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SAMIA FEMME DE MENAGE MURE ET GRASSOUILLETTE

SAMIA FEMME DE MENAGE MURE ET GRASSOUILLETTE



LU SUR LE NET

AVEC SAMIA FEMME DE MÉNAGE MURE MAROCAINE AU GROS CUL

Samia, la nouvelle femme de ménage de mes parents, a, selon ma mère, un regard vicieux et pas toujours très franc. C’est la raison pour laquelle elle ne l’apprécie guère. Mais le problème, avec maman, c’est qu’elle n’aimait pas non plus les employées qui l’ont précédée et qui se sont succédé durant des années dans notre maison. Elle les trouvait toutes, soit trop feignantes, soit malhonnêtes, soit peu ponctuelles.

— Au moins, celle-ci est énergique, tempère un peu papa.

Mais ma génitrice ne veut pas en démordre, il va falloir nous séparer rapidement de la nouvelle bonne, lui donner congé et mettre à nouveau une petite annonce.

Pourtant, en ce qui me concerne, j’aime beaucoup cette Marocaine bien en chair. C’est une femme d’environ quarante ans, simple et sans embrouilles. Quant à son large fessier, il excite toutes mes convoitises. Lorsque je suis à la maison, j’aime la regarder s’affairer en dodelinant lentement des fesses. Grassouillette à outrance, elle est aussi très typée, et je trouve ça vraiment très chouette, c’est typiquement le type de femme mûre sur lequel je peux fantasmer à mort.

Encore puceau à vingt ans, peu sûr de moi et trop timide avec les filles, ma vie sexuelle est vide et solitaire. Certes, je me masturbe presque tous les soirs en surfant sur des sites cochons, parfois aussi dans la journée, lorsque je reviens entre deux cours. Mais cela s’arrête là : pas de flirt, pas de copine, rien de concret, pas même un petit bisou volé.

Depuis l’arrivée de Samia, mes fantasmes sont un peu plus ciblés sur elle, comme à chaque fois qu’une nouvelle employée surgit dans la maison. Ainsi, je cherche des films avec des Maghrébines, si possible avec de grosses fesses. Je me fais tout un cinéma sur une hypothétique partie de baise torride avec ma Marocaine et je m’en branle parfois jusqu’à plus soif dans l’intimité secrète de ma chambre.

Plus le temps passe et plus elle m’attire ; je n’arrête pas de la mater, de la suivre comme un petit toutou dans toutes les pièces, histoire d’observer un bout de sein, de croiser son regard vicieux ou d’admirer son gros derrière. Et lorsque, par hasard, mon attitude peu catholique et foncièrement intéressée semble l’interpeler, je fais comme si de rien n’était. Mais je ne dois pas être bien discret ni vraiment crédible, dans le rôle de l’innocent qui a l’air de ne pas y toucher !

Elle va se faire virer et, bientôt, je ne la reverrai plus, comme tant d’autres avant elle. De toute façon, je n’ai aucun espoir puisqu’elle est mariée et mère de trois enfants. En plus, vu la différence d’âge, je me dis qu’elle n’a sans doute aucune envie de s’encombrer d’un jeune puceau comme moi.

C’est alors qu’un événement inattendu change soudain le cours des choses : une grève surprise à la fac, parce qu’un prof s’est fait sanctionner la veille et que les autres arrêtent le travail par solidarité.

