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HISTOIRE DU NET:L’arroseuse arrosée

HISTOIRE DU NET:L’arroseuse arrosée



HISTOIRE DU NET:L’arroseuse arrosée

Je me présente : je m’appelle Benjamin, j’ai 40 ans, et je suis marié à une magnifique femme qui se prénomme Delphine qui en a 35. Nous pratiquons le sexe libre et sans limites. J’ai déjà raconté sur ce site quelques aventures.

Cet été, nous sommes partis, ma femme, mes enfants et moi, en vacances 3 semaines près d’Avignon dans un petit camping familial avec mes beaux-parents, la tante de ma femme et ses 2 fils. Nous sommes tous réunis pour un mariage d’un autre cousin de ma femme. La tante de ma femme, Sonia, a élevé seule ses fils, Ludwig et Stanislas, après le décès de leur père lorsqu’ils étaient très jeunes. Elle ne s’est jamais remise en couple après.

Ludwig et Stanislas sont des faux jumeaux d’à peine 18 ans : nous avons fêté leurs anniversaires en mai dernier. Ce sont des geeks par excellence. Ils sont toujours ensemble et ne sortent de leur mobile-home que pour aller chasser les Pokémons avec leurs portables. Ils sont très grands – plus de 1,95 m – mais très filiformes, du type basketteurs.

À plusieurs reprises, j’ai remarqué que leurs yeux restaient figés sur ma femme, leur cousine, et plus précisément sur ses décolletés ou le haut de ses cuisses. Particulièrement pendant ses séances de piscine et de bronzage. Il faut savoir que ma femme déteste les marques de bronzage ; donc, dès que l’occasion se présente, elle se met topless et rentre son bas de maillot de sa raie pour en faire un string.

Les ayant démasqués, j’en discute avec Delphine et nous décidons de les aguicher un peu. Deux jours plus tard, après une matinée relativement calme, nous nous réunissons pour manger tous ensemble. Nous arrivons les premiers, sans les enfants, au mobil-home de Sonia où se trouvent aussi les jumeaux en train de jouer sur leur téléphone. Delphine et moi faisons le tour pour les bonjours habituels. Je remarque que les jumeaux ne perdent pas une miette de la tenue leur cousine. Elle a sur elle une robe de plage vert clair bandeau sans soutif. Une idée me vient en tête et j’attends le moment opportun pour la mettre en œuvre.

Cette occasion arrive peu de temps après. Faisant tomber la clé de notre mobile-home, Delphine se baisse à côté de moi. Sans qu’elle le remarque, je mets le pied sur sa robe et attends qu’elle se lève. N’ayant pas vu que je marche sur sa robe, Delphine se lève d’un coup ; sa robe retenue libère sa poitrine qui est exhibée à la vue de tous, et surtout devant ses deux cousins qui ne perdent pas une miette du spectacle ! Je fais mine de m’excuser, et Delphine, surprise, remonte sa robe rapidement. Ludwig n’arrive plus à parler et se précipite dans sa chambre, le visage rouge vif. Quant à Stanislas, il reprend vite fait son portable et bredouille une excuse de Pokémon pour partir dans le camping. Une fois seuls sur la terrasse, Delphine me tape sur l’épaule.

— Tu aurais pu me prévenir que tu allais faire ça !
— Si je t’avais prévenue, ça aurait eu l’air moins naturel.
— T’as raison. Tu crois qu’ils ont apprécié la vue ?
— Tu rigoles ! Sûr que Ludwig est parti se branler dans sa chambre, et Stanislas bandait quand il est parti !
— Tu crois ?
— Ludwig, ché pas, mais Stanislas, oui : j’ai vu la bosse à travers son short. Je pense qu’on va s’amuser avec les deux geeks !

Delphine m’embrasse fougueusement et rentre dans le mobile-home pour aller aider sa tante. Le reste de la journée se passe normalement. Hormis les regards plus voyeurs des jumeaux sur leur cousine qui prend un plaisir à se dandiner devant eux, ça doit l’émoustiller de savoir qu’elle plaît à des jeunes alors qu’elle a eu deux enfants et qu’elle a plus de 10 ans d’écart par rapport à eux.

