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Histoire vraie : une bonne baise dans sa Benz

Histoire vraie : une bonne baise dans sa Benz



Désolée pour cette entrée en matière putaclic mais le titre original, « l’odeur des pins maritimes » pour poétique qu’il fût, détonnait sur un site porno. Vous me pardonnerez d’autant plus si vous appréciez l’allitération.

You’ve got a pussy
I have a dick
So, what’s the problem
Let’s do it quick…
Rammstein, Pussy.

Une question revient souvent dans les messages que m’envoient les lecteurs : « est-ce que tu racontes des histoires vraies ? » Je réponds en général que je relate des fantasmes, sans préciser si je les ai réalisés ou pas. Aujourd’hui, je vais vous raconter une histoire vécue, garantie vraie cent pour cent.

Je n’étais pas vierge avant de rencontrer Greg, loin de là. J’avais même vécu quelques expériences qui sortent de la banalité, c’est le moins que l’on puisse dire (je vous les narrerai à l’occasion). La différence entre Greg et mes amants précédents tient dans le fait qu’avec lui, j’ai l’impression de découvrir chaque nouvelle pratique, comme si c’était la première fois. Greg ne me demande jamais rien. Il ordonne. Et je m’exécute sans discuter. Je suis plutôt du genre forte tête mais, quand je suis avec lui, je perds toute velléité de rébellion. Cette remarque ne concerne que le sexe, pour le reste, je tiens à ma liberté.

Il y a deux ans, nous sommes partis ensemble en vacances pour la première fois. Nous n’étions pas en couple depuis longtemps, il faisait chaud… En bref, on baisait comme des lapins. Il nous arrivait de rester dans la chambre toute la journée. Le soir, j’avais dépassé ma dose de sexe et enduisait de crème ma minette toute irritée.

Greg avait mis en place une règle : si je me réveillais avant lui, il fallait que je « sonne le clairon ». Vous l’avez bien compris, je devais lui tailler une pipe, en allant jusqu’au bout la plupart du temps. J’appréciais d’autant plus le café du matin, qui passait le goût du sperme.

Ce jour-là, nous avions décidé de faire une petite ballade. Greg conduisait. Il commença par longer la côte puis à un moment bifurqua vers les terres. Il n’avait pas mis le GPS. En regardant une vieille carte qui traînait sous mon fauteuil, je compris qu’il faisait un détour. Je lui dis : « qu’est-ce que tu fabriques ? On n’est pas du tout dans la bonne direction ! ». Il me regarda sans répondre, juste en souriant puis stoppa la voiture. Nous étions sur un chemin de terre au milieu de nulle part. De l’extérieur nous parvenait l’agréable odeur des pins maritimes.

« Retire ton short, dit-il. » Ma colère passa aussitôt. Je venais de comprendre pourquoi il avait exigé que je ne mette pas de string ou de maillot ce matin. Encore un de ses jeux tordus. J’enlevai mon short. « Suce-moi ». Nous avions déjà pratiqué dans la voiture et une fois même alors qu’il était au volant (ne refaites pas ça chez vous, ces cascades sont réalisées par des professionnels). Je ressentis ce frisson, ce frisson violent à l’idée d’être surpris. Bien sûr, nous étions perdus dans la nature mais un flic, un paysan pouvait passer. D’émoi, sous mes fesses le tissu devint humide.

Greg avait ouvert son pantalon et reculé son siège. Sa verge se dressait comme un poteau. Il me prit par les cheveux. J’ouvris la bouche et je l’engloutis. Je savourai son sexe au goût un peu salé. De sa main libre, Greg saisit ma chatte. Il actionnait le bon levier. Je frémis et soupirai sous l’effet de sa caresse.

Je le branlai tout en maintenant son gland dans ma bouche. Il glissa deux doigts sous mon menton pour me relever la tête. « Tu as envie ? » dit-il.
– Oui
– De quoi ?
– De ta queue dans ma chatte.
– Dis-le, dis que tu as envies que je te baise !
– Oui, baise-moi !

Je reculai mon siège. Greg, avec un geste souple de gymnaste, s’inséra entre mes jambes. D’un seul coup de rein, il entra en moi, en entier. Sa queue me remplissait totalement, c’était un tel bonheur que je crus jouir dans l’instant. L’idée que l’on pourrait nous surprendre accentuait mon désir. Une véritable frénésie sexuelle nous saisit. Nous baisions comme des malades, comme si nous allions crever dans l’heure d’un accident de voiture. Je ne me souviens plus si j’ai crié au moment de jouir, juste de l’intensité incroyable de l’orgasme.

Greg se retira. Il n’avait pas joui. Pourquoi arrêter ? C’est alors que je me rendis compte que, pour la première fois, il m’avait baisée sans capote. Il se branla quelques secondes au-dessus de mon ventre avant d’éjaculer. J’étais couverte de sperme, de mon pubis rasé jusqu’aux seins. Il me tendit un paquet de Kleenex.

Nous restâmes silencieux pendant le reste du chemin. Je pensais aux courbatures dans les cuisses que je ne manquerai pas de subir le lendemain et aux taches sur mon tee-shirt. Un de mes meilleurs souvenirs de vacances.

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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