9 h 30, retour à la maison. Je m’enferme dans ma chambre, comme à mon habitude, pour m’y consacrer à mon activité favorite, le visionnage de séquences cochonnes. Et je commence à me frictionner sérieusement la bite. Puis je mets un DVD X acheté dans une solderie, dans lequel une bonniche, délurée comme pas deux, fait le ménage devant son patron. Celui-ci soulève bientôt la blouse de la jeunette et s’aperçoit qu’elle est complètement nue dessous. Comme par hasard ! Alors, il la pelote et elle se laisse faire en gloussant des « Oh Monsieur, que me faites-vous là ? Voyons, soyez raisonnable ». Mais lui, il est tout sauf raisonnable parce qu’elle lui donne une sacrée trique. Alors, il bave d’envie devant sa toison : « Putain, mais t’as la chatte en feu, j’suis sûr que t’as envie d’une bite… ». Alors, il lui montre son gros zob et cette chaudasse, émerveillée par la taille du monstre, l’avale avec beaucoup d’entrain. Elle le suce un long moment avant de se faire baiser dans diverses positions, perdue au milieu de son seau et de ses balais, toujours vêtue de sa blouse qui est maintenant grande ouverte. Ensuite, quelqu’un sonne à la porte et cette chaudasse décide d’aller ouvrir dans sa petite tenue. Le visiteur, un copain du propriétaire, voit que celui-ci n’a pas l’air de s’ennuyer. Comme l’autre est partageur, tout va bien, ils se tapent la fille à deux.

Ce film, je l’adore, il me fait penser un peu à Samia, je l’imagine à poil sous sa blouse dans le salon, en train de se faire bourrer par deux ou trois potes à moi. Je me frotte la tige comme un dératé jusqu’à m’en faire gicler, j’en mets un peu partout sur le clavier et sur mes mains, de cette colle toute poisseuse.

C’est à ce moment précis que la porte s’ouvre et que la Marocaine fait irruption dans la pièce. Complètement paniqué, j’att**** mon pull-over d’un geste et le pose en toute hâte sur ma queue. Puis je tourne la tête vers la bonne pour lui faire face. Elle a un vague sourire aux coins des lèvres. Je suis contrit, paralysé par la honte.

— Ah, tu es là Damien ! s’exclame-t-elle, faussement surprise. Je te dérange peut-être… Ta mère m’a demandé de faire ta chambre ce matin, mais je ne pensais pas te trouver là.

C’est à ce moment-là que je m’aperçois que le film continue à se dérouler sur mon écran et que le son des enceintes égraine inlassablement les râles de jouissance des protagonistes dans toute la pièce. Affolé, j’éteins l’écran et coupe de suite le son. Mais Samia n’en a, bien entendu, pas perdu une miette. Elle fait le tour de la pièce, tire les rideaux, ouvre la fenêtre :

— Ça sent le fauve ici, dit-elle d’une voix moqueuse.

Puis elle s’approche de moi :

— Ça avait l’air vachement intéressant ce que tu regardais sur ton ordi. Tu veux bien qu’on le regarde ensemble ?

Elle est folle, hors de question !

— … C’était rien, rien du tout… (D’une petite voix peu convaincante.)
— J’ai l’impression que tu me prends pour une bille, tu oublies que j’ai moi aussi des fils, aussi cochons que toi, si ce n’est pas plus ! Et puis, tu sais, moi aussi j’aime le sexe… Je ne suis pas née de la dernière pluie… Allez, sois sympa, remets-nous-le, ce petit film… Je dirai rien à ta mère.

Mais comme je ne fais aucun geste pour accéder à sa demande, elle se penche en avant et appuie sur l’interrupteur de l’écran. Je sens son bassin frotter contre mon bras. Je ne sais plus où me mettre, d’autant plus que le film réapparaît dans un passage particulièrement hard où les deux mâles sont en train de se prendre la soubrette en sandwich, l’un par derrière, en train de l’enculer, l’autre par-devant, qui se fait sucer la bite.

— Et c’est où pour remettre le son ? se lamente encore Samia… Allez, secoue-toi, remets-le, j’aime entendre les « hum », les « ahhhh », et toutes les cochonneries que disent les hommes pour s’exciter…

Je finis par obtempérer.

— Putain ! T’as vu ce chibre ! s’exclame-t-elle. Regarde ce qu’elle se prend dans le cul, cette cochonne ! Oh, putain ! La vache, elle doit avoir l’habitude, ça rentre comme dans du beurre ! Mon mari aussi me prend souvent par le petit, mais il n’est pas aussi bien monté que ce type-là.

