Marie-France est quand même inquiète lorsque nous arrivons au parking du Méridian. Elle porte un superbe tailleur ocre de marque hors de prix, un chemisier beige, des bas à couture et de superbes escarpins qui mettent en valeur ses mollets délicieusement musclés. Lorsque nous descendons de la voiture, je lui tends le loup en satin destiné à masquer son visage. Fébrilement, elle le met et nous arrivons jusqu’à l’ascenseur spécial qui nous emmène directement jusqu’à la suite que j’ai loué.
Nous parvenons à l’étage requis et les deux gorilles me font un signe de tête respectueux. La soirée est déjà avancée. Elle est destinée uniquement aux gros pontes des deux compagnies et il est rare que des débordements extrêmes aient lieu en public. Avec les gens de la Jet Set, du spectacle ou même de la politique par contre…
Je salue très naturellement les gens que je croise. Jusqu’ici on se croirait dans un cocktail mondain. Lorsque nous arrivons dans la salle du « billard », l’ambiance est toute autre…
A quatre pattes et les poignets attachés dans le dos, Jacqueline Duval suce péniblement la queue gigantesque d’un grand noir musculeux agenouillé devant elle tandis qu’un second défonce en alternance sa chatte et son cul béants. La blonde ne porte plus que ses bas déchirés et son porte –jarretelles. Ses lourds seins mous et son ventre gras ballottent sous les violent coups de boutoir. Ses fesses et ses cuisses blanches sont marbrées des claques répétées qu’elles ont reçues. Elle est en sueur, le visage, les cheveux en bataille et le minuscule masque maculés de coulées de sperme gluantes. Elle pose ses yeux exorbités de honte et de douleur sur moi et l’odeur des corps prend à la gorge.
– Monsieur Varant…, supplie-t’elle.
Tout autours de la table, une vingtaine d’hommes en costumes mais plus très respectables vocifèrent :
– Transperce cette pute !!!
– Allez vas y, fais lui sortir la merde par la bouche à cette vieille truie !
Je sens Marie-France qui se serre un peu plus sur moi. Je lui désigne l’écriteau qui flanque le « billard » et sur lequel on peut lire le programme : « Jacqueline, 46 ans. Bonne mère de famille avec trois enfants, divorcée : Contrainte de fréquenter les clubs de partouses où elle était prise à la chaîne lorsqu’elle était mariée, elle souhaite se racheter une respectabilité. Mais en attendant – sans ressources – elle supportera le pire pour de l’argent facile. »
– Tes gamins savent que tu es une putain, Jacqueline ? raille un grand maigre.
– Si tu as une fille, amène là, on lui fera sa fête si elle est aussi portée sur la bite que sa maman, lâche un autre.
Le spectacle est terrible et les propos immondes autant que les pénétrations sauvages transforment les très retenus cadres en une bande d’infects salauds. Le noir qui se fait sucer gifle Jacqueline Duval deux fois, déclenchant de nouveaux encouragement. A demi assommée, elle ne peut l’empêcher de s’allonger sous elle. Il prend ses gros seins mous à pleines mains et la plaque sur lui. La Blonde hurle et tente de se débattre tandis que l’enculeur sort sa verge et écarte les fesses molles à deux mains pour bien montrer l’anus torturé aux spectateurs qui poussent une clameur joyeuse.
– Les deux dans le cul ! hurle un gros type immonde !!!
– Arrache lui les mamelles, renchérit un petit dégarni.
– Non… s’il vous plait… supplie Jacqueline pendant que tous les autres hurlent de joie.
– Mon Dieu… souffle Marie-France à coté de moi.
– Aaaaaaaaarrrrrgghhhhh hurle la blonde tout le temps que les bites hors normes s’enfoncent de concert dans son rectum béant et que les globes de ses seins se violacent sous la poigne qui les tord sans pitié.
Un grand cri de joie sadique et général salue l’exploit. Les deux noirs la défoncent le plus durement possible puis déculent et écartent à nouveau les grosses fesses de la suppliciée. L’anus éclaté reste entièrement ouvert, rouge et gluant, et lorsqu’un des noirs enfourne dedans les doigts de ses deux mains pour l’écarter de toute ses forces, il est à nouveau salué par les spectateurs.
