Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe Histoires de sexe mobiles

Julien ou Julie (05)

Julien ou Julie (05)



J’ai pris mon temps dans la douche. J’ai pris le temps de me détendre et souffler un peu car mine de rien ces petites sont pleines d’énergie.
J’ai aussi beaucoup pensé à toutes les possibilités qui s’offrent à présent à moi. Mes deux petites chiennes semblent gourmandes et avoir bien peu de tabou.
J’ai aussi pensé aux découvertes faites dans les affaires des parents. Il va là aussi falloir que je mène une petite enquête. Mais laissons ca de côté pour le moment.
Je prends suffisamment de temps pour laisser le temps aux filles de se pomponner. Evidement avec toutes ces pensées, c’est la queue au maxi garde à vous que je sors de la douche et rejoins les filles dans le plus simple appareil.
Quand j’arrive dans la chambre de Sophie, elle est devant sa coiffeuse à peaufiner son maquillage.
Julie quant à elle est une nouvelle fois à tomber. Sa sœur à fait un travail remarquable. toujours relativement léger mais très raffiné.
Un fard à paupière en 3 nuances de rose, eyeliner, mascara, fond de teint, et un gloss toujours rose pailletés mais qui semble re-pulper ses lèvres. On dirait qu’elle ont pris du volume.
Quant à ses cheveux là aussi un petit miracle. Sophie lui a fait un effet fou, décoiffé qui lui donne un air de garçonne rebelle à croquer et en parfait accord avec sa tenue.
Elle changé de boucles d’oreilles, portent des bagues, bracelets et un collier. Je remarque aussi un bracelet de cheville, et petite touche de coquetterie, un vernis aux pieds, rose flashy
– Très mignon tes petits orteils
– Hihi, Sophie a pensé qu’avec les chaussures qu’elles pensent me prêter ce sera mieux
– Merci Sophie, voilà pourquoi je te veux à mon service. Tu as compris ce que j’attends de toi
– En fait ça m’amuse. J’ai toujours voulu avoir une petite sœur pour partager toutes ces choses. J’en profites alors. Et puis si ca vous plait, et vous excite ca nous donne plus de chance de nous amuser hahaha
– Petite salope va
– En tout cas, à voir votre queue ça marche
– En effet
– Bon du coup j’ai pris du retard moi
– C’est pas grave, termine, Julie et moi on va passer le temps. Julie, il faut que tu apprennes à soulager ton homme sans abîmer ton maquillage, car des fois tu ne pourras pas le ratt****r. Donc avec tes mains uniquement tu vas t’occuper de ma queue.
Je m’installe sur le lit, jambes écartées pour bien laisser la place à Julie qui vient se placer à genoux devant moi. Elle saisit ma queue et commence une délicieuse branlette.
Dans cette position, dans cette tenue, c’est tout juste si on lui donnerait la majorité. telle une petite écolière timide, elle me branle, les yeux remplis d’envie. Elle alterne savamment les mouvements long et lents avec des plus rapides. Elle me caresse délicatement les couilles, du bout des doigts ou à pleines mains.
L’une ou l’autre fois elle vient recueillir du bout de la langue les gouttes de pré-sperme qui perlent sur ma queue, prenant bien soin de ne pas abîmer son maquillage comme je lui ait demandé.
Sophie se lève, toute prête, maquillée comme sa sœur .
– Besoin d’aide ?
– D’une certaine façon oui. Allonge toi sur le lit sur le dos, remonte ta jupe, cuisses ouvertes, chatte offerte
Elle s’exécute et je me positionne face à elle, ma queue toujours sous les coups de pompes de Julie
– Fais-moi jouir sur sa chatte
Elle accélère alors le mouvement, les massages de couilles aussi et me sentant me raidir pointe ma bite vers la chatte de Sophie que j’arrose de longue giclée de sperme, moins fournies toute fois que les précédente
– Julie, tu vas lécher que le surplus qui coule, et tu laisses sécher le reste.
