Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.
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Il y a quelque chose chez sa professeure que Carl trouve irrésistible. Il aime ce genre de femme mature que l’on sent sexuellement frustrée. Carl reconnaît toujours les femmes en manque de sexe. Madame O’KEEFE a le regard de ce genre de femme.
Madame O’KEEFE doit avoir 40 ans à peu près, car sa fille Katie, 18 ans, est dans la même classe que Carl. Toutefois elle est en excellente forme et elle pourrait facilement passer pour une femme de trente ans. Extérieurement, elle essaie d’avoir une apparence sobre et réservée mais sous ce vernis on ressent une passion retenue.
Karen O’KEEFE trouve que Carl est un de ses étudiants assez attirant. Et pourquoi ne pourrait-elle pas fantasmer sur lui ? Carl est plutôt beau, avec un corps bien musclé qu’il aime montrer sous ses tee-shirts et ses jeans serrés.
Karen se masturbe souvent en pensant aux choses qu’elle aimerait que Carl lui fasse. C’est le seul exutoire sexuel qu’elle a. Son mari ne la touche plus. Bien sûr, elle n’autoriserait jamais Carl à se livrer à ses fantasmes. Elle est une femme mariée avec une fille et elle est un membre respecté de la communauté. Elle se sent déjà bien coupable de se masturber en pensant à lui.
Monsieur O’KEEFE a bien vingt ans de plus que sa femme. Il est professeur de physique au collège local. Carl est sûr que Madame O’KEEFE n’a pas été baisée depuis longtemps et qu’elle n’a jamais été vraiment bien baisée. Carl pense que c’est son devoir d’y remédier. Il a juste besoin qu’elle soit seule.
Un après-midi, Carl attend que Mme O’KEEFE se rende à sa voiture après l’école. Il la voit mettre des papiers sur le siège arrière. S’il se débrouille bien, il peut se faire prendre en stop alors qu’elle est seule. Il faut qu’il soit convaincant :
– Bonjour Mme O’KEEFE. On m’a oublié et je ne sais pas comment rentrer chez moi. Si ce n’est pas trop gênant pour vous, pourriez-vous me ramener ?
Elle lui sourit et accepte sans hésitation. Dans la voiture, après quelques échanges banales, Carl dirige la conversation sur des sujets plus intimes.
– Madame, il faut que je vous parle de choses personnelles. Je ne peux pas en parler à mes parents, mais j’ai besoin d’un conseil d’adulte. Voilà Mme O’KEEFE, je suis un peu embarrassé… Il s’agit d’une femme.
– Pas besoin d’être gêné Carl ! En quoi puis-je vous aider ?
Karen sourit. Intérieurement elle est heureuse qu’il veuille lui parler de problème de filles. En fait, elle est même un peu excitée que la conversation tourne sur ce sujet. Elle peut sentir la pointe de ses tétons durcir.
– Eh bien, voyez-vous Mme O’KEEFE, je… Je ne sais pas comment dire ça… Mais il y a une femme mariée vivant près de chez moi… Eh bien, je pense qu’elle m’aime bien.
– Bien sûr Carl, vous êtes un beau jeune homme. Mais je pense qu’elle est juste amicale et rien d’autre. A-t-elle fait quelque chose qui vous rend mal à l’aise ?
Karen est de plus en plus excitée au fur et à mesure que la conversation avance. Apparemment elle n’est pas la seule à se masturber et à fantasmer sur Carl.
– Eh bien, elle ne me rend pas vraiment mal à l’aise Mme O’KEEFE. Elle me demande de nettoyer sa piscine quand son mari n’est pas là et elle porte toujours un minuscule bikini. C’est dur pour moi de ne pas la regarder car elle a un corps formidable.
– Il n’y a pas de mal à regarder Carl. Je suis sûre qu’elle apprécie.
– Oui, mais parfois elle me demande de lui mettre de la lotion à bronzer sur le dos. Elle déboucle son haut de maillot de bain et elle ronronne quand mes mains s’enfoncent dans sa chair. Voilà Mme O’KEFFE, je suis un homme et vous pouvez vous imaginer de l’effet que ça a sur moi.
La chatte de Karen s’humidifie tandis qu’elle pense à la queue de Carl en train de durcir. La conversation devient un peu inconfortable.
– Peut-être que tu devrais lui en parler, lui dire que ça te met mal à l’aise ?
