Mon équipe de hockey sur glace et moi, nous étions en vacance à Bellegarde-sur-Valserine en France, dans le but de nous reposer après notre saison qui a plutôt été violente. Plusieurs blessures, plusieurs bagarres, bref, on devait se reposer.
Nous n’étions que 6 joueurs de l’équipe cette journée-là. En tant qu’athlète, vous vous doutez bien que nous avons des corps bien découpés. Mais pour cette semaine, rajoutez-y des bleus et quelques cicatrices. Je me fais souvent rire de moi vu ma petite taille pour un joueur de hockey, je suis le plus petit de mon équipe, mais sans fausse modestie, en observant tout le monde dans les douches, je peux vous dire que la taille n’est pas proportionnée à la grosseur du membre.
Enfin bref, nous étions sur la plage, en avant-midi, moment où il n’y a pas beaucoup de monde en semaine et nous amusons comme il se doit. Le défenseur vedette de l’équipe, Jean-René, en profitait pour draguer les jeunes femmes qu’il pouvait croiser. Certaines jouaient le jeu et d’autres l’ignorait. Je sortais de l’eau et je me dirigeais vers ma serviette tout en reluquant les femmes autour de moi.
Beaucoup de jeune de mon âge, jolie, certaine topless, petit sourire en m’imaginant leurs seins dans ma bouche. Mais je m’arrêtais sur une femme mature à 300 mètres de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais elle éveillait quelque chose de sexuel en moi. Elle était debout, elle s’étendait de la crème solaire (du moins, je suppose que c’en est) ses mains frottant son corps, de haut en bas en effectuant des cercles, elle se caressait la coquine, je n’en avais aucun doute.
Maxime, mon ailier droit, vient me rejoindre :
-Fais attention, t’es pas super discret avec ton érection.
En effet, j’avais une érection qui me faisait mal et que j’avais du mal à dissimuler. Je retournais à ma place pendant que Maxime cherchait celle qui me faisait cet effet.
Une fois assit et mon érection (un peu) camouflée, j’observais toujours cette femme au loin, sans comprendre ce qu’elle avait de plus que les autres. Pas qu’elle soit laide, bien au contraire, très joli visage, toujours souriant. Elle n’avait pas de gros seins, mais à ce que je pouvais voir, quand même très invitant.
Ça faisait un bon vingt minutes que j’observais cette femme, elle ne s’était toujours pas baignée. Elle avait une amie qui était venue la rejoindre, probablement aussi baisable, mais je n’avais que le focus sur celle aux cheveux courts. Soudainement, ce que j’avais demandé se réalisa. La belle enleva son haut de maillot.
Je croyais que ma queue allait exploser tellement que mon érection me faisait mal. JE DEVAIS ME LA FAIRE!!
Pendant les deux prochaines heures passèrent lentement, trop lentement. J’ai même assouvi mon désir sexuel en me masturbant sous l’eau, mais non, l’envie me reprit aussitôt.
Le monde commença à déserter la plage. Jean-René s’approcha de moi lorsque je sortis de l’eau.
– Max, Ça commence à être plate (ennuyant), on s’en vas-tu (est-ce qu’on se tire)?
Je voyais mon obsession se diriger vers le chalet de la plage et y entrer. Je m’adressais à mon coéquipier :
– Appel les autres, on va se désennuyer.
Je me dirigeai vers le chalet, les autres joueurs sur mes talons.
Tout en tentant au mieux de cacher mon érection, j’entra. Le vestibule était vide. Elle était soit au vestiaire des femmes ou à la salle des toilettes. J’entendis du bruit venant des toilettes. Je fis signe à mes coéquipiers de m’attendre, de ne permettre à personne d’entrer et j’y entrais moi-même.
Elle était bien là, elle était au lavabo et se lavait les mains. Elle m’aperçut par le miroir et me souris en me disant :
– Bonjour. Je crois que vous vous êtes trompé de salle jeune homme.
Elle continua comme si de rien n’était, sans doute croyait-elle que je m’excuserais et partirais.
Ce cul, ces seins, cette bouche, ce sourire.
– Désolé, mais non, je suis dans la bonne salle.
Je sautai sur elle. Je me mis à genoux, je baissais son maillot et je plongeai ma langue dans sa chatte. J’ai été tellement rapide, je l’ai prise par surprise, elle en resta bouche bée. Après trois ou quatre spasmes de madame (je ne sais pas, je ne les compte pas), elle me dit enfin :
– Mais que faites-vous ?
Qu’est-ce que je fais d’après toi ? Je ne m’arrête pas, c’est trop bon. Son nectar coule à fond et il a bon goût. J’enfonce deux doigts en même temps. Premier gémissement. Je titille son clitoris pendant que mes doigts frottent son poing G. Je peux voir qu’elle s’agrippe au comptoir, pour ne pas perdre l’équilibre puisque ses jambes commencent à trembler. Madame commença par gémir de façon plus assumée. Elle n’arrêtera pas en si bon chemin.
Je continuai ainsi pendant deux bonnes minutes. Je me leva. Je lis de la déception dans son visage. Je prends sa main, je la guide à mon membre. Elle lâcha un soupir d’étonnement en touchant ma queue. Elle me branla doucement pendant que je goûte finalement à ses seins. Je monte une de mes mains à sa bouche. Elle commença à me lécher les doigts. Je les enfonça un peu plus dans sa bouche et elle les suça. Au mouvement de langue et la succion de sa bouche je devine qu’elle en a sucé des queues cette salope.
Merde, je n’en peu plus. J’arrête tout, je mets cette chienne à genou. Soumisse, elle baisse mon maillot. Elle vit mon membre et je vous jure que j’ai vu de l’appétit dans son regard. Elle l’enfonça dans sa bouche et la dégusta.
OH-MON-DIEU !! Je suis mort et je suis au paradis. Je ne sais pas si elle est mariée, si oui, son mari est un saint de pouvoir profiter de cette bouche. Elle utilise que sa bouche, ses mains se promènent sur mes pectoraux et mes abdos. Vas-y, gâte-toi ma belle. Je suis trop excité pour gémir, on n’entend qu’un bruit de succion dans la pièce. De la bave s’échappe de sa bouche et coule le long de mes couilles prêtent à exploser. Mais cette chienne ne laisse rien s’échapper; avec sa langue elle ratt**** et avale tout. Au passage elle suce aussi mes testicules tout en me masturbant. Je peux voir que cette cochonne se touche en même temps. Je sentais une énorme éjaculation vouloir sortir qu’heureusement la voix de mon défenseur interrompit le coït :
– Max ? Tout va bien ?
La salope à genou semblait un peu surprise d’entendre quelqu’un d’autre. Je la regarde et lui dit compatissant :
– T’as l’air affamée de queue, tu vas y gouter, pute. J’ARRIVE LES GARS!
Je la pris par le bras et me suivit un peu malgré elle.
Elle fut accueillie par des sifflements et des clappements de main.
– Elle veut qu’on s’occupe d’elle les gars. On fait tout en équipe, pas vrai ?
J’entrai avec elle dans un local réservé aux employés. A en juger par les balais et les vadrouilles, ce local appartient au concierge. Peu importe, c’est assez grand pour nous tous. En moins de deux, elle fut à genoux entourée de six joueurs qui ont leur maillot aux chevilles. Sans entendre qu’elle fasse un geste, je lui pris la tête et j’enfonçai ma queue dans sa bouche. Tous on se mit en demi-cercle autour d’elle. Sa bouche passa d’une bite à l’autre, leur prodiguant des caresses expertes avec sa langue, ses lèvres. Ses mains branlaient les autres. Les deux derniers la tripotaient et exploraient ses trous avec leurs doigts.
Je laissai ma place à Martin, j’allais profiter du cul de madame. Ma main se fit plus aventureuse et se glissa dans son entrejambe. Elle caressa ses grandes lèvres puis s’immisça plus avant pour titiller son clitoris. Elle était comblée de plaisir. Les gars de l’équipe commençaient eux aussi à gémir sous ses caresses buccales. Il était grand temps d’aller plus loin. J’ordonna alors de la faire allonger sur le dos, offrant à mes yeux sa chatte presque entièrement rasée et béante.
Je positionna mon sexe tendu à l’entrée de son vagin. D’un coup sec, je la pénétra. Je commença un va-et-vient rapide qui me donnait grand plaisir. Les mains et la bouche de cette cochonne continuaient de s’activer autour des couilles et des bites qui se trouvaient là. Mes coéquipiers me faisaient des high five pour me remercier pour cette sauterie. Mon ailier droit prit le relais, suivi du gardien de but et Jean-René la sauta comme elle le méritait: avec beaucoup de vigueur en la traitant de toute sorte d’insultes. Elle jouissait comme une dingue, hurlant son plaisir.
Passons aux choses sérieuses! On la changeant de position, je la fis mettre à quatre pattes. Je la pris en levrette. Les autres présentaient leurs sexes à sa bouche. Cela dura 5 bonnes minutes. Ensuite, notre défenseur s’allongea sur le sol du local. Elle s’empala sur son membre quand même imposant, dressé. Elle bougea son cul pour imposer son rythme.
– Ah oui ? Tu crois que tu as un pouvoir sur ce qui se passe ? lui dis-je, en colère.
Je positionna mon gland sur son anus. Elle eut un sursaut, elle se retourna la tête et me demanda de ne pas faire ça. Je lui claqua une fesse pour la réprimander. Yoan lui enfonça sa queue dans la bouche pour qu’elle se la ferme. Je m’introduis dans son cul. Oh que c’était bon. Serré à souhait. Nos queues allaient et venaient contre ses parois, comme des instruments de plaisir qui la fessait couiner. Mes joueurs semblaient approcher eux aussi de la jouissance, Jean-René se déchargea sur son visage. À en voir la puissance de son jet, on aurai dit qu’il n’avait pas joui depuis des années. Mon complice de double pénétration et moi, on céda la place à deux autres. Le spectacle était magnifique. Cette truie était aux anges. De beaux et jeunes hommes juste pour elle, l’honorant par tous les trous. Celui qui l’encula venu en lâcha un gros râle. Je repris sa place pendant qu’un autre lui venait aussi sur son visage.
– J’en veux encore, j’en veux encore, dit-elle entre deux gémissements.
Quelqu’un entra, une femme vêtu d’un bikini ligné rouge et blanc. Je me souvenais d’elle. La femme qui venait d’entrer est celle qui accompagnait celle qu’on baisait en groupe. Elle parut choquée de voir la voir en double pénétration et avec deux queues dans la bouche, le visage plein de foutre.
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