Julie se place donc entre les cuisse de sa sœur , et se contente des quelques coulées ici ou là.
Je tends ma queue à Sophie pour qu’elle nettoie le peu qui est resté.
– Bien je vais vite me changer chez moi. Toi tu restes cuisses ouvertes jusqu’à ce que je reviennes, et toi tu restes à genoux
Je retourne donc vite chez moi, emportant mes affaire mais nu. Je ne m’inquiète pas, nous sommes les seuls appart sur le palier.
Je me change vite fait et retour voir les filles qui sont toujours dans la position que je leur ais demandés.
Je m’approche de la chatte de Sophie et dit
– Bien ça a pratiquement séché, on peut y aller
– Y aller ? mais aller où ? dit Julie
– On va manger dehors
– Mais heu, comment ça ? Je peux pas sortir comme ça moi, les gens vont le voir que je suis pas une nana
– mais non ma poupée, ne t’inquiète pas. Tu es en extérieur ce que tu ressens à l’intérieur.
La prenant par la main je l’emmène devant le miroir de l’armoire
– Regarde toi et dis-moi ce que tu vois
– Heu moi déguisée
– Non, regarde bien
– Une tapette !
– Non, moi je vois une délicieuse jeune fille, en apparence sage, mais aussi très bien fichue. regarde toi, que vois-tu de masculin dans ce reflet ?
– Rien
– Exactement, rien. On pourrait attendre des jours ou des semaines que tu te sente prête à franchir le cap de l’extérieur, mais le plus rapide sera le mieux pour que tu te sentes toi complètement.
– D’accord
– Pardon ?
– Oui Maitre
– C’est mieux
– Aller chaussez vous
Sophie se lève, rajuste sa jupe en regardant si ça ne coule pas de sa chatte.
– j’ai préparé ça, ça vous convient ?
Sophie me montre 2 paires de chaussures. La première, une paire de sandale noire, à brides, talons de bien 10cm.
– celle-là pour Julie, me dit-elle. En noire elles iront bien avec sa tenue. J’ai juste peur des talons, il font 12cm en pointe
– Qu’elle essaye on va voir. Je comprends l’idée du vernis du coup, bien choisit
– Merci. et celles-là pour moi.
Elle me montre une paire d’escarpins du même jaune que sa jupe.
– hauteurs ?
– Que 10 cm, mais elles sont assorties à la jupe
– ça me va, mets les. Julie aura besoin d’un sac à main aussi, cherche lui ça et mets lui ce qu’il lui faut dedans. Alors ma poupée, ces chaussures ?
Julie se lève et tangue sur ses chaussures.
– Viens vers moi.
c’est d’un pas hésitant, bancale qu’elle approche. Je la tiens par les mains et recule doucement. Pas après pas elle gagne en équilibre. Je la lâche tout en continuant de reculer.
Elle continue d’avancer, stable. Je la voie aller et venir dans la pièce. A part un petit déséquilibre ou deux elle se débrouille à merveille
– Tu vois ma poupée, tu es faite pour ça
Elle se tourne vers moi et presque encourant me saute au cou, m’enlace et cherche mes lèvres avec les siennes. Je décide de lui accorder ce baiser pour l’encourager.
C’est avec plein de tendresse qu’elle m’offre sa bouche, sa langue. Avec plein de passion, limite d’amour qu’elle se donne à ma bouche.
Elle libère ma bouche, se love dans le creux de mon coup et me murmure
– merci
– Continu comme ça et tu ne seras pas déçue ma belle
Sophie revient avec un sac à main pour Julie et le sien.
– Donne-moi les deux
Je regarde d’abord dans celui de Sophie. Portefeuille, quelques papiers, porte cartes de fidélité, un miroir, un tube de rouge à lèvre, des capotes (ben voyons !), 2 tampons et out un tas de trucs que je ne saurais identifier
– Tu auras tes règles quand ?