– Oh, mais je n’ai pas dit que ça me mettait mal à l’aise Mme O’KEEFE. J’ai toujours hâte de nettoyer sa piscine. Mais je ne suis pas sûr que ce que nous faisons soit bien. Vous savez, elle est mariée.
– Tu ne fais rien de mal Carl, ne t’en fais pas pour ça.
– Eh bien peut-être pas. Mais est-ce bien quand elle se retourne sur le dos alors que je lui passe la lotion et qu’elle met mes mains sur ses seins nus ?
Karen est momentanément sans voix. Elle cherche une réponse mais Carl continue :
– Et est-ce bien quand elle met sa main dans mon slip ou quand elle descend mon maillot pour mettre mon sexe dans sa bouche. Ou encore quand elle me tire sur elle et met ses jambes autour de moi pour que nous baisions ? Qu’en pensez-vous Mme O’KEEFE ?
Karen est complètement confuse et essaie de contrôler sa respiration. Sa chatte est vraiment humide, ses lèvres et ses jambes tremblent. Elle cherche ses mots mais rien ne sort.
– Prenez la prochaine à gauche et allez jusqu’au bout !
Carl désigne une route dont il sait qu’elle se termine en impasse sur un champ vide. La professeure tourne, mais son esprit est toujours plein des images érotiques de Carl en train de baiser sa voisine. Elle a besoin de reprendre le contrôle d’elle-même mais elle n’y arrive pas.
– Carl, je… euhhh… ce n’est pas de ta faute, mais…
– Vous savez Mme O’KEEFE, c’est la meilleure séance de sexe que je n’ai jamais eu. Par rapport aux jeunes filles de mon âge, j’ai l’impression qu’elle devient folle et qu’elle n’en a jamais assez. Je pense qu’elle mérite ce que je lui donne. Je veux dire que ce n’est pas parce qu’elle est mariée qu’elle doit cesser de profiter de la vie. Pensez-vous que j’ai tort Mme O’KEEFE ?
Ils arrivent au bout de la route. Karen arrête la voiture. Elle est perdue, elle ne sait ce qu’elle doit faire ou dire. Carl tend la main et éteint le moteur. Puis il laisse tomber sa main sur la cuisse de Karen.
– Est-ce que votre mari vous satisfait Mme O’KEEFE ? Avez-vous besoin de quelque chose ?
La main de Carl glisse sur la jambe puis sous la jupe de la femme. Karen sait que ce n’est pas bien. Elle sait qu’elle doit l’empêcher d’aller plus loin avant que ça ne devienne incontrôlable. C’est ce que lui dit son esprit mais elle reste figée. Les doigts de Carl atteignent son entrejambe et sa culotte humide. Le bout des doigts caresse sa fente et titille son clitoris. Karen sent des ondes de plaisir traverser son corps. Elle n’arrête pas de se dire que ce n’est pas bien mais elle sent ses jambes s’écarter comme si elles avaient leur propre volonté.
Les doigts de Carl se déplacent sous la culotte et dans les plis de la chatte excitée. Karen gémit quand deux doigts la pénètrent. Le pouce du garçon frotte son clitoris tandis que les doigts baisent sa chatte. Sa respiration est devenue erratique. Ça va venir, elle va avoir un orgasme.
Mais avant qu’elle ne puisse jouir, Carl retire ses doigts. Karen a la tête qui tourne. Elle ne comprend pas ce qu’il se passe. Elle a besoin de finir. Pourquoi a-t-il arrêté ? Elle était si proche de la jouissance.
Soudain une main passe sous son chemisier pour jouer avec ses seins. En même temps il saisit une de ses mains et la guide vers lui. Elle sent la chair nue d’une bite bien raide. Elle est perdue. Ses doigts s’enroulent autour de la tige de chair et elle caresse lentement sa bite. Un filet de liquide pré-éjaculatoire coule sur sa main.
Carl est sûr que la suite va être facile. Mme O’KEEFE n’a rien fait pour l’arrêter. En fait, elle a coopéré à chaque instant. Il pousse le soutien-gorge sur ses seins et il pince les tétons bien durs. Puis il se penche et pose ses lèvres sur le cou de Karen. Il la mord légèrement et lèche la peau sensible. Un gémissement s’échappe de la bouche de la professeure.