Le soir même, c’est la soirée du camping ; nous décidons de tous y aller. Tout le monde est d’accord, sauf les jumeaux qui préfèrent rester au mobile-home avec leur portable même après que leur mère et de leur cousine aient insisté. Au milieu de la soirée, après quelques verres et malgré une femme chaude comme la braise, je suis obligée de rentrer pour coucher les petits qui réclament leur lit. Je laisse donc Delphine et sa tante seules à la soirée.

La suite de la soirée est le récit de Delphine.

Une fois Benjamin parti coucher les enfants, je reste avec ma tante à la soirée. Peu de temps après, un homme devient entreprenant avec Sonia qui le suit au bar. Étant seule sur la piste et ayant une boule chaude dans le bas-ventre, une idée coquine me vient en tête : et si j’allais exciter les deux cousins avant de me faire baiser en rentrant au mobile-home par Benjamin ? Pour la soirée, j’ai mis une jupette volante noire sur un body-string avec un décolleté vertigineux, et sans sous-vêtements dessous.

Je m’approche du mobile-home de mes cousins et remarque de la lumière. Génial, ils ne dorment pas encore. Je monte sur la terrasse et frappe à la porte vitrée. Après avoir insisté, Stanislas m’ouvre la porte. Il est surpris de ma visite. Il pensait que c’était sa mère qui rentrait. Il me fait entrer.

— Bonsoir cousine ; qu’est-ce que tu viens faire ici ? Tu es perdue ?
— Non, je venais voir si vous ne vous ennuyez pas trop.
— Non, ça va : on joue en réseau à Call of !
– À quoi ?
— Laisse tomber, tu ne dois pas connaître !
— T’as raison, je suis dépassée sur ça. Mais sinon, ça ne vous dit pas de danser et faire la fête ?
— Non. De toute façon, on sait pas danser.
— Allez faites pas vos timides !
— Non, c’est mort : on danse pas !
— Pfff, les jeunes… Vous dansez pas, vous buvez pas ; alors, pour le reste…
— Tu veux dire quoi, là ? Tu veux boire ?
— Si tu as une bière, c’est pas de refus ; mais seulement si vous en buvez une avec moi.
— OK. Ludwig, va sortir trois bières et trois verres.
— Pourquoi des verres ? On boit à la bouteille, non ?
— Si tu veux, cousine.

Ludwig revient rapidement avec les trois bières débouchées. Nous les buvons rapidement, et les tournées s’enchaînent. Au bout de 3 ou 4 bières chacun et une conversation normale, je propose de nouveau de danser. Ludwig accepte immédiatement. Je prends mon portable et je mets une playlist slow et zouk. À peine le portable posé sur le canapé que Ludwig m’att**** par le bras et m’enlace pour un slow. Étant plus petite que lui, j’ai ma tête sur son torse.

Après quelques minutes de danse TRÈS serrée, je commence à sentir sa bite durcir contre mon ventre. Je sens ma chatte mouiller mon body et le feu s’allumer dans mon bas-ventre. Je le serre un peu plus pour plaquer mes seins contre son ventre. Après quelques danses en continu, Stanislas m’arrache à son frère et me plaque contre lui. Il est dans le même état. Je dirais même qu’il a une bite plus grosse que son frère. Ludwig se rassoit et prend son portable pour nous filmer en train de danser. Stanislas est plus entreprenant que son frère : ses mains descendent le long de mon corps pour se caler sur le creux de mes reins. Je décide de le laisser faire pour voir jusqu’où il osera aller. Après une bonne minute sans réaction de ma part, il descend un peu plus ; il a maintenant les mains sur mes fesses et commence à remonter ma jupe. Je vois bien leur manège, aux deux loulous : un qui filme, l’autre qui essaie de me mettre cul-nu devant le téléphone. Je suis en ébullition et décide donc de les allumer encore plus ; au pire, je ferai semblant de m’offusquer et je partirai en les laissant seuls avec leur érection nocturne.

Stanislas continue ; je sens l’air frais sur mes fesses. Je ne dis rien quand tout à coup, au moment où je suis fesses devant le téléphone de son frère, il plaque ses deux mains sur mon cul. Je me dégage immédiatement et faisant semblant d’avoir l’air outré, je le gifle.