– J’en sors tout juste, il y a deux jours
– bien on est tranquille. Tu prends la pilule bien sûr ? Vu comme tu te fais sauter
– Oui, répond-elle en rougissant
– Bien, tu as mis quoi dans celui de Julie ?
– Un nécessaire pour retoucher son maquillage, un miroir, une lime à ongles, il faut qu’elle rajoute ses papiers et tout
– rajoutes des capotes et des tampons
– Heu mais elle a pas de règles
– C’est pas grave, je veux qu’elle ait tout pour se sentir femelle
– Ok
– Aller allons-y
Nous sortons de l’appart et Julie regarde les escaliers avec appréhension.
– Ca va aller, viens
Je lui tiens la main, mais c’est à peine nécessaire. C’est très naturellement et pleine d’équilibre qu’elle descend les escaliers.
Nous voilà face à la porte qui mène à la rue. Je la tire légèrement par la main et nous sortons.
Elle regarde un peu paniquée à droite, à gauche
– calme toi, je suis là
Et je la tire en douceur et nous avançons. je tiens Julie par la main, le doigts entrelacés, cela semble la rassurer. De l’autre côté, je tiens Sophie par la taille, ma main posée sur le haut de ses fesses
– C’est la première fois que je sors sans culotte, dit Sophie
– Et ?
– c’est pas désagréable, au contraire même. sentir l’air passer entre mes cuisses…C’est même excitant…
– Et toi Julie ?
– ca va… encore un peu stressée mais je me sens bien…
Nous marchons ainsi vingt minutes jusqu’à arriver à un petit bistrot. je nous prends une table en terrasse, relativement proche du passage.
Je m’installe au milieu de ces dames.
Elles s’installe, Julie, pas encore habituée à tous les bons reflexe s’assied sans croiser les jambes, ce que Sophie lui fait remarquer
– Hé ma chérie, pense à ta jupe
– oouupsss! Et elle croise les jambes e qui lui donne un air terriblement sexy
Je pose mes mains sur une de leur cuisses à chacune pour bien exposer leur appartenance.
Un serveur arrive
– Bonjour, que souhaites boire ces charmantes demoiselles et ve petit veinard ?
– un mojito réponds Sophie
– Bien, mademoiselle ? dit-il en s’adressant à Julie
– Heu, heu, hum hum (elle cherche à s’éclaircir la voix) pareil, finit-elle par dire d’une voix qui ne laisse rien transparaitre
– Et moi une bière
– Et une bière pour le veinard. Je reviens avec ça et après pour le repas ?
– Parfait
– heu, pardon Maitre svp
– En public comme ça je t’autorise à me tutoyer et même, aujourd’hui à m’appeler mon chéri
– hihi, mon chéri, je dois aller faire pipi
– Bien, vas-y
– j’ai un peu peur d’y aller seule
– Ça te passeras, tu n’as besoin de personne, pense juste à ne pas te tromper de porte.
Julie se lève donc et pars vers l’intérieur, de son allure fluette, élancé, élégante, sexy. je vois de nombreux regards l’observer. Des mâles en appétit la dévore des yeux. J’en suis fier.
Je tourne vers Sophie, passe un bras autour de ses épaule, l’approche de moi et l’embrasse à pleine bouche. je veux montrer en public qu’elle est mienne. les regards se tourne vers nous. De ma main libre, je remonte sa cuisse, par lentre-cuisse, faisant remonter sa jupe et dévoilant sa chatte.
J’interrompt le baiser qu’elle me rendait chaudement, retire ma main et quand elle commence à vouloir réajuster sa jupe
– Stop, laisses comme ça
– mais on voit presque tout
– oui presque. Je veux que quand le serveur vient nous servir, tu lui offre un beau spectacle. Donc tu décroisera les jambes et écartera. ça lui fera son pourboire.