Carl se réinstalle dans son siège et pose une main derrière le cou de Mme O’KEEFE. Puis il tire sa tête vers sa bite. Pour la première fois, elle montre une certaine résistance. Alors Carl applique plus de pression jusqu’à ce que la tête commence à bouger. Karen réalise qu’elle a laissé les choses aller trop loin. Elle doit l’arrêter. Elle essaie de résister à la pression de sa main mais le garçon est trop fort.
– Non… Non… S’il te plaît… Laisse-moi partir !
Puis ses yeux tombent sur la magnifique queue que sa main masturbe. Combien de fois s’est-elle fait plaisir en suçant ses doigts en imaginant qu’il s’agissait du sexe de Carl ? Et maintenant le voici devant elle, encore plus magnifique que dans son imagination.
Elle lutte encore un peu pour se libérer mais Carl est beaucoup trop fort. Elle regarde la peau lisse du gland qui se rapproche de plus en plus. La tentation est trop grande et le picotement dans ses reins trop intense.
Karen écarte ses lèvres et laisse la queue glisser dans sa bouche. La sensation de la chair dure contre sa langue ressemble à ce qu’elle a imaginé. Elle fait tournoyer sa langue sur l’extrémité gonflée. Quand elle sent une pression sur son cou, Karen utilise ses compétences apprises dans sa jeunesse, elle laisse le sexe glisser dans sa gorge.
Carl relâche un peu la pression qu’il applique derrière la tête de la femme. Elle continue de lécher et sucer avidement sa bite. Il est clair qu’elle aime ce qu’elle fait et qu’elle est douée. Carl se détend et la laisse faire.
Karen sent que la pression sur sa tête a disparu. Elle sait que c’est le moment de s’échapper. Pourtant elle se dit « encore quelques secondes ». Sa chatte dégouline et demande de l’attention. Karen glisse alors deux doigts sous sa culotte et commence à s’occuper de son clito visqueux.
Ses talents de suceuse sont si bien que le jeune garçon sent qu’il va vite jouir. La tête de karen oscille rapidement le long de sa queue. Elle la prend profondément en bouche et la masse avec sa langue. Carl voit Mme O’KEEFE doigter sa chatte furieusement. Elle est complétement excitée.
Ça ne peut durer longtemps. La pression dans le ventre de la femme est trop intense. La sensation du membre de Carl dans sa bouche et sa gorge couplée à celle de ses doigts sur son clitoris et dans sa chatte lui font tourner la tête. Alors qu’elle sur le point d’avoir un orgasme, Carl repose sa main sur sa tête et la pousse profondément afin que sa bite soit toute dans sa gorge. Le sexe palpite, elle sait ce qui va se passer.
Son corps se raidit. Karen serre les cuisses sur ses doigts. Un cri voudrait sortir de sa bouche, mais du sperme chaud inonde sa gorge. Le jus de sa chatte mouille sa culotte et ruissèle sur son cul. Encore plus de sperme, elle le sent couler sur ses lèvres.
Carl sort sa queue et gicle son foutre entre les yeux de Karen. Un autre jet tombe dans ses cheveux et sur son nez. Le garçon regarde sa semence couler des lèvres de Mme O’KEEFE pendant qu’elle halète et se remet de son orgasme. C’est la meilleure fellation qu’il n’a jamais eue.
Tandis qu’elle sort lentement de sa jouissance, Karen réalise ce qu’elle vient de faire. Tout rapport sexuel avec un étudiant est strictement interdit. Elle peut perdre son travail. Pire encore, elle peut aller en prison, même si elle sait que Carl a plus de 18 ans. Et si sa fille ou son mari découvraient ce qu’elle vient de faire ? Ça détruirait sa famille. Il faut qu’elle sorte de cette situation.
– Oh merde ! Bon Dieu ! Merci Mme O’KEFFE c’est la meilleure pipe de ma vie. Laissez-moi quelques minutes et je vais vous satisfaire comme vous l’avez fait pour moi.
Karen a retrouvé tous ses esprits, elle sait qu’elle doit agir vite. C’est elle l’adulte ici et donc c’est elle qui doit prendre les choses en main.
– Carl… Ce qui vient de se passer est une erreur. Répond-elle en essuyant le sperme sur son visage.
Elle continue d’un ton ferme :
– Si jamais tu dis quelque chose, je nierai. Je suis presque sûre que ma parole comptera plus que la tienne… Maintenant, sors de la voiture.
Carl ne peut croire ce qu’il entend. Elle a aimé sucer sa bite autant qu’il avait apprécié cette fellation. Elle avait même eu un orgasme en se caressant. Et maintenant elle appelle ça une erreur. Quelque chose ne va pas.
