Le retour de Benjamin
Huguette de Langlois est assise sur une chaise.
Elle émerge tout doucement, et prend conscience de son environnement.
Elle reconnait son salon, les deux canapés qui se font face, séparé par une table basse et, en face d’elle, la cheminée colossale de son manoir breton.
Sur les canapés justement, des gens l’observent, qu’elle ne distingue pas encore vraiment.
Elle lève une main vers sa tempe…ou veut lever une main et …s’aperçoit qu’elle ne peut pas !
Elle voit enfin les liens de plastique qui immobilise ses poignets sur les accoudoirs du fauteuil, et elle sent ceux qui fixe ses jambes aux deux pieds.
Elle est totalement incapable de bouger et la sensation de fraicheur lui fait soudain prendre conscience de sa nudité.
Elle est nu, attaché sur un fauteuil avec des inconnus qui la regardent !
Mais pourquoi suis-je nu, se demande t’elle ?
Elle essaie de parler, ne réussi qu’à pousser un faible gémissement, un filet de salive lui échappe même…pas de la salive se dit-elle…on dirait du sperme ?
Huguette de Langlois est une femme forte, elle se force au calme et se concentre sur elle-même.
Tout d’abord, elle a mal !
Mal à la tête mais aussi…mal au cul…?
Elle ne se l’explique pas mais la douleur se fait plus vive avec le temps qui passe.
Son gémissement à attiré l’attention, quelque chose bouge sur le canapé de droite.
Un homme s’avance, quand il est assez près, Huguette reconnait Benjamin, son ex gendre…mais cela ne se peut pas ?
-Alors belle maman, comment vous sentez vous après toutes ces aventures ?
Huguette reconnait bien son gendre maintenant, son visage n’est qu’à trois centimètre du sien.
Benjamin à une trentaine d’années, la prison ou elle a réussi à l’envoyer depuis quatre ans ne semble pas l’avoir changé, sauf les yeux peut-être, se dit-elle avec un frémissement, ils sont froid et glaçant.
Dérrière Benjamin, elle voit s’avancer ses deux filles, qu’elle reconnait enfin.
Béa, 29 ans, l’ex femme de Benjamin et sa petite Chloé ,19 ans à peine , toutes deux sont nues.
Huguette à peur maintenant, elle éructe, se débat et Benjamin la regarde faire avec un sourire amusé.
Ses deux filles ne réagissent pas.
Huguette crache encore un mélange de salive et de sperme, elle le sent couler sur ses gros seins laiteux mais arrive enfin à parler !
C’est un torrent d’injure entrecoupé de supplique à destination de ses filles qu’elle vocifère.
Benjamin ne quitte pas son air amusé et va même jusqu’à avoir un petit rire, quand sa belle mère lui explique les traitements que lui feront subir certains prisonniers africains qu’elle payera pour qu’ils s’occupent de lui.
Sans cesser de sourire, Benjamin se penche sur elle et entreprend de fouiller entre ses cuisses.
Huguette cherche à fermer la porte mais en est bien incapable, toujours attaché qu’elle est au fauteuil.
Ben introduit deux doigts dans le vagin de sa belle mère, le fouille un peu, puis retirant ses doigts les portent à sa bouche pour les sucer goulument…
-Qu’elle délicieux fumet belle maman, s’amuse t’il.
Huguette c’est arrêté de hurler quand elle a senti les doigts la pénétrer.
Benjamin replonge dans la chatte de sa belle mère et la doigte plus profondément.
Huguette a un sentiment de honte et de…plaisir à la fois… »il me fait ça devant mes filles mon Dieu !
«
Benjamin pistonne sa belle mère avec trois doigts maintenant, Huguette à très chaud et ne cherche plus du tout à refermer ses cuisses.
Elle est aux portes du plaisir quand Benjamin arrête ses va et vient et interpelle sa plus jeune fille :
-C’est vrai qu’elle a bon gout votre mère, Chloé vient gouter la chatte de ta maman !
Huguette voit, horrifié, sa petite Chloé s’avancer et se mettre à sucer les doigts de Benjamin sans aucune hésitation.
-Béa ,tu veux venir m’embrasser ma chérie, poursuit Ben.
Dans la seconde Béa se colle à son ex mari et lui suce la langue, un mot à l’oreille et l’instant d’après elle lui branle la queue tout en flattant ses bourses de l’autre main.
Benjamin semble apprécier le traitement mais il a une autre idée :
-Chloé ma chérie, fais gouter à ta soeur la bonne chatte de maman !
La petite, sans hésiter, se colle à sa soeur et lui présente sa bouche.
Béa tout en continuant de malaxer la bite et les couilles de Benjamin visite la cavité bucale de sa soeur avec force bruit mouillé.
Huguette regarde le spectacle offert sans comprendre, Ben n’a à aucun moment élevé la voix et ses filles obéissent à la moindre de ses demandes ?
Benjamin semble se lasser et entraine les deux filles sur un des canapé.
-Allez mes chéries, donnons un beau spectacle à votre maman, au moins maintenant elle peut l’apprécier !
Ben s’assoie et incite Béa à le sucer en lui désignant sa queue pendant qu’il installe Chloé à ses cotés.
Il embrasse la jolie blonde tout en fouillant sa chatte, Chloé écarte les cuisses en grand et semble même prendre du plaisir, preuve en est, le doux clapotis qui parvient jusqu’à Huguette.
Benjamin accélère le piston de l’écrin de sa belle soeur, attentif à la montée de son plaisir.
Au moment ou il la sent proche de la jouissance, il bloque ses trois doigts au plus profond de son vagin et son pouce vient maltraiter le clitoris érigé de la petite.
Chloé jouit brutalement avec un cri avant de s’affaisser dans le canapé, Benjamin suce ses doigts d’un air gourmant tout en incitant Béa à le chevaucher.
La jeune femme ne semblait attendre que ça puisqu’elle escalade le canapé et se plante sur la queue luisante de salive de son homme avec un râle de satisfaction !
Huguette ne peut s’empêcher de les trouver beaux !
Certes la situation est immonde, ce Benjamin, cet être abjecte qui viole ses filles…parce que c’est sur , c’est bien de viols qu’il s’agit…mais… qu’est-ce qu’ils sont beaux tous les trois…
Huguette sent qu’elle mouille de plus en plus…elle ne peut pas atteindre sa chatte pour se soulager mais en fermant et ouvrant ses cuisses elle arrive à exciter son clitoris.
Elle jouis en silence, ne surtout pas faire voir à l’immonde qu’ elle retire une jouissance du viol de ses filles.
Quand Huguette rouvre les yeux, elle croise le regard de Benjamin, goguenard et pas dupe de sa belle mère.
Béa continue sa chevauché avec rage, elle se plante sur la queue en soupirant de plus en plus fort, de plus en plus vite.
Son dos est couvert de sueur, sa soeur remise de sa prôpre jouissance vient aider son ainée, elle lui prend la bouche, lui pince un téton qu’elle fais rouler sous ses doigts, sa main se glisse enfin plus bas, entre ses cuisses.
Chloé effleure à peine son clitoris que Béa part dans une jouissance démente, qui l’a fait hurler !
Son orgasme est dévastateur, géant, des spasmes nerveux agite ses jambes et indique que sa jouissance continue, encore et encore !
Ben qui a attrapé les hanches de sa belle pour ne pas déqueuter, jouis à son tour en criant des « bébé…. je viens mon amour…argh ».
Béa s’éffondre sur Benjamin, elle lui lèche le cou, lui murmure des mots doux qu’Huguette ne peut percevoir.
Benjamin toujours dur dans le ventre de Béa, la couvre de baisers et la serre contre lui tendrement.
Il dit quelque chose à Chloé, et celle-ci s’approche de sa mère avec un petit sourire.
Huguette voit le visage de sa fille à quelques centimètre du sien et appréhende la suite » qu’est-ce que ce pervert a encore inventé ? »
Elle n’a pas le temps de le formuler avec des mots, qu’elle sent Chloé lui lécher la lèvre, le contact est très doux presque timide.
Une de ses mains s’empare d’un sein, le soupèse, le masse, le flatte.
Son autre main est posé sur une cuisse maternelle et seul le pouce bouge légèrement, caressant la peau blanche.
Deux doigts saisissent un téton, le font rouler, le pince légerement, enfin il s’érige rendant la prise plus façile.
Chloé à passé l’obstacle des lèvres et s’applique à lécher les dents de sa maman avec toujours autant de douceur.
Huguette garde la machoire sérré mais a de plus en plus de mal à ignorer les signaux de plaisir que lui envoie son corps !
Son vagin baignant dans la cyprine de sa précédente jouissance se rappelle à son bon souvenir en baillant davantage, son clito érigé est complêtement sortit de sa gaine à présent.
Chloé déplace enfin sa main de la cuisse maternelle, mais ne se dirige pas sur le sexe.
Au contraire elle monte sur le ventre, flatte celui-ci du dos de sa main, très doucement, continue à remonter et s’attache à effleurer l’autre sein.
Une caresse presque imperceptible sur le dessous du sein , puis en remontant elle en effleure la pointe, qui se dresse instantanément.
Huguette pousse un gémissement, Chloé en profite pour envahir enfin la bouche maternelle qui dépose les armes.
La rédition n’est complête que quand Chloé sent enfin la langue de sa mère s’enrouler autour de la sienne.
Le baiser dure longtemps, les mains de la fille ne quitte pas la poitrine de la mère qui gémit franchement maintenant.
Puis Chloé cesse brutalement tout contact.
Elle retire ses mains de la poitrine maternelle.
Elle recule sa tête et libère sa bouche.
Les yeux dans les yeux de sa fille, Huguette est complêtement perdu !
Elle ne reconnaît plus sa Chloé qui vient de l’abandonner aux portes de la jouissance.
Chloé la scrute aussi et ne prononce qu’un mot, mais ce mot fouette le sang de sa mère :
– JOUIS !
Ce faisant, Chloé pose sa main à plat sur son vagin et le frotte à toute vitesse, malmenant le clitoris au passage.
Huguette éclate comme un soleil, sa conscience se réduit à son sexe, à cet instant ,tout ce qui n’est pas entre ses cuisses n’a de réalité.
Plus de tabou, de moral ou de bienséance, rien n’existe que cette tornade de plaisir qui l’emporte et l’a fait hurler !
A suivre…
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