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Les chroniques érotiques d’Emilie (3)

Les chroniques érotiques d’Emilie (3)



Aventure lesbienne…

« C’est bien connu, le grand sud-ouest est une terre de rugby. Ma ville est un des bastions de ce sport avec son club de rugby à 15, très ancien, au passé glorieux… Ce club souhaitait créer une animation de stade par le biais de la danse, et a donc mis en place une association de « Pompom girls » (Cheerleaders en Amérique …) je fais partie de ce groupe, composé de 15 filles plus la coach… Mais il faut savoir que derrière cette agitation de pompons pour accueillir lors des matchs à domicile le public et soutenir l’équipe… et les regards attisés par nos jupettes…!; c’est devenu pour nous, un sport à part entière, pour lequel il faut des qualités de danseuse et gymnaste. Nous avons donc en plus, affilié notre association à la F.F F. A. pour pouvoir faire les concours « cheerleaders » et son championnat de France qualificatif au championnat d’Europe… »

… C’est lors d’un déplacement sur une de ces compétitions que j’ai eu une aventure lesbienne avec notre coach Muriel… jolie femme de 42 ans, divorcée, qui sait mettre en valeur son corps mince par des tenues ajustées… Ce jour là , sa jupe noire, courte, mets ses jolies jambes en évidence, et son chemisier blanc très échancré laisse deviner sa poitrine (qui à mon sens ne doit pas dépasser un 85 B)… Des cheveux blonds, De jolies lunettes rectangulaires sur de jolis yeux bleux, et de discrets bijoux aux oreilles et au cou venaient compléter un tableau qui lui conférait un charme discret et indéniable qui ne me laissait pas du tout indifférente au départ de notre déplacement…

« …Pour avoir lu quelques-unes de mes chroniques vous savez maintenant que je ne suis pas attirée par les garçons mais plutôt par la complicité d’un moment câlin entre filles… »

Du fait du nombre impair de filles dans le groupe, je me retrouve toute seule dans ma chambre d’hôtel. Cela me convient bien, car ainsi je peux prendre « toutes mes aises »… Après une bonne douche, j’enfile ma chemise de nuit et me mets au lit avec un livre…
…Vers 22h30, Muriel la coach , avec ses yeux envoutants, passe me voir pour savoir si je ne m ‘ennui pas toute seule et si tout va bien …. elle s’assied sur le bord de mon lit, discutons un peu de la journée de demain… puis « papotons » de tout et de rien…quand la discussion dérive sur des choses plus personnelles, et où elle me confie son « mal vivre » après son divorce… me disant entre autres choses, la chance d’avoir à s’occuper d’un groupe de jeunes filles comme le notre…cela égaye sa vie… puis plus intimement, me fait comprendre « quelle à souper des hommes »… La discussion dure un long moment et une certaine complicité s’installe entre nous… Je suis bien à coté d’elle, et profite de cette compagnie que je souhaitais plus personnelle depuis quelque temps… Mais le charme est rompu par du bruit venant des couloirs et a mon grand regret elle part voir ce qui se passe… et « faire la police » si c’est des filles de notre groupe…

…Je reprends avec regret mon bouquin et me plonge dans ma lecture… jusqu’a ce que je perçoive un frottement sur ma porte. Intriguée, je me lève, et vais l’entrebâiller pour voir ce qui se passe, et… le beau visage blond aux yeux bleus (elle a quittée ses lunettes) de Muriel apparait; elle s’est apprêtée pour la nuit et porte un joli pyjama en soie, certainement (comme moi sous ma chemise) sans sous-vêtements car ses seins pointent et tendent la soie de son haut, et je ne perçois pas de trace de culotte sous son bas !

– je te réveille Emilie ?
– non je ne dors pas encore, je lisais…
… Dis, Emilie, étant logée à l’étage en dessous, je peux rester un peu dans ta chambre, car tout a l’heure c’est des filles du groupe qui chahutait dans les couloirs… et je voudrais m’assurer qu’elles ne vont pas recommencer…
A ces mots, (qui ressemblent plus à un prétexte pour venir dans ma chambre, car je n’ai rien entendu depuis quelle est sortie, mais je me garde bien de le lui dire) je sens une chaleur m’envahir… je la fais donc rentrer et ferme la porte… et nous voilà toutes les deux l ‘oreille collée au panneau de la porte pour écouter les bruits du couloir… son parfum m’enivre… mais surtout son souffle est rapide…alors que je m’en étonne, (faussement, j’avais compris que le pourquoi du souffle était son excitation naissante en devinant mon corps nu sous l’échancrure bien ouverte de ma chemise de nuit, que je faisais exprès, tourner vers elle, de laisser plomber) Muriel me répond que son cœur « bat la chamade » a cause du stress pour demain et des filles dans le couloir qui risque de lui attirer les foudres du patron de l’hôtel,… et en même temps qu’elle me dit cela, prend ma main et la pose sous son sein gauche en passant sous son haut…

– tu sens Emilie …!
– Ah… oui…!

.Maintenant mon cœur à moi bat également vite… mais en plus la chaleur qui a envahi mon ventre transforme mon sexe et le fait mouiller instantanément…!.