– Attendez Mme O’KEEFE, je sais que vous avez aimé sucer ma bite et doigter votre chatte. Vous dites que c’est une erreur ? Êtes-vous en train de me dire que votre mari vous fait ressentir les mêmes choses ? Je ne crois pas, je ne pense pas que vous vouliez vraiment que je parte.
Karen avait apprécié ce moment et il est vrai que son mari ne lui donnait jamais de plaisir quand ils baisaient, ce qui n’arrivait pas souvent déjà. Elle sait que Carl peut lui donner le plaisir dont elle a si désespérément besoin. Mais elle sait aussi que c’est hors de question, elle s’arrangerait avec ses doigts et ses godes vibrants.
– Sors Carl, je ne le répéterai pas. Nous ferons comme si rien ne s’était produit.
Karen se penche et ouvre la portière passager. Carl ne bouge pas. Karen met ses mains sur son épaule et le pousse :
– Allez, ne fais pas d’histoires !
Carl fulmine. Elle ne peut pas le jeter dehors comme un chien, pas après ce qu’il a fait pour elle. Il saisit sa main et lui tord les doigts jusqu’à ce qu’elle grimace de douleur. De son autre main, il att**** ses cheveux et lui tire la tête en arrière. Son visage est à quelques centimètres du sien.
– Arrêtons de jouer Mme O’KEEFE ! Je sais que vous voulez ma queue dans votre chatte. Ça arrivera de toute façon, alors autant en profiter.
Maintenant Karen a peur. Elle ne s’attendait pas à ce genre de réaction de la part de Carl. Elle réalise qu’elle doit partir rapidement avant d’être blessée. Elle ouvre la bouche et mord son élève au bras pour qu’il la laisse partir. Elle trouve la poignée de la porte et essaie de sortir de la voiture. Carl saisit sa jupe. Elle la sent se défaire tandis qu’elle tombe à côté de la voiture.
Karen commence à courir, mais elle ne fait que quelques pas avant que Carl ne lui att**** le bras et la tire en arrière. Il la lance violemment contre la voiture. Karen tend les bras pour amortir l’impact. Carl se précipite derrière elle, prend un de ses bras pour lui tordre dans le dos, pose son autre main sur sa nuque et claque son visage sur le capot.
– Madame O’KEEFE, vous rendez tout cela difficile. Vous ne devez pas avoir honte de vos sentiments, vous savez que vous voulez ma bite. Alors arrêtez de vous débattre.
Karen est à peine capable de bouger. Carl déboucle son pantalon et le laisse tomber par terre. Il arrache la culotte de sa professeure et presse sa bite dans la fente entre ses fesses. Il bande déjà. Karen sait qu’elle est sur le point d’être baisée.
– Non Carl… S’il te plaît, je suis mariée, je ne peux pas faire ça… je t’en prie arrête… je ne dirai rien… Partons chacun de notre côté et oublions ce qui vient de se passer.
Carl fait la sourde oreille. Il lui écarte les pieds et positionne la tête de sa queue à l’entrée humide de sa chatte. Incapable de bouger, Karen ferme les yeux et attend que ça se passe. Carl pousse fort. Sa chatte est encore humide de son orgasme et elle s’ouvre facilement pour le membre de chair qui s’enfouit profondément.
Karen essaie de prétendre qu’elle ne ressent rien. Il peut la baiser, mais elle est déterminée à ne pas réagir. Pourtant son corps la trahit. Quand la grosse queue s’enfonce profondément dans sa chatte elle réalise qu’elle n’a pas été remplie comme ça depuis longtemps… Et peut-être même jamais. Le garçon se retire puis replonge dans la chatte. Un petit halètement s’échappe de sa gorge. Sans réfléchir, elle soulève son cul pour qu’il puisse aller plus loin.
Carl retire sa main de la nuque de la femme, mais garde son bras tordu dans le dos tout en continuant de labourer le sexe chaud et humide. Il baisse les yeux et regarde sa queue bien raide, dégoulinante du jus de chatte, glisser entre les fesses. Quand elle soulève son cul et le pousse contre sa bite, il commence à la marteler de plus en plus fort et de plus en plus vite.