– A quel heure sont les RDV de Julie ? 15h l’esthéticienne et 16h30 la coiffeuse
– Bien ça nous laisse un peu de temps
Julie revient à ce moment, suivie de près du serveur qui ne quitte pas son cul des yeux (que je le comprend !)
Julie s’assoit, pense bien à sa jupe et à croiser les jambes. A peine assise je l’attire à moi pour manger sa langue aussi et ainsi montrer à tous ces petits voyeurs alentours qu’elles sont miennes toutes les deux.
Pendant que nos langues se caressent, le serveur arrive et commence à poser le premier verre. Comme demandé, Sophie lui offre un merveilleux spectacle, qu’il ne manque pas de regarder. Tout an lui ouvrant les cuisses, elle le regarde d’un regard d’allumeuse et tend le bras pou rposer sa main sur ma queue.
On dirait qu’elle veut l’allumer mais montrer qu’elle est mienne.
Je libère la bouche de Julie, m’adosse à ma chaise, pose ma main sur l’intérieur de la cuisse de Sophie, et regardant le serveur lui dit
– La vue vous plait ?
– Heu ben oui c’est sûr dit-il en bafouillant et posant le second verre sur la table
– En même temps vu comme il bande, il pas nier que ça lui plait, fait remarquer Julie
– Heu ben, je reviens plus tard
– oui oui
Nous papotons un moment en sirotant nos verres. Des discussions de tous les jours, anodines, sans rapports à tout ça. Julie est détendue et je me rend compte que sans forcer sa voix à une intonation féminine.
Je découvre aussi qu’en plus d’être des plus bandantes toutes les deux, elles sont cultivées, intelligentes et intéressantes à côtoyer.
Le serveur est repassé prendre notre commande du repas, Sophie sans que je lui demande a refait son petit spectacle.
Nous avons été servis et avons mangé tranquillement, comme un couple trioliste heureux.
A la fin du repas, je veux mettre Sophie au défis un petit peu
– je crois que tu dois une récompense au serveur. Quand il repasse dans le coin, tu te lève et tu l’invite à te rejoindre aux WC. Interdiction de te baiser mais soulage le, vide lui bien les couilles.
– Wow, c’est un peu fort non ?
– Tu ne vas pas me dire que t’a pas pris chaud depuis avant ? Pendant ta petite exhib, j’ai bien vu ton humidité ! ca t’a plus et excité !
– Oui c’est vrai..;
Je l’approche de moi et lui murmure à l’oreille des dernières instructions. elle me regarde alors les yeux éberlué mais fini par acquiescer de la tête.
La voilà qui se lève, aguiche le serveur et disparait aux toilettes. Julie et moi voyons le serveur disparaitre aussi.
Nous continuons notre petit brin de causette avec Julie
– tu sais ma belle, j’ai de nombreux projets pour toi
– lesquels ?
– Je ne veux rien te dévoiler, mais je veux être certain que tu te pliera à toutes mes attentes
– Vous savez, grâce à vous je me sens tellement bien dans ma peau. c’est tout nouveau c’est sûr, et ça me fait un peur tout ça, mais j’ai une entière confiance en vous. Donc si vos projets me permettent de me sentir encore mieux, oui je suis prète à vous suivre aveuglément
– C’est parfait. Tu auras des étapes difficiles à passer, mais je suis confiant, tu surmontera toutes les épreuves. Et nous en jouirons chaque fois plus
Pour toute réponse elle se contente de me sourire et de s’approcher de moi pour m’offrir sa bouche. Pendant ce nouveau baiser, Sophie revient à la table, et je constate qu’elle a suivi mes instructions.
Sophie se rassied, les joue un peu rouge, mais surtout maculées de sperme. Comme je lui ai demandé, elle a terminé la pipe au serveur par une ejac faciale qu’elle s’est abstenue de nettoyer.
– Alors, il a aimé ?