À cette révélation, mes joues deviennent toutes rouges. Je suis prêt à éclater, rien que le fait de savoir que son mari l’encule. Je sens les seins lourds de Samia frotter sur mon épaule, mais je reste complètement bloqué et n’ose pas faire un geste.

— Remarque, l’autre n’est pas mal non plus ! T’as vu comme il lui déforme la bouche ? C’est un peu de la foutaise, tous ces acteurs pornos. Dans la vraie vie, on rencontre rarement des hommes si bien gaulés. Et de toute façon, comme on dit, c’est pas la plus petite la plus feignante…

Le film continue de se dérouler imperturbablement, les scènes de sexe s’enchaînent les unes aux autres, d’autant plus que deux autres larrons viennent se joindre à notre trio, un couple qui passait là par hasard… Râles, gémissements et bruits de chattes se succèdent alors à un rythme effréné jusqu’à l’assaut final.

Pendant ce temps-là, je sens une main décidée saisir le pull-over négligemment posé sur ma nudité. Elle s’empare bientôt avec dextérité de l’engin encore poisseux de sa dernière jouissance.

— Humm, petit cochon, tu es encore tout plein de foutre.

Samia me branle doucement, mais avec assurance. Pour être plus à l’aise, elle finit par tourner le fauteuil vers elle et s’agenouille entre mes cuisses tandis que sur l’ordi les râles de jouissance redoublent d’intensité.

— Humm tu sens bon mon salaud, ton odeur m’excite, avoue-t-elle d’une voix rauque. Tu permets que je goûte à cette belle bite ?

Et je la vois alors lécher soigneusement mon gland en caressant doucement mes couilles. Ensuite, elle avale entièrement ma bite jusqu’au fond de sa gorge, en me regardant droit dans les yeux. Comme quoi ma mère doit avoir raison quand elle dit que la femme de ménage a un regard vicieux, car vicieux, il l’est sacrément à ce moment-là.

Ma bite est dure et droite, érigée à l’extrême, mais ma maîtresse est experte, elle la manie avec précaution et évite une nouvelle jouissance.

— Attends-moi une seconde, j’arrive… dit-elle en se relevant.

Elle file dans la cuisine et revient avec son sac à main d’où elle extrait une boîte de préservatifs.

— Je les ai juste au cas où, me dit-elle, devant mon regard inquiet. Je ne les utilise pas très souvent…

Mais ce qui m’inquiète, ce n’est pas qu’elle se fasse de temps en temps troncher par d’autres hommes, mais beaucoup plus qu’elle me propose ouvertement, à moi, de faire l’amour, je ne me sens pas vraiment prêt pour ce genre d’exercice et j’ai peur de décevoir. Tandis qu’elle m’enfile la capote, je me demande comment je vais faire, j’ai peur de ne pas assurer et d’être vraiment minable.

A-t-elle perçu mon désarroi ? En tout cas, c’est elle qui prend les choses en main. Elle me déshabille entièrement, se met à son tour complètement nue. Je suis baba d’admiration devant son corps. Ses seins sont lourds, mais sans exagération et restent très fermes, son bassin est extra large, son cul énorme et sa chatte presque entièrement épilée, avec une petite touffe juste au-dessus des lèvres. Seul son ventre flasque, charcuté par les césariennes, reste un peu disgracieux, mais, pour le reste, elle est vraiment bandante.

Excité comme une puce, je n’en peux plus de poser mes mains partout sur elle, pour la toucher, pour la caresser, pour la palper. J’en bande de plus belle, c’est mieux que dans mes rêves les plus fous.

Elle m’entraîne alors sur le lit où elle me refait une petite turlutte pour s’assurer de ma vigueur.

— Laisse-toi faire, n’aie pas peur, ne t’inquiète pas, cela va bien se passer, dit-elle pour me rassurer.

