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Le pari / 1er round sur 10

Le pari / 1er round sur 10



Tout commença par une partie de poker, une partie perdue. La soirée avance les verres se vident, la parole se libère. Tout a commencé par une question d’un de mes potes : « quand je mate ton cul, je m’imagine toutes les queues qui t’ont perforées. quel a été ton plus gros calibre ? ». Je suis rentré dans l’art du détournement de conversation, pour éviter de tomber dans le glauque tout d’abord et aussi, pour éviter de mêler sexe et amitié. J’ai connu mes amis du poker à la fac et ce fut un épreuve le jour où j ai décidé de leur apprendre que j’étais gay. Mais pas question d’avoir une double vie.
« Dans les lieux de drague je n’amène pas un mètre. Allez, arrête tes conneries et joue ».
Le sujet semblait clos lorsqu’on décida de ne plus jouer avec des euros mais de mettre en jeu des paris, Un « CAP, pas CAP » entre adultes consentants. Chacun devait miser, le défi était accepté ou pas. Il pouvait se réaliser sur le champ, ou nous devions en apporter la preuve la semaine prochaine. L’ambiance devenait chaude. Le premier fut Jean-Marc qui proposa une sex-tape. Jean-Marc passait son temps sur les sites de rencontre et se tapait 1 à 2 nanas par semaine. Défi validé. Kévin proposa de montrer sa bite. On hésita sachant que Kévin étant très fier de ses 22 cm nous avait à tous au moins une fois montré sa queue. Défi validé. Pierre proposa de poser ses lèvres sur la bite de Kévin. Défi validé. Mon tour arriva. J’ai hésité à proposer de sucer kevin mais ignorant comment mes potes allait le prendre j’ai préféré proposer les photos de 10 queues que j’allais me taper dans la semaine. Tous éclatèrent de rire. Défi validé mais Pierre rajouta que je raconte chaque rencontre. Nous avons tous oublié les cartes, tous excités par les défis à venir. Kévin se leva, déboucla sa ceinture et déballa sa queue sur la table. Toujours un plaisir à mater. Même au repos, sa queue était prometteuse. Moi, je sentais mon slip gonflait. Il attrapa sa bite et ses couilles fermement et les secoua le s’exhibant fièrement. Pierre se leva se plaça à côté de Kevin. Il éclata de rire puis d’un coup posa ses lèvres sur la queue exhibée. On applaudirent tous mais on réclama davantage : « la langue, la langue … ».Pierre sous nos encouragements nous tira sa langue et…attrapa la queue de Kévin, se pencha et fit le tour du gland avec sa langue. Il avait honoré son pari, à nous maintenant. Nous nous quittâmes chaud comme la braise…moi, en quête de 10 queues.Il était 6 heures, j’habitais vers Austerlitz. Je choisis l’option métro.

Métro presque vide. je m’assois et me laisse bercer par les secousses de la rame. A la station d’après monte un type, 30 ans environ, bien gaulé en tenue de sport en lycra. Étrange à 6 heures du mat. Encore sous alcool, je n’arrive pas à me détacher de son regard. Il me fixe aussi. Je descends mon regard vers son paquet, plutôt prometteur.

Tout en me fixant, il commence à se masser les couilles. Je crois que c’est clair : c’est une invitation. Ma bite commence à prendre forme. je me lève et je dirige dans sa direction. nous sommes face à face. Il avance son bassin de manière à que nos queues se frottent à travers nos pantalons. Nous essayons de rester discret, nous avons quelques passagers à seulement quelques mètres de nous. Il semblerait qu’il est un gros calibre, ce qui m’excite encore davantage. Après un sourire engageant, je l’entends me dire « tu me suis au prochain arrêt ? ». Je réponds par un simple « oui ». Nous descendons à la station Saint Germain et je le suis – le poursuis – à quelques mètres de distance. nous franchissons un portail qui nous amène dans le square. Il s’appuie contre un arbre, se met la main au paquet. je m’approche, nous nous roulons une pelle, nos bites sont l’une contre l’autre à travers le tissu. Je ne m’étais pas trompé, il avait un sacré morceau entre les jambes. Je ne résiste pas à fourrer ma main dans son lycra à la découverte de son corps. Je caresse sa queue, puis l’emprisonne et fais des va et vient. Il mouille déjà. je ne peut m’empêcher de lécher ma main légèrement mouillé ; j’aime renifler l’odeur du chibre, cela m’excite. Je m’agenouille, baisse son short, et avec ma bouche plaque sa queue contre son ventre. Je remonte le long de sa hampe en appuyant fort avec mes lèvres. Il gémit. Je me contorsionne et saisis mon smartphone dans la poche de mon jean. 1ère photo : mes lèvres emprisonnant la queue de l’inconnu. Je le pris entier en bouche et commença à le sucer.

J’aimer ça, sucer : passer ma langue sur le frein, téter le gland et progressivement enfoncer le pieu au fond de ma gorge, m’immobiliser puis commencer des va et vient le long de sa tige doux et chaud. Il posa ses mains sur ma tête et me caressait les cheveux en gémissant. Au bout de quelques minutes, il se retira et se retourna contre l’arbre, le cul offert. Je massa ses fesses, histoire de partir à la reconnaissance de ce cul inconnu, mais assez rapidement je me dirige vers sa raie puis son trou. J’y mets un doigt : je m’aperçois qu’il est déjà lubrifié : sans hésiter et sans plus d’égard, après avoir enfiler un préso je le pénètre jusqu’à la garde. Il a ma queue complètement en lui. nous faisons des mouvements de bassin mais je reste complètement en lui. j’ai saisis sa queue et commence à le branler. Il mouille : je lubrifie le frein, le gland puis le branle à nouveau : j’aime les changements de rythme. Le plaisir monte. Il est temps de partir à l’assaut final. Je lâche sa queue, att**** des hanches et commencent à le bourrer. Il gémit de plaisir. je sens le jus monter et décharge. j’att**** à nouveau sa bite le branle. Instantanément il jouit. Pour preuve, ma main est couverte de sauce, main que je lui donne à nettoyer. Cette bouche experte me suce les doigts : dommage qu’elle ne se soit pas occupée de ma queue. On se quitta sur un simple « tchao ». Je consulta la photo sur mon smartphone : cool : 1 photo. Plus que 9.

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