– Y’a qu’à voir mon visage non ? Mais bon, petite queue et il est venu vite, j’ai pas eu le temps de m’amuser beaucoup. Je préfère ta queue !
– En tout cas tu fais sensation. Une grande partie des clients t’ont regardé passer, allumer le serveur. Je pense que personne n’a de doute sur ce que vous êtes allé faire. Et quelques personnes n’ont pas manqué ton visage. En tout cas, c’est gentil d’avoir rapporté le dessert de ta sœur .
Sans que je dise quoi que ce soit, Julie se lève et du bout de l’index va récupérer le sperme sur la joue de sa sœur et le prend en bouche. Puis par petits coups de langues, elle finit de ramasser le reste.
Le serveur revient juste à ce moment vers notre table, l’addition à la main
– Voilà pour vous. heu, les boissons sont offertes, en, heu, remerciements
Julie s’assied sur les genoux de sa sœur , passe un petit coup de langue sur une goutte de sperme tout en regardant le serveur de son air le plus coquin, puis va embrasser à pleine bouche Sophie
Le serveur n’en revient pas et fait les gros yeux
– Oui elles sont très partageuses ces deux sœur s.
– Oui je vois ça
– Heureusement que je vous ai pas envoyé les deux, elles auraient pas eu de quoi se satisfaire avec votre petite bite
– Heu je vous en prie, je vous permet pas
– Sophie ?
– Ben mon mignon, t’es gentil mais ta queue bof quoi, lui, dit-elle en me mettant la main sur la queue, il en a une vraie !
– Bon, ben OK, c’est bon, j’ai compris, pas besoin d’être blessant
Je paie la note et invite les filles à se lever.
– Allons-y, on a à faire
Tout en marchant je dis à Sophie
– On te suit
– OK
– On va où ? demande Julie très étonnée
– te rendre encore plus parfaite. Quand on arrivera là où on va, tu demanderas à aller aux toilettes et je veux que tu retires ton string. Tu le rangera dans ton sac à main.
– D’accord
Nous marchons une vingtaine de minute, Julie pendue à mon bras, souriante, respirant un bonheur nouveau. de l’autre côté, mon bras toujours à la taille de Sophie, ou plutôt sur ses fesses, jouant par moment a relever le bas de sa jupe.
– On y est, dit Sophie
Julie lève les yeux et regarde l’enseigne, plus que surprise
– mais heu, on vient pour quoi ?
– Pour toi ma belle
– Mais pour quoi faire ?
– Te rendre plus toi encore je lui réponds. Laisses toi guider, rappel toi.
– Bon, ok.
Je la sens nerveuse à mon bras pendant que nous entrons.
Sophie se dirige vers l’accueil ou est planté un jolie brune, un peu potelée, mais mignonne
– Salut Marie, ça va ?
– hé Sophie, salut, ça va et toi ?
– Oui oui merci. Je viens pour mon heu ma… cousine, Julie, j’ai appelé ce matin pour le RDV
– Ha attends je regarde ha oui pour plusieurs soins je vois
Pendant que Sophie fignole les détails du RDV je me tourne vers Julie
– détends toi, laisse toi aller. Tu vas sortir de ton cocon qui t’emprisonne depuis ta naissance. fais-moi confiance;
– Oui. Heu excusez moi, avant de commencer je voudrais aller aux toilettes svp
– Oui bien sûr c’est par ici
– merci
Je demande à Sophie
– c’est bon, tout est réglé ?
– Oui oui, retracé des sourcils, manucure et pédicure comme demandé. J’ai opté pour une french manucure si déjà, une complète. Elle pourra choisir les motifs. je lui ais pris un coin du visage aussi, et un adoucissement de la peu des jambes.
