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Trop bu, la suite

Trop bu, la suite



Suite à notre aventure avec Karine, la femme d’un de nos collègue vigile, Robert et moi ne pensions pas la voir de si tôt. C’est vrai que lors de notre précédente rencontre nous lui avions un peu forcer la main.
Nous avions les photos de notre rencontre précédente. On y reconnaissait nettement Karine, la bouche distendue par la bite de Robert, avec du foutre sur le menton et le pourtour des lèvres.
Mais Robert n’avait pas réussi à me convaincre de les utiliser. Je culpabilisait déjà suffisamment de les avoir prises, sans pour autant me résoudre à les détruire.
C’est pourtant dès la fin de semaine suivante que nous la vîmes arriver pour chercher son mari. Nous étions alors sept dans le bureau. Elle commença d’abord par klaxonner pour que son mari sorte.
– Allez, va la chercher et invite la à boire un verre avec nous!
Dis-je en sortant une bouteille de whisky du bureau du patron.
Notre collègue alla donc chercher sa femme. Il mit quelque temps à la ramener. Je regardais Robert avec un sourire entendu et il commanda des pizzas pour nous et du vin italien pour le mari de Karine.
Il était évident que nous allions tout faire pour prolonger la soirée. Nous proposâmes aux autres collègues de rester. Ils ne le regretteraient pas. J’étais curieux de savoir jusqu’ou pouvait aller une fille aussi chaude.
Elle entra suivie de son mari. Elle était habillée d’une mini robe tout à fait sage boutonnée sur le devant. Ses cheveux noirs très courts ne brisaient en rien sa féminité. Elle nous fit la bise.
Robert en profita pour lui glisser la main au cul. Elle se trémoussa un peu sous le regard surpris de quelques collègues, qui n’en revenaient pas de la voir se laisser faire.
Cela échappa heureusement à son mari qui était déjà entrain de remplir copieusement les verres de Whisky.
– « Je suis heureux de te dire que tu as une très belle femme. » Dis-je. « Je n’ai pas eu le temps de le dire la dernière fois ou on t’a ramené.»
– « Tu dois pas t’ennuyer !
Renchérit Robert avec sa délicatesse habituelle.
La bouteille de whisky descendait rapidement. Du fait du manque de chaises, Karine s’était assise sur les genoux de son mari. Deux boutons de sa mini robe étaient maintenant défaits au niveau du corsage, laissant à la vue de tous apparaître la dentelle d’un soutient gorge.
Le livreur de pizzas arriva. Nous nous installâmes autour du bureau. Les bouteilles à proximité du mari de Karine. A la fin du repas, l’ambiance était détendue, mais Karine semblait se méfier. Elle n’avait pas tord.
Son mari se leva pour aller aux toilettes. Elle resta seule au milieu de 6 vigiles. Autant dire qu’elle était en sécurité. Elle était assise à la place de son mari quand Robert passa derrière elle :
– « J’en peux plus d’attendre ! dit-il se jetant sur elle
« Non ! Mon mari va revenir. » le supplia-t-elle.
En effet des pas annonçaient déjà le retour de l’ivrogne. Robert se recula. Le mari s’assit. Elle prit place debout derrière lui.
La discussion allait bon train lorsque Karine cessa de jouer à la femme vertueuse. Toujours debout derrière son mari (qui était assis) elle se pencha sur son épaule en l’enlaçant. Ce geste tendre au demeurant associer au regard qu’elle me lança alors était un véritable appel au viol.
Elle avait en effet de la sorte le cul bien tendu, et les reins outrageusement cambrés. D’une main elle défit le dernier bouton du bas de sa robe. Le message était on ne peut plus clair et je ne semblais pas être le seul à l’avoir capté.
J’allais donc m’asseoir à côté de son mari. Profitant de l’occasion je passait discrètement, du moins du point de vue du mari, la main sur la hanche de sa femme pour descendre jusqu’aux fesses.
Les autres collègues ne pouvaient pas ne pas nous voir. Elle ne dit rien et je continuais, passant la main sous sa robe, caressant du bout des doigts la zone si douce entre ses cuisses et remontant jusqu’à sa culotte que je sentis déjà humide.
Robert proposa un tarot pour occuper le mari. Tout en glissant mes doigts par dessous sa culotte, je laissais mon index à l’orée de sa chatte, ouvrant à peine les lèvres humides.
Je répondis que le seul vrai tarot se faisait à quatre et que nous devrions faire une tournante. Tout le monde compris le sens de mes propos, même Karine qui me jeta un regard gourmand plein de défi. Je sortais alors mes doigts de sa chatte et lui posait devant les lèvres.
Je dus insister un peu pour qu’elle accepte de les sucer devant les collègues.Il y eu à partir de ce moment trois collègues pour occuper le mari et nous restions à trois pour nous occuper de sa femme.
Pendant la première partie du jeu celle-ci resta près de son mari. Ma main avait retrouvé sa place et je la laissais se caresser sur mon doigt. Karine ondulait légèrement sous mes caresses lançant des œillades à tous les mâles présents. Le cul tendu vers l’arrière était hors de vue du mari cocu.
Je lui enlevais sa culotte et la passait à Robert. Je donnais ensuite mon pouce à sucer à Karine qui était de plus en plus penchée sur l’épaule de son mari. Elle se cambrait de plus en plus comme pour s’offrir à un amant invisible, et se passait très souvent la langue sur les lèvres.
Quand ma main reparti du bas de sa cuisse elle écarta sensiblement les jambes. Mon index retrouva vite l’entrée de sa grotte humide tandis que mon pouce commençait à agacer son anus.
Nous ne faisions plus vraiment attention de sorte que sa robe s’était retroussée sur le passage de ma main. Elle était maintenant déboutonnée jusqu’à mi cuisse. Mon pouce était maintenant complètement entré dans son cul sous le regard médusé des collègues en face de nous.
C’est elle qui demanda à son mari s’il pouvait lui faire visiter l’entreprise.
– « Tu vois bien que je suis occupé, demande à ceux qui ne jouent pas.
Nous partîmes à trois. Robert qui jouait à ce moment demanda par quoi nous allions commencer.
– « Nous allons tout lui montrer. Par devant et par derrière. »
Nous nous dirigeâmes vers l’ascenseur. A peine était elle entrée que je la fis mettre à genou et sortit ma bite bientôt imité de mes deux collègues. Elle ne vit rien de plus de l’entreprise.
Elle fut vite troussée par le bas et par le haut, et il ne resta plus de sa robe qu’un lambeau autour de la ceinture. Son soutient gorge disparu vite dans une des poches.
Des mains lui attrapèrent ses seins bien fermes (100% naturels). Je m’allongeais à même le sol et la laissais s’empaler dos à moi. Elle suçait alternativement les bites de mes collègues tout en montant et descendant sur ma queue. Sa chatte était vraiment trempée.
Elle se penchait parfois en avant pour passer sa langue sous la queue d’un de ses tourmenteurs. Je voyais alors son petit trou si accueillant. Je la soulevais un peu plus et y dirigeais ma bite.
Elle se retourna pour me regarder alors que je m’y enfonçais délicieusement. Elle en était à sa première double pénétration quand Robert arriva. Je lui laissais ma place après avoir déchargé dans la bouche accueillante de Karine.
Plus tard, je retournais les voir alors que son mari somnolait sur son fauteuil après avoir vidé les bouteilles de Chianti. Karine était encore prise en double et il semblerait que ça n’ai pas arrêté. Elle n’avalait pas le foutre et en était recouverte : Sur les seins , le menton et autour de la bouche sans parler de ses deux autres orifices qui devaient en être remplis.
– Amenez-là, son mari dort et on va la baiser devant lui.
Elle se laissa faire par pure perversion. Je me couchais sur le bureau du patron à moins d’un mètre de son mari . Elle ne fit aucune difficulté pour venir s’enculer face à moi. Sa fente mouillée contre mon ventre.
Elle pensait peut-être ainsi échapper à la double mais tout en l’embrassant je fis signe à Robert de venir aussi. Il ne compris pas tout de suite. Puis il grimpa lui aussi sur le bureau.
Karine ne comprenais pas non plus ce qui se passait. Son cul coulissait tendrement sur mon membre. Elle m’embrassait à pleine bouche. Ses seins étaient durs sous mes mains. Robert pointa son sexe contre le mien alors que j’étais pratiquement sorti. Nous la pénétrâmes alors à deux dans son cul.
Elle ne put retenir un petit cris. Nos collègues lui donnèrent alors leurs queues à sucer. Elle eu droit à une autre tournée de foutre

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