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Dans le train

Dans le train



Je m’appelle Mick, j’ai 24 ans et cette histoire sait dérouler il y a environ 2 semaines. Alors que j’etais dans le train pour rentrer a Annecy, je me trouvais dans le wagon à compartiments et dans le compartiment où je m’etais installé se trouvait une femme d’environ 45-50 ans. Elle etait blonde, environ 1m60 un peu rondouillarde , une petite poitrine et elle portait une robe couleur ocre. Je m’etais installé en face d’elle a coté de la fenetre et surtout de la ventilation car il faisait extremement chaud.

Juste avant de partir de la gare, une personne s’assis dans le même compartiment que nous et je mis mes ecouteurs afin de faire passer les 2 longues heures de voyage un peu plus rapidement et en musique.

Le train a peine parti, j’essayais d’installer mes jambes en essayant de ne pas gener ma voisine de face. Avec le peu de place, je finis par percuté les jambes de ma voisine. Bizarrement elle me souris, et moi timidement je m’excuse.

Apres une heure de train, le train s’arrete et la 3eme personne descend et ainsi nous sommes les deux dans le wagon. Durant cette heure je n’ai pas pu m’empecher de jeter quelques regards sur son corps. Malgré sa petite poitrine, sa robe faisait apparaitre de jolis petits mamelons tres sexy.

Le train repart. Elle me faisait signe, donc j’enleve un ecouteur et elle me demande de bouger mes jambes afin qu’elle puisse les allonger. Je m’execute et je sens une de ses jambes frotté l’intérieur de ma jambe gauche.

Elle me dit : « Tu crois que je ne t’ai pas vu me regarder pendant tout ce temps ? »

Tres surpris par son intervention, je ne savais plus ou me mettre.

Je lui repondis un peu honteux : « Je suis desole mais vous etes tres belle. »

– « Je te remercie mais je ne suis pas un peu agé pour un garçon de ton age ? »

– « Il n’y a pas d’age pour regarder une femme »

Nous continuons ce petit jeu de séduction pendant quelques minutes jusqu’à ce que son pied atteigne le haut de ma cuisse juste en dessous de mon penis en erection.

Avec son pied nu elle sentit la bosse de mon pantalon : « Tu es tout excité on dirait ? »

– « Vous ne faites rien pour que ce ne soit pas le cas »

Elle se leva et s’assis à mes cotés et commença a m’embrasser. Après quelques pelles, mes mains commençerent a descendre vers l’intimite de la femme et passa ma main sous sa robe pour caresser son minou.

Sa culotte etait un peu mouille, quand a elle, elle est caressa tres fortement ma bite a travers mon short et commenca a enlever le bouton et a descendre le zip.

Elle me fit ecarter les jambes pour s’y installer, elle sort mon penis de mon calecon et commença a me sucer. Incroyable de se faire sucer dans le train alors que l’on peut se faire surprendre n’importe quand par n’importe qui mais bordel que c’est excitant.

Apres environ 2 minutes de va & vient dans sa bouche, elle se leva. Elle farfouilla dans son sac afin d’y sortir une capote, elle me l’enfila, retira sa culotte, releva un peu sa robe et vient s’empaller sur mon pieux dur comme un roc.

Elle etait dos à moi, ses mains sur mon torse, les miennes sur ses fesses pour l’aider a aller&venir sur mon penis.

Au bout d’un moment, elle s’arreta et se leva. Elle se mit a 4 pattes sur les sieges en face. Je me leva, le calecon et le short sur les chevilles et la penetra en lui tenant les hanches. (Il etait assez dur de trouver l’equilibre alors que le train etait en marche)

Avec des coups de reins de plus en plus fort je sentais que j’allais venir et elle aussi etait sur le point de jouir.

Elle me demanda si j’allais bientot jouir et je lui repondis par l’affirmative. Elle me fit rassoir, decapota ma bite et recommenca a sucer. Il ne suffit que de peu de temps pour que je jouisse dans sa bouche.

Elle n’avala pas et recracha tout dans la poubelle juste a coté, mais elle me lava la queue avec sa bouche qui avait encore un peu de mon sperme sur ses levres.

Je me suis rhabillé, elle aussi, elle sortit du compartiment pour aller au toilettes. Elle revint quasiment 10 minutes plus tard et se rassis a mes cotés, appuyant sa tete sur mon epaule.

Nous avons discuté jusqu’à l’arrivée du train, nous nous sommes échangés nos numéros de téléphone mais nous ne nous sommes pas encore revu depuis ce jour.

Au fait, elle s’appelait Christine.

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