Elle se rapproche de moi et me chuchote
-Elle va être surprise quand elle attaquera les jambes, ça m’a bien fait rigolé quand je t’ai entendu lui demander pour le string hihii
– C’est pas grave, elles ont dû en voir d’autres
– On verra bien
Julie ressort des WC, le rouge au joue. Elle vient vers moi me fais un bisous sur la joue et me dit
– c’est fait
– très bien, file maintenant
La dénommée Marie précède Julie dans le salon et lui demande de la suivre.
Sophie et moi nous nous asseyons sur les fauteuils.
– Elle est pas vilaine la Marie, elle a l’air d’avoir de sacré nibards !
– Oui oui, je l’ai déjà vu en maillot, elle manque de rien de ce côté
– c’est une chaudasse ?
– nan pas trop je crois, et puis elle a un mec je crois depuis le lycée. On était en cours ensemble à l’époque.
– Dommage, j’aurais bien jouer avec ses obus
– Tu t’arrêtes jamais toi.
– Pourquoi se priver ? Soit je tente et j’ai une chance sur deux de succès ou de râteau, soit je reste sur ma faim. regarde avec vous, ça a marché
– c’est pas faux… t’as eu raison, je m’amuse bien pour le moment lol
– on n’a pas fini.
Marie revient à son guichet toute souriante. Je dis à Sophie
– va au toilette, et laisse la porte entre ouverte
Je laisse Sophie filer devant, mais me lève assez vite et lui emboite le pas. La Marie me regarde passer avec un regard interrogateur.
J’entre dans les toilettes, repère la porte entre ouverte. J’entre, ferme derrière moi, et sans dire un mot, ouvre ma braguette et sors ma bite déjà à moitié bandée. En même temps, j’appuie sur la tête de Sophie qui bien compris ce que j’attends d’elle.
Elle s’agenouille, et gode ma queue. Elle se lance alors dans une délicieuse pipe comme elle est sa sœur savent faire. Ma lance ne met pas longtemps a atteindre sa taille maximale. Tout y passe, coups de langues, de haut en bas, à pleine bouche, mes couilles, léchées et caressées. Alors qu’elle a ma queue en bouche, je lui bloque la tête pour lui enfoncer bien profond.
Il est temps que découvre ses talents en gorges profondes. Je reste en petit moment et relache, lui lassant reprendre son souffle. De la bave lui coule déjà des lèvres.
Tout en toussant, Sophie me dit
– Doucement, j’ai pas l’habitude
– Raison de plus pour ne pas y aller doucement? Faut que t’apprenne.
Et aussitôt je lui colle ma queue aussi profond que possible. Je la sent hoqueter, retire des vomissements. La bave coule, les larmes aussi.
Je ressors, lui relaisse prendre son souffle, et là c’est elle qui se jette à fond sur ma queue, je la sent passer le début de sa gorge. Elle semble trouver son rythme et me branle avec le fond de sa gorge. Un délice.
Elle repart sur une pipe plus traditionnelle mais pas moins efficace. Je la regarde, à genoux, cuisses écartées une main à se caresser, son haut, taché de bave, son maquillage ayant coulé sur ses joues… Une image de pure chienne à l’œuvre.
Je la fait se relever, et la plaque face à la porte. Je porte ma main à son cul et joue un peu avec son rosebud
– Alors tu aimes te sentir pleine en permanence ?
– Ouii, ça me maintien excitée, t’as pas idée..
– très bien, c’est le but
Je caresse rapidement sa chatte et constate qu’elle est trempée. Tant mieux.
Je tire son bassin vers moi pour la cambrer et lui enfile ma queue d’un coup en entier, ce qui a pour effet de la faire crier de plaisir.
très bien, je comptais bien ne pas être discret. je me lance alors dans des coups de reins puissants, faisant en sorte de bien la cogner contre la porte à chaque fois et de lui faire crier son plaisir.
Je la ménage pas et la baise aussi vite et fort que possible.
Je me penche à son oreille et lui dit
– c’est la première fois que t’a la chatte et le cul plein en même temps ?