— Tu fais quoi, là ? Je te signale que je suis ta cousine, et en plus je suis un peu trop vieille pour toi !
— Excuse, cousine ! Mais comprends-moi, tu n’arrêtes pas de nous aguicher depuis le début des vacances ; et puis même si t’es plus vieille que nous, tu es encore très belle, tu sais.
— Ce n’est pas la question ! Et d’où je vous aguiche ?
— Bah, tu n’arrêtes pas, entre le topless à la piscine et encore à midi à nous montrer tes seins sur la terrasse.
— Rien à voir : je suis une femme, pas un objet. Et je te signale qu’à midi, c’était un accident et il n’y avait rien de prévu là-dedans. Et en plus, je suis votre cousine !
— Excuse-moi encore, cousine, mais être cousins n’a rien à voir avec l’attirance qu’on a envers toi.
— Qu’on…
— Oui : moi aussi je te trouve très belle, cousine !
— Merci à tous les deux, mais comprenez que je suis surprise de ton geste. Et toi, Ludwig, efface cette vidéo !
— D’accord.
— Promis ?
— Promis.
— Bon, on n’en parle plus ; l’incident est clos.

Les deux geeks de cousins ne sont pas si innocents, en fin de compte. Je me rassois sur le canapé du mobile-home et nous reprenons une conversation normale. Stanislas se lève et revient avec trois nouvelles bières. La conversation tombe sur le sujet « sexe ». Ludwig commence :

— Dis-moi, cousine : avec Benjamin, tu fais souvent l’amour ?
— Oui. Pourquoi cette question ? C’est un très bon amant en plus d’être un très bon mari.
— Comme ça… Je cherche à savoir pourquoi tu as une sensualité aussi débordante.
— Parce que je suis comblée, niveau cul ; et une femme comblée rayonne de mille feux.
— Je remarque ça : tu transpires le sexe, et dès que nous te voyons on ne peut pas s’empêcher de bander !

L’alcool aidant, les cousins se lâchent. Au lieu d’être surprise de leur attitude, je me laisse piéger par leurs questions de plus en plus précises. Stanislas enchaîne :

— Dis-nous : tu aime le sexe en général ?
— Oui. Et pas que !
— Comment ça ?
— Je vous en ai trop dit, excusez-moi.
— Non, vas-y, cousine, développe : ça restera entre nous.
— Bon, vous le dites à personne. Des fois, avec Benjamin, nous faisons des petits jeux sexuels.
— Comment ça ? Vous vous déguisez, et tout et tout ?
— Oui, c’est ça ; et pas que ! Mais bon, je ne vais pas vous raconter toute ma sexualité.
— Allez, fais pas ta relou ! Au pire, on fait un action ou vérité.
— Pfff ! Ça fait des siècles que je n’ai pas joué à ce jeu, mais pourquoi pas ?
— Super ! On prend cette canette vide, on la fait tourner, et celui qui est devant le goulot doit poser une question ou un gage à l’un des deux autres. Mais attention : si on pense que la réponse est fausse, il faut prouver ses dires au sceptique, sinon gage obligatoire ; et si le gage n’est pas réalisé, il y a une punition décidée par les deux autres. OK ?

— OK.
— Qui commence ?
— Toi, cousine : tu es la seule femme.
— Merci.

Je fais tourner la canette ; c’est moi qui dois commencer.

— Ludwig, action ou vérité ?
— Action.

Je commence soft.

— Va dehors et hurle comme un loup à la lune.

Il le fait sans hésiter et rentre dans le mobile-home juste après ma validation. Il fait tourner la bouteille. C’est Stanislas qui est désigné.

— Delphine, action ou vérité ?
— Vérité (j’aurai plus de chance de me dérober).
— OK. Es-tu plutôt poilue ou complètement rasée ?
— C’est quoi, cette question ?
— Réponds, sinon tu as un gage !

Je commence à les cerner : ils vont me poser que des questions de ce style, ces deux loustics ; je dois me méfier.

— Épilée.
— Menteuse !

Il ne perd pas une occasion : pas si naïf que ça, le Stanislas… Je lui prends la main et la passe sous ma jupe et mon body, je la pose sur mon mont de Vénus imberbe. Il ouvre grand les yeux et la bouche. Je retire sa main et lui fais un sourire pour le narguer. Je relance la bouteille ; elle s’arrête sur Ludwig.

