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Catherine mon aide soignante 3

Catherine mon aide soignante 3



– Ah comment ça tu attendais ?! Moi aussi j’attendais

– Ah heureusement que tu t’es bougé c’était ta dernière chance. J’aime bien quand l’homme prend les choses en mains

A peine avait-elle fini sa phrase que je l’embrassais déjà. Mes mains se dirigea d’abord dans sa nuque quand je l’embrassais et ensuite je les faisais glisser le long de son corps pour arriver au niveau des ses fesses. Ses fameuses fesses qui avaient été pendant longtemps Maître de mes songes. Je pouvais enfin les toucher. Elles étaient parfaites. J’adore malaxer les fesses mais là c’était vraiment exaltant. Tout en continuant en s’embrassant, Catherine commença à me retirer les boutons de mon pantalon.

Une fois que nous avons fini de nous embrasser. Je retirai mon pantalon qui libéra mon sexe de sa captivité. Il était tellement gonflé d’excitation. Catherine commença à m’embrasser dans le cou. Elle remonta mon t-shirt et descendit de mon cours vers mon ventre pour finalement arriver sur mon sexe encore emprisonné dans mon slip.

-Il serait peut-être temps de t’occuper un peu de moi qu’on inverse un peu les rôles.

– oui très certainement, c’est sûr que c’est très chouette d’avoir du plaisir mais le procurer est tout aussi bon.

Sa phrase était à peine terminée que je me retrouvais déjà sans slip. Mon Sexe vraiment libéré cette fois ci. Enfin c’est ce que je croyais. À peine m’étais je dis ça que ma verge se trouvait dans la bouche pulpeuse de Catherine. Pour l’instant seul mon gland était enfermé dans sa cavité humide et chaude qu’était sa bouche. J’avais été tellement surpris par la vitesse à laquelle elle s’était emparée de mon sexe quelques gloussement de stupéfaction. Il n’y avait seulement que mon gland à l’intérieur de sa bouche mais c’était déjà tellement bon et jouissif.

-Attend je vais te déshabiller. Je ne vois pas pourquoi je serais le seul à prendre du plaisir.

– d’accord. En fait tu es déjà devenu accro à mon nectar en une fois, avoue-le.

– peut être bien.

Catherine avait touché là un point sensible. Il était vrai que le goût de son excitation m’était apparu totalement aphrodisiaque durant notre rapport de la semaine précédente. Je n’avais qu’une hâte c’était d’y goutter.

– Aller vient sur moi il n’y a qu’une seule position pour prendre du plaisir tout les deux. Dis-je

Catherine s’empressa de venir au-dessus de moi. Elle plaça son sexe juste au-dessus de ma tête. Je pouvais le voir qu’il était déjà tout luisant mouillé d’excitation. Elle reprit mon sexe en bouche en ne prenant que mon gland au début mais à chaque fois elle descendait de plus en plus. Sa main qui était à la base de mon sexe se serrait de plus en plus. Pendant ce temps-là, j’étais occupé à faire des petits ronds au tour de son clito. À certain moment, je prenais son clito en bouche en le suçant. A d’autres j’enfuyait ma langue dans vagin qui me nourrissait de son nectar qui était encore meilleur que celui de la semaine passée. Quand je jouais avec son clito, j’entendais très distinctement des gémissements qui venait de Catherine. Cela m’excitait encore plus. A un certain moment j’accéléra mes coups de langues. Je faisais des cercles de plus en plus petits au tour du clito de Catherine tout en accélérant. Cela lui fit arrêter toute activité. Elle se releva pour profiter de tout le plaisir que je lui donnai. Elle l’exprima par des gémissements tellement sensuels que je perdais la notion de la réalité. J’avais l’impression d’être dans un rêve.

Mais un bruit familier me rappela à l’ordre. C’était un bruit assez familier. La sonnerie d’un téléphone portable et ce n’était pas le mien.
– Bonjour. Oui. Quoi je dois venir en urgence. D’accord. Ouais bonne journée. Désolé Hugo, je suis appelé en urgence je dois partir mais on remet ça demain. J’ai trop envie de goûter à ce que tu caches dans ton pantalon. A demain

Je la voyais se rhabillé sans trop comprendre ce qu’il se passait mais je fus assez choqué et triste de ne pas avoir pu concrétiser avec mon aide-soignante. Mais ce n’est que partie remise.

– D’accord. Je comprends. Demain je t’attendrais de pied ferme alors.

– J’espère qu’autre chose sera ferme demain.

Elle me fit un bisou et s’’envola.

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