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Chapitre 6 : LARYSSA

Chapitre 6 : LARYSSA



Après mon aventure avec Gaëlle (voir chap 5), j’ai décidé d’utiliser le tchat pour trouver des plans cul.
J’ai fait pas mal de rencontre pendant quelques mois. J’ai eu certaines déconvenues en tombant sur des femmes qui ne me plaisaient absolument pas. Même si ce n’était que pour une nuit, je ne voulais pas tremper mon biscuit dans n’importe quel trou… Et puis l’avantage d’être dans une grande agglomération, c’est qu’il y a plus de femmes célibataires ou de femmes coquines. J’ai donc baisé à droite, à gauche pendant quelques temps. A 20 ans je trouvais ça excitant, cette part de mystère, de ne pas savoir sur qui j’allais tomber. Et puis, il faut le reconnaître, ce qu’il y a de bien avec les coups d’un soir, vu qu’on ne se revoit plus après (en général), on se lâche plus. Enfin à 20 ans, étant donné que je ne rencontrais, au départ, que des filles de mon âge, je ne suis pas tombé non plus sur des grosses nymphos, mais plutôt sur des filles aussi peu expérimentées que moi. Les rapports se limitaient aux préliminaires et aux pénétrations vaginales. J’avais toujours la sodomie en tête, mais je n’en ai pas eu l’occasion.

Parmi ces plans cul, il y a quand-même une nana que j’ai rencontré, qui était bien salope.

Un soir, alors que je suis sur le tchat, j’ai actualisé la page pour voir les nouveaux arrivants. J’ai vu s’afficher à l’écran le pseudo « beurettecochonne ». Je pointe le curseur sur ce pseudo attrayant et j’ai vu les détails du profil: femme, 23ans du 44. J’ai cliqué dessus et j’ai découvert une brève description:  » A la recherche d’un beau mâle »
Nous avons coquiné un peu et très vite, elle m’a donné rendez-vous pour le lendemain soir, ainsi que son numéro de téléphone.
Je suis arrivé pile poil à 20h devant le bureau de poste comme convenu. J’ai attendu 10,15,20 minutes et j’ai fini par l’appeler.
– « Le numéro que vous avez demandé n’est pas attribué. »
J’ai ri jaune en me disant:

Putain, elle s’est bien foutu de ma gueule cette connasse.
J’ai ensuite imaginé que si cela se trouve, c’était peut être un mec qui s’était fait passé pour une femme juste pour faire des plans foireux.

Le weekend suivant, j’ai reçu un coup de fil, un numéro que je ne connais pas s’affiche. J’ai décroché:
– Allo
Une voix féminine me répond:
– Salut tu vas bien?
– C’est qui?
– Tu ne me connais pas, je m’appelle Laryssa
– Comment as tu eu mon numéro?
– Avec ma soeur, tu as discuté avec elle sur Internet la semaine dernière, et elle t’a fait un plan merdique
– Oui d’accord je vois, tu la remercieras d’ailleurs, mais qu’est ce que tu me veux?
– Bah c’est compliqué, en fait j’étais avec elle le soir où on a discuté, mais moi je ne voulais pas qu’elle te fasse ça, mais je ne pouvais pas lui dire que tu m’excitais, que je serais bien venu au rendez-vous.
– Ok et donc?
– J’aimerais bien qu’on se voit si tu es d’accord?
– Ok mais tu as quel âge?
– J’ai 19 ans et j’adore le sexe
– Très bien, on se retrouve où et quand?
– Jeudi soir, devant chez moi, mais pas avant 23h, j’attendrais que tout le monde s’endorment chez moi et je ferais le mur.
Je l’ai donc retrouvé devant chez elle. Je l’attendais dans ma voiture, lorsque j’ai distingué une silhouette. La lumière du lampadaire l’a éclairé et j’ai vue cette beurette arrivée. Laryssa était grande avec ses bottes à talons, et plutôt ronde, mais pas obèse. Elle avait de long cheveux noirs bouclés et portait un long manteau. Je lui ai fait un appel de phare et elle est montée à l’avant.
Elle m’a fait la bise:
– Bonsoir, tu attends depuis longtemps?
– Non, non cinq minutes à peine.
– Alors comment tu me trouves? Pas trop déçu?
– Non pas du tout, tu es très charmante.
Ce n’était pas vrai, ce n’était pas un canon, mais elle était baisable.
– Et moi je te plais?
– Oui beaucoup, tu es très mignon.
– Merci, tu veux qu’on aille quelque part?
– Oui, démarres, je connais un petit coin tranquille.
J’ai roulé cinq minutes et elle m’a guidé dans un petit sentier près d’un bois.

On s’est mis à l’arrière de la voiture, et lorsqu’elle a ôté son manteau, je me suis exclamé:
– Oh la vache!!! en voyant son énorme poitrine cachée sous un pull à col roulé rouge.
– Ils sont énormes tes nibards…
– Oui, je fais du 110D
– Putain, il faut que je vois ça.
J’ai retiré son haut et son soutif. J’ai malaxé ses gros seins qui pendaient. Je bandais comme un taureau. Puis c’est elle qui m’a déshabillé. Elle a été conquise en voyant mon gourdin tendu et elle s’empressa de le prendre en bouche. Sa langue tournait vite sur mon gland, ma main droite tripotait mes boules; c’était vraiment bon.
Malheureusement, à l’arrière d’une voiture, on n’est pas très à l’aise. Elle a eu beaucoup de mal à enlever son string de sous sa jupe qu’elle avait gardé, mais avec la volonté, on fait de grandes choses.
elle est venue sur moi, elle a soulevé sa jupe et elle m’a chevauché fougueusement. mes mains se baladaient sur ses fesses flasques et je lui ai glissé un doigt dans le cul. Cela l’a excité et Laryssa a augmenté le rythme. Ses pastèques sautaient dans tous les sens et on a joui ensemble.
Ensuite, elle m’a demandé si on pouvait se revoir. J’ai répondu:
– Ca veut dire que ça t’a plu?
– Oui beaucoup, tu es un bon coup, je ne veux pas rester la-dessus…je pourrais peut être venir à ton appart ce weekend, on sera dans de meilleures dispositions???
– Ce weekend, je ne peux pas, je rentre chez mes parents pour fêter mon anniversaire en famille.
– Ok, alors rendez-vous la semaine prochaine, ici, même jour, même heure et on fêtera ton anniv comme il se doit…

Sept jours plus tard, on s’est retrouvé de la même façon. Laryssa portait la même panoplie (bottes et long manteau qui lui arrivait au genoux).
Elle m’a serré fort contre elle et m’a embrassé follement.
– Je suis super contente de te voir,j’ai trop envie que tu me baises.
Ces paroles ont fait grossir mon sexe en un instant.
– Allons dans ma voiture.
– Oh non, je préfère que tu me prennes sur ton capot
– Ca ne va pas, tu es dingue, ça caille trop (on était en décembre, il faisait 2ou3 degrés)
-Tu n’as qu’à baisser ton pantalon simplement et je m’occupe de te réchauffer.
Je me souviens que cette nuit là, il n’y avait aucun nuage et la lueur blanche de la lune, nous permettait de nous voir convenablement.
Je suis devenu dingue lorsqu’elle a enlevé son manteau, elle était complétement nue dessous. Elle n’avait que ses bottes. Je suis resté ébahi devant ses seins lourds aux auréoles foncées, ses gros tétons dressés par l’excitation et sans doute le froid, ses petits bourrelets, ses vergetures sur le bas de son ventre, sa chatte lisse et ses cuisses potelées.
Elle a étalé son manteau sur le capot et elle s’est allongée sur le dos. Elle m’a dit:
– Fermes les yeux j’ai une surprise.
J’ai fermé les yeux et j’ai entendu un son de briquet. Lorsque j’ai pu ouvrir les yeux, elle était sur ma 306 blanche, jambes écartées et repliées vers elle. Elle avait un bâton de bougie enfoncé de moitié dans le vagin
– Bon anniversaire beau gosse !!!
En voyant ça, j’ai cru que j’allais juter directement dans mon caleçon, je sentais mon gland plus dur que jamais, qui suintait du liquide pré-séminal.
J’ai soufflé la bougie et je l’ai masturbé avec le bâton de cire quelques instants. Puis je l’ai jeté parterre pour que mes doigts prennent place. Elle était très humide et gémissait fortement.
j’ai ensuite plongé ma tête entre ses seins, je les ai léché et sucé comme un mort de faim.
J’ai continué à lui caresser le clito et je l’ai rempli avec 3 doigts. Elle chouinait de plus en plus en massant ses grosses mamelles, j’ai compris qu’elle en voulait plus. Je n’ai eu aucun mal à lui mettre le reste de mes doigts, ses lèvres pendantes étaient tellement baveuses. Elle s’est mise à jouir:
– Hum fistes-moi, fistes-moi comme la grosse pute que je suis.
Je l’ai fourré comme une dinde de Noël, d’avant en arrière, m’enfonçant jusqu’au poignet. Sa mouille coulait le long e sa raie et sa rondelle luisait, tel un oeil au bord des larmes. Elle a eu un bel orgasme.

Une fois redescendu sur terre, elle s’est accroupie devant moi, elle a baissé mon pantalon et mon caleçon, taché de jus collant et elle m’a branlé entre ses grosses miches, ma queue disparaissait à chaque va-et-vient. Puis j’ai giclé sur ses nichons en l’espace de deux minutes. J’ai lu dans son regard la déception de me voir venir si vite, mais le spectacle qu’elle m’avait offert m’avait totalement excité.
Laryssa avide de sexe ne s’est pas démontée. Elle a pressé ses seins l’un contre l’autre et s’est mise à gober ses mamelons, suçotant ses tétines maculées de mon liquide blanchâtre. J’ai frappé ma tige molle sur ces gros lolos, éparpillant un peu partout les dernières gouttes de semence liées à mon gland.
– Maintenant suces moi grosse pute
Elle a pris ma verge en main et l’a soulevé. Sa langue m’a parcouru des couilles jusqu’au prépuce.
J’ai rapidement regonflé et elle a continué de me lécher telle une glace à l’italienne. Puis elle m’a avalé d’une traite, j’ai senti sa glotte taquiner mon gland plusieurs fois.
Me sentant à nouveau d’attaque, elle s’est relevée et s’est penchée sur le capot de face, en écartant les bras et les jambes comme une étoiles de mer:
– Vas-y, baise-moi violemment…
Je me suis positionné entre ses pieds, j’ai mis la rondelle de latex sur ma queue, que j’ai pris d’une main. Je l’ai secoué par petits coups secs vers le haut pour qu’elle claque bien sur sa chatte et je l’ai pénétré.
Dès la première enfilade, j’ai senti son gros popotin gelé contre mon pubis, je lui ai mis quelques fessées pour le réchauffer. J’ai posé mes mains sur ses clavicules, mes pouces appuyés sur sa nuque et je l’ai pilonné aussi fort que possible. Elle meuglait de longs « ooooooohhhhh,oooooooohhhh »
C’était exaltant de l’entendre ainsi, j’ai eu presque envie qu’elle ait mal, de lui déchirer l’utérus.
Popol estimant qu’il était temps de lâcher la purée, je l’ai chopper par les cheveux, lui tirant la tête en arrière. J’ai enroulé mon autre bras autour de son cou, l’étranglant presque. En lui donnant des coups de reins secs et intenses, je lui murmurait à l’oreille:
– Tiens, prends ça, hum, tiens, t’aimes ça grosse pute.
Je m’en mordais la lèvre inférieur et dans un rugissement incontrôlé, j’ai éjaculé en lui mordant légèrement la joue.
Cette baise était tellement intense qu’on n’a jamais ressenti le froid, mais une fois que Laryssa s’est remise de ses émotions, elle s’est mise à grelotter.
On s’est vite rhabillé et je l’ai ramené devant chez elle. Sur le chemin elle m’a dit:
– J’ai vraiment pris mon pied ce soir, on remet ça quand tu veux…
– Désolé, mais je ne cherche pas de relation suivie, tu comprends?
– Pas de problème, mais si un jour tu es en manque d’une bonne grosse pute, appelles-moi.
Je l’ai embrassé une dernière fois et je l’ai laissé filer.

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