
Dans ma tête, il me semble que le début de la soirée est très loin. Tant d’émotions et de premières fois en si peu de temps m’affole. La voiture s’immobilise sur le parking. Kamel tient toujours ma main, et Natasha me regarde en souriant et me dit de ne pas stresser. Que je suis parfaite.
Je me retrouve un peu malgré moi entrainée entre les voitures, me concentrant à chaque pas, la main de Karim sur mes fesses. J’arrive même à trouver cela naturel.
Il me dit que je marche comme une petite salope, que je tors mes petites fesses sans retenue. Je sais que mon dépucelage récent, que le bijou toujours en moi, les talons pourtant très raisonnables (5 cm), ma petite cage coincée entre mes jambe dans ma petite culotte m’obligent à me déhancher plus que de raison. Et je sais également que sa main n’en perd pas une miette. Me troussant parfois en riant de ma rougeur subite.
Enfin l’entrée est devant nous. Je regarde mon reflet dans la porte vitrée. Cette grande fille ultra sexy, mes beaux bas aux résilles serrées. Mon visage fin et doux perdu au milieu de ces cheveux blonds. Le maquillage qui me donne un regard de biche apeurée. Et le mec à coté de moi qui me guide et me roule une dernière pelle avant d’affronter la foule. Tâtant mon derrière à travers ma petite culotte en me disant que je vais mouiller de peur comme une nana dans les premiers temps. Mais que je vais vite m’habituer aux frôlements sur mon corps si accessible.
Lola et Mohamed sont déjà à l’intérieur. Natasha et Farid nous emboite le pas. Je me rappelle du retour à la voiture après mon « dépucelage » et du regard un peu méprisant que Lola m’a lancé. Est-ce de m’avoir vu soumise à ce sexe qui me pénétrait, d’avoir vu qu’à la fin ce sont mes fesses qui allaient se planter comme si je ne pensais plus qu’à être défoncée, ou mes gémissements à chaque fois que j’engloutissais ce gros membre. Cette pensée m’attriste soudain et je me sens coupable.
Nous sommes au cœur de la foule maintenant. Ma première surprise est de constater qu’en aucun cas c’est une soirée déguisée… Si je suis confondue je n’ai aucune excuse ! J’en parle à Natasha qui me dit gentiment qu’elles ont du mal lire les invitations… Mais ni les garçons, ni les deux filles n’ont de déguisement. Je me sens idiote. Comme quand elles ont mis la table, je me suis tellement concentrée toute la soirée sur ma petite personne que je n’ai même pas remarqué les incohérences de tout cela. Il ne me reste plus qu’à assurer. En espérant que Kamel ne joue pas trop avec ma petite robe et n’en dévoile pas trop.
Nous trouvons une table, tout le monde s’installe, et Lola m’ordonne d’aller chercher à boire pour tout le monde. Je reste donc seule debout, attendant que chacun me donne sa commande. Le ton ferme de Lola me fait oublier qu’il va me falloir affronter des tas de « piliers de bar » à la buvette. Je marche bravement vers ce lieu envahi par la foule, me fraye un chemin à coup de sourires. Et commande avec une voix que j’essaie de rendre la plus féminine possible sans exagérer surtout le maniérisme toutes les boissons du petit groupe.
Un homme s’approche de moi, me demandant si je me suis égarée au bar et si j’ai besoin d’aide pour retrouver mon chemin. Je lui assure que je vais me débrouiller. Ses yeux brillent, et nul doute qu’il a déjà bien bu. Alors que je vais prendre le plateau, il me met une petite fessée en me disant : « tant pis pour toi ma belle, tu ne sais pas ce que tu perds ». J’ai l’impression que tout le monde me regarde maintenant. Je dois être cataloguée dans ces filles gentilles qui se font fesser en souriant. J’ai l’impression d’être la pire des petites putes. Mais la meilleure arme que je trouve est un sourire.
Chemin inverse au milieu de la foule. Les effleurements sur mes bas, sur mes bras, sur mes fesses m’affolent. Pourtant je profite pleinement de la merveilleuse sensation, de toute la douceur de mes dessous. Les bas qui bougent en caressant mes jambes parfaitement douces et épilées. Cette petite robe qui semble mouler chaque expression de mon corps. La vision des six attaches de mon porte jarretelle lorsque je baisse les yeux. Comment m’étonner que l’on me fesse quand j’offre mon petit cul ?
