pantalon. Ma main s’aventure entre ses cuisses, sous sa jupe, mais ne peut aller très loin, la jupe étant trop étroite ! Elle me dit :
– On monte ou on fait ça ici ?
– Comme tu veux.
– On sera mieux en haut. Elle retire sa jupe et monte devant moi, pour me montrer le chemin ! J’ai son cul qui se dandine à hauteur de mes yeux, très légèrement caché par la dentelle de sa petite culotte, je ne peux m’empêcher d’y passer les mains. Arrivée dans la chambre, elle ôte la couette du lit, retire sa culotte, se couche sur le dos, cuisses bien écartées, insère son index dans sa chatte et commence à se masturber. Elle me dit :
– Tu n’es pas encore nu ? Tu n’as pas envie de moi ? Je retire rapidement mes vêtements et dit :
– Regarde si je n’ai pas envie de toi ! En lui montrant mon sexe érigé.
– Viens vite, je suis prête, prends-moi. Je prends position sur sa vulve et la pénètre lentement, c’est bon.
– Mets-là moi, me fais pas attendre, baises-moi fort ! Malgré ses invectives, je continue à entrer doucement en elle. Elle croise ses jambes sur mon dos et viens à ma rencontre à grands coups de reins, si bien que quelques secondes plus tard, nous sommes profondément emboités l’un dans l’autre. Comme elle l’a demandé, je commence par la pilonner rapidement, petits cris et soupirs se succèdent jusqu’au moment où je ressens les crispations de son ventre, quelques secondes avant qu’elle atteigne l’orgasme. Elle reprend son souffle et me dit :
– C’était bon, tu me baises bien, ma fille a de la chance ! Je réponds :
– Attends, ce n’est pas fini, tu n’as rien vu encore !
– Vantard ! Et que vas-tu faire maintenant ?
– Je vais me mettre sur le dos et tu vas venir t’empaler sur moi !
– D’accord, regarde bien mon minou bouffer ta bite, ça te fait bander ça, hein ?
Elle s’agenouille sur moi, positionne ma queue sur sa vulve et descend lentement jusqu’à l’engloutir entièrement. Une fois au fond de son vagin, je donne quelques coups de reins, puis augmente la cadence, elle commence à haleter, elle mouille abondamment et jouit rapidement. Je lui demande si elle a un tube de lubrifiant, elle le sort aussitôt de la table de nuit en me disant :
– Salaud, tu veux me sodomiser ?
– Ne me dis pas que tu es vierge du cul !
– Eh bien si !
– Enfin, ce n’est pas possible !
– Non, bien sûr, mais prends-moi doucement, je ne me fais pas enculer tout les jours !
– C’est dommage je l’aurais défloré avec plaisir ton petit cul !
Elle se met à quatre pattes et je lui prends d’abord la minette, tout en lui lubrifiant le sphincter avec le doigt. Elle se remet rapidement à mouiller et je change mon mandrin de trou pour lui défoncer le cul. Je me pose sur sa rosette et pénètre lentement dans les profondeurs de l’abîme. Elle pousse quelques soupirs, mais mon gland passe, la hampe continue tranquillement sa progression. Pendant ce temps, je masturbe son clito et caresse un de ses seins. Je suis penché sur elle, elle me dit :
– Je te sens bien, prends-moi comme une chienne, mets-moi des grands coups de bite, je veux te sentir me défoncer.
Impossible lorsqu’on est galant de refuser cela à une dame, je me mets à la buriner pendant un bon moment durant lequel elle prend plusieurs fois son pied, puis je décharge entre ses reins.
Après cette chevauchée, nous nous enlaçons pour un moment de tendresse, elle me dit :
– On pourra recommencer tout à l’heure.
– Tu sais, je ne suis plus si jeune et puis il se fait tard et j’ai des cours à donner demain matin à tes petits enfants.
– Je comprends, moi lorsque j’ai bien joui je m’endors comme un bébé. On se reverra n’est-ce pas ?
– Bien sûr, on s’appelle dès qu’on a envie et si un soir tu n’arrives pas à dormir …. Penses à moi !
Et je rentre chez moi.
Le lendemain, Greg arrive à 8h45 et Jess vient le remplacer à 10h10.
Lorsqu’elle arrive, je lui dis :
– Voilà le petit cadeau que je voulais t’offrir pour assouplir ton sphincter et habituer ton anus à recevoir des visites. C’est un plug anal, il mesure 6 cm de longueur et 3 cm de diamètre, il est très léger, ce qui permet de le porter plusieurs heures d’affilé. C’est bien pour un début. Baisse ton jean et ta petite culotte.