– cela te choque que j’ai mis ta main sur ma poitrine ?
– non… au contraire c’est très agréable…!
– si quelque chose te déplait, dis le moi , je ne veux pas te paraitre trop audacieuse !
– rien ne me déplait… je suis simplement troublée par toi !… tu es si belle…

…Elle pose alors ma main carrément sur le sein, et la presse fortement pour que je la caresse… Mais excitée comme je le suis, ma main n’a plus besoin de guide. je lui « pelote » les seins joue avec ses tétons… elle halète beaucoup plus fort… nos bouches se soudent, nos lèvres s’ouvrent, nos langues se mélangent, nos corps se frottent… notre excitation a toutes les deux monte d’un cran et nos halètements se transforment en petits gémissements…
…Muriel me plaque contre la porte, s’aventure avec ses lèvres sur ma gorge… les seins… les tétons que je sens raidir à travers ma chemise… je gémis… Alors je me prends au jeu et reproduis sur elle, au même moment, les caresses qu’elle me prodigue… nos mains glissent sous les tissus, palpe, fesses… cuisses… un délice…! puis ces polissonnes rejoignent nos clitoris, caressent… fouillent entre nos lèvres intimes et leurs doigts rentrent avec vigueur dans nos nids chauds et trempe… Doux jésus… c’est trop bon…!!… que j’aime ça…!!… caressée et être caressée de la même manière… ne t’arrête pas ma douce…! m’entends-je lui murmurer à l’oreille … toi non plus…!!… me répond t’elle dans un souffle… agrippées l’une à l’autre, seins contre seins, visage enfoui dans le cou de l’autre, pour étouffer nos gémissements … je sens ses doigts dans mon vagin chaud et mouillé qui s’ouvre de plus en plus, pour la laisser aller et venir au plus profond de moi. … des frissons parcourent nos corps… Puis les choses s’accélèrent… des contractions se forment dans mon vagin… en même temps que je sens les siennes sous ma main… c’est très jouissif !!!…c’est trop…!!! et à quelques secondes d’intervalle nos bouches poussent des cris de délivrance quand l’orgasme nous terrasse… puis nous laisse pantelantes, accrochées l’une à l’autre…

… Pyjama et chemise de nuit éparpiller dans la chambre, nous nous retrouvons nues sur mon lit… pour un excitant soixante neuf !… Dans un flash, j’imagine les autres filles nous surprendre… moi Emilie, me faire « bouffer le minou » par notre coach qui pourrait être ma mère.. cela ferait désordre…!!… mais tant pis, je suis sure que je vais adorer ça…!!!…
… Muriel est sur moi à califourchon, sa langue va et vient au creux de mon minou qui s’ouvre…! et laisse échapper beaucoup de mouille…qu’elle lape… .Je gémis en regardant le plafond… mon excitation monte encore d’un cran… mes gémissements aussi… en même temps quelle me fait du bien…beaucoup de bien… Muriel frotte sa chatte sur mon visage, m’inonde de son jus…puis se colle à ma bouche… son pubis est soigneusement entretenu, comme le mien… Je fais à Muriel tout ce que j’aime qu’on me fasse …passer ma langue sur sa chatte, faire connaissance avec ses lèvres, son clitoris, son odeur plutôt légère, qui, m’excite encore plus…!!… Je m’amuse à titiller violemment son clitoris pour revenir à des caresses plus douces pour qu’elle vienne en même temps que moi… et jouir ensemble comme tout a l’heure…moi, je retarde au maximum mon orgasme que je sens imminent…Et Muriel copie instinctivement son rythme sur le mien… la chambre s’amplis du bruit de nos léchouilles et de nos gémissement de moins en moins contenus… Je sens à sa respiration plus saccadée, à sa langue devenue plus brusque, plus gourmande que sa jouissance est proche. C’est lorsqu’elle commence à gémir de plus en plus fort que je pénètre profondément son sexe trempé de mon doigt…elle en fait de même… et un orgasme très violent nous prend en même temps… qui nous laisse pour quelques minutes sans force… anéanties…déconnectées du monde extérieur… Mais ce n’est pas fini pour moi… encore allongée sur le dos, jambes pliées et écartées… Muriel me foudroie une seconde fois en aspirant mon cilto dans sa bouche, collée à mon bassin car à chaque décharge je sursaute… partie dans un autre orgasme foudroyant… de nouveau je perds le contrôle de moi-même et la notion de tout…/.

« …Bien sûr elle est restée dans mon lit… La nuit ne fut que jouissances, gémissements… et successions d’orgasmes… sans penser à la « compét » de l’après-midi qu’il faudra, comblée mais épuisée, que je gère… (j’ai par la suite prétexté une blessure à l’échauffement, faisant ainsi le bonheur d’une remplaçante) …Au petit matin , avant de revenir incognito dans sa chambre, elle m’avouera qu’elle savait que j’étais lesbienne pour avoir surpris, sans le vouloir, des conversations dans le groupe… et quelle même, après son divorce, s’était tournée vers les filles. Comme je lui plaisais, elle attendait une occasion pour voir comment je réagirai, ayant peur de notre différence d’âge… »

…Vous connaissez maintenant la suite…qui ne fut pas la fin puisque notre histoire dura quelque temps, à l’insu de tout le monde, et bien sûr du groupe des « Pompom girls »…

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