– Ouvrez la en deux, la cochonne !!! ordonne un chauve au regard halluciné.
Jacqueline Duval cherche l’air, la bouche ouverte sur un cri muet. Le noir ressort enfin ses doigts, tartine pour la énième fois généreusement une bonne dose de crème épaisse sur l’anus et le vagin et recommence à exploser les trous de la blonde avec son collègue. Deux dans un orifice, puis dans l’autre, puis un chacun. Certains voyeurs autours se branlent maintenant sans retenue à travers leur pantalon, quelques queues turgescentes sont même sorties plus ou moins discrètement. Quelques spectateurs saluent l’arrivée de Marie-France :
– Sur le billard, la nouvelle !!!
– Ouaiiiiiss !!! Défoncez la !!!
Je susurre à l’oreille de Marie-France :
– Vas y monte et finis la ! Travaille la au poing ! Je double la somme !
Elle me regarde avec dégoût mais l’argent que je lui propose l’emporte. Avec une moue de défi, elle retire sa veste de tailleur puis me donne sa montre et ses bracelets et monte sur la table sous les encouragements. Je fais signe aux noirs de s’écarter et il y a quelques grognements de mécontentements jusqu’à ce que je gronde à la nouvelle arrivée :
– Vas y ! Déchire la !!!
– Non pitié… Monsieur Varnant… Non… hoquète péniblement Jacqueline Duval que les deux noirs maintiennent fermement sur le tapis.
– Les seins ! Ecrase les ! j’ordonne à un des noirs.
Sans hésiter, il dégage les seins martyrisés de chaque coté du torse de la blonde toujours maintenue à plat ventre sur le billard puis l’enjambe au niveau des épaules. Il s’agenouille jusqu’à ce que ses grosses couilles et sa queue démentielle toujours dressée battent comiquement le dessus de la tête femme esclave. Sous les encouragements, il enfonce ses deux genoux dans la chair molle, écrasant impitoyablement les mamelles massacrées et clouant Jacqueline Duval sur le tapis vert. La suppliciée perd presque conscience sous la terrible souffrance. Je tire sur ma cigarette et la regarde dans les yeux en approchant le mégot incandescent du sein le plus proche et dis avec un mauvais sourire :
– On se réveille, Jacqueline !
Puis j’écrase la cigarette sur le téton dans un grésillement immonde. Elle hurle et se débat à nouveau, tirant toujours plus sur ses gros nichons détruis. Pendant ce temps, Marie-France s’est positionnée derrière la blonde. D’une moue dégoûtée, elle ferme son poing droit et le plonge brutalement dans le vagin supplicié ou il s’enfonce jusqu’au poignet. La Fistée pousse un long gémissement qui se transforme en hurlement quand le poing gauche entre dans son anus. Les spectateurs sont devenus des brutes infâmes et ils encouragent la nouvelle venue.
Sadiquement, Marie-France ressort ses poings et les replonge de toutes ses forces. Jacqueline Duval est à nouveau au bord de l’évanouissement et les deux noirs la raniment en la giflant. Deux spectateurs tirant sur des cigares m’interrogent du regard. Je caresse gentiment le visage baigné de sueur de la Duval pour avoir son attention :
– Jacqueline ? Encore une petite motivation ?
– Pitié… souffle t’elle, le regard fiévreux.
Je me détourne et fais signe aux fumeurs de se lancer. Les deux cigares s’enfoncent profondément, un sur chaque mamelon, déclenchant un nouveau cri de bête agonisante. L’ambiance est à son comble quand Marie-France se met à faire pénétrer la main qui ravage l’anus jusqu’au coude en forçant. Les spectateurs comptent en cœur la douzaine de fois ou le poing impitoyable replonge dans l’orifice dévasté, toujours un peu plus loin.
C’est le délire total lorsqu’elle met ses deux mains jointes comme pour une prière et regarde l’assemblée pareille à un Gladiateur romain. Tous les hommes présents poussent un cri je joie effrayant et les deux mains pénètrent dans le rectum distendu à se déchirer. Plongée dans l’anus jusqu’aux poignets, Marie-France me jette un regard interrogateur ou la folie du stupre se mêle à l’inquiétude et je hurle :
– TUE LA !!!