Je sers chacune et chacun à table. Toujours de l’alcool pour les filles, et des jus de fruits pour les mecs qui s’excusent en nous disant qu’ils devront peut-être conduire pour le retour.
Outre Karim qui recommence à m’embrasser avec des mains très baladeuses sur tout mon corps, Natasha semble ma meilleure alliée, me lançant souvent un regard plein de tendresse et souriant. Lola m’ignore…
Une série de slows commence. Et je me retrouve à nouveau dans les bras de Kamel, mes bras autour de son cou, ce qui fait toujours remonter légèrement ma robe déjà très courte. Il me caresse les fesses au milieu de la foule. Alterne les « petite cochonne » à mon oreille et les baisers pour me rassurer. Trousse parfois ma robe, me laissant le supplier d’être plus sage. Je m’aperçois vite qu’il fait cela chaque fois qu’un autre mec me matte le cul en dansant. Cela me fait encore plus rougir, et étrangement cela m’excite en même temps.
Après cinq slows, il me dit qu’il a de nouveau envie de moi. Comme une idiote je lui réponds que la seule solution est d’attendre que l’on rentre, admettant par là que j’en ai envie aussi… Mais il m’ordonne de me diriger vers les toilettes, d’entrer dans la première cabine vide, de ne pas verrouiller la porte, et de l’attendre avec ma petite robe troussée et ma culotte à mi cuisse. Il me promet de me mettre une fessée culotte baissée sur la piste de danse si je n’obéis pas. Et de faire voir à tout le monde que je suis une petite travestie perverse
Je suis morte d’inquiétude et de honte. Mais ai-je le choix ? Je me dirige donc vers les WC, entre dans la première cabine vide, remonte ma petite robe moulante sur ma taille, baisse ma petite culotte à mi cuisse, et sans verrouiller la porte je pose mes mains sur le couvercle des waters et me cambre un maximum comme il me l’a demandé. Je sais qu’ainsi je dois offrir un spectacle très explicite. Je tremble de peur, mais aussi d’excitation. Chaque bruit me fait sursauter. Et si une autre personne arrivait avant lui ? Enfin je sens la porte s’ouvrir largement et un peu d’air me caresser les fesses. Pourvu que personne ne me voit ainsi ! Pourquoi ouvre laisse t-il la porte béante ? Il referme la porte. Il enfile un préservatif, me « débouche » comme une bonne bouteille (mon bijou anal est effectivement de moins en moins serré en moi…). Je sens qu’il me lubrifie avec application. Je sens son gland a l’entrée de mon trou de plaisir. Il me traite de salope et me dit que j’ai intérêt à bien pousser quand il va me l’ordonner. L’ordre tombe et je m’empresse d’obéir. Cette fois encore la douleur est présente, mais il m’a pénétrée en une seule fois, son ventre venant frapper contre mes fesses dés son premier mouvement de hanche.
Je gémis un peu de douleur, mais il met sa main sur ma bouche pour que cela reste discret. En profitant pour me faire lécher ses doigts. Il me dit que m’ayant vu à l’œuvre avec Mohamed, je dois me débrouiller toute seule, comme une bonne petite pute, pour le faire jouir. J’entame alors des mouvements légers avec mon bassin, mes fesses, mes muscles anaux. D’abord de peu d’amplitude, puis sentant la douleur diminuer de plus en plus vite.
Bientôt la douleur est complètement dépassée par le plaisir. Je me déchaine sur son membre. M’éloignant jusqu’à ce que je le sente juste à l’entrée de moi et me replantant d’un seul coup, complètement, en gémissant de plaisir. Je suis vraiment désinhibée. Je n’ai plus qu’une idée. Le faire jouir. Je me plante et me replante comme une folle. Le sentant maintenant coulisser sans résistance en moi. Je le masse avec mon anus. Cela dure longtemps. Peut-être parce que je l’ai sucé juste avant de partir ?
