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les ouvriers

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Le matin dans la semaine pour me rendre à mon travail, je prends les transports en commun, puis je finis mon trajet à pieds en passant par des petites rues.
Les commerces ouvrent, et le centre-ville s’anime avec tous les gens qui vont travailler dans toutes les directions.
Quand je descends du bus, je ne suis pas seule à descendre à cet arrêt, une quantité importante de personnes en font de même…
Nous sommes tous et toutes pressés de nous rendre à notre travail à l’heure…
Un matin comme les autres, marchant sur le trottoir, je suis passée devant une boutique fermé pour cause de travaux…
Sans y faire plus attention que ça…
Je me souviens vaguement que c’était un magasin de vaisselles et de cadeaux..
Il avait blanchi les vitres des vitrines pour que les ouvriers puissent travailler dedans sans être dérangés par ce qu’il se passe à l’extérieur…
Quand je suis passée devant la porte, j’entendais la radio, et des voix d’hommes qui travaillaient…
Ils ont dû m’entendre passée avec mes talons qui cliquetaient sur le trottoir, signant l’arrivé d’une femme…
Une fois que je suis passée devant la porte, ils se sont précipités par curiosité pour voir s’ils pouvaient se rincer les yeux…
Bien entendu, je me suis faite sifflet, en me lançant des tas de mots crue…
C’est normal vu ma tenue de ce jour-là… ; mini-jupe moulante noire (ras le cul), collant naturel brillant (Sublim de Dim), petit blouson matelassé court serré à la taille noir faisant bien ressortir le bas du corps, puis ce jour-là j’avais eu envie de mettre mes grandes cuissardes noires… tout l’air d’une pute…
Je me suis prise au jeu…
Je me suis arrêtée un peu plus loin, puis je me suis retournée…
Et avec un beau sourire, je leurs ai répondu ; « chiche… » En réponse à leurs ; « t’ai bonne… salope… viens me sucer… je vais te démonter… »
Déjà, lorsque je me suis arrêtée, surpris, ils ont arrêté leurs sifflets et leurs insultes, croyant certainement qu’ils allaient se faire remettre à leurs places…
Et quand je leurs ai répondu, ils ont été une seconde fois surpris que ce soit une voie de mec…
Un des deux a relevé tout de suite ; « ho, putain c’est un trav… »
« Tu as fini de tapiner, ma salope, tu rentres faire dodo… »
Je suis venu vers eux, pour m’expliquer, ils ne faisaient pas les fier… mais comme tout bon male, ils restaient, me faisant front…
Une fois arrivée devant eux, je leurs ai expliquée que je n’étais pas une pute, et que je me rendais à mon travail comme tous les jours…
Ils se sont un peu civilisés…
Je ne pouvais pas trop perdre de temps à discuter avec eux, il fallait que je file travailler…
En partant, un deux me dit ; « il parait que ça suce bien un trav ? C’est ton cas ? »…
Je lui répondis ; « tu verras bien à ta pause déjeuner… »
Je ne sais pas si j’avais bien répondu… en m’avançant un peu… mais, leurs affronts m’exacerbaient…
« À midi, salope, pour ma pipe… »
Puis ils sont rentrés travailler dans la boutique, j’ai repris mon chemin…
Toute la matinée, je n’eus pas la tête au boulot…
J’ai pensée à ma petite rencontre du matin… j’y vais…, j’y vais pas…,
Pourtant je n’étais pas en manque, j’avais un copain à la maison qui me donnait entière satisfaction…
Mais il y avait l’attrait du « nouveau », et l’excitation du sexe…
Midi approchait, allée…, c’est décidé…, j’y vais…
A l’heure de ma pause déjeuné, j’ai quittée mon bureau, pour me précipiter dans la rue en direction du chantier…
Excitée, je suis arrivée à la porte du magasin…, j’ai tapotée discrètement sur le verre blanchi…
Un des deux à ouvert… ; « ho, mais c’est notre petite salope qui vient nous sucer… »
Je leurs ai répondu ; « exactement… »
Ils m’ont faite rentrée…, puis refermé et verrouiller la porte…
Tout était en travaux dedans, de la poussière de plâtre, des outils, des échafaudages…
Je ne pouvais même pas poser un cul quelque part… de toute façon je n’étais pas là pour ça…
« Sortez vos bites… » Leurs dis-je, en déroulant un chapelet de préservatifs que je sortis de mon sac à main…
Encore surpris par mon audace, ils se sont pétrifiés… et n’osaient plus rien dire…
« Il faut que je fasse tout ici… »
Je leurs demanda de se mettre cote à cote…
Je me suis accroupie devant eux, leurs braguettes à la hauteur de mes yeux…
J’ai commencée en stéréo, en descendant en même temps leurs fermetures éclair…, pour plonger mes mains dans leurs slips, pour trouver leurs « Popols »… qui commençaient à durcir…
Avec mes mains expertes, j’ai sorti mes deux bites de leurs cachettes…
J’ai commencée par les caresser gentiment pour les dompter, puis je les ai branlées quand elles ont commencés à se durcir…
Une fois dure, je faisais rouler mes pouces sur leurs petites peaux en dessous de leurs glands…
Toujours accroupie pour ne pas salir mes vêtements, je lâchai une de mes verges pour prendre un préservatif du chapelet, et le déchirer de son emballage…
Tout en continuant de branler son pote, je mis la capote à l’entrée de ma bouche en mordant dans le réservoir pour le maintenir dans l’axe de ma bouche…
Puis je repris sa verge dans ma main pour le re branler pour pas qu’il ne perde de sa vigueur….
De nouveau bien dur, j’avançai ma bouche vers son gland violacé…, pour le faire rentrer dans la capote qui se déroulait au fur et à mesure sur sa bite qui pénétrait dans ma bouche…
Une fois arrivé au bas de sa verge, je commençai mon va et viens buccale avec mes jeux de langues habituel…
Je fis de même avec la bite de son collègue, en ressortant la sienne de ma bouche, de la branler le temps de dérouler la capote sur son chibre avec ma bouche…
Un coup je suçai l’un en branlant l’autre chacun leurs tours…
Puis quand je sentis qu’ils allaient jouir, je pris leurs deux bites dans ma bouche pour les sucer en même temps…
Le premier se raidi en m’enfonçant sa tige au fond de ma gorge (j’ai cru que j’allais étouffer)…en gémissant et en criant des « ha…, ha.., »
Je senti le paquet de crème chaud dans le caoutchouc de la capote qui se remplaçait, en sentant sur ma langue les saccades de vagues de foutre…
Il me laissait sa bite dans ma bouche que je sentais débander doucement, pendant que son collègue continuait à me mettre des coups de reins dans la bouche…
Puis lui aussi fit un cri en me traitant de chienne…, balança sa crème comme son collègue dans le réservoir par gros paquets…
Je gardais dans ma bouche mes deux objets de plaisir se transformer en tas de viande et en se rabougri nant dans leurs capotes pleines de sperme…
Allez la pause était fini, j’ai ouvert ma bouche pour relâcher mes esclaves sexuels…
Je commençais à avoir des crampes dans les mollets…, je me suis relevée, pendant qu’ils retiraient leurs préservatifs de leurs queux, qui coulaient parterre…
Puis ils s’essuyèrent avec du papier absorbant avant de remettre leurs engins dans leurs froques…
« Tu repasse quand tu veux pour remettre ça… »
Un des deux m’ouvrit la porte pour que je reparte travailler, en me donnant des petites tapes sur le cul…
J’avais pris le pli, Tous les jours je passais ma pause déjeuner à leurs dégorger le poireau… pendant plusieurs semaines, et ça, jusqu’à la fin des travaux…
Habillée de différentes façons, au fur et à mesure de l’évolution des travaux ; collants, bas up, portes jarretelles avec bas nylons…
Sur les derniers jours, ils ont fini, l’un et l’autre par me sodomiser… c’était bon….
Mon copain n’eut jamais vent de ce ces « pauses »…
Bises coquines

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