Tous les autres reprennent en cœur, habités par la démence « TUE LA !!! TUE LA !!! ». Les avant-bras joints, Marie-France pousse toujours plus loin. Le gel lubrifiant se met à couler du trou du cul sous la pression mais elle ne s’arrête pas avant d’être bloquée par ses coudes. Jacqueline Duval râle et bave, les yeux révulsés. Quelques vas et viens bestiaux et la bonne mère de famille commence à jouir du cul en lançant une longue plainte désarticulée. Marie-France fait coulisser ses bras encouragée par les « Han ! Han ! » des mateurs hallucinés. Enfin, la blonde, le trou du cul distendu à outrance, ne peut se retenir et se met à pisser en pleurant, le corps agité de spasmes incontrôlables. Avidement, elle cherche encore l’air de la bouche mais ne rencontre que les queues des noirs qui se vident sur elle et flagellent son visage brutalement de leurs gourdins. Marie-France ressort ses poings souillés et est ovationnée tout le temps ou elle se nettoie avec la serviette que je lui ai tendue. Je constate que les trous défoncés restent ouverts de façon inquiétante. Marie-France me rejoint pendant que les deux noirs portent Jacqueline Duval dans une chambre ou l’attend le docteur qui ne manque jamais d’assister à nos petites soirées.
Elle n’aura pas volé son fric, la mère de famille !!!
Deux belles jeunettes ont pris la place de Jacqueline sur le billard. Malgré la très belle plastique des demoiselles, la plupart des spectateurs sont encore sous le coup de la scène de folie à laquelle ils ont assisté. Certains ont joui dans leur costume, d’autres se dirigent vers les toilettes pour se finir et les plus délurés vont – l’air de rien – vers la salle des « paillasses ». Quand on explique de quoi il s’agit au départ, tout le monde a une mine dégoutée mais une fois la soirée lancée, les « paillasses » sont souvent bien occupées…
Nous buvons tranquillement un verre maintenant et Marie-France est félicitée par plusieurs fêtards concernant sa « prestation ». Comme à son habitude, elle minaude et feint poliment de ne pas sentir les frôlements limites dont elle est l’objet. Ses admirateurs « sentent » qu’elle est de la haute et ça les excite encore plus. Plusieurs d’entre eux lui font des propositions poussées mais elle refuse poliment. Elle a gagné beaucoup d’argent sans vraiment s’impliquer et sa « dignité » est de retour. Interloquée, elle me demande quand même où vont les hommes qui empruntent le discret couloir qui mène aux « paillasses ». Je lui fais un clin d’œil mystérieux et l’entraîne derrière moi. Au bout du couloir, il y a plusieurs portes. J’en pousse une et nous nous retrouvons dans une pièce exiguë et carrelée. L’odeur de sperme et d’urine y est entêtante. Quatre minuscules cabines, une à chaque point cardinal se font face. Nous pénétrons dans l’une d’elle et Marie-France a un geste de recul. Une fois la porte franchie, une glace sans tain permet de voir la victime au centre des quatre cabines. C’est une jeune rouquine à la peau laiteuse et aux cheveux mi-longs. Très maigre, elle a des petits seins ridicules au tétons énormes. Paradoxalement elle a un ventre replet et gras qui surplombe une chatte vulgaire aux lèvres épaisses et saillantes entièrement rasée. Ses hanches sont étroites – presque masculines – et ses petites fesses musclées et son dos laissent voir des traces récentes de flagellation. Agenouillée à même le sol, elle suce et branle en pleurant les queues qui pendent plus ou moins mollement des trous percés dans chaque cabine. Un jet d’urine vient de jaillir de la lourde bite qui pointe de la cabine à notre gauche suivi d’un ordre :
– Avale ! Bois le bon jus, gouinasse !
La « paillasse » tourne docilement la tête, bouche ouverte, et le flot de pisse frappe sa langue. Les yeux baissés, elle continue à branler les deux autres grosses queues excités par le spectacle en même temps qu’elle boit la pisse immonde. Rapidement, un jet de sperme venu d’une autre cabine englue ses cheveux et elle enfourne dans sa bouche en tremblant la queue qui crache puis la nettoie avec application.
Je bande comme un âne et Marie-France ne peut l’ignorer car je suis collé sur ses fesses. Je lui murmure :
– Tu veux essayer ?
– Tu t’égares enfin ! C’est immonde !
Je laisse échapper un petit rire méchant et montre le petit papier imprimé dans la cabine sur lequel on peut lire : « Cette Paillasse s’appelle Corinne. Elle a 18 ans aujourd’hui et des tendances lesbiennes. Sous prétexte d’être majeure, elle pense pouvoir vivre une existence de dépravée. Merci de l’humilier sans pitié pour aider son beau-père a faire rentrer cette rebelle dans le droit chemin. »
Nous quittons la cabine alors que la brune embouche une petite queue molle qui vient d’apparaître dans un trou resté vacant.
– Il y a trois salles à « paillasses » dont une avec une bonne mère de famille désespérée comme cette pauvre Jacqueline que tu as si violemment fistée ! Tu veux voir les autres ?
– Non, c’est franchement répugnant !
– Dommage… On a tondu cette pauvre maman et elle est empalée sur un gigantesque god écarteur à ventouse fixé au sol, ça plait beaucoup…
– Quelle horreur !
Pour une fois, je la crois ! Raison de plus pour bander en imaginant quand elle échouera là pour la première fois…
– Qui est cette pauvre gamine rousse là dedans, demande Marie-France.
– Une fugueuse trop contente de se faire quelques billets.
– Tu es vraiment dégueulasse…
– Tu ne crois pas si bien dire ! Tu veux savoir ce que j’ai prévu pour elle en fin de soirée ? Un bon viol collectif avec tous les gentils messieurs en costard qui le souhaiteront ! Heureusement qu’elle aime les coups de ceinturon. Je te montrerai la vidéo si tu es sage…
Elle affiche un mutisme fâché lorsque nous revenons dans le salon. C’est à nouveau le vacarme au « billard ». Marianne Ferra, l’ex-star de la chanson se fait justement cruellement fouetter les seins au martinet par un « spectateur » encouragé par ses collègues hilares qui l’obligent à chanter ses « grands succès » pendant que les deux étalons noirs la défoncent en maintenant son buste offert à la morsure du cuir.
Je propose à Marie-France de prendre congé et nous repartons après que j’ai salué les responsables des sociétés à l’initiative du « live show » qui se déclarent « positivement enchantés ».
Dans l’ascenseur, je caresse brutalement Marie-France qui se défend mollement. Une fois dans le parking, je la force à s’agenouiller sans dire un mot et elle sort ma queue gluante d’excitation qu’elle prend en bouche. Quand je suis bien raide, je la mets debout et la plaque à même le mur en béton du fond du box. Je relève violemment son tailleur, tire sur son slip en dentelle puis murmure :
– Vas y… Écarte tes fesses…
– Non s’il te plait pas comme ça… supplie-t’elle tout en obéissant.
Ses trous son gluants de mouille. Je tâte son anus du pouce, positionne mon gland et m’enfonce d’une seule poussée. Elle pousse un petit cri de douleur mais elle ne m’abuse pas : sans être Jacqueline Duval, elle est habituée à se faire sodomiser durement ! Je tire sur son chemisier, dévoilant ses seins lourds, et la colle fermement contre le mur rugueux avant de la besogner férocement. En quelques coups, je me mets à jouir. Je me vide longuement entre ses fesses puis je la prends par les cheveux et tire méchamment pour qu’elle se remette à genoux :
– Aïe ! Tu n’es pas obligé de me faire mal, je vais le faire… gémit elle.
– C’est comme ça que ça m’excite, salope !
Elle nettoie docilement ma queue sortant de son cul jusqu’à la dernière goutte. Échevelée et l’œil furibond, elle se plaint des griffures que le crépi lui a occasionné à la poitrine. Une fois en voiture, elle remet de l’ordre dans sa tenue et je lui donne la somme convenue. Qu’elle recompte jusqu’au dernier billet. Le retour jusqu’à chez elle s’effectue dans le plus grand silence et elle me quitte sans m’avoir adressé la parole.
Enculer Marie-France m’a excité et je décide de repasser à la soirée. Normalement, les dernières inhibitions sont tombées maintenant et ceux qui sont restés se livrent aux pires excès qui soient, s’émulant les uns les autres. C’est bien souvent le moment où les vraies natures se révèlent et où les dérapages surviennent…
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