Karen peut sentir la chaleur s’intensifier dans sa chatte. Elle va jouir. Cette bite qui pilonne son sexe la rend folle. Elle peut sentir les couilles du garçon gifler son clitoris. Sa respiration s’affole. Elle bouge son cul pour avoir le maximum de queue en elle. Elle ne peut s’empêcher de s’exprimer :
– Baise-moi… oui baise-moi plus fort… mon Dieu que j’aime ta bite… oooohhhh… baise-moi.
– Ouais salope, ta chatte est si chaude ! Je vais te baiser jusqu’à ce que tu ne puisses plus tenir debout.
Carl lâche son bras et lui saisit les cheveux pour tirer sa tête en arrière. Il donne de coups de reins si puissants qu’il la soulève pratiquement du sol. Elle crie des obscénités les unes après les autres. Il saisit un sein et pince méchamment le mamelon. Le corps de Karen se raidit. Elle crie. Sa chatte serre la bite du jeune garçon et un flot de jus coule sur le membre et les couilles.
Carl la retourne pour qu’elle soit face à lui et il remet sa bite dans la chatte dégoulinante. Il la regarde dans ses yeux vitreux et voit sa tête dodeliner à chaque fois qu’il donne un coup de rein.
Karen est possédée. C’est comme si une autre femme, étrange et imprudente s’était emparée de son corps. Elle est devenue un a****l. Elle n’a pas assez de la queue de ce jeune homme. L’institutrice, la mère de famille et la femme mariée se sont fondues dans l’ombre. Elle n’est plus qu’une putain, le jouet sexuel du garçon.
Elle déplace un doigt vers son clitoris. Elle peut sentir la queue glisser dans et hors de sa chatte. Elle regarde Carl dans les yeux avec un regard sauvage :
– Baise-moi… Fais-moi jouir… Oh oui… Plus fort… Baise-moi plus fort… Pousse bien ta grosse bite dans ma chatte… AAAAAHHHH… OUIIIIIIII…
Elle se mord la lèvre tandis que ses doigts frottent furieusement son clitoris. Elle enroule une jambe autour de la cuisse du garçon. Un autre orgasme est en train de se construire dans sa chatte. Elle met deux doigts dans sa bouche et elle les suce. Ses yeux ne quittent jamais Carl.
– Super Mme O’KEEFE, voter chatte est si douce… Ooh oui… Mon dieu j’adore te sauter !
Carl peut sentir son sperme bouillant dans ses couilles. Ses mains glissent sous les fesses de la femme et il la soulève du sol. Elle enroule ses deux jambes autour du jeune homme tout en s’appuyant sur la voiture. Carl glisse son majeur dans la fente entre les fesses jusqu’à ce qu’il trouve le petit trou serré du cul. Puis il appuie dessus jusqu’à ce que son doigt pénètre à l’intérieur.
Personne n’a jamais utilisé le trou du cul de Karen. Mais elle est trop excitée et hors de contrôle pour s’en soucier et ne pas en profiter. Elle sent l’orgasme très proche. Ses doigts frottent son clito de plus en plus vite pendant que le doigt de Carl s’enfonce plus profondément dans son cul.
– Jouis en moi Carl ! Je veux sentir ton sperme inonder ma chatte. Oh putain oui…Je vais jouir… Oh mon Dieu, je viens….
Karen griffe sa poitrine alors que sa chatte se resserre autour de la queue gonflée de Carl. Elle sent le sperme chaud gicler dans son ventre. Elle jette sa tête en arrière et un cri perce l’air autour d’eux. Encore plus de sperme dans sa chatte. Une explosion démarre et secoue tout son corps. Du jus sort de sa chatte. Une réplique de l’explosion ébranle son corps. La queue du jeune homme continue à marteler sa chatte en pulvérisant du foutre dans son sexe dégoulinant.
Ils sont tous les deux vidés. Carl la tient, son sexe toujours enfoui dans l’intimité de la femme. Il reprend son souffle. Finalement il la dépose à terre et remonte son pantalon.
– C’était génial Mme O’KEEFE. Je dois rentrer à la maison. Je vous verrai en classe demain et peut-être que nous pourrons recommencer après les cours.
Karen peut à peine se tenir debout ? Ses genoux tremblent et elle titube vers la portière de sa voiture. Du sperme et son propre jus coulent sur ses jambes. Sa culotte et sa jupe sont déchirées. Elle réussit tant bien que mal à faire tenir sa jupe autour de sa taille. Elle glisse sur le siège conducteur et cherche ses clés. Puis elle laisse sa tête tomber sur le volant et elle pleure.
A suivre…
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