Nul doute qu’elle doit se douter que je suis puceau. Comment le sait-elle ? Elle est perspicace. Elle me fait m’allonger sur le dos et vient sur moi pour chevaucher mon dard. Quelle sensation exquise ! Que c’est bon d’être enfin dans cette grotte juteuse à souhait et de plonger ma bite dans la chaleur de son corps ! Au rythme de ses va-et-vient, je vois ses seins se balancer de part et d’autre. Elle se mord les lèvres et pousse quelques soupirs, monte et descend, accélère la cadence. Je suis hyper excité, j’ai l’impression que je vais exploser en elle, mais elle s’arrête au bon moment :

— Comment veux-tu me prendre ? Par devant, par derrière ? Elles t’excitent, mes grosses fesses ?

Je lui proposerais bien : debout dans la cuisine, penchée contre les fourneaux, c’est ce qui m’exciterait le plus, mais je n’ose pas pour ma première fois.

Elle se met à quatre pattes sur le lit et prend la position. Debout derrière elle, elle saisit ma bite et la positionne à l’entrée de sa grotte. Quel cul énorme ! Je rentre en elle comme dans du beurre, en la saisissant fermement par les hanches. J’ai tellement envie de la bourrer, j’en rêve depuis si longtemps.

— Vas-y, petit cochon, baise-moi bien. Ça fait des semaines que t’arrêtes pas de me lorgner. Alors, vas-y, excite-toi, défonce-moi bien à fond. J’aime ça me faire tringler.

J’y vais comme un malade contre ses fesses et, trop excité par la situation, ne tarde pas à jouir. Elle se retire un peu plus tard, puis s’allonge sur le dos en écartant largement ses cuisses et me demande de la bouffer, ce que je fais du mieux que je peux, tandis qu’elle m’aide en se branlant avec ses doigts. Elle finit à son tour par exploser d’un orgasme qui me semble modéré, mais qui la fait en tout cas clairement gémir.

Après cette partie de jambes en l’air, elle se rhabille vite fait et reprend son travail. Se sachant sur la sellette, elle ne voudrait surtout pas que ma mère l’engueule parce qu’elle n’a rien fait. Je la regarde pendant tout ce temps, ce qu’elle peut être bandante…

Les semaines qui suivent, je sèche fréquemment les cours. À chaque fois que Samia est seule à la maison, je m’arrange pour y être aussi et nous baisons souvent à couilles rabattues. J’obtiens parfois d’elle qu’elle fasse le ménage complètement nue sous sa blouse. Je trouve ça hyper excitant de la savoir ainsi offerte et disponible, et cela me permet de la trousser vite fait et de l’enfiler dans diverses pièces de la maison. Mais dans cette histoire, je suis loin d’être le plus vicieux, car elle n’est jamais la dernière pour me proposer des nouveautés, à commencer par la sodomie dont elle est fort friande. Elle m’avoue aussi que son mari ne la touche presque plus depuis la naissance de leur dernier enfant, malgré ses sollicitations répétées : juste une ou deux fois par mois pour se vider les couilles. Et c’est bien dommage, car elle a, de son côté, de grosses envies insatisfaites, qu’elle comble parfois avec certains de ses employeurs. Ainsi, je ne suis pas le seul, elle admet que non et j’en suis un peu jaloux.

Et puis, un beau matin, ma mère, qui a soi-disant enfin trouvé l’oiseau rare, décide de se passer des services de la Marocaine. J’en suis réellement peiné, d’autant plus que la nouvelle bonne semble vraiment austère et peu à même d’être l’objet de mes fantasmes.

Par la suite, j’essaie de reprendre contact avec Samia en allant l’attendre en bas de chez elle, mais elle me fait clairement comprendre que cela ne l’intéresse pas de continuer avec moi. La situation ne s’y prête plus et d’éventuelles rencontres seraient beaucoup trop compliquées à gérer pour elle. Alors, elle préfère en rester là.

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