– Oui han han encore, baise moi, c’est trop bon
Je redouble mes efforts et donne tout ce que je peux. Je n’ai pas souvenir d’avoir démonté une chatte par le passé de la sorte.
Sa tête cogne contre la porte au rythme de mes coups de riens. Elle cri son plaisir à coup de
– Encore, ouii, han, t’arrêtes pas, plus fort !
Je finis par me lâcher au fond de sa chatte brulante et ma lancée de sperme déclenche son propre orgasme, bruyant.
Quand j’ai finis de me vider au fond d’elle elle se dégage de ma bite, et s’agenouille pour me pomper sauvagement la queue. C’est dans sa bouche que je débande, la queue presque plus propre qu’un instant avant.
je la vois glisser des doigts sur sa chatte et recueillir le sperme qui coule d’elle pour le prendre en bouche
– t’es vraiment un bonne salope Sophie
Les doigts en bouche, à priori fière du compliment que j elui ait fait
– Merciii. C’est pas loin d’être l’orgasme le plus profond que j’ai eut
– tant mieux. refais toi une beauté, mais laisse voir que tu viens de baiser un petit peu
Je sors des toilettes, me rhabille un peu. En passant devant le guichet, c’est avec un grand sourire que je passe à côté de Marie, en fermant ma braguette
Elle me regarde, totalement éberluée. Deux autres clientes me regardent en faisant chuchotant.
Je retourne m’assoir attendre Sophie. Pendant que j’attends, je vois Marie regarder régulièrement vers moi un peu gênée. A chaque fois que je capte son regard, je le soutien et lui sourit, et à chaque fois elle baisse les yeux.
Sophie finit par sortir et me rejoindre. On voit encore sur son haut des traces des coulées de baves. On aperçoit aussi un peu une petite coulée de maquillage au coin de l’œil. En sortant, elle affiche un grand sourire et en regardant Marie se lèche le coin des lèvres.
Sophie vient s’assoir. A peine assise Marie vient la voir et lui parle à l’oreille, mais assez fort pour que j’entende
– Vous auriez pu être plus discret, tout le salon vous a entendu
– Et alors, ils baisent jamais eux ?
– Mais Sophie ! t’es pas bien ? je te savais salope mais quand même !
– Oui et alors. J’ai pris mon pied moi. C’est pas ma faute si ton mec est impuissant et précoce !
– Sophie !
– Quoi ? c’est pas vrai ? Tu pensais que je m’en souvenais pas ? En fait t’avais raison, c’est pendant que Jerome me baisais que je me suis souvenu de notre discussion pendant cette soirée arrosée ! Tu te rappel plus ? t’étais totalement bourrée
– Si je me rappel, mais tu devais jamais en parlé !
– J’en parle avec toi, personne d’autre ! Alors quoi ? t’es jalouse de jamais avoir pris ton pied comme moi ?
– Si otn mec te baise mal ma jolie fallait nous rejoindre, lui dis-je
– Mais vous êtes pas bien tous les deux ! Je l’aime je le tromperais jamais
– Ha ok, donc sous prétexte de l’amour tu te prive de jouir ?
– Mais je jouis, et fort !
– ha oui ?
– Oui ! Il me lèche très bien ! En disant ça elle réalise qu’elle a parlé un peu plus fort
– Aller Marie, ne t’énerve pas. On a baisé et maintenant c’est terminé. Si tu changes d’avis, tu as le numéro de Sophie, elle saura me contacter
– t’es vraiment une salope Sophie
– Hihi, merci Marie !
Marie retourne à son guichet en colère semble-t-il. Sophie et moi, attendons sagement le retour de Julie en papotant de tout et de rien.
Une porte au fond et Julie sort de la pièce, suivie de l’esthéticienne.
Julie toute souriante et encore plus jolie. Les sourcils taillés changent encore un peu plus son apparence, et affine les traits de son visage.