– Mais je suis venue pour un cours de maths, pas d’éducation sexuelle !
– Tu auras les deux pour le même prix, tu as de la chance. Je prends le plug, l’enduit de lubrifiant, je lui dis de bien regarder car elle devra le porter les jours où elle prend un cours
– Voilà, lorsqu’il est enduit, tu fais la même chose avec ton anus et il te suffit d’y glisser le plug. Ce que je fais.
– Tu vois, c’est pas gênant, tu le mettra le matin avant de partir et je le retirerai le soir.
– Mais je vais pas garder ça toute la journée dans mon cul, les copains vont s’en apercevoir !
– Pourquoi, ils te mettent la main au cul les copains ?
– Ben oui, ça leur arrive !
– Eh bien, tu leur expliqueras ce que c’est !
– Non, je mettrai pas ça !
– Tu préfères que je montre à ta mère des photos où tu te fais baiser par ton frère et ses copains pour du fric ?
– C’est pas possible, vous pouvez pas avoir de photos comme ça !
– Regarde. Et je lui montre les photos prises la seconde fois que je l’ai vue dans la clairière.
– Ah non, c’est d’accord, je ferai ce que vous voulez.
– Alors tu porteras ce plug comme je l’ai décidé. Et dans quelques temps, on le changera pour un plus gros. Ne t’inquiète-pas, dès que tu seras habituée, tu ne pourras plus t’en passer !
– Je ferai comme vous voulez. Je retire le plug.
– Alors maintenant, le cours, mais avant enlève ton jean et ta culotte et penche-toi sur le bureau.
– Vous voulez me prendre tout de suite ?
– Non, tu as raison, suce-moi la queue avant. Elle s’agenouille et me prend en bouche, sa fellation n’est pas super mais elle parvient à me faire bander. Il faudra vraiment que je lui apprenne à sucer.
– Maintenant, penche-toi sur le bureau, je prends le lubrifiant et lui enduis l’anus.
– Vous allez pas m’enculer !
– Si, pourquoi ? Et malgré ses vociférations, je place mon gland sur sa rosette et l’enfile lentement jusqu’à la garde. Elle ajoute :
– Alors vous me faites pas cours aujourd’hui ?
– Si, bien sûr, mais avec ma verge plantée entre tes reins !
Je m’assois sur mon fauteuil en la maintenant assise sur moi, ma bite toujours au fond de son cul.
– Voilà, maintenant passons à la leçon, il s’agit des fonctions. Tu vas voir, tu te rappelleras de cette leçon toute ta vie, penche-toi un peu en avant et résous les équations qui sont sur la copie devant toi en m’expliquant ce que tu fais et pourquoi !
– Mais je ne suis pas bien comme ça, votre truc me gène ! En effet elle remue beaucoup son petit cul, ce qui ravive mon désir et maintient ma queue bien dure, sans que je n’ai à bouger.
– Tais-toi et travaille.
C’est très agréable d’enseigner dans ces conditions, pendant qu’elle m’explique ce qu’elle fait, je caresse ses seins, ses cuisses et son clito. Je la masturbe si bien que pendant l’heure et quart que dure le cours, elle a trois orgasmes. A la fin je lui dis :
– Tu as aimé ce cours ?
– Ben, oui, mais c’est dur de se concentrer avec votre bite dans le cul.
– Tu vas t’en souvenir de ce cours, n’est-ce pas ?
– Ah, ça oui !
– Je ne vais pas mettre longtemps pour jouir. J’ai tellement envie de toi que j’ai mal au ventre de désir. Allez, on se lève, tu te penches sur le bureau et après je te libère. Elle se met en position, je suis toujours planté entre ses fesses, je sors ma queue de son fourreau d’amour, son sphincter s’est élargi, je la rentre à nouveau sans aucune difficulté, je lui demande si ça la fait encore souffrir, elle répond qu’elle ne sent plus aucune douleur. Je décide donc de la pilonner sans attendre plus longtemps car l’heure tourne et je ne voudrais pas que Flora me trouve en train d’enculer sa fille. Quelques allers-retours seulement sont nécessaires pour que je la remplisse de sperme. Cette heure et demie passée dans son cul a été un vrai délice. Cette demoiselle a des capacités, elle ira loin ! Elle va aux toilettes, quelques minutes plus tard, Flora vient la chercher, son père est arrivé. Elle m’embrasse et me dit :
– Ça s’est bien passé les cours ?
– Parfaitement bien, comme d’habitude.
– Tu viens chez moi vers 13h, on déjeune ensembles … et après …..

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