Enfin je l’entends pousser un petit cri… puis un « oui salope va y je viens. Dis-moi que tu es heureuse que je te baise ». Lui répondant aussitôt que je suis super heureuse de me faire baiser comme une chienne par sa belle queue de mec, j’accélère encore la cadence.
Je sens qu’il vient. Je le sens soudain prendre mes hanches et me tirer vers lui avec force. Il bute au fond de moi en poussant un dernier cri, et reste planté longuement ainsi. Puis il se retire brusquement, me laissant un sentiment de vide intense. Il me rebouche immédiatement avec mon brillant. Il me demande de m’assoir sur le couvercle, en restant telle que je suis. Il enlève le préservatif devant mes yeux, et me demande de le sucer pour le nettoyer. Ma petite langue lèche sa hampe et son gland avec application.
Il me demande de remettre sa grosse queue dans son boxer. Et de reboutonner son jean. Ce que je fais avec douceur. Enfin il me met la tête en arrière, me demande d’ouvrir la bouche et de fermer les yeux. Je sais maintenant ce qui m’attend. Il met le préservatif dans ma bouche, pinçant la réserve entre ses doigts. Il me dit de fermer mes lèvres au raz de ses doigts. Puis il tire le préservatif et je sens toute sa liqueur dans ma bouche. Il me fait à nouveau ouvrir la bouche ainsi. J’ai vu quand il m’a fait assoir qu’il avait son smart-phone à la main. Je ne doute plus qu’il immortalise aussi cette petite baise de la petite salope dans les WC. Il me demande de jouer avec ma langue dans son sperme. De bien m’imprégner du gout. Puis bien sur il m’ordonne de tout avaler. Il me fait mettre ma langue dans le préservatif pour savourer les dernières gouttes. Je suis rouge de honte. Enfin il ouvre la porte, sans se soucier de ma culotte encore sur mes chevilles et de ma robe toujours troussée. Je remonte ma culotte à la vitesse de l’éclair mais je vois un homme qui passait par là surprendre mon geste et sourire en me regardant. Je sais qu’il a vu qu’un mec était sorti à l’instant. Je m’empresse de baisser ma petite jupe et de me précipiter dans la salle. J’ai honte d’avoir fait cela, et encore plus honte d’y avoir pris du plaisir.
Je retrouve Natasha qui visiblement maintenant à trop bu. Elle vient vers moi et s’accroche à mon cou avec douceur. Elle me dit : « Comment tu vas chérie ? »
Je ne réponds même pas tellement je suis encore troublée. Et c’est à ce moment là que le ciel me tombe sur la tête.
Elle me dit : « je savais bien que cela se passerait bien. Que tu prendrais du plaisir avec Kamel et les autres. Lola cherchait depuis trois semaines à te dire qu’elle te quittait. Elle a rencontré Mohamed dans un pub, et elle ait sortie avec le jour même. Mais elle ne savait pas comment régler la situation avec toi. Elle a parlé à Mohamed de tes fantasmes, et c’est lui qui a organisé la soirée avec ses amis. C’est plutôt gentil non ? Et puis nous avons bien vu que tu adorais cela, et que Lola a bien fait d’anticiper ».
J’étais abattu. Natasha se rendait-elle vraiment compte de ce qu’elle venait de me dire ?
J’ai quitté la salle, les yeux plein de larmes, cherchant un coin sombre pour m’assoir et pleurer. J’en voulais au monde entier. Tout était prémédité ! Organisé ! L’air de la nuit m’a fait du bien. Mais je ne pouvais plus bouger. Je me sentais seule, abandonnée, perdue en terre hostile sans voiture, sans amis, dans des vêtements féminins, épilée et maquillée. Comment rentrer ? Comment oublier cette horrible soirée ? Et oublier aussi le plaisir que j’y avais pris ? Comment oublier Lola, ses mensonges, ses intrigues, sa trahison ? Ou était la vérité et ou était le faux ? Etais-je vraiment sexy en femme ou tout cela n’était-il que flatterie pour mieux profiter de moi ? Tout mon monde s’écroule !
Perdue dans mes sombres pensées, je vois tout de même une ombre passer à proximité et quelqu’un s’arrêter à quelques mètres de moi.
La suite bientôt. A moins que vous pensiez que cela doit finir ainsi…
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