— Cousine, action ou vérité ?
— Vérité.
— Pfff… T’es nulle ! Tu ne vas quand même pas faire que des vérités ?
— Non ; mais là, c’est vérité !
— OK. Dis-nous : est-ce que tu étais complice pour nous exciter quand Benjamin a fait exprès de marcher sur ta robe ?

— Non ! Bien sûr que non !
— Menteuse !
— Comment ça ? Prouve-le alors !

Je fixe Ludwig droit dans les yeux avec un petit sourire au coin de la bouche ; il ne peut absolument pas prouver le contraire. Enfin je le pensais… Ludwig prend son téléphone et fouille dedans. En me fixant à son tour, il appuie sur une bande son. Aux premières paroles, je reconnais la voix : c’est celle de Ben. Le fumier nous écoutait derrière sa fenêtre et nous a enregistrés suite à mon exhibition sur la terrasse ! Je perds mon sourire.

— Tu nous as entendus ?
— Eh oui, ma chère cousine : les murs ont des oreilles !
— Et tu nous as enregistrés ?
— Oui : je voulais le faire entendre à Stanislas pour lui prouver que tu nous aguichais ; il me croyait pas.
— Petit futé ! Mais tu sais, c’était la première fois, et en plus je n’étais pas au courant que Benjamin allait faire ça.
— Au courant ou pas, tu étais complice de ton mari pour nous exciter. Donc tu es une MENTEUSE !
— OK, j’avoue.
— Donc tu as un gage !
— Allez-y. C’est quoi, mon gage ?

Les deux frères se regardent un instant sans parler, et d’une seule et même voix ils disent à l’unisson :

— Tu deviens notre objet sexuel pour le reste de la nuit.
— Mais vous êtes fous tous les deux, c’est hors de question ! Et si vous me forcez, cela s’appelle du viol !
— Écoute, cousine, nous avons des preuves que tu es consentante.
— Ah bon ? Et lesquelles ?
— Plusieurs photos de toi topless devant nous, l’enregistrement sur la terrasse, plus des photos que Stanislas à réussi à prendre juste avant que tu remontes ta robe, et enfin la vidéo de ta danse où tu le laisses poser ses mains sur ton cul nu.

Je suis prise au piège ! Moi qui les croyais naïfs et prudes, je vois qu’ils en sont loin. Mes menaces sont vaines ; d’un côté, je suis venue pour ça, les exciter : je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. Je les regarde tous les deux ; ils me fixent et n’attendent que mon accord pour faire de moi leur chose. Je tente une dernière échappée :

— Vous êtes deux beaux comédiens ; vous cachez bien votre jeu, mais votre mère va bientôt arriver, et je ne pense pas qu’elle sera contente de voir ses deux bébés en train de baiser leur cousine en plein milieu de son mobile-home.
— Tu parles de ta tante ? Alors regarde un peu…

Stanislas me tend son portable. Dessus, je vois sa mère en train de sucer une bite pendant que Ludwig la prend en levrette. Je rends le portable à Stanislas.

— Je suppose que la bite qu’elle suce, c’est la tienne ?
— Tout à fait. Pourquoi crois-tu que nous allons encore en vacances avec elle et qu’elle ne s’est jamais remariée ?
— Je ne me suis jamais posé la question, à vrai dire.
— Bon, fini de parler. Maintenant tu es à nous, et tu vas te faire baiser toute la nuit, chère cousine.
— Vantards ! Dans cinq minutes vous aurez fini, et moi je serai sur ma faim.
— Tu crois ça ? Tu ne vas pas être déçue… Maintenant, à genoux, et ferme-la !

Un peu surprise du ton que Ludwig a pris, je me mets à genoux sans rien dire, presque comme hypnotisée. À peine en position, mes deux amants d’un soir se placent devant moi et me sortent leur engin : deux belles bites bien dures qui pointent dans ma direction. Je les att**** et commence à les branler. Stanislas m’att**** par les cheveux et m’enfourne sa bite dans la bouche. Je le suce tout en continuant de branler son frère. Ce dernier m’arrache de mon jouet pour me donner le sien à sucer. Ludwig est moins doux que Stanislas : il pose ses mains

de chaque côté de mon visage et m’impose un rythme très rapide. Il me baise littéralement la bouche ; son gland cogne au fond de ma gorge, ce qui me fait saliver énormément. Je m’agrippe à ses cuisses pour ne pas perdre l’équilibre. Stan part dans la cuisine et revient avec une paire de ciseaux.