Julie est toute souriante, et se dirige vers moi, se colle à moi et m’embrasse a pleine bouche. elle me murmure à l’oreille
– On entendait que vous ! vous vous êtes bien amusés au moins ?
Marie, sans voix nous regarde. Elle semble pas se remettre de notre triolisme.
L’esthéticienne arrive au guichet
– Bien Julie, ca a été un réel plaisir de faire ta connaissance. Et surtout tu n’oublie pas, si as besoin du moindre conseil tu m’appel d’accord
– Oui c’est promis, merci Vanessa
Je règle les soins et nous sortons.
– Tu t’es fait une copine ? je lui demande
– Oui, grâce à vous deux en partie !
– Comment ca ?
– Bon déjà quand elle s’est occupée de mes pieds elle a vaguement remarqué quelque chose sous ma jupe. Mais quand don a commencé à vous entendre, ça m’a tellement excité que j’ai été… un peu à l’étroit ! Et bon c’était douloureux. Donc comme Vanessa pensait que c’est ses soins, à un moment j’ai pas trop eu le choix de lui expliquer. C’était vraiment très gênant au passage. mais elle a été très cool, elle trouve que chacun doit être libre de sa vie, comprends mon choix. Et sur le moment elle enviait Sophie. Elle aimerait bien un mec qui la fasse crier de plaisir comme ça hahaha
– Tu vois, tu dois apprendre à mieux te contrôler. Montre-moi tes mains. C’est très joli dis-moi. Tu aimes ?
– Ho oui beaucoup !!! Mais comment je vais faire ? ca partira pas comme ça ! et au prix que tu as payé je vais pas tout détruire !
– Ne t’en fais pas pour ça laisse gérer. Et tes jambes ? et pieds ?
En disant ça, je me penche un peu et passe ma main le long de sa jambe, caressant la fraiche douceur.
– Délicieux. Tu es de plus en plus belle, mais ce n’est pas finit. Sophie on te suit
– Quoi encore ?
– Laisse toi guider j’ai dit
Nous partons donc en direction du coiffeur. A peine 5 minutes après nous y voilà, Julie, regardant l’enseigne
Oui en même temps c’est logique, allons-y
– Haha, je l’adore
Nous rentrons dans le salon. Je dis au filles de rester ensemble. A Sophie de conseiller sa sœur , pendant ce temps j’ai une course à faire.
Ma course faite, je retourne au salon de coiffure, Sophie assise à attendre, en me voyant arriver écarte ses cuisses en guise de bienvenue.
Julie quant à elle est aux finissions. La coupe qu’elles ont choisis est parfaite. sa masse blonde mi longue a été sculptée en une coiffure androgyne. La longueur a été habillement utilisée en mèches folle. Du volume a été donné aussi.
Cette coupe sera parfaite pour permettre à Julie une transition tout en affirmant, en complément des tenues et du maquillage une féminité à toute épreuve. En l’état il ne reste définitivement plus la moindre trace de masculinité en elle.
Sexy, mignonne, adorable, salope, docile, chienne. Les qualificatifs me manquent, mais le coup de cœur grandit.
Elle vient vers moi, timide, avec son regard de petite fille, et d’une petite voix me demande
– Tu aimes mon amour ?
Pour toute réponse, je passe ma main sur sa hanche, la colle à moi et l’embrasse. Ma main passe sur son petit cul qui de plus, depuis le salon d’esthétique est totalement nu sous la jupe.
– j’adore
– moi aussi j’adore ! Julie t’es trop canon, je suis jalouse haha
– allez les filles rentrons
Je règle la coiffeuse et nous prenons le chemin du retour
– Tu as tout payé pour moi aujourd’hui. J’aurais pu payer moi-même tu sais.
– Oui mais je préfère te rendre redevable. Ne t’en fais pas, tu me remboursera le moindre centime.

***A SUIVRE***

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire