Julie passa l’après midi à la villa de ses parents en compagnie de sa soeur. Elles arrivèrent vers 14h, et passèrent plus de 2 heures dans la piscine, à se baigner et à discuter avec leur mère. Le père de Julie se fit plus discret, se montra peu, prétendant être occupé à ranger des affaires. Il vint finalement se baigner vers 16h, puis retourna dans la maison pour prendre une douche. Julie en profita pour s’absenter également, et, le coeur battant, entra discretement dans la salle de bain de ses parents. Son père prenait une douche, et avait tiré le rideau, du coup il n’avait ni vu, ni entendu, Julie entrer.
Doucement, Julie retira le haut de son maillot, liberant ses seins.
Puis, après un instant d’hésitation, s’approcha du rideau, retira sa culotte, et entra dans la baignoire.
Son père sursauta en la voyant. Julie nota son regard qui alla à toute vitesse de ses seins à sa chatte, en alternance. Sans dire un mot, elle s’approcha de lui, et colla son corps contre le sien, les seins appuyés sur sa poitrine. Du bout des doigts, elle lui carressa son bras, de bas en haut. Son père s’écarta un peu, reculant d’un pas. Julie fit la moue, baissant le regard vers ses seins et son corps, puis implorant son père du regard. Il lui décrocha une giffle qui la prit au dépourvu.
– Mais qu’est ce qui te prend Julie ? lui fit son père à mi-voix.
D’entendre l’autorité de son père la replongea dans de lointains souvenirs ; elle se rappella quand elle était jeune, qu’il la grondait, ou la prenait dans ses bras. Sans qu’elle sache vraiment pourquoi, elle se mit à pisser fort.
Son père la regarda, ébahi. Comme il avait les yeux rivés sur sa chatte, Julie leva un pied qu’elle posa sur le rebord de la baignoire, et écarta les lèvres de sa chatte de ses doigts. Le jet était fort, et elle le dirigea vers son père, lui aspergeant à présent les pieds. Le fond de la baignoire était à présent coloré de jaune.
– Mais tu es folle ? fit son père, en lui décrochant une seconde giffle.
Sans s’arrêter de pisser, Julie se mit à se masturber vite, s’aspergeant la main, s’astiquant le clitoris et se glissant des doigts au fond d’elle.
– Papa, tu bandes pour moi, fit Julie, heureuse de voir son père réagir ainsi.
Il ne s’en était même pas rendu compte, tellement choqué et inquiet de l’attitude de sa fille. Mais cela était naturel, comment un homme ne pourrait pas avoir d’erection face à une fille nue qui se masturbe.
– Je vais jouir pour toi, fit Julie en se touchant frénétiquement le clitoris, regardant droit dans les yeux son père.
– Pourquoi… Pourquoi tu fais ça ?
– Parce que je t’aime.
Sans dire un mot de plus, elle saisit de son autre main le sexe gonflé de son père, et commença à le branler. Il la repoussa à deux reprises.
– Personne n’en saura rien, murmura Julie.
Son père ferma les yeux et secoua la tête.
– C’est mal, c’est tellement mal…
Julie s’agenouilla doucement dans sa pisse, et engouffra doucement la queue de son père dans sa bouche. Elle se suça doucement, tout en le branlant à la base.
– Arrête ça… S’il te plait…
Lui qui était en principe assez endurant fut surpris de se retrouver assez pris au dépourvu, lorsqu’il sentit qu’il était sur le point de jouir à peine au bout de deux minutes. Il devait bien admettre qu’il n’avait jamais connu une excitation comparable. Malgré lui, il lacha de violents jets de sperme dans la bouche de Julie, qui leva à ce moment les yeux vers lui, pleine de reconnaissance. Il n’osait pas la regarder. Il avait honte.
Elle se redressa, cracha le sperme de son sperme dans sa main, et l’étala copieusement sur sa chatte, dans sa toison, dans sa fente, et finit de se masturber le clitoris.
– Mets moi un doigt papa, je vais jouir…
Il était toujours aussi interloqué. Il regardait sa fille se masturber avec son sperme. Il tendit sa main, le posa contre la chatte de sa fille, et enfila un doigt profond dans sa chatte. Julie se masturba follement, et jouit presque aussitot.
– Papa ouiiii…. Ton doigt… Bouge le… Je jouis… Baise moi avec tes doigts….
La chatte de Julie était tellement trempée, il fit aller et venir son doigt facilement, il sentit sa fille très réactive, il en glissa un second, et la doigta un moment, assez vivement. Lorsqu’il sortit ses doigts après quelques minutes, des gouttes de mouille coulèrent de sa chatte.
Les yeux de Julie étaient rougis, ainsi que son visage, par l’émotion. Elle posa sa tête sur l’épaule de son père.
– Merci… Merci… murmura t-elle.
Puis elle se demanda ce qui l’avait poussé à en arriver là. Plein d’images lui vinrent en tête. Son psychiatre. L’homme à la cagoule. Son père en train de manger chez elle, alors qu’elle porte une nuisette. Elle en train de se masturber dans son salon pendant des journées entières, à regarder des photos de son père, alors que son ex est là.
Son ex ?
L’avait-elle rêvé ? Elle était seule. Pourtant, dans certains souvenirs qui lui remontaient maintenant, elle voyait son ex qui la regardait, qui la filmait, pendant qu’elle se masturbait.
Sans doute le fruit de son imagination.
Mais alors, pourquoi penser à lui, en un pareil moment ?
(FIN ?)
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