— J’ai envie de voir tes seins.
— Donne les ciseaux, frérot !

Tout en me lâchant la tête, Ludwig prend les ciseaux. Il pince mon téton gauche entre son pouce et son index, le fait rouler pour me faire crier un peu. Ensuite il tire sur le tissu de mon body et plante les ciseaux dedans, coupe le tissu. Un fois fini, mon sein sort par le trou qu’il vient de faire. Il fait pareil au niveau de mon sein gauche.

— Voilà. Tu aimes tellement les faire voir, maintenant c’est chose faite.

Il rend les ciseaux à son frère et prend sa bite en main pour me la faire claquer sur les joues en me traitant de petite salope. Stanislas s’assoit près de nous sur le canapé et se branle doucement.

— À mon tour : je veux qu’elle me suce aussi.
— Pas de problème ; je vais m’occuper de sa petite chatte en même temps.

Je n’ai pas un mot à dire. À peine éloigné, Stan me tire par les cheveux et me roule une pelle. Nos langues tournent l’une autour de l’autre. Je suis en eau, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. L’instant d’après je me retrouve à le sucer et je sens Ludwig me relever le bassin par le body. Je suis à quatre pattes devant Stanislas en train de le sucer et je sens son frère me dégrafer le body et plonger le visage dans ma fente. Je sens sa langue laper mon jus : il me lèche toute la raie, s’arrêtant sur ma rondelle de temps en temps. Il me doigte la chatte et l’anus, ce qui me fait gémir de plus en plus. Moi, j’alterne entre pipe et branlette. D’un coup, je sens que Ludwig se retire. Quand je me retourne pour voir ce qu’il fait, je le vois nu, la bite à la main, en train de se positionner derrière moi. Je n’ai pas le temps de lui dire quoi que ce soit qu’il me perfore le vagin d’un trait. Cette pénétration me fait crier sans retenue. Pour me faire taire, Stanislas m’enfourne sa bite dans la bouche et me force à l’avaler en entier. Son frère me lime la chatte avec énergie ; je sens ses couilles me claquer le clitoris à chaque fois. Stan prend son appareil en filme la scène, moi en train de me faire prendre en levrette tout en lui prodiguant une gorge profonde. Quand j’arrive à me dégager la bouche, je regarde Stan droit dans les yeux et lui dis :

— Au lieu de filmer, tu veux pas plutôt m’enculer pendant que ton frère me baise ?
— Tu veux qu’on te prenne en double ?
— Oui. Vous ne voulez pas découvrir des choses ? Je suis votre objet cette nuit, non ?
— Oh, putain… elle est encore plus chienne que maman !
— Tu vas couiner, cousine ; prépare-toi !
— J’attends pour l’instant ; j’ai mieux à la maison.

Je suis dans un état second ; je veux me faire baiser, et je ne partirai pas sans avoir eu ma promesse.

Ludwig se retire et s’allonge sur le dos ; je m’empale sur sa bite et commence les va-et-vient. Stanislas, maintenant nu lui aussi, se place derrière moi. Je sens un truc froid sur ma rosette ; après une petite résistance, elle entre en moi. C’est trop petit pour être sa bite. Je tourne la tête et vois Stan se lubrifiant la bite avec des petites plaquettes de beurre. J’y crois pas… il vient de m’en mettre une dans le cul ! Il m’en met une deuxième, puis une troisième. Je sens maintenant ses doigts entrer dans mon cul. Directement deux, puis trois, et enfin il présente son gland. Son frère me tient serrée contre lui ; son gland entre sans résistance et je sens son chibre coulisser dans mon rectum tout doucement. Il se cale à fond en moi.

Je me sens pleine ; je suis pleine. Ils commencent à bouger chacun à son rythme pour petit à petit bouger au même rythme. Rythme qui augmente au fur et à mesure de mes couinements et de mes ondulations. J’ai l’impression qu’ils vont me perforer de part en part. Je crie de toute ma voix, je jouis de mes deux trous constamment. J’ai la tête qui tourne, je vais tomber dans les pommes. Enfin je les sens gicler dans mes cavités. Leur sperme chaud me remplit et déborde. J’ai les jambes en coton.

Stan se retire le premier et me cale sa bite dans la bouche. Je le suce sans réfléchir ; il a le goût de mon cul et de son sperme mélangés. J’aime ça. Ma pipe post-coït lui redonne de la vigueur. Son frère fait de même ; je le nettoie, et il reprend de la vigueur aussi grâce à ma langue experte. Ils changent de trou. La joute est encore plus

intense ; ils sont plus endurants. Ils se mettent à me prendre en double vaginale ; ils tentent la double anale mais échouent, heureusement pour moi !

Tout à coup, ils se retirent en même temps et me mettent à genoux devant eux, se branlent et éjaculent sur moi. Les premiers jets arrivent directement sur mon visage et mes cheveux, les autres terminent sur mes seins libres ; je tire la langue pour récupérer cette merveilleuse semence. Tour à tour ils se font lécher pour avoir une bite bien propre. Les deux frères s’affalent sur le canapé et me regardent, souillée, le maquillage coulant. Ils me prennent en photo ; je n’ai plus la force de dire quoi que ce soit, alors je les laisse faire : ils ont mérité leur trophée.

— Tu as aimé, cousine ?
— Oui. Vous m’avez surprise, à vrai dire : je ne vous pensais pas aussi pervers.
— Mais tu n’as encore rien vu, ma chère !
– Me dites pas que vous avez encore du jus : je ne vous croirais pas.
— Du jus, pas pour l’instant ; mais tu ne vas pas t’en sortir comme ça, cousine : tu vas gouter à notre spécialité !
— Tu crois qu’elle peut le faire ? dit Stan à son frère.
— Bien sûr. Regarde maman : elle a eu deux enfants comme elle, et sans compter la double vaginale qu’elle vient de faire sans résistance. Maman le faisait bien avant de réussir la double.
— Tu as raison ; je vais chercher ce qu’il faut.

Qu’est ce qu’ils mijotent encore ? Ils viennent de me baiser deux fois de suite par mes deux trous, et ils en veulent encore ? Je suis vraiment une mauvaise physionomiste : jamais je n’aurais imaginé qu’ils étaient comme ça. Des vrais bêtes de sexe, insatiables ! Je pense que je vais prendre cher ; rien que d’y penser, je recommence à mouiller. Stanislas revient avec de nouveaux petits pains de beurre. Il en donne à Ludwig qui les pose sur le canapé en lui disant :

— À toi l’honneur : tu as les mains plus fines.

Stanislas, sans rien dire, se beurre les mains ; je n’ose y croire : ils ne vont quand même pas me fister, ces pervers ? J’ai ma réponse : Ludwig me saisit par les épaules et me plaque le visage sur le sol, il me relève la croupe et me fesse deux ou trois fois. J’ai le cul qui brûle, je me mets à couler. Stanislas s’approche de mon derrière et entre trois doigts sans hésitation dans ma chatte. Il me pistonne et fait bouger ses doigts en moi. Je gémis de plaisir.

— Tu vois, elle adore ça, Stan. Passe à la vitesse supérieure !

Stanislas écoute son frère sans dire un mot. Il m’enfonce quatre, puis cinq doigts. Sa main résiste un peu à entrer ; il force plus, et d’un coup mon corps cède. Il a son poing dans ma chatte ! Il reste immobile un instant avant de commencer à faire des rotations. Je sens ma cyprine couler sur mes cuisses. Stan le remarque aussi et n’hésite pas à le faire remarquer à son frère. Ludwig bande de nouveau ; il prend son téléphone et filme la scène tout en se branlant. Stan s’amuse avec ma chatte comme un chat avec une souris. Il sort son poing et le remet avec de moins en moins de résistance. Il me pistonne le vagin avec son poing. D’un coup il se retire et écarte mes deux globes fessiers au maximum.

— Ludwig, prends sa chatte toute ouverte en photo ; sûr que je peux y mettre les deux mains !

Je commence à paniquer : être fistée par deux mains, je ne l’ai jamais fait ; je crois qu’il va me déchirer, mais je n’ai pas le temps de réagir qu’il commence. Il entre une main puis je sens l’autre glisser le long de son poignet. Il entre un doigt puis deux, puis au fur et à mesure il entre ses cinq doigts. Ma chatte me brûle ; mes larmes coulent sur mes joues et sur le sol. Son frère l’encourage en lui beurrant les parties de sa main encore à l’extérieur. Les minutes me paraissent longues… D’un coup, je les entends crier de joie : il a réussi à me caler ses deux mains dans la chatte ! Je ne sentirai plus jamais une bite : il a flingué ma matrice !

Après l’excitation de sa prouesse, il commence à me pistonner. Je crie de douleur et de plaisir à la fois ; la chaleur est tellement intense qu’à la fin je ne la sens plus. Je recommence à jouir de plus belle, ce qui le conforte dans sa prouesse et le fait commencer un mouvement de va-et-vient. Je jouis sous ses coups de poings dans ma chatte. Ludwig n’en peut plus ; il lui ordonne de se retirer pour qu’il puisse m’enculer de nouveau. Quand Stanislas retire ses mains, je sens comme un courant d’air dans mon vagin ; cette sensation me provoque un énième orgasme.

Quand je reviens sur terre, Ludwig est déjà dans mon cul et me lime sans retenue. Stanislas a pris le relais pour filmer.

— Stan, passe-moi le beurre !
— Qu’est-ce que tu veux en faire ?
— Passe, putain !

Stanislas le lui passe et reprend le cadrage de la scène. Je n’ai plus de forces pour quoi que ce soit. Je n’ose même pas imaginer ce qu’il a en tête, mais ça ne peut pas être pire qu’un double fist. Je me suis trompée ! Il se retire et commence à me fourrer de plaquettes de beurre comme si j’étais une dinde de Noël. Il ne va pas tenter… Mais si : je commence à sentir ses doigts autour de ma rosette dilatée. Je ne sens même pas les doigts entrer, juste son poing cogner sur mon sphincter. Il est plus violent que son frère ; il me fait bouger sur le sol. J’essaie de me retenir au canapé mais ma tête cogne sur le pied à chaque mouvement de sa part, mon visage frotte le sol.

Stanislas me donne un coussin pour poser ma tête. Son poing entre d’un coup. Il ne s’arrête pas là : immédiatement après, il me pistonne comme un fou. Des bruits obscènes de beurre fondu et de foutre mélangés se font entendre ; je jouis en continu. Il se retire, fait prendre par son frère des photos – en mode selfie et autres – de mes orifices distendus. Il prend la bouteille de bière qui traîne sur le sol et me l’enfonce sans résistance dans le cul.

— Tiens, cousine : un joli gode pour te rappeler cette soirée.

Difficilement, j’articule :

— Vous n’allez pas me laisser comme ça ! Je vais me nettoyer un peu avant de partir.
— Chuis con ! Bien sûr qu’on va te nettoyer.
— Stan, ouvre la porte et aide-moi à la mettre sur la terrasse.

Stanislas obéit sans dire un mot. Ils me prennent sous les aisselles et m’amènent dehors ; j’arrive difficilement à marcher. Ils me laissent tomber à genoux et se mettent l’un à côté de l’autre devant moi, la bite à la main. Je m’approche pour les sucer, les yeux à demi-clos, quand je reçois un premier jet chaud. J’ouvre plus les yeux, et là je les vois en train de commencer à me pisser dessus. Ils m’inondent de leur pisse chaude.

— Voilà, cousine, comment on lave des chiennes de ta trempe !

Je n’en reviens pas : ils n’ont aucune limite ! Une fois fini de me pisser dessus, les deux frères rentrent dans leur mobile-home et ferment la porte, me laissant là, souillée de foutre et de pisse, les seins à l’air et le body encore dégrafé. Après de longues minutes, les yeux dans le vague en pensant à tout ce qui vient de se passer, j’entends un bruit sur la terrasse. Je tourne la tête et vois ma tante sur une chaise en train de se doigter tout en me regardant. Sans un mot et péniblement, je me lève et descends de la terrasse pour rejoindre mon mobile-home. Sur le chemin, je m’arrête plusieurs fois car mes jambes ne me tiennent plus. En traversant le terrain de foot désert pour aller plus vite, je tombe même à genoux sur la pelouse ; je sens un courant d’air sur ma fente. En remettant mon body, je m’aperçois que j’ai encore la canette de bière dans le cul. Je la retire et sens un vide en moi. J’arrive enfin sur la terrasse de mon mobile-home ; Benjamin m’attend sur une chaise longue. Il se lève et me prend dans ses bras.

— Je vais tout t’expliquer, Ben.
— Ne t’inquiète pas, ma chérie : je sais tout.
— Comment ça, tu sais ?
— L’important, c’est de savoir si tu as passé une bonne soirée.

Je suis troublée ; comment peut-il tout savoir ? Est-ce que mes cousins lui ont envoyé des photos ? Benjamin me porte dans ses bras et m’amène directement dans la douche ; il me déshabille et me fait prendre une douche. Je reste assise dans la douche, le laissant me nettoyer comme une poupée de chiffon. Le seul acte doux de la soirée envers moi.

— Bon. Alors, tu as aimé ta soirée, ma chérie ?
— Comment tu es au courant ?
— Réponds à ma question et tu auras ta réponse.
— Oui, j’ai aimé, même si je vais avoir mal partout demain.
— Sûre ? Tu as aimé ?
— Oui. Je me suis fait baiser comme une chienne, et je peux même dire que ça fait du bien de se sentir aussi désirée.
— Eh bien, c’était le but. En fait, je t’ai tendu un piège, ma chérie.
— Quoi ?
— Attends, écoute. Il y a quelques jours de ça, j’ai surpris tes cousins en train de se branler dans leur mobile-home. Je les ai laissé finir, et après je suis rentré avant qu’ils n’aient le temps de s’essuyer. Après des boutades et des petites moqueries, je leur ai demandé sur qui ils se branlaient. Ma surprise fut énorme quand, tout penauds, ils m’ont fait voir leurs téléphones : ils avaient plein de photos de toi en train de bronzer à la piscine, et même des photos du dessous de ta robe pendant le mariage.
— Salaud ! C’était pas un doute ! Alors, quand tu m’en as parlé, tu échafaudais un plan avec eux !
— Oui, j’avoue. Je voulais savoir si tu serais partante pour te faire baiser par tes cousins. Ensuite je leur ai laissé carte blanche, leur disant que tu étais ouverte sur plein de choses, mais que si tu disais non, c’était non.
— Et comment tu savais que j’allais y passer ?
— Je n’en savais rien. Normalement, quand tu rentrais ce soir, je devais t’envoyer là-bas sous prétexte qu’ils voulaient te voir, sûrement à cause de l’incident de ce midi. Mais quand j’ai reçu la vidéo de ton slow, j’ai tout de suite compris que tu venais de te livrer à eux toute seule et que tu étais chaude pour cette soirée. Ce que je leur ai dit, d’ailleurs.
— Tu as reçu beaucoup de photos ?
— Toutes ; et les vidéos aussi : ils les mettaient au fur et à mesure sur un cloud qu’on a ouvert tous les trois.
— Je me suis bien fait baiser ; et dans tous les sens !
— C’est ça, ma chérie ; mais tu as aimé, et c’est ce qui compte.
— Et pour ma tante, tu étais au courant aussi ?
— Quoi, ta tante ?
— Ils la baisent. Et là, ils m’ont pissé dessus devant elle !
— Non…
— Si ! Et en plus, quand je m’en suis aperçu, elle était en train de se doigter.
— Ça par contre, ils ne m’en ont pas parlé. Mais tu crains quoi ? Qu’elle te juge ? Elle se fait baiser par ses fils, tu viens de me dire ; elle est loin d’être irréprochable.
— Tu as raison. De toute façon, je suis trop fatiguée pour me poser ce genre de question ce soir. Tu m’aides à aller au lit ?
— Oui, je te sèche et on y va.

Benjamin me déposa sur le lit, m’embrassa, et je m’endormis avant même qu’il me rejoigne.

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