L’inconnue du 4X4
J’étais rentré depuis une heure que je ne tenais déjà plus en place malgré le fait qu’il restait encore 4 heures avant que je puisse l’appeler.
Mon père m’appelait pour aller manger. Le repas se fit sans bruit et je ne mangeais pas beaucoup car j’avais hâte de retourner dans ma chambre.
Une fois le repas terminé, je m’allongeai sur mon lit et ne cessai de penser à elle, à l’inconnue… Je me demandais ce qui allait se passer tout à l’heure.
C’était un samedi soir de juillet et il faisait bon à cette heure de la journée, mais j’étais déjà stressé et je jouais sur mon ordinateur jusqu’à ce que je puisse appeler…
Ça y est, l’heure est venue. Il est 00h15 et je compose son numéro sur mon téléphone.
Ça sonne, mon cœur commence à battre de plus en plus. Soudain, j’entends une belle voix me répondre.
Je me présente mais elle savait déjà qui j’étais. Elle me dit qu’elle ne pouvais pas rester longtemps au téléphone mais qu’elle voulait me voir cette nuit, nous avons donc décidé d’un point de rendez-vous.
Elle allait venir me chercher avec son 4×4 noir…
Je partis donc, discrètement, toujours stressé et impatient.
J’arrivai au point de rendez-vous quelques minutes en avance. J’attendis 5 minutes quand je vis le 4×4 arriver. Elle s’arrêta à côté de moi et la portière s’ouvrit. J’entrai donc.
J’étais assis à côté d’elle, très mal à l’aise et la regardais.
Elle me demanda mon prénom, je répondis. Elle s’appelait Lizy. Elle me raconta durant le trajet qu’elle était d’origine anglaise mais qu’elle a vécu en France depuis son enfance, qu’elle était divorcée et avait une fille de 16 ans, qu’elle avait eu assez tôt et que c’était son ex-mari qui la gardait en ce moment.
Je ne savais pas où elle n’emmenait et, toujours stressé, je commençai à appréhender la suite de la soirée.
Lizy paraissait un peu mal à l’aise et me disait qu’elle n’avait pas l’habitude de faire cela. Je lui répondis que moi non plus.
Après quelques minutes de silence un peu gêné, elle me demanda si j’avais déjà fait l’amour. Je lui répondis alors, très gêné et en bégayant, que non mais que j’avais hâte d’expérimenter cela.
Elle eut un léger rictus et enchaîna en me demandant si j’avais déjà été amoureux. Toujours très gêné, je lui répondis maladroitement que oui mais que c’était compliqué. Elle n’insista pas.
Soudain, le 4×4 s’arrêta devant une grande maison avec un portail en fer forgé noir. Lizy l’ouvrit avec une télécommande et se gara devant la maison.
Elle descendit et m’invita à faire pareil.
Je la suivis, entrant dans un vestibule ou elle me demanda de retirer mes chaussures.
Ensuite, elle me demanda si je voulais boire quelque chose. J’acquiesçai et elle nous servit deux verres de bordeaux de 2007 et nous commençâmes à discuter.
Tout d’abord elle me fit part de son étonnement, elle n’avait pas remarqué mes cheveux longs quand nous étions dans les embouteillages car ils étaient attachés et précisa qu’elle aimait bien.
Le stress commençait à diminuer et j’étais assez a l’aise. Nous parlions de tout et de rien, de nos goûts, de sa jeunesse, et je découvris que nous avions beaucoup de choses en commun.
J’étais impressionné car malgré le fait que j’étais assez mal à l’aise dans mon corps, elle n’en tenait pas compte et cela me rendait heureux.
Elle se leva pour aller remplir nos verres de vin et je me levai en même temps pour lui dire que j’allais le faire qu’elle puisse rester assise.
Soudain, elle s’arrêta, posa les verres vides sur la table et se rapprocha de moi pour m’embrasser langoureusement. Au début, j’étais un peu déstabilisé mais je me ressaisis et participai activement à ce baiser.
Mon cœur battait de plus en plus vite, je mettais mes mains sur ses hanches et la collai contre moi tandis qu’elle passait ses mains sur ma nuque.
Nous restâmes comme cela, à nous embrasser pendant plusieurs minutes puis elle me prit la main et n’emmena à l’étage, dans une grande chambre à la décoration sobre mais efficace ou nous recommençâmes a nous embrasser.
Collés, elle pressait sa poitrine contre mon torse tandis que je commençais à caresser ses fesses magnifiques.
Elle me fit m’asseoir sur le lit, toujours en m’embrassant, puis elle m’allongea et se mit au dessus de moi. Elle portait le même genre de tailleur que la dernière fois et commençait à retirer le haut.
Je fis de même et déboutonnai ma chemise.
Elle était arrivée au soutien-gorge ; j’allais enfin pouvoir caresser ses si jolis seins. Ils étaient encore plus beaux de près et je commençai à les caresser. Elle semblait aimer ça, je m’y prenais donc bien, pour quelqu’un qui ne l’avait jamais fait avant.
Elle s’en prit ensuite à ma ceinture et aux boutons de mon jean laissant apparaître un bosse très dure sous mon boxer. Elle le baissa et empoigna mon sexe fermement et commença à me masturber.
J’étais aux anges mais j’étais déjà sur le point de jouir, je lui demandai donc de ralentir.
Après quelques minutes, elle s’arrêta et me déshabilla complètement avant de me laisser lui retirer son pantalon et son string noir.
Elle était complètement épilée et elle me demanda de la caresser. Nous étions allongés sur le lit et je lui caressai sa chatte pendant que nous nous embrassions.
Ensuite, je descendis le long de son corps en lui léchant les seins, puis le ventre pour arriver à son entrejambe déjà complètement humide.
Je la léchai sans retenue pendant quelques minutes.
Lizy me demanda d’arrêter et sortit un préservatif d’un des tiroirs de la table de nuit et l’enfila sur mon sexe.
J’étais très impatient et excité, mais un peu stressé de ne pas être sûr de pouvoir la satisfaire pleinement du fait que c’était ma première fois, ce qu’a mon avis elle avait dû ressentir.
Très doucement, je m’introduisis dans son intimité et commençai quelques va-et-vient de plus en plus rapides. Elle semblait aimer ça et, quant à moi, j’étais envahi par un bonheur pur jusqu’à ce que, fatalement, je jouisse, remplissant abondement la capote après seulement quelques minutes de pénétration.
J’étais gêné et je me demandais comment elle allait réagir, tandis que Lizy me retirait le préservatif, le nouait et le jetait à la poubelle.
Ensuite, elle recommença à m’embrasser avant de s’allonger sous la couette.
Nous étions tous les deux allongés, face à face, et elle me dit que c’était normal pour une première fois et que malgré cela j’étais doué.
Nous recommençâmes à discuter quelques minutes puis elle m’embrassa et se colla à moi. La sensation de son corps nu, collé contre le mien était très agréable. Sa peau était douce et je me sentais comme au paradis.
Pendant presque vingt minutes nous restâmes serrés l’un contre l’autre à nous embrasser et à échanger quelques mots de temps en temps, jusqu’au moment où elle recommença à me caresser et à descendre vers mon entrejambe.
Elle retira la couverture et commença à me lécher et à me sucer langoureusement tandis que mon sexe reprenait la même force que précédemment.
Elle continua à me sucer pendant une dizaine de minutes et je sentis que, cette fois-ci, je tiendrai suffisamment longtemps pour la satisfaire pleinement.
Me remettant en position assise, elle vint se placer sur moi, les jambes autour de mon dos ; j’ entrai dans son intimité jusqu’au fond, de plus en plus vite ; nous changeâmes de position ; Lizy se mit accroupie sur moi, allongée et nous avons continué comme cela pendant encore une trentaine de minutes jusqu’au moment où nous jouîmes presque simultanément.
Épuisés, nous retournâmes nous allonger, toujours serrés l’un contre, sous les couvertures et nous endormîmes rapidement…
Le lendemain matin, un samedi, nous nous levâmes vers 6h car elle devait me ramener chez moi avant que mes parents se réveillent et, sur le chemin, nous décidâmes de nous retrouver de la même façon tous les vendredi soirs.
Voilà la deuxième partie de mon récit, j’espère qu’elle vous a plu et je précise que je n’ai toujours pas terminé mon histoire et je m’excuse pour le temps que je mets à écrire ; j’ai du mal a trouver le temps mais vous pouvez être sûr que la suite arrivera, je ne